Le grand voyage de l’Acer Switch 10 en sac à dos, sur 12 fuseaux horaires.

Si tu te rappelle bien, il y a un mois tout pile, je décollais pour un loooog voyage en Nouvelle Zélande.
Oui, je sais, la plupart d’entre vous s’en rappelle, mais au cas où, laisse moi te rafraichir un peu la mémoire :

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Voilà, pour re- contextualiser la chose.

Avant de partir, il y a eu l’étape des valises.

Je déteste faire ma valise (et la défaire représente pour moi une véritable torture). J’ai toujours peur d’oublier un truc.

D’ailleurs, j’oublie toujours un truc.

Sur ce voyage, le chargeur de mon appareil photo ET la carte SD de ce même appareil. Pas comme si tu partais dans un pays paradisiaque en terme de paysages et que l’appareil photo, c’était LA base.

Mais passons mon organisation merdique je te prie, tout le monde s’était largement assez foutu de moi à ce moment là.

Donc, j’ai fait ma valise (faut vraiment que je te parle de ma merveilleuse valise faite sur mesure avant tes prochaines vacances).
Et surtout, j’ai fait mon sac à dos.

Le sac à dos, dans ce voyage, c’est certainement la chose la plus importante que j’emmenais avec moi. Dedans, il y avait bien évidemment mes papiers et billets d’avion.
J’y avais fourré une petite trousse de toilette, rapport que 33h de voyage, j’allais en avoir besoin.
J’avais tassé au fond des sous vêtements propres et un TShirt de rechange.
Et puis j’avais rajouté les trucs qui allaient me rendre le voyage plus sympathique. A savoir, des boules Quies, mon propre casque, parce que 24h avec des écouteurs d’avion, c’est du suicide auriculaire, un livre (celui de Ginie) et mon ordinateur.

Et puis après réflexion, avais-je réellement envie de me trimbaler avec mon ordinateur à un milliard de dollars ? Avais-je donc le courage seulement de tenter de le faire tenir sur la tablette d’un siège en classe éco ?

Non.

Mais j’avais une solution toute trouvée, j’avais en ma possession la tablette hybride Acer Switch 10 pour test, c’était exactement ça qu’il me fallait.

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Les tablettes sont entrées dans nos vies très facilement, seulement, de mon côté, je n’ai jamais pu me faire à l’idée d’écrire même un mail sur un écran tactile. La mise sur le marché de tablettes hybrides a été la merveilleuse solution à mon problème : on « clipse » la tablette sur un clavier, et on a un ordinateur. Magie de la technologie.

Le test de cette tablette allait donc se faire dans des conditions extrêmes : un long voyage en Nouvelle Zélande, des heures d’avion et d’escales, 4 pays, 12 fuseaux horaires, un sac à dos et moi, qui n’y connaissais rien à Windows 8 (déjà que ça fait environ 10 ans que je n’avais pas touché à Windows tout court… je vous laisse imaginé la panique au départ).

Outre les conditions, mon utilisation se fait ainsi :

Mon utilisation personnelle d’un ordinateur se résume à :

Naviguer sur internet
Utiliser le traitement de texte
Traiter des photos
Regarder des séries/films

Mon utilisation personnelle d’une tablette se résume à :

Laisser mes enfants télécharger des applis de jeux consistants à nourrir et coiffer des chevaux, faire des puzzles de Petits Poneys et jouer à Clash Of Clan.
Accessoirement, j’y installe l’appli de ma banque et celle de la SNCF si il reste de la place.

Avant de partir, j’ai pris soin de m’habituer à Windows 8 (au moins un peu) et d’installer le pack Office 365 fourni histoire d’avoir word à 20 000 km de mon bureau si je voulais.

Côté Internet : zéro souci, les réseaux wifi disponibles s’affichent, on clique, on est connecté. On est en 2015, tout va bien.
Côté vidéos : J’avais une clé USB remplie de la dernière saison de The Big Bang Theory pour occuper mes escales. Moi qui suis en général assez médiocre en « maintenant que ta clé USB est insérée dans le bon sens, amuse toi à la retrouver sur ton bureau d’ordi », ça a été plutot facile. Bon, certes, le bureau de mon nouvel ami Acer était vide à ce moment là, ça aide à retrouver des icones.
La qualité d’image était parfaite, le son aussi, j’ai donc passé des heures à souffir des fesses sur des banquettes japonaises à regarder ma série, problème.

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Ca, c’était en direct de l’escale à Tokyo, à l’aller, donc. 9h à attendre dans le terminal…

Côté batterie : parce que OUI, hein, sur un aller de 33h, il fallait prévoir que je n’aurai peut être pas l’occasion de pouvoir recharger l’engin (ou prévoir que j’allais simplement mettre le chargeur dans la valise qui partait en soute… notez l’organisation !).
Mon ami Papa Cube (dont la critique de l’Acer Switch 10 est mille fois plus complète que la mienne parce que LUI, il s’y connait vraiment) m’avait conseillé (ou ordonné, je ne sais plus trop) d’éteindre la tablette dès que je ne m’en servais pas pour économiser la batterie, en sacahnt que le rallumage était super rapide et que donc, ça n’allait pas m’énerver (je crois qu’il a bien compris que j’avais une patience très limitée).
ET bien ce fût un excellent conseil ordre, puisque ca a tenu tout le long, sans couper en plein milieu d’une rédaction d’article ou d’un épisode.
Côté ergonomie : C’était le gros point sur lequel je misais, sachant tout de même qu’un produit de ce type, à notre époque, serait suffisamment performant pour ce que j’allais lui demander.
Et bien je n’ai pas été déçue, loin de là.
D’abord, il RENTRE sur une tablette d’avion, et ca, c’est pas rien, à croire que ça a été étudié pour.
Ensuite, il est léger, je l’ai trimballé de partout. Il est costaud, parce que parfois, j’ai plutot mal traité mon sac à dos et pourtant tout va bien. Il est pratique parce que, donc, petit, et cette idée de clavier amovible est vraiment ce qu’il me manquait, clairement.

