Ce week-end, j’avais rendez-vous.
Le jour était stabilloté de rose depuis plus de 6 mois déjà, les billets de train précieusement conservés.
Une fois de plus, je montais à la capitale. Mais cette fois, pour y rencontrer la réalité.
J’ai enfin pu entendre leurs voix, voir leurs sourires, discuter sans reprendre notre souffle, écouter en buvant leurs paroles, essayer de ne pas en perdre une miette.
Trinquer.
J’ai trouvé ça simple, juste et naturel (et trop rapide).
J’étais hors du temps, dans une bulle virtuelle dont les limites s’estompaient doucement pour y découvrir leurs réalités.
J’ai rencontré des amies.
Sans m’en rendre compte, nos échanges dans « nos » espaces virtuels ou par messages nous avaient rapprochées, au point qu’une amitié renforcée de confiance et de respect s’était dessinée.
La réalité n’a rien gâché, juste renforcé mon sentiment.
Et me voilà de retour.
Et je me rappelle (enfin) que la démarche d’un blog est avant tout celle-ci: échanger. Ca m’a fait du bien de m’en souvenir, surtout en ce moment.
Le petit cadeau bonus étant de trouver de nouvelles affinités et de les entretenir au point de les rendre réelles.
A vous, alors, je vous dis MERCI… pour tout ça.
Et aux autres, je vous dis « à bientôt, en vrai, j’espère.
Un week-end comme celui là se devait d’être fêté dignement
HIPS
Pour les « non blogueuses » qui viennent me rendre visite, il y avait aussi des lectrices parmi nous, car les échanges se créent AUSSI dans les commentaires que vous laissez sur les blogs de chacune!
C’était un peu personnel, comme message, mais j’avais envi d’écrire « à chaud ».
Merci encore à notre hôte de la journée, celle de la nuit, la cuisiniere qui nous fout des complexes, les buveuses de Mojitos, celle qui aurait voulu boire des mojitos, celles de Zizi Coincoin, la plus belle, l’interpréte, la dingue, la plus rose, celle qui devrait se bouger pour se faire éditer, la maicresse, la trop jeune qui fout les boules, l’amie et la blonde
Et une grosse pensée pour les absentes aussi qui nous ont manqué, vraiment, trop loin, trop de travail ou trop enceinte… on compte sur vous la prochaine fois!