J’te dois combien?

Il n'y a pas longtemps, avec plusieurs amis, nous avons fait un cadeau commun à une copine. A. a tout avancé et nous devions la rembourser. Comme nous n'habitons pas les uns à côté des autres, on s'est dit que par virement serait le meilleur moyen. Oui, bon, déjà, j'ai tardé, j'avoue, mais j'avais plage, et puis après, niveau virement en ligne, ma banque n'assure pas un caillou. J'ai dû finalement me rabattre sur l'option "envoi de chèque": à l'ancienne.

Tout ça pour ça, il est temps que quelqu'un prenne les choses en mains, on n'est plus au XXème siècle!

Ca tombe bien (enfin, pile quelques jours trop tard pour moi, mais je saurai m'en souvenir), on vient de me présenter un tout nouveau service de paiement et de transfert d'argent: Kwixo

J'avais vu la pub à la télé, et bien qu'elle m'ai fait sourire, je ne comprenais pas vraiment le principe.

 

 

Kwixo est un service créé par FIA-NET Europe, filiale du Groupe Crédit Agricole. Ce service permet de payer en un clic via internet n'importe quelle transaction, que ce soit un achat sur un site marchand ou des transferts d'argent, et ce, quelle que soir notre banque.

Kwixo est accessible aux particuliers en multicanal (internet, internet mobile, applications smartphone dédiées et SMS), il suffit de s'inscrire gratuitement lors de la première transaction sur le site www.kwixo.com et de retenir ses identifiants.

Un service fiable de paiement sécurisé et surtout très pratique. D'autant plus qu'ils ont une application mobile à télécharger (gratuitement); C'est les détenteurs d'Iphone, Android, et Windows Phone 7 qui vont en profiter!

Perso, la prochaine fois que quelqu'un m'avance de l'argent, j'opterai très certainement pour cette solution, moi qui n'ai jamais de monnaie, au moins, ça sera direct, je n'aurai pas des dettes un peu partout… hum

Ah… que c'est bon d'être en 2011!
Ça vous tente ce genre de service?

Article sponsorisé

Bridée

Me voilà bien embêtée en ce moment. J’ai beaucoup de choses à dire, mon avis à donner sur un tas de sujet. Tous ces articles sont partiellement écrit, en mode « brouillon » du blog, et pourtant, je ne publie rien.

A vrai dire, depuis quelques mois, j’ai vu tellement de polémiques et de débats stériles que je n’ai pas vraiment envie d’alimenter la cause des uns ou des autres. Mes opinions me sont propres et mon avis ne tient qu’à moi. Après, depuis l’ouverture de ce blog, je me sentais libre de le donner ou non, surtout sur des sujets concernant la maternité, la puériculture ou l’éducation. Évidemment, que je ne détiens pas la toute grande vérité, n’empêche que peut être que mon opinion pouvait conforter certaines ou certains dans leur choix, même si ce n’est pas le meilleur, après tout, mes enfants vont bien, je vous remercie.

Il y a deux ans, je pouvais dire des choses sans recevoir de mails injurieux concernant mon choix de portage, je pouvais parler d’allaitement au biberon sans voir mes propos repris pour un lynchage publique, je pouvais parler de couches jetables sans que personne ne trouve moyen de se vexer. Parce qu’il n’y a pas si longtemps, chacun avait le droit d’avoir ses propres convictions, et nos blogs nous permettaient simplement de nous prouver à toutes qu’au final, nos enfants se portaient bien, quel que soit nos choix de vie.

Ce qui m’attriste, c’est que les personnes qui gueulent le plus fort ne sont pas si nombreuses. Le soucis avec ceux qui parlent fort, c’est qu’on peut croire qu’ils sont plus puissants, alors on se range derrière eux et on lance quelques jets de pierre sans prendre trop de risques.

Je vous dirai bien que je trouve les couches lavables formidables, que l’allaitement jusqu’à 5ans me fais rêver, que je conchie les petit pots Bledina ou tout autre grosse société qui se fait des sous sur le dos de nos enfants et que mon rêve le plus cher est d’acheter une cup menstruelle.

Mais non.

