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Djerba la Douce, ou le Club m’aide.

J’ai attendu un peu avant d’en reparler, parce que j’ai été assez puante sur les réseaux sociaux pendant ma semaine passée au Club Med de Djerba La Douce. Faut bien dire qu’après deux jours d’adaptation (parce que je suis difficile à détendre après une année comme celle qui vient de s’écouler), j’ai bien pris goût aux plages, transats et farniente saupoudrés de mojitos et de rencontres sympathiques et détendues en bord de piscine.

Oui. Bah oui, du coup, sans les enfants dans les pattes, il faut bien dire une chose: on a la détente plus facile.

Les enfants ? Ah. Eux… bah au Mini Club. Oui Oh Hé ça va bien hein. Pas comme si j’étais leur G.O toute l’année, donc là, quand plein de GO souriants et ultra motivés me proposent gentiment de me les garder TOUTE la journée pendant que je ne ferai rien je dis oui. Et je fais la roue. (véridique).

De toute façon, vu qu’ils ne voulaient pas revenir avec moi à la fin de la journée mais préféraient plutôt jouer avec leurs nouveaux potes, la culpabilité fût éphémère. Genre 6 secondes.

djerba la douce

Ca vaut un petit Classe pas Classe, non ?

Classe: Hésiter entre couscous, tajine ou riz djerbien.
Pas classe: Prendre les 3. Deux fois.

Classe: hésiter entre piscine et plage.
Pas Classe: choisir de se vautrer sur une chaise à la terrasse du bar pour réfléchir. Vie difficile.

Classe: rencontrer des tas de gens.
Pas classe: en trouver encore une poignée qui arrivent à se plaindre.

Classe: Dégommer une balle de Tennis au tir à l’arc (Call me Robin)
Pas classe: au bout de deux heures (Call me Patience)

Classe: faire  du kayak.
Pas classe: Le GO qui vient me chercher au large, mort de rire, parce que si je n’arrivais pas à avancer, c’est parce que j’étais à l’envers.

Classe: les montagnes de mojitos
Pas classe: tous les soirs (hips)

mojitos

Classe: Les enfants qui deviennent autonomes à vue d’œil
Pas Classe: savoir que ça ne durera pas

djerba la douce

Classe: se coucher à point d’heure après la fête
Pas classe: se lever tôt pour les enfants.

Classe: se vautrer dans un transat et réussir enfin à dire « je m’en FOUS je fais une sieste »
Pas classe: le chat freaky-sauvage qui me regarde dormir en me miaulant dessus jusqu’à ce que je hurle de peur.

Classe: les jus de fruits frais au petit déjeuner
Pas classe: euh….

Classe: Oh allez, je vais prendre un dernier mojito
Pas classe: dire ça quand on en a déjà avalé 14.

Classe: Savoir encore faire la roue.
Pas classe: sur le dancefloor.

djerba la douce

Classe: avoir le chef du village qui m’offre sa poche droite de veste pour y mettre mes trois affaires, rapport que j’étais en robe.
Pas classe: me retrouver à fouiller dans la veste d’un inconnu en croyant que c’était le chef du village, donc.

Classe: j’étais en robe, oui.
Pas classe: et pieds nus, j’avais oublié mes chaussures dans la chambre. (ne me jugez PAS)

Classe: une semaine, c’est vraiment bien.
Pas classe: mais c’est vraiment court.

djerba

Classe: MERCI à tous les GO, mention spéciale pour tous ceux et celles avec qui la bonne humeur en soirée était de mise.
Pas classe: ne pas savoir quand on se reverra.

Classe: les enfants qui crient « Djerba, Djerba, Djerba » dans l’avion, dans le train, dans le tram, dans la rue, dans la maison.
Pas Classe: les yeux de chatpotté qui me supplient de les ramener. Demain.

Classe: avoir écrit sur le site Happy LIfe du Club Med pour la peine
Pas Classe: ne pas avoir fait encore « Belek« , du coup.

Classe: décider de faire un Photobooth « One day One Mojito »
Pas classe: Le faire.

One Day One Mojito

one day one mojito 2

Bref. J’ai décompressé. Et c’est BON !

Absence momentanée, vous pouvez me joindre au Club Med Djerba pour les messages (quoi ?)