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La preuve en image : Ca RENTRE !
(oui, je colle des stickers de partout, je suis de ce genre là)

Je crois que je suis officiellement adepte du « tout en un », et malgré quelques soucis d’adaptation à Windows dû à mon utilisation intensive d’ordis Mac depuis trop d’années, je dois bien dire que je suis convaincue par ce petit Acer Switch 10. D’autant que le rapport qualité/prix (ici, le modèle à moins de 300 euros) est excellent.

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Là, c’était à l’escale Tokyo du retour… j’ai eu le temps de me prendre une chambre d’Hôtel sur place… et le malheur d’allumer la télé et de tomber sur des programmes absolument hallucinants et chronophages (du coup, j’ai pas vraiment bossé en vrai)

Ma wish-list fête des mères immatures

J’ai 34 ans, j’ai deux enfants de 5 et 10 ans, je suis relativement saine de corps et d’esprit et j’assume globalement mes responsabilités.

Et pourtant, quand je me regarde, je ne vois que celle que je suis en dedans, je suis celle qui aime jouer et qui ferait un caprice pour un distributeur de Pez à la caisse de supermarché parce que « mais c’ui là je l’ai paaaaas ». Je suis celle qui contemple les tableaux Pinterest de salons ultra tendance mais qui préfère dépenser ses économies dans des figurines ou des lampes en forme de Rubik’s Cube.

Donc, je vais arrêter de faire genre et je vais vous faire ma VRAIE wish list Fête des mères, puisque ça arrive bientôt et que tout le monde va y aller de  sa petite liste à base de massage, de jardin zen, de housse de coussin arty ou de derbies.

Moi… non en fait.

Pour commencer, je me suis offerte moi-même quelques cadeaux fête des mères… au moins, je suis pas déçue :

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(Oui, il fonctionne. OUI !)
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Un dérouleur de PQ. Oui. Aussi.
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Moi qui n’avais jamais vu l’utilité d’un minuteur… celui ci m’a convaincue.

Après avoir fait ma razzia en ligne (et encore, ça vaudra sûrement quelques nouvelles photos un de ces quatre), j’ai tenté de trouver des idées cadeaux pour la fête des mères un peu plus… comment dire… digne de mon âge.

Bon… bah finalement, voici ce que je n’ai PAS encore acheté (ceci est un message très explicite, pas du tout subliminal, que ce soit bien clair) :

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Oui, je ne veux que des petits gadgets inutiles mais tellement indispensables, du genre des pinces à linge saltimbanques (alors que je ne me sers JAMAIS de pinces à linge), un chauffe tasse USB (ça, vu le nombre de cafés froids que je m’enfile, ça peut servir)(pis c’est marrant), et des « trucs » pour décorer des bouchons. Oui. Un super copain m’en avait déjà fait avec son imprimante 3D mais cette série « robots » est franchement géniale (non, ça ne sert à rien, je confirme. C’est exactement pour cette raison que j’en veux)

Voilà où j’en suis, j’ai 7 ans et demi, en vrai, je n’ai aucune notion de ce qu’il serait sage de demander pour Noel, anniversaires ou Fête des mères, moi, mes cadeaux, ça ressemble à une pochette surprise.

Dites moi que je ne suis pas toute seule… c’est quoi, vous votre wish list ? (sincèrement) ?

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Le Parc Astérix vous attend pour la nouvelle saison (des places à gagner)

Bonjour, je m’appelle Cranemou, et je ne suis jamais allée au Parc Astérix.

Bonjour Cranemou !

Je connais Mickey comme ma poche, j’habite pas loin de Walibi, j’ai passé des longues journées à Europapark (en Allemagne quoi !), je monte dans des trucs qui me retournent la tête dès que j’en croise, MAIS, Astérix, je n’y ai jamais mis les pieds. Jamais.

C’est pas faute d’avoir lu toutes les BD et de regarder les pubs du parc en me disant « oh, ça a l’air chouette ! »

C’est pas faute d’avoir ENCORE le réflexe de chantonner la réponse « Au-Parc-Astéééé-Rix » quand on me dit « où ça ? »

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Avant les enfants, l’occasion ne s’est jamais vraiment présentée. Et après, j’ai trop entendu dire « ils sont trop petits, y’a que des trucs de grands là bas ». Je suis un mouton naïf parmi d’autres, donc, j’ai attendu que les enfants grandissent, même si je n’étais pas bien sûre du bien fondé du critère « âge » de la chose.

Bon, je ne sais pas si « à l’époque », les gens avaient raison de donner cette réputation au Parc Astérix, mais aujourd’hui, je note qu’il y a déjà 13 attractions que les 90cm peuvent faire. 19 attractions à partir de 1m. Ca laisse de quoi largement s’amuser avec les plus petits, finalement.

Et moi, mes petits, ils aiment ça, s’amuser dans les manèges, alors je commence sérieusement à regarder pour visiter (enfin) le pays des irréductibles Gaulois. (Quand je dis ça, je pense à mon prof de maths qui nous répétaient « on dit fraction irréductible. Comme les Gaulois » et  je ne comprenais absolument pas à quoi il faisait référence).

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Ne pas crier, ne pas crier, ne pas… HAAAAAAAAAA

Bon, bref, le Parc Astérix a rouvert ses portes pour la saison et est prêt à vous accueillir vous et vos enfants sur son site de 6 univers différents, de l’Égypte aux Vikings en passant bien évidemment par la Gaulle. 36 attractions adrénaline-friendly ou gentillettes vous attendent, ainsi que pas mal de spectacles pour se poser un peu.

De quoi passer une sacrée journée par Toutatis (fallait bien le placer celui là)

Pour l’ouverture qui vient d’arriver, j’ai 2 fois 2 places pour le Parc Astérix à vous faire gagner. Pas mal pour les vacances non ?
Pour celà c’est très simple, laissez moi en commentaire le nom d’une des attractions ou des spectacles qui vous fait le plus envie et dites moi pour quelle raison (vous n’êtes pas obligé de me faire un exposé en trois parties hein)

Vous avez jusqu’au 18 avril midi pour jouer.
Les gagnants seront tirés au sort.
Je transmettrai alors les noms, les places seront à retirer sur place, directement au Parc.

Bonne chance à tous !

 

Pour plus d’infos niveau organisation, navettes etc, vous pouvez consulter le site du Parc Astérix directement

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Apero-time !

EDIT : les gagnants sont : Maï-Thy et mariec929 !
Bravo à vous et merci à tous !

Un bébé et quelques TShirts plus tard…

Voilà maintenant 7 ans que je tiens ce blog, ce qui est loin de me rajeunir, mais ce qui me permet aujourd’hui d’affirmer une chose : au delà de certaines constatations peu glorieuses concernant l’évolution de la blogosphère, elle m’a permis, depuis toutes ces années, de découvrir, de m’enrichir et de m’apprendre beaucoup.

Un des gros bénéfices de tenir un blog depuis « si » longtemps, c’est les rencontres humaines et artistiques qu’il m’a permis de faire.

On se lisait de loin, on s’admirait du coin de l’œil, on est devenu « amis » virtuels, puis amis tout court. Ma vie de blogueuse a été ponctuée de ce genre de jolies histoires.

Parmi toutes ces histoires d’amitiés et de découvertes, d’admiration et de  rencontres, il y a eu Juliette.

Juliette Merris, je l’ai connu grâce au projet « 9 blogueurs racontent 9 mois« . Ensuite, naturellement, j’ai suivi son blog que j’ai beaucoup aimé.
Et puis nous nous sommes croisées à une soirée parisienne. Elle m’impressionnait beaucoup (les gens talentueux ont ce don de me faire perdre absolument tous mes moyens), mais comme elle était cool, en vrai, j’ai réussi à aligner deux mots.
J’ai réussi à ne pas être trop ridicule, je pense, vu qu’elle a continué à me parler par la suite.

Et j’ai suivi son parcours, tout comme je sais qu’elle a suivi le mien.

Elle a auto édité sa première BD « Je veux un bébé » qui a cartonné, ce qui n’est pas vraiment étonnant vu la qualité. Évidemment repérée par un éditeur, son livre est ressorti aux éditions Desinge & Hugo & cie sous le titre « je veux un bébé tout de suite« . Et le tome 2 est déjà en pré commande sur Amazon.

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La classe.

Méritée.

Et puis comme si ça ne suffisait pas, Juliette s’est embarquée dans l’aventure textile en proposant une jolie boutique de TShirts rigolos pour nos greffons : Josette La Chouette.

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Avec ses illustrations colorées et originales, elle donne dans le TShirt en coton bio qui a toutes les qualités à part celle d’être édité en taille 34 ans. Parce que oui, j’ai une passion pour le renard, une vieille anecdote qui ne fera rire que moi, n’empêche, le renard, c’est la vie.

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Clapiotte le kiffe, mais ne pourra le mettre que cet été, parce que bien évidemment, je l’ai pris un peu grand, boulet.

Je veux celui ci aussi :

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Et celui là (parce que punaise, c’est quand même la classe en grande section ce genre de truc)

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Bref, voilà, Josette La chouette est la nouvelle casquette (une de plus) de Juliette et je peux vous dire que vous avez intérêt à vous dépêcher, rapport que même moi (alors que bon, je suis Dieu quoi), j’ai dû essuyer les ruptures de stocks !
(et je dis ça comme ça, mais sur le blog de Marie, y’a un code réduc)

J’attends maintenant que Juliette devienne maitre du monde, je pourrai me vanter de la connaitre (ça peut servir de connaitre le maitre du monde, je crois bien)

Cachez ces cuisses que je ne saurais voir…

…Par de pareils objets mon âme est bien blessée, et cela fait venir de coupables pensées…

Du genre, sculpter tout ce qui dépasse à la hache et fignoler les détails à la serpette.

Je prends du bas, j’ai la hanche chevaline. Je n’y peux pas grand chose, c’est de famille, on est toutes petites et larges du bas. Bon, toutes les femmes de la famille ont aussi de gros seins. Sauf moi (soit je suis née avec des gènes rebelles, soit je suis punie pour avoir été très très vilaine dans une autre vie, je ne sais pas).
Mais là n’est pas la question.

Je suis plutôt quand même du genre bienveillante envers mon corps. Disons que je ne lui en veux plus de ne pas être comme je veux. EXACTEMENT comme je veux.
Je m’en sors de mieux en mieux avec le temps de ce côté-là. Mais je tente tout de même des choses parfois, parce que bon, dès que je me laisse aller, BIM, je rentre plus le cuissot dans le jeans (enfin, si, je le rentre. En forçant. Beaucoup).

Pour commencer, en général, j’arrête de manger. Enfin, j’arrête de manger des chips avec du ketchup et de la mayonnaise au goûter, quoi. Et puis je me remets au sport. J’essaie en tout cas, un peu chaque jour. Parfois, même, je me fais une petite séance d’entrainement sur un DVD. Pour moi, il n’y a pas mieux que le sport pour remettre le cuissot en place.
Mais j’ai été élevée dans le sport, aussi, ça aide.
Sauf que parfois, l’effort ne suffit pas, ne paye pas assez rapidement étant donné les dégâts, et on perd vite la motivation de départ.
Du coup, j’ai aussi essayé de faire en parallèle des choses plus ‘techniques’. Du genre des palper-rouler, celluM6 ou autre powerplate.
Ces machines sont relativement efficaces pour cibler des zones un peu compliquées à attaquer, et c’est très motivant pour continuer les efforts.