Et franchement, si ceux qui font ces choix là mais en respectant celui des autres, sur n’importe quel point, peu importe, ne viennent pas me coller leurinsert lavé aux noix de lavage et leur sein gorgé de lait sous le nez, si tout ce fait dans le respect de chacun, des choix de chacun, alors tout me va.

Mais maintenant, je parle de quoi, moi?

 

EDIT: Évidemment, j’ai grossi le trait, mais vraiment, j’en ai assez de devoir me taire pour éviter qu’une poignée d’ayatollahs de l’éducation me tombe dessus.

En voiture Simone! (Giveaway ciné inside)

Quand N°1 a eu 2 ans et des brouettes, on a eu l’excellente idée s’il en est de lui faire découvrir le dessin animé Pixar Cars. Effet immédiat, notre petit gars a regardé ses petites voitures majorette avec un œil soupçonneux. La collection de petites voitures à yeux commençaient.


En plus de nous ruiner pour son anniversaire-Noël-cadeau sans but particulier, nous connaissions le film par cœur. tellement que j’arrivais à fredonner la musique au boulot, mes collègues me prenant pour une ado refoulée atteinte du syndrome de Peter Pan. En vrai, mon fils m’a fait un lavage de cerveau grâce à son DVD, si bien que je suis moi même devenue un peu fan du film. Pour tout dire, même en connaissant toutes les répliques, il m’arrivait de m’assoir avec N°1 pour le re (re-re-re-re-re) regarder.

Et puis la passion de N°1 s’est étiolée, le fond sonore a changé pour d’autres héros et le petites voitures sortaient de moins en moins de leur caisse.

Jusqu’à ce que N°1 apprenne que Cars 2 allait sortir pendant les grande vacances. Tout à coup, j’ai vu son ancienne passion se raviver, et les bolides sont ressortis des caisses. La moindre promo pour le film me vaut des cris de joie et toujours la même question: combien de temps encooore?

Plus longtemps, N°1, Cars 2 sort en salle le 27 juillet… Je sens qu’il va falloir que je recasse ma tirelire pour remettre à jour les petites voitures moi, car il y en a un paquet de nouvelles!

Dans cet opus, alors que Flash va tenter de conquérir le monde (on parle de course automobile, hein), Martin se met dans des histoires d’espionnage international… Un voyage bourré d’action, de courses poursuites et d’humour pour que petits et grands se régalent une nouvelle fois des aventures de nos héros adorés à quatre roues.


 

Et comme c’est un peu la fête du décompte à la maison, je vous propose de gagner 5*2 places pour aller voir le film! Catchaaa!

Pour jouer vous me laissez un commentaire ci dessous et vous me donnez le nom d’un des  personnages de ce deuxième opus… sauf Martin et Flash, je ne vais pas vous faciliter à ce point là la tâche! (indice en cliquant sur la video Youtube, vous aurez les showroom des nouveaux arrivants sur la droite, à vous de choisir). Et vous pouvez relayer aussi ))

Vous avez jusqu’à lundi 25 juillet, 14 heures pour jouer, je procéderai ensuite à un tirage au sort!

© 2011 Disney – Pixar

 

Bonne chance à tous!

 

EDIT du 25/07/2011

 

Tirage au sort du soir, bonsoir:

Alors… (à 14h, fin du jeu, il y avait en tout 72 commentaires.)

N°2: Sandrine

N°10: A 5 c’est mieux

N°27: FlolaSouricette

N°37: Xtinette

N°46: Nell

 

Bravo à vous 5! Vous remportez toutes 2 places de ciné pour aller voir le film. Envoyez moi vite vos coordonnées par mail à: natachart@hotmail.fr

Merci à vous tous pour vos participations!

Des enfants, du chocolat, J.Wilfried Tsonga et moi

(suite du billet d’hier que vous pouvez relire ICI)

Je suis encore sous le coup de l’émotion de cette journée passée au Village Kinder, mais je vais tenter d’être le plus claire possible dans mon récit…

Nous avons donc passé une journée entière sur le site du village Kinder, avec Chocoladdict, maman@home  que j’ai vu quelques heures (ou minutes, on peut dire, vu que je me suis éclipsée très vite après le repas, pour « jouer », j’y reviendrai)

De 9h30 à 10h30-11h, nous avons eu le droit de visiter les infrastructures du village où sont accueillis, donc, 165 enfants par semaine durant les deux mois d’été. Gymnases, salle de danse, plages, piscines, terrains extérieurs, dortoirs et restaurant, tout est réuni sur place pour faire de cette semaine un moment riche en apprentissages pour ces jeunes.

Il faut savoir qu’à l’arrivée, tous les enfants passent un test de natation. Si jamais l’enfant ne sait pas nager, il sera alors automatiquement inscrit en cours de natation. Parfois, pour le plus grand bonheur de tous, cet enfant repartira de sa semaine en pouvant se vanter d’enlever le fameux bracelet qui le distingue des autres: il aura appris à nager. Une vraie victoire pour lui.

Juste avant 11h, nous avons pu discuter avec les responsables du Secours Populaire et  de Ferrero.

J’ai pu alors apprendre que pour Ferrero, ce programme était un réel engagement pour l’enfance. Par exemple, les enfants qui développaient l’envie de continuer dans un des sports pratiqués (la rencontre avec les athlètes faisant parfois office de déclic pour eux), la société leur offrait la licence dans ce sport ainsi que l’équipement. Un vrai coup de pouce pour démarrer. Au delà du Village, Kinder relai le message du Secours Populaire en laissant sa place sur les maillots de basket de l’équipe de France pour l’Euro. Il apporte aussi son soutien sur ses emballages. Ainsi, vous pourrez voir le logo du Secours Populaire sur votre emballage de Kinder Maxi!

De son côté, le Secours Populaire continu son action tout au long de l’année. Ainsi, en plus des enfants choisis pour faire parti du Village Kinder, d’autres iront en vacances dans des familles d’accueil volontaires et bénévoles (renseignez vous). Évidement, le Secours Populaire ne s’arrête pas à l’accès aux vacances et continue sa lutte pour la sécurité alimentaire, la dignité de la personne ou encore le droit à la santé. Si vous souhaitez en savoir plus sur le Secours Populaire et ses actions, je vous invite à visiter leur site. Et évidemment, il est toujours possible de faire un don à cette association: FAIRE UN DON.

A partir de 11 heures, un brouhaha d’excitation se faisait entendre. Jo Wilfried Tsonga venait d’arriver et les enfants étaient aux aguets.

Quand j’ai demandé à l’un d’entre eux ce qu’il cherchait, il m’ répondu « y’a Jo venfrik longa qui est arrivé! » avec un grand sourire. Autant vous dire que ça m’a fait la journée!

Tous les enfants ont été emmenés dans le grand gymnase… oui, oui, nous aussi. Cerise sur le gâteau, cette semaine, ils avaient la surprise d’accueillir un deuxième joueur: Charles Antoine Brezac, certes moins connu, mais tout aussi impressionnant pour eux.


Après une brève présentation, certains enfants ont pu poser des questions aux champions. Ils étaient si fiers et heureux que c’en était déroutant. Heureusement, ils sont restés des enfants, et les questions étaient simplement génialissimes entre « Et est ce que t’aimes les Kinder Bueno? », « Pourquoi tu manges des Kinder Bueno? » et « Bah, pourquoi tu fais pas plutôt du foot? » je me suis régalée!


On a pu apprendre que Brézac craignait Tsonga sur les courts (tu m’étonnes, il est super impressionnant physiquement!) et que Tsonga redoutait Soderling, et préférait jouer sur la terre battue, même si ce n’était pas sa spécialité (il est joueur ce Jo).

Après ce petit moment de détente (pas forcément pour les joueurs, mais pour nous, oui), grande photo de groupe et signatures d’autographes en pagaille.


Puis, tout le monde s’est dirigé vers le restaurant.

J’en profite pour discuter un peu avec mes nouveaux copains et leur moniteurs qui me racontent à quel point ils s’amusent, que c’est cooool, et que « poourquoi t’es là toi? ». On s’échange des adresses emails pour que j’envoie mes photos (je le fais aujourd’hui, promis). J’ai 12 ans et je voudrais finir la semaine avec eux. Sauf que moi, je mange juste derrière Tsonga, et même si évidemment, j’aurai préféré à côté pour pouvoir crâner, j’ai eu vue sur ses fesses pendant 30 minutes (t’as qu’à me suivre sur facebook si tu veux savoir de quoi je parle, ici, c’est un blog « famille », je ne peux pas en dire plus).

A la fin du repas, j’ai osé sortir la balle de tennis confiée par N°1 et c’est avec une main parkinsonnienne que je lui ai tendue, bredouillant vaguement en français que c’était pour mon fils (j’ai même pas pu faire la grosse blague « Monfils », trop impressionnée). Et une photo en prime! J’en demandais pas tant vu ma tête de j‘ai dormi 5heures, mais j’allais pas lui dire non (c’est à dire que si il s’énerve, il m’envoie voler en Alaska rien qu’avec une pichnette)

Le premier qui dit que je suis petite, gare à lui: c’est LUI qui est grand. Epicétout.

Merci Sandrine pour la photo :)

Il avait ensuite un tas d’interviews pas toutes passionnantes (nan, parfois, certains journalistes (enfin, une en particulier ce jour là) devraient au moins préparer leurs questions… ou juste se taire). Avec Choco, on a demandé à poser une question au champion. Je ne sais pas si pour ma part c’était par curiosité ou juste pour me prouver que j’étais capable de le faire sans trembloter, mais j’ai assouvi les deux, donc voilà. Ma question était de savoir si il venait là car il était sous contrat. Comme je savais qu’il n’était pas payé, je me demandais s’il était « obligé ». Et bien non, il m’a répondu qu’il venait parce que ça lui faisait du bien de faire une bonne action et qu’il passait un bon moment avec les enfants.

Alors que j’allais lui demander de devenir mon meilleur ami pour la vie (j’ai arrêté de croire qu’on allait se marier quand j’ai vu sa taille par rapport à moi, c’est ridicule), il a dit que lui, il aurait plutôt « siester » (hiii, nous utilisons le même vocabulaire). Sauf que là, y’avait tennis avec les enfants, alors GO TSONGA!

Retour au gymnase, les échanges fusent entre Jo et Charles Antoine et deux autres petites filles qui ne se laissaient pas faire DU TOUT et qui n’espéraient que leur mettre de grosses patates. Futures championnes?

Pour finir, des mini terrains ont été improvisés et les enfants jouaient par groupe de 10 environ. Du coup, je ne tenais plus, j’y suis allée, j’ai passé un vrai bon moment avec eux et les moniteurs, jusqu’à ce que mon nouvel ami mono me fasse la blague de me faire jouer contre une des deux championnes, Jade, en l’occurrence, qui m’a mis la raclée de ma vie. J’ai fini trempée de sueur (Choco a apprécié pendant le voyage retour) et elle trop contente de m’avoir latté si facilement. Rhaaa, ces gosses!

Yes I can faire du sport (avec des enfants, par contre)


Après tout ça, ça valait bien un peit Kinder Bueno à partager avec le staff (et Tsonga, oui, oui, we did it!).


Bilan? Des champions adorables et disponibles, des enfants aux anges, une association ravie et un partenaire engagé.

Et moi? Je ne m’en suis toujours pas remise!

Alors, maintenant, je veux savoir… Vous aussi vous vous liquéfiez face à des personnalités?

Et évidemment, vous pouvez diffiser le message pour le Secours populaire, c’est important!

 

Un Village un peu différent…

Mercredi dernier, j’étais de nouveau en vadrouille. Mais cette fois -ci, je dois vous avouer que cette vadrouille avait une tout autre saveur.

Mercredi dernier, à 9h30, j’ai fouler pour la première fois le sol du centre omnisports de Temple sur Lot (Aquitaine).

Comme ça, là, tout de suite, vous vous demandez ce que fait une Cranemou dans un repère pour sportif, moi qui revendique souvent ma fainéantise…

A Temple sur Lot, pour la deuxième année consécutive, le village omnisports s’était paré de couleurs et d’énormes ballons flottants pour accueillir près de 1000 enfants durant les mois d’été. Le village est alors rebaptisé « Village Kinder » mais ce n’est pas pour autant qu’on compte faire faire du gras à tout ce petit monde.

Le Village Kinder, en quelques mots, c’est donc ces infrastructures, d’habitude utilisées par des sportifs de haut niveau venant de tous les pays du monde, qui sont mises à disposition de 165 enfants par semaine durant les mois d’été. Ces enfants sont issus de familles soutenues par le Secours Populaire et ne sont, pour la grande majorité d’entre eux, jamais partis en vacances. De LEUR VIE. Et ils ont entre 8 et 12 ans. (vous devez connaître la fameuse pub « 1enfant sur trois ne part pas en vacances« …)

En ne sachant que ça, déjà, j’avais une boule d’appréhension. Je suis TRES émotive, et je me doutais que cette journée serait bien différente d’une banale visite du musée du pruneau (oui, c’est juste à côté du village).

Finalement, j’ai eu les yeux mouillés mais pas de grands larmoiements. Non, parce que sur place, j’ai rencontré des enfants tellement heureux, tellement joyeux et plein d’entrain, des enfants curieux de savoir qui j’étais, d’autres ravis de me mettre une raclée au tennis, des enfants à fond dans leur séance de sport matinal, des enfants encadrés par des moniteurs de sport haut de gamme et des animateurs ultra motivés.Des enfants quoi.


Arrivés au Village, les enfants se voient remettre un « paquetage » aux logos du Village Kinder: shorts, TShirts, Baskets, sweat, casquettes… tout y est. Uniformiser (avec variation des couleurs, tout de même, on est pas chez les bonnes soeurs) pour que tout le monde parte à égalité. Chaque enfant choisi un sport pour ses matinées, puis, ils partent à la découverte d’autres activités: voile, Kayak, planche à voile, basket, tennis, hip hop, aviron, VTT… Ils pourront toucher à tout, et petit bonus, certains arrivent sans savoir nager et repartent avec une fierté supplémentaire: avoir appris en une semaine. Oh, oui, ils auront de quoi raconter à leurs petits camarades à la rentrée. Ceux avec qui j’ai eu le plaisir de partager ma journée, d’ailleurs, pourront se targuer d’avoir fait quelques échanges avec Jo Wilfried Tsonga himself. Ou avec moi… mais j’imagine que ça sonne différemment!


Chaque mercredi, un athlète partenaire de Kinder vient faire un tour au Village pour donner de son temps aux enfants… et à la presse, certes. (et ça n’avait pas l’air d’être la partie préféré de Tsonga). Et quand je dis « donner », c’est vraiment le cas, ils ne sont pas payés pour ça, ni obligés de le faire.

Au programme de l’an passé, toujours Tsonga (qui venait quand même de mettre la raclée à Federer à Wimbledon et de valider l’entrée en demi  à l’équipe de France en Coupe Davis) mais aussi Tony Parker (ex d’Eva Longoria basketteur), Tony Estanget (Kayak) (ils ont eu une promo sur les Tony, je pourrais peut etre proposer le mien… il joue très bien au… euh…y’a curling?), Nikola Karabatic (Hand) et Ladji Doucouré (athlétisme). Cette année, encore du beau monde avec une ouverture par Laura Flessel (escrime) et une premiere semaine avec Marc André Cratère (escrime handisport) et à suivre, d’autres stars mais chut, c’est secret!


Le projet du Village Kinder m’a particulièrement touché car je suis intimement convaincue que le sport est le seul remède à beaucoup de maux. Jean Giraudoux disait « le sport est l’esperanto des races ». Il n’y a que dans le sport que le langage est universel, et à Temple, les enfants apprennent cet esprit de partage, de dépassement, de jeu, de règles, la compétition aussi… tout ce qui fait du sport est fédérateur de bonnes valeurs. La bonne humeur et le sportif de compétition en prime font de cette semaine un recueil de souvenirs inoubliables pour ces jeunes qui n’ont pas forcément la chance que nous pouvons avoir durant ces deux longs mois d’été.

Dès demain matin (ou dans l’après midi, selon), je vous raconte en détails (croustillants) la journée de Tsonga et des enfants avec de la photo de collection dedans! Je suis obligée de couper le billet en deux car je suis encore tellement sous l’émotion que ça allait faire 3 tomes cet article!

« Il n’y a pas d’endroit où l’homme est plus heureux que dans un stade »

A. Camus.

 

Si vous souhaitez avoir la vision de mes copines qui étaient aussi présentes ce jour là, je vous invite à aller lire les billets de maman@home et de Chocoladdict! Pour ma part, je vous donne rendez vous demain pour la suite et fin!

Vous connaissiez le Village Kinder?

Famille à lunettes, famille à drôles de têtes…

Quand N°1 a eu des lunettes, mon petit monde parfait s’est écroulé. Non seulement, mon enfant n’était pas si parfait que ça, mais en plus… des lunettes quoi!

Pour une oculophobe, c’est un réel soucis, d’avoir engendré un enfant-taupe… Un peu comme si une agoraphobe avait épousé Brad Pitt ou un tudiculaphobe allait au Mojitos Bar (sauras tu me dire ce qu’est un Tudiculaphobe d’après toi?).

Bref, je laisse faire Tony pour les visites. En revanche, pour le choix des lunettes, je prends sur moi et je vais choisir avec N°1, histoire qu’il ne ressemble pas à Philippe Manoeuvre en sortant.

Jusqu’à maintenant, comme il « n’a pas de nez » (dixit l’opticien), on avait opté pour des paires en plastique moulé. Pas ce qu’on peut trouver de plus design, mais il y a quand même des paires qui restaient potables.

Maintenant que N°1 est plus grand, il va pouvoir commencer à prendre des lunettes plus fines et surtout plus légères. Joie!

Du coup, on a testé la gamme Nu d’ATOLL (tu sais? Atollll, les potes d’Antoine) sur leur site, avec leur logiciel de mise en situation (il faut juste une webcam et c’est bon). Même moi j’ai tenté le coup en faisant la secrétaire!

Du coup, on a pu voir quelles seraient le genre des prochaines lunettes de N°1… Et j’ai hâte, parce que non seulement ça a l’air plus confortable, mais c’est surtout plus mignon et moins lourd sur son visage!

Si vous aussi vous avez des lunettes, n’hésitez pas à tester le site: http://www.opticiens-atol.com/pages/collections/NU/index.php , c’est vraiment bien fait. Bon, nous évidemment, on a fait les pitres, on se refait pas quand on a ça dans les gènes… Et dire que je croyais que porter des lunettes ça rendait intelligent!

 

 

 


Aux voleurs!

Mes enfants ont la fâcheuses manie de tout me piquer.

Clapiotte se ballade alors avec une collection de soutien-gorge autour du cou ou tente de jongler avec mes chaussettes et N°1 me vole mon oreiller, mes stylos ou mes pantoufles.

Ce matin, en me levant, j’ai eu beau chercher mes tongs, pas moyen de mettre la main dessus. je suis allée jusqu’à me coucher par terre pour vérifier dessous… on ne sait jamais, des fois qu’un nain voleur de tongs ait voulu me faire une farce pendant la nuit. Mais rien.

Je les ai finalement retrouvées au pieds de la chaise de N°1.

« Bah, alors? Je les ai cherchées partout mes tongs et tu ne me dis pas que c’est toi qui les avais? »

« Bah, j’ai pas entendu »

« Pourquoi tu me voles toujours quelque chose? »

« Nan mais là, c’est parce que j’avais froid aux pieds »

 

ÉVIDEMMENT

 

Avec une bonne paire de chaussettes, peut être…

 

 

ET les vôtres? Ils volent dans les placards?

 

 

Toujours un concours Tann’s ICI pour gagner un cartable et des trousses…

De nouveaux Légos pour les enfants…

Un jour, Miss Brownie a déclaré sur Facebook que les 3 premiers blogueurs intéressés par de l’Orangina en recevront chez eux.
Pour une fois que j’allais pouvoir faire plaisir à Tony qui a cette boisson à la place du sang, j’ai dit « moi », et elle m’a dit Banco!

Sauf qu’en fait, elle rigolait pas! Comme elle et d’autres blogueurs, je me suis retrouvée avec une quantité astronomique de canettes d’Orangina, tellement, qu’en les recevant, les enfants ont cru que j’avais commandé des nouveaux légos!

Oui, je sais, on dirait Ringo et Paul mes enfants… faut que je fasse quelque chose!

 

Bref, même si Tony en boit pas mal, je ne sais pas trop comment nous allons venir à bout de tout ça… bien que j’ai prévu une petite sauterie très prochainement… mais on en reparlera!