En temps normal, j’ai tendance à me plaindre au moins les 4 premiers jours de vacances. Question de principe, en voyant les deux loooongs mois qui m’attendent avec les enfants, je suis fatiguée d’avance. Surtout du mois de juillet à vrai dire, où nous ne partons quasiment jamais. Et 4 semaines à Lyon sous 30°35 degrés, ça donne vite des envies de partir vivre en Finlande. Exception donc cette année, où j’entame les premiers jours de vacances… au Club Med Djerba, dans le cadre, toujours, du partenariat que j’entretiens avec eux depuis plus d’un an maintenant.

Ce voyage tombe à pic, au moment où les nerfs allaient lâcher-sauf-que-non-y’a-les-enfants-à-gérer.

 

Nous sommes arrivés hier sous un soleil de plomb et une mer bleue à te demander si finalement, tu aimes tant ton pays que ça.

Je suis donc en Tunisie pour cette semaine et reviendrai mourir de chaud dimanche prochain. Le plus tard possible. Je goûte le bonheur de mettre mes enfants au mini-club sans une seconde de culpabilité, je bois des mojitos sans me demander l’heure qu’il est, je tente de tester la rapidité des maitres nageurs en feignant de me noyer à marée basse, je tombe des transats (deux fois, oui, oui), je demande où sont les toilettes quand je suis devant, je check les mains de tous les GO que je croise, je joue à Robin des Bois au stand de tir à l’arc et je vais même me laisser tenter par une sieste. Tout ce que je veux. A l’heure que je veux. Et comme je veux.

club med Djerba la douce

Je crois que j’ai trouvé le moyen de décompresser. C’est de m’amuser.

Le seul problème qui m’enquiquine vraiment, c’est que je n’ai pas de wifi. Et que je vais avoir de sacrées marques de maillot.

Mais sinon, ça va.

On vous souhaite une belle semaine à vous aussi, et j’aurai bien aimé que vous soyez tous là.

(sinon, cette semaine, je vous laisse avec des petits cadeaux histoire de me faire pardonner de ce billet hautement irritant, je vous l’accorde) (pardon)

 

club med Djerba la douce

Classe/ Pas Classe au Club Med Belek en Turquie

Si vous me suivez sur Twitter, Facebook ou Instagram, vous avez dû constater récemment que je n’étais pas vraiment dans un appartement lyonnais ces derniers jours. La preuve en est le blog laissé à l’abandon depuis une semaine d’ailleurs. Oui. Non. J’étais partie dans la région d’Antalya en Turquie. Au Club Med de Belek pour être bien précise (et pour me la jouer un peu, aussi).

Très bientot, je vous ferai un beau débrief du pourquoi c’est super cool pour les familles. Mais juste avant, un petit Classe/Pas classe est de rigueur, pour parfaire la tradition « retour de voyage » sur ce blog.

 

Classe: Recevoir une invitation du Club Med pour partir dans son nouveau village de Belek en Turquie.

Pas classe: Faire « hiiii » et « haaaaa » comme une hystérique. Dans mon salon. Seule.

 

Classe: Première fois que je pars SEULE pour des « vacances »

Pas classe: Bah… seule, on culpabilise un peu quand même.

 

Classe: Bon, on culpabilise pas très longtemps.

Pas classe: Il parait que JUSTEMENT c’est pas classe de pas culpabiliser. Mouais.

 

Classe: Rencontrer les 3 nouveaux blogueurs qui m’accompagnent.

Pas classe: Trouver que je suis bien vieille par rapport à eux.

 

Classe: Découvrir Marie.

Pas classe: Elle est sportive. Très. Beaucoup. Culpabilité.

 

Classe: Découvrir Joseph.

Pas classe: Il est jeune. Très. Trop. Nostalgie.

 

Classe: Découvrir Juliette.

Pas classe: Elle est parfaite. Très. Trop. Culpabilité (bis).

 

Classe: Revoir Anne Charlotte.

Pas classe: Lui dire merci 154 fois par jour. Parfois en hurlant.

 

Classe: La piscine, l’autre piscine, le cocktail d’accueil, encore l’autre piscine, la plage et ma chambre gigