En temps normal, j’ai tendance à me plaindre au moins les 4 premiers jours de vacances. Question de principe, en voyant les deux loooongs mois qui m’attendent avec les enfants, je suis fatiguée d’avance. Surtout du mois de juillet à vrai dire, où nous ne partons quasiment jamais. Et 4 semaines à Lyon sous 30°35 degrés, ça donne vite des envies de partir vivre en Finlande. Exception donc cette année, où j’entame les premiers jours de vacances… au Club Med Djerba, dans le cadre, toujours, du partenariat que j’entretiens avec eux depuis plus d’un an maintenant.
Ce voyage tombe à pic, au moment où les nerfs allaient lâcher-sauf-que-non-y’a-les-enfants-à-gérer.
Nous sommes arrivés hier sous un soleil de plomb et une mer bleue à te demander si finalement, tu aimes tant ton pays que ça.
Je suis donc en Tunisie pour cette semaine et reviendrai mourir de chaud dimanche prochain. Le plus tard possible. Je goûte le bonheur de mettre mes enfants au mini-club sans une seconde de culpabilité, je bois des mojitos sans me demander l’heure qu’il est, je tente de tester la rapidité des maitres nageurs en feignant de me noyer à marée basse, je tombe des transats (deux fois, oui, oui), je demande où sont les toilettes quand je suis devant, je check les mains de tous les GO que je croise, je joue à Robin des Bois au stand de tir à l’arc et je vais même me laisser tenter par une sieste. Tout ce que je veux. A l’heure que je veux. Et comme je veux.
Je crois que j’ai trouvé le moyen de décompresser. C’est de m’amuser.
Le seul problème qui m’enquiquine vraiment, c’est que je n’ai pas de wifi. Et que je vais avoir de sacrées marques de maillot.
Mais sinon, ça va.
On vous souhaite une belle semaine à vous aussi, et j’aurai bien aimé que vous soyez tous là.
(sinon, cette semaine, je vous laisse avec des petits cadeaux histoire de me faire pardonner de ce billet hautement irritant, je vous l’accorde) (pardon)