Ce blog me fait vraiment faire n’importe quoi!! :D

 

T’as pas ton Tann’s? (concours inside)

Je sais, je sais, les enfants sont en vacances et on a tendance à penser soleil et mer turquoise plutôt que fluo jaune et cartable. N’empêche, la rentrée, je ne sais pas vous, mais pour éviter la cohue, il vaut quand même mieux s’y prendre avant de partir plutôt que début septembre, 2 jours avant la rentrée, où on se rendra compte qu’il nous fallait des feuille petit carreaux grand format et pas grand carreaux petit format non perforées. Sans parler du rayon des crayons HB qui auront été dévalisés et qu’il ne restera plus que ceux à l’effigie d’Hello Kitty pour notre fils de 6 ans: non seulement ils coûtent un bras, mais je ne suis pas sûre qu’il nous le pardonne un jour.

Mais je suis là!

Quand j’étais petite, j’adorais la rentrée des classes, ranger mes nouveaux cahiers dans mon cartable, mes stylos neufs dans ma trousse… j’adorais que tout soit impeccable avant le jour J.

Ce que j’adorais plus que tout, c’était le cartable de ma copine Lucie. Un cartable Tann’s, le vrai, celui qui faisait « t’as ton Tann’s » à la télé… Sauf que moi, j’avais pas mon Tann’s, au grand désespoir de ma vie d’écolière modèle, je rêvais secrètement de pouvoir remplir la petite étiquette du rabat avec mon prénom…

Et un jour, j’eus mon Graal. Je ne sais plus vraiment pour quelle raison, mais je me rappelle de cette fierté qui m’avait envahie, je me souviens l’avoir caresser avec amour, aussi. Je pavanais devant mes camarades, mon beau cartable tout neuf sur le dos. A peine si j’osais le poser par terre pour aller sauter à la corde!

C’est drôle, ces souvenirs qu’on a de notre enfance et à quel point je suis restée attachée à l’image que me renvoyait mon cartable Tann’s.

Alors cette année, comme la question s’est posée pour la rentrée en CP de N°1, j’avais fait mon choix: ce sera Tann’s. A défaut de voir mon fils sauter au plafond parce qu’il n’y aura pas de Pokémons dessinés dessus, je fais le choix de la sobriété, de l’ergonomie ET de la robustesse! Parce que rappelez vous, il est solide, ton Tann’s!

Et puis comme j’aime partager mes gros coups de cœur, et que chez Tann’s, ils aiment aussi faire plaisir, (la preuve en ressuscitant nos cartables!) nous vous proposons aujourd’hui de gagner vous aussi le cartable de votre enfant pour la rentrée! Oui oui, et même trois trousses! Alors? Comment ça c’est pas sympa de parler de la rentrée en plein milieu des grandes vacances? (oui, oui, je vous avais entendu râler!).

Je vous donne un aperçu des lots, juste pour vous faire baver:

 

1 cartables « Classic » 38cm, coloris au choix

3 trousses « Classic », coloris au choix

 

Ah, je suis sûre que vous trouver maintenant que mon côté nostalgique a du bon!

D’ailleurs, en parlant nostalgie et de petit point Vintage qui va avec, j’ai eu la surprise de découvrir que Tann’s ne s’occupe plus QUE de nos enfants. Nan, nan, nous aussi avons le droit à notre Tann’s, et pas n’importe comment en plus. C’est comme ça que je lorgne sur la saccoche multi poches dans laquelle je pourrais ranger mon portable… et surtout, je suis tombée d’amour pour ce sac week end:

 

Bon, maintenant, vous vous demandez comment on fait pour participer?

Alors, lisez bien TOUT, comme ça, vous aurez toutes vos chances.

1/Vous me racontez en commentaire une petite anecdote scolaire (moi, par exemple, j’avais essayé d’assommer une camarade avec un microscope, tout le monde s’en est sorti, pas d’inquiétude), si c’est une anecdote Tann’s, c’est encore mieux, mais c’est comme vous voulez!

ET Vous répondez au questionnaire ci-dessous (avec le même pseudo qu’en commentaire, ca sera plus facile pour moi!)

2/ Vous relayez sur vos blogs, twitter, facebook; Hellocoton etc…: cela vous rapportera une chance supplémentaire par relai, à me confirmer en commentaire distinct s’il vous plait!