Sur ce constat, les centres Osoya, spécialisés dans la minceur ont créé de vrais parcours afin de cibler au mieux le besoin des hommes et des femmes pour les aider à sculpter leur corps.
Les résultats sont visibles dès la première séance.
La séance, justement, se compose d’un parcours de 4 machines alliant le froid, la vibration, le mouvement et la couleur. Ces 4 technologies spécifiques sont alliées à la stimulation musculaire et/ou au massage prodigués par une praticienne. Elles sont sans douleur (youhou) et la perte de centimètre est visible dès la première séance.
Pour couronner le tout, Osoya a mis en place des parcours spécifiques adaptés aux jeunes mamans… Ne me mentez pas, je sais qu’on en a toutes rêvé, de perdre cette bouée plus vite !

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Impression

Pour l’instant, ce genre de centre ne se trouve qu’à Paris (gnagnagna, le centre du monde), mais étant donné le succès, on peut espérer en voir fleurir en province bientôt (j’espère) (si vous pouvez commencer par Lyon…). Je risque d’être la première devant la porte si ça se fait… Parce que bon, oui, le sport, ok, mais le coup de pouce ultra motivant qui va cibler direct l’espèce de boulette de graisse (je suis glamour, je sais) qui me pousse au niveau des fesses et qui refuse de disparaitre même avec tous les efforts du monde… je dis OUI !

En attendant, si vous avez des idées pour mes boulettes je prends !

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J’y crois encore…

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

De vivre ma vie j’ai arrêté

Hier, je suis tombée sur un article de Elle.fr intitulé « Un jour j’ai quitté mes enfants« .
Je l’ai lu.
Et ça m’a sauté au visage.

Bien que j’en sois aujourd’hui bien consciente, longtemps j’ai été Laurence.

Celle qui s’est enfermée dans son rôle de mère et d’épouse, qui marche droit, qui gère, qui court, qui soigne, qui sait, qui explique, qui raconte, qui nourrit, qui se fait jolie, qui tente de perdre du poids, qui encaisse, qui ne dort plus vraiment bien, qui s’excuse, qui organise, qui doit être heureuse, qui a ce bel appartement, qui n’a pas à se plaindre, qui a tellement de chance.

J’étais celle qui n’avait jamais été seule pendant 8 ans.

Les enfants : je gère. Et s’ils ne sont pas là, je m’occupe de mon mari. Parce que c’est important de s’occuper de son couple.
Mais seule, face à moi-même jamais.

Parce que pas le temps, et puis les enfants ? Qui s’occuperait des enfants ? Le laisser gérer alors qu’il travaille, ce serait tellement égoïste.
Parce que pas le cran de dire que j’avais besoin de temps. Ça ne se fait pas. Je suis mère, j’assume. C’est mon rôle. C’est moi.

Et un jour, on m’a proposé, grâce au blog, de partir 3 jours inaugurer un village vacances en Turquie.
C’était comme à Noël, un peu, ce coup de téléphone.
Mais j’ai décliné. C’était compliqué, de partir 3 jours. Les enfants, mon mari… Je n’allais pas pouvoir.

En raccrochant, j’avais l’impression que Ringo avait installé sa batterie dans mon estomac.

J’ai rappelé et je me suis entendue dire « pardon, c’est ridicule, évidemment que je viens ».

Il a fallu l’annoncer. 3 jours, c’était long. 3 jours, c’était compliqué. 3 jours, dans ce cadre, c’était l’assurance de voir poindre la petite jalousie d’un côté, la culpabilité de l’autre.

L’organisation a été simple. Parce que 3 jours, ce n’était pas long. Ce n’était pas compliqué.

Le temps du voyage, je me sentais mal.
Au premier café en arrivant, je me suis dit que ça irait.
Pendant 3 jours, 2 nuits, j’ai été seule. J’ai rencontré des gens, j’ai pris le temps de douches bien trop longues pour me vanter un jour d’être écolo. J’ai fait un peu de sport. J’ai mangé assise, sans me lever. Je n’ai pas laissé ma part parce que « c’était trop bon, je peux en avoir encore ? »
J’ai plongé dans une piscine où je n’avais pas pieds, je me suis allongée au soleil avec des écouteurs dans les oreilles, des lunettes noires et j’ai fermé les yeux. Longtemps. Le temps que je voulais.
Et puis j’ai dansé.

Et puis j’ai ri.

De bon cœur.

J’ai ri parce que je n’avais pas le poids de ma vie à porter. Et en m’en rendant compte j’ai compris que j’avais arrêté de vivre ma vie en vivant celle dont on m’avait flanqué l’étiquette depuis longtemps.

J’étais la maman de, la femme de. Mais plus moi.

J’ai été illuminée de découvrir que je m’étais contentée de me perdre et j’ai décidé que c’était désormais terminé.

En rentrant, tout le monde, sans exception, m’a dit que « j’avais changé ».

Certains pensaient que j’avais vécu une passion soudaine, d’autres me disaient simplement que j’étais rayonnante.

La vérité c’est que j’étais de nouveau moi. La fille un peu fofolle, qui aime parler, rire, qui aime les gens, qui aime danser et qui aime vivre.
La fille qui avait enfin compris qu’elle pouvait encore être elle tout en étant mère.
C’était tellement simple que j’avais un peu honte de l’avoir oublié… ou de ne l’avoir jamais su.
J’étais légère.

Ne pas s’oublier et se retrouver.

Être heureuse en ENTIER.

Sortir de mon carcan imposé et redevenir moi a été facile de mon côté. Moins de l’autre. C’est devenu compliqué parce que c’était trop tard, parce que j’avais été trop longue à me rendre compte que je m’étais perdue, trop longue à définir mes limites. Les chemins étaient trop différents.

Mais ce n’est jamais trop tard pour tout le monde alors si je dois donner un seul conseil, une fois sur ce blog, c’est que ce n’est pas de l’égoïsme que de s’octroyer du temps, ce n’est pas être mauvaise mère ou mauvaise épouse que d’avoir besoin de se retrouver.

C’est vital.

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Une question de lait…

Parmi les grands soucis du parent, l’alimentation de l’enfant se place plutôt en bonne position. Surtout quand il est tout petit, avouons le, parce que bon, on jongle un peu entre les tétées et les biberons, on ne sait pas trop s’il a mangé assez ou trop, pourquoi il rote, pourquoi il rote pas, pourquoi il pleure et pourquoi il a un pet coincé.
Du coup, on note frénétiquement CHAQUE repas sur un petit carnet dédié. Ça ne répond pas à nos questions, mais au moins, on a l’impression de faire quelque chose.

Ce souci là s’associe à tous les coups avec le souci de la justification de son choix d’allaitement.
Mais je ne vais pas parler de ça aujourd’hui. On SAIT que le meilleur moyen de nourrir son petit moineau, c’est de lui donner le sein. Très bien.
On sait. Merci.

Mais quand on ne peut pas ou quand, comme moi, on ne le sent pas, le biberon est une solution de repli tout de même bien confortable.

Pour tout vous dire, je suis quand même vachement contente d’être sortie de cette période.
Aujourd’hui, on en est à compter le nombre de petits pois que Clapiotte a décidé d’avaler en un repas. C’est tout aussi barbant mais au moins, on peut varier avec des bouts de carottes ou des frites (je vous le donne en mille, les frites gagnent. Clapiotte est loin d’être une enfant originale en terme de choix gustatifs).
Dans mon groupe d’amis, je suis la première à avoir eu des enfants. Du coup, ils pensent que je suis un peu la référence en matière d’à peu près tout quand ils se trouvent embêtés avec des questions concernant leur greffon tout neuf.
Je n’ai pas la science infuse en matière d’enfant, mais j’ai l’expérience (un peu, pour preuve, mes enfants, jusque là, vont bien) et surtout, je suis la reine de l’anti culpabilité.

Et quand une copine m’appelle en pleur parce qu’elle n’en peut plus, qu’elle a tout essayé niveau allaitement maternel mais que ses seins sont en sang, qu’elle pleure à chaque tétée et qu’elle a fini par donné des biberons mais pleure encore plus d’avoir ‘rater’ ça… Bah je me transforme direct en grand câlin (je regarde trop la Reine des Neiges, je me prends pour Olaf) :

‘Alors, déjà, hein, tu n’as rien raté, tu as essayé, c’était pas ton truc, point. On a la chance d’avoir le choix, on a la chance d’accéder aujourd’hui à des produits de qualité en terme de laits infantiles, on a la chance de pouvoir s’adapter… Ca VA aller, hein.’
Mon discours est absolument rodé. Je rajoute qu’il y a AUSSI des avantages à donner le biberon (genre, le papa se lèvera la nuit, tu peux le laisser à ta mère pendant 2 jours, ton mec peut te toucher les seins sans recevoir une giclée dans les narines tout ça…).

Je le sais tout ça, parce que j’ai connu la galère. Pas de seins trop douloureux, mais de cet allaitement au biberon. Parce qu’il y a 10 ans, j’avais le choix entre 10 laits qui, globalement, étaient tous les mêmes. Si je voulais un lait plus épais, il ne m’en restait que deux dont un (celui qui passait le mieux pour N°1) que je devais commander en pharmacie uniquement (et qui coutait un bras et demi). J’ai du agrandir les trous des tétines de bib parce que ça ne passait pas aussi. J’ai galéré, oui.

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Mais aujourd’hui, punaise, quand je vois les possibilités données (oui, parce que quand tu es blogueuse maman – famille, tu reçois dans ta boite mail TOUT ce qui existe pour les minots d’aujourd’hui, du coup, tu es au courant de tout, façon encyclopédie de puericulture), je me dis que 1/ les nouveaux parents ont bien de la chance, 2/ mes copines en pleine crise de culpabilité devraient pouvoir commencer à se relaxer un peu.

Dans le lot de toutes les possibilités s’offrant aux parents ayant choisi le biberon, Danone et sa gamme Aptamil de laits standards se pose là en terme de choix et de qualité. Fort de 30 ans de recherche sur les formules de ses laits maternisés, et s’engage à respecter les standards de qualité les plus stricts, sans aucun compromis.
Sa gamme de laits maternisés passe des standards aux plus évolués (anti-reflux, digestion, allergie etc…), de quoi s’adapter parfaitement à notre petit greffon tout neuf et peut être enfin le soulager au niveau de l’estomac (tu sais de quoi je parle quand tu as connu les reflux)

Aptamil crée aujourd’hui Aptaclub, une plateforme en ligne où s’informer sur l’alimentation ou la grossesse grâce à la mise en relation avec des conseillères qui répondront gratuitement et personnellement à toutes vos questions grossesse/alimentation qui n’auront pas trouvées de réponses sur le site.

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Moi qui me plaignais à l’époque de ne pas trouver assez de conseil, je tiens à vous dire, les copines, que CA VA HEIN, vous êtes vernies !

Mais bon, je serai toujours là pour les gros câlins. Promis.

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Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

Clapiotte blogueuse mode pour Catimini

Le printemps arrive, le printemps arriiiive ! T’as vu comme le moral va mieux quand on arrête subitement de porter des doudounes encombrantes ? T’as vu comme tout à coup, l’humeur est meilleure et qu’on lorgne sur les terrasses au soleil pour le café ? Je suis sûre que oui.

Et comme chaque année, à cette même période, alors que le pollen recommence peu à peu à nous piquer le nez, nous nous prenons des envies de robes légères, de bras nus et de lunettes de soleil, tout ça en couleur, pour bien signifier qu’on est PRET, définitivement, pour les beaux jours.

Je n’y échappe jamais. Et je lorgne sur les nouvelles collections estivales comme si ma vie dépendait de toutes ces couleurs et tissus légers. Ca doit avoir un nom comme maladie… genre la Printanite ou quelque chose dans le genre.
Bon, sauf que depuis quelques années, maintenant, je lorgne beaucoup plus sur les collections enfants, certes.

J’ai eu récemment le joie de découvrir la collection Catimini de ce printemps/été.
Catimini, c’est un peu LA marque absolue quand je cherche de la couleur et de l’originalité pour les enfants. J’essaie chaque année d’avoir une pièce de leur collection dans le placard de Clapiotte, et j’aime autant vous dire que je la rentabilise à fond, parce que leurs imprimés, leur couleurs, leurs coupes… c’est juste ce qu’il me faut pour titiller ma bonne humeur. Et comme Clapiotte est une sorte de VRAIE fille, en plus, elle n’est jamais contre.

Cette année, donc, une fois de plus, chez Catimini, ils y sont allés fort avec leurs dizaines de modèles de robes. J’ai craqué pour un modèle qui paraitra simple par rapport à ce que je peux prendre les autres années, mais j’ai follement envie de jaune, et Clapiotte voue une passion sans borne en ce moment aux ‘couleurs du feu’ à savoir, donc, les jaunes, rouges et oranges.

‘Parce que j’adoooore le feu’ qu’elle dit.

Modeuse-pyromane, ce concept trop ignoré.

Pour vous donner une idée, et parce que quand même on s’amuse bien avec Clapiotte à jouer aux blogueuses mode, voilà à quoi ça ressemblera, notre été :

Catimini robe clapiotte

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catimini clapiotte printemps de la robe

catimini détails

Les blogueuses mode peuvent se rhabiller, franchement, Clapiotte, je la trouve vachement plus marrante (et elle prend ça avec beaucoup de sérieux, le pire)

Et sinon, j’aurai bien choisi celle-ci aussi, parce que plus ils grandissent, moins ils ont tendance à accepter les gros motifs de ce genre, alors que, franchement, c’est trop choupi :

robe catimini printemps

Mais avouez que la robe que j’ai choisi, c’est la plus belle, à peu près, et l’enlever parce que quand même faut pas trop déconner, il caille encore beaucoup trop pour sortir les jambes à l’air, a été un vrai déchirement.

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Et par chez vous ? L’été sera de quelle couleur ?

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Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

Je me prends pour la Cordula de la déco

Voilà 15 jours que j’ai déménagé (oui, ENCORE), et avant de raconter le périple en lui-même, qui vaut largement un billet (mais j’ai pas eu le temps, j’avais cartons), il faut que je te dise un truc.

Un truc HYPER important.

Une question plutôt…

Y a-t-il des gens qui s’installent ensemble qui, dans un élan d’amour inconditionnel, arrivent à s’entendre sur l’organisation de la maison et de sa déco ?

Non parce que voilà, quand on vit chacun de son côté, c’est un peu facile de faire ce qu’on veut.

« Oh que c’est joli ce petit vase à pois »
« Oh que ce plaid ira bien sur mon canapé » (à côté des 14 autres de ses frères)
« Oh mais cette affiche sera du plus bel effet dans ma salle de bain »

Pire, comme j’ai eu « la chance » (appelons ça comme ça) de devoir repartir de zéro, j’ai pu chiner à loisir et chercher les meubles parfaits pour me fabriquer mon nouveau nid douillet, cosy et autrement plus « moi ».

Forcément, seul-e, cette phase là, c’est fingers in the nose.

Et puis, parce que tu es franchement pas échaudée et d’un naturel aventurier, tu recommences ta vie.

Nouvel appartement dans lequel chacun ramène ses propres affaires.

Dans lequel chacun ramène aussi ses idées très personnelles en terme de déco d’intérieure.

Et là c’est le drame.

« Non mais je ne vois pas quel est le problème avec MA table hein »
« Mon chériiiii, nan mais là c’est pas possible, tu peux pas mélanger de l’art déco avec du contemporain-design, ta table est un A tu vois. Et mon canapé un H. On va garder la mienne de table, ça sera ma-gni-faïque »
« Bon, ok, on garde la tienne, mais mon carton de déco, là, je veux TOUT »
Tu penses très fort à rajouter « dans le garage ? » mais tu sais que tu dois faire des concessions TOI AUSSI (même si ça te fait mal de savoir qu’à un moment donné, il va falloir trouver une place pour ce… ce… euh… lion en porcelaine du Bengladesh. Vert-moche-et-poussiereux)

Alors on commence à se regarder en chien de faïence, tentant par de vils attaques de fourbes de caser nos propres meubles ou déco.

C’est pas de ma faute si j’ai plus de goûts hein.

Et puis, bon, on finit par faire un gros carton (chic, un de plus) contenant les « droits de veto » de chacun, dans l’attente d’un jugement définitif quant à leur sort.

Et comme on est pas totalement obtu (hum), on décrète qu’il serait une bonne idée, dans cet appartement commun, d’avoir des objets en communs, finalement.