3/ On ferme les participations le 22 juillet au soir, les 4 gagnants seront désignés pendant le week end qui suivra.

Loading…

Je vous souhaite bonne chance à tous, que la force du Tann’s soit avec vous!

 

Un très grand merci à l’équipe de Tann’s pour leur confiance et pour ces très beaux cadeaux ainsi que pour le cadeau de N°1! Et mon anniversaire c’est le 8 août ;) (quoiiii?)

 

 

EDIT du 23/07/2011

 

Vous avez été 88 particpants, avec els chances supplémentaires pour les relais, cela fait 151… Et je vous ai tous mis dans le chapeau… alros….

Qui a gagné les trousses?

Bravo à Faustvic, La Dame Blonde et Cathy59

Et qui pour le cartable?

Bravo à Chocoladdict

 

Les filles, je vérifie si j’ai vos adresses dans le formulaire et je vous contacte pour être sure pour les couleurs.

Merci à tous les participants, j’ai été ravie de pouvoir faire ce giveaway Tann’s! Comme d’habitude, j’aurai aimé faire gagner tout le monde…mais bon…

Aller, y’en aura d’autres (bon, peut etre pas Tann’s, mais d’autres cadeaux, certainement!)

 

Le Cap d’Agde: 30 ans d’expérience…

J’aime bien savoir que mes enfants foulent le même sol que moi au même âge pendant les grandes vacances.

C’est sûr que retourner au même endroit, années après années, gâche un peu le côté aventure de la chose, mais ça me plait tout de même de voir N°1 et Clapiotte s’arroser sur la terrasse ou construire de merveilleux châteaux de sable ou des piscines géantes qui se remplissent au gré des vagues. Un peu comme si je leur insufflais ces deux mois de bonheur et de liberté auxquels j’avais la chance de goûter chaque année depuis si petite.

Le seul soucis quand on passe ses vacances au même endroit chaque année, c’est qu’on finit irrémédiablement par connaître tout le monde, y compris les vieilles commères qui viennent nous tenir la jambe pendant une heure sous prétexte qu’il leur manquait du riz-du sucre-un oignon (selon les jours) alors que là, tout de suite, j’allais doucher les enfants-faire la sieste-enfin pouvoir lire Voici tranquille (selon l’heure).

Il y a aussi les gentils vieux qui disent que « rho bah ça alors, tu as deux enfants, mais c’est fou… et toi qui n’a pas changé ». Plus hypocrite, tu meurs, et comme tu ne veux pas mourir, tu fais un gentil sourire et tu ne rends pas le compliment caché, parce que eux, SI, ils ont bel et bien pris un coup de vieux!

Il y a aussi le vieux copain avec qui on discutait (platoniquement) le soir sur la plage. Il était gringalet et tu étais plutôt bien foutue. Il est limite bodybuildé, se ballade avec une femme canon et est flanqué de deux adorables filles pendant que tu tentes de planquer ta culotte de cheval derrière un paréo trop petit et que tu hurles sur le grand de ne pas faire manger de sable à la petite.

Et puis même si tu ne les connais pas tous, il y a les gens qui te regardent bizarrement parce que quand tu débarques sur la plage, tu attends d’avoir poser tes 4m2 de serviettes avant de daigner poser ta progéniture dessus, histoire que la demoiselle ne se mette pas un grain de sable sur ses précieux pieds au risque d’hurler à la mort.

Mais revenir au même endroit chaque année, c’est aussi retrouvé ses repères d’enfance, raconter à N°1 qu’ici, on avait construit une cabane et que là, on avait fait une bonne blague. C’est retrouvé une amie d’enfance avec qui on a fait les 400 coups avant d’écumer les boites de nuit

Et puis, surtout, le Cap, c’est te défendre à chaque fois que NON, il n’y a pas que le camps naturiste là-bas, et d’avoir toujours une anecdote marrante à ce propos à raconter (parce qu’on en voit, quand même, des choses bizarres, quand on va faire un tour dans ce camps).

Enfin, le Cap, c’est aller à chaque saison saluer le gérant du tabac-presse qui nous a vu grandir et le féliciter pour son choix de cartes postales de bon goût:

 

Et vous? vous partez souvent au même endroit?

Vous connaissez le Cap?