Et on se met à chercher, à fouiner, à tenter de trouver ce qui plaira à tout le monde, et ce, sans dépenser le PIB du Burundi, rapport que la période post-déménagement est loin d’être une période faste en général.

C’est là que tu (re)découvres les joies de la seconde main en général. Mais c’est là aussi où tu t’aperçois qu’il existe des sites qui te sauve un aménagement.

C’est le cas de Westwing qui propose des ventes privées uniquement basées sur la décoration d’intérieure.
On connait tous les sites de ventes privées. il en existe aujourd’hui des dizaines où on trouve du soutif dégriffé au voyage aux Maldives, mais très souvent, peu de ventes déco. En tout cas, moins que là.

J’ai fait mon shopping tranquillou sur mon canapé, captures d’écran à l’appui pour faire valider (oui, sinon, ça comptait pas).

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Je suis actuellement monomaniaque de l’atmosphère « factory » et des meubles et décos en métal, oui.

J’ai cliqué de vente en vente, remplissant frénétiquement mon panier de choses dont on avait besoin (et d’autres moins) : un bureau, une table d’appoint, une vieille boite aux lettres jaune (mais si, je trouverai une utilité à ça).

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Au final, un panier bien rempli de petites, moyennes ou plus grosses choses.

En cliquant sur « valider », j’avais très peur de deux choses, surtout. La première, c’était que je ne pourrais pas valider un panier contenant des produits de ventes différentes, ce qui est (trop) souvent le cas. Et bien si, ça, on peut le faire. Et c’est chouette.
La deuxième, c’était que j’allais devoir payé l’équivalent de mon panier en frais de port.

Et bien… non. Un petit supplément de 9 euros pour le bureau, et un total de frais de port de 14,90 euros. Pour 9 articles plus ou moins volumineux, je n’ai rien à redire.

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50 euros le bureau contemporain ET aéré qui accueillera les 350 ordinateurs d’un geek en chaleur
(c’était pour la rime)
(sans compter tous les câbles réseaux qui vont avec. Parce que « on sait jamais »)
(D’où le style « épuré » du bureau, je me disais que ça allait être un chouille de trop le style Louis XV)

Les délais de livraison vont de 15 jours à 1 mois maximum (dans le cas de mes achats en tout cas), ce qui reste dans la norme pour ce genre de site.

Je suis donc ravie. Lui aussi. J’ai hâte. Et en attendant, la tension est redescendue et le vilain lion est toujours dans son carton, je n’ai même pas eu l’idée de le casser malencontreusement… OH WAIT !

 

(billet en partenariat avec le site)

Cranemou en voyage chapitre final : Miss Camping en Nouvelle Zélande

Oui je sais vous êtes si tristes, voilà déjà la fin de ces vacances fabuleuses… Je m’octroie le droit tout de même de faire quelques billets bonus concernant le voyage en lui même, parce que tout de même, ça constitue 75h de ma vie.

Mais revenons en où nous en étions, tu te rappelles ? Oui, c’est ça, après le mariage.

Nous étions environ beaucoup, en tout, à quitter Auckland, en sachant que personne n’avait, par la suite, pris les mêmes dates de vol retour histoire que niveau organisation, ce soit BIEN le bordel.

Une seule chose était sûre le jour du départ, nous allions nous retrouvés le soir au camping de Waihi Beach, sur la côté est au sud d’Auckland, dans l’île du Nord (fais un effort en géolocalisation bon sang !)

Voyageant solo et ne conduisant pas depuis bien trop longtemps, j’avais mis de côté l’idée de louer une voiture de moi-même, même si la tentation de voyager cheveux au vent sur les longues et sinueuses routes kiwi était grande, le fait de de découvrir qu’on roulait à gauche avait relégué ma motivation au niveau moins douze (mourir au milieu de moutons dans la pampa du bout du monde ne faisant pas, pour le moment, partie de mes projets).

J’étais donc de la catégorie des squatteurs de voiture, et c’est tout naturellement que je me suis incrustée dans celle de ceux ayant partagé ma chambre et mes nuits jusque là.

Et puis, bon, ils étaient cool (non pas qu’il y avait de gros relous dans les autres voitures hein)(NON je n’ai pas dit ça), et ils souhaitaient s’arrêter dans des « spots » qui m’intéressaient aussi beaucoup sur le chemin (ils avaient un guide et étaient organisés EUX). D’ailleurs, au camping, nous allions une fois de plus partager notre gîte. En même temps, après 4 jours à se succéder dans une salle de bain avec toilettes, on avait vite rompu le charme de la colocation idéale en se raillant les uns les autres sur la teneur en souffre de nos émanations sphincteriennes. Ça soude un groupe ces histoires de caca en espace restreint (note pour plus tard : rédiger une thèse sur la corrélation caca/amitié).

Il faut savoir que même à bord de ta voiture, déjà, les paysages sont dingues.  (non, j’ai pas fait de transition entre les WC et les paysages, je me suis dit que ça valait pas le coup)

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Genre…

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Ou genre…

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Les arbres crânent à fond là-bas un peu…

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Voilà voilà… Un bord de route comme un autre…

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Et puis quand même tu ne peux pas t’empêcher de gâcher un peu le paysage en mangeant des trucs étranges et tendancieux…
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Pendant que les mouettes t’encerclent pour justement le bouffer, ton truc étrange (et éventuellement toi, au passage)

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Et peut être qu’à la fin, ton truc étrange, tu le vomis….

Bref, notre but était quand même de découvrir la côte, nous avions donc pris directement le chemin nous amenant à Cathedral Cove.
N’ayant absolument pas potassé mon voyage, je ne savais pas trop où j’allais. En descendant de la voiture, j’ai juste fait « Hannnn » en voyant la vue. Et puis « arf » en constatant qu’il allait (encore) falloir marcher. Mais BORDEL que ça valait le coup, cet endroit est magique, on y est resté un bon moment, histoire de faire la roue, de prendre le soleil, de tenter LA photo sans personne dessus (Challenge !).

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TADAAAAM !
(ouais, bon, la mienne était moins jolie, j’ai volé celle du fameux Guillaume)
(C’est CANON hein ?)

Et il était temps de repartir, rapport qu’on voulait voir aussi la très fameuse plage des Hot Water Beach. Une plage qui offre, à marée basse, l’occasion de découvrir que parfois, la géologie donne des choses magiques, comme de pouvoir creuser un trou sur la plage, le laisser se remplir d’eau qui peut monter jusqu’à 60 degrés et s’en faire une piscine naturelle.
Évidemment, quand tu regardes pas les horaires des marées avant, tu l’as un peu dans le fondement, ta piscine, mais ça ne t’empêche pas de te balader avec ta pelle et ta bonne humeur et de juste laisser tes pieds s’enfoncer dans le sable, l’eau aux genoux (enfin, quand tu fais ma taille, l’eau au short un peu quand même) et de te cramer les orteils tout en étant content quand même « wahouuu, la géothermie naturelle c’est vraiment géniale » (ouais, t’es un peu devenu débile depuis que tu es arrivé dans ce pays de Bisounours, tu kiffes les brulures au 2nd degré, c’est comme ça).

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Ils étaient là, OUI !

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C’était sûrement pour changer de la roue, au niveau de la pose…

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Il était tout de même plus de 22h quand nous sommes repartis vers le camping (pile l’heure de la marée basse, on est des bons ou on ne l’est pas)

J’ai de nouveau partagé ma chambre avec Guillaume, mais en lits séparés, cette fois, sinon ça risquait de mal finir.

Nous sommes partis le lendemain pour une rando qui s’annonçait sympathique, à tout plein.
C’était sans compter que de cette rando, nous avons à peu près TOUT raté.
Des jolies chutes d’eau aux grottes de vers luisants. On a juste… marché. On est DES VRAIS, y’a pas à dire. Ceci dit, on est rentré avec des ampoules et un bronzage-camioneur du plus bel effet, on avait pas tout loupé. Même le geyser était moisi. Déception. (Mais on a bien ri quand même)

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Oh ! Un pont quoi !

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Des caillouuuuux. Des caillouuuuux !

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Le geyser-éjaculateur de la loose

Une soirée de plus, un peu sur les rotules, nous décidâmes (ouais, parfois, je conjugue mes verbes) que le lendemain serait une journée « à la cool ». Ça tombait bien, c’était ma dernière vraie journée, et l’idée de faire plage-bronzing (rapport qu’il fallait quand même atténuer la marque du marcel) m’allait très bien.

Par « à la cool », en fait, mes potes avaient entrepris d’aller faire du surf.
DU SURF… HAHAHA !
Alors moi, vois-tu, l’eau, c’est pas mon élément fétiche. Limite je préfère me jeter dans un feu à la place, je trouve ça moins angoissant.
Sur place, tout le monde, même les plus réticents, décide de se jeter à l’eau et enfile des combi-néoprène que même Miss France, dedans, c’est un boudin. Donc, moi, c’était pire. On aurait dit que j’avais volé les jambes de Mimi Mathy et le cul de Kim Kardashian. J’ai d’ailleurs cru que JAMAIS je ne pourrais en ressortir, flippant un peu des 24h de vol qui m’attendaient le lendemain, saucissonnée comme un jambon dans du cellophane (au final et avec de l’aide, j’ai pu retirer la combi, hein… Avec le maillot en même temps, certes, mais mes amis ne sont plus à ça près maintenant).

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Bon, donc, j’ai réussi à faire du surf. Sur des vagues de 10cm, peut être, mais c’était vraiment vraiment super chouette comme sensation. Même si la planche était mille fois trop grande pour moi et que le prof nous disait qu’il fallait la porter en la penchant en avant pour avoir l’air « cool ».
J’ai décrété que l’air cool, c’était hyper has been, et que je préférais avoir l’air con, en portant ma planche comme je pouvais, c’est à dire en la faisant trainer par terre et en maudissant les 4cm de bras qui me manquaient.

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A la base, j’étais fière hein. Et puis les greffons ont vu cette photo… Et ont explosé de rire.

On a fini la journée sur la plage, en se congratulant d’être aussi sportifs (et en buvant de la bière, pour compenser)

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Et en faisant de la balaçoire pour faire de belles photos en faisant comme si le pneu ne nous sciait pas les fesses

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La maison bleue, c’ets la maison du prof de surf.
Il a 19 ans.
Voilà voilà.

Le lendemain, Vu que je ne pouvais plus lever les bras, rapport aux courbatures du surf, les potes décidaient de grimper un ancien volcan, histoire de me finir AUSSI au niveau de la partie inférieure de mon corps.
Mais c’était joli aussi.
Ca devenait presque lassant ces payages de folie.

Nan je déconne.

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C’est pas moi hein… mais je la trouvais jolie celle-ci.

 

On partait ensuite tous vers Rotorua, la ville qui embaume le souffre. Je n’ai malheureusement pas pu y faire grand chose, il fallait que je sois à mon bus me ramenant à Auckland pour prendre mon avion le lendemain matin…

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C’est joli mais ça pue.

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C’est joli mais ça pue toujours oui…

Il en était fini de mes vacances de rêves, de cette parenthèse incroyable, magique et quand même bien fatigante.

J’ai versé ma larme en quittant mes amis.

En espérant qu’ils profitent pour moi.

En espérant que ce ne serait pas la dernière fois.

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(ouais, ma valise Calibag claque, je sais, faut que je vous parle de ça aussi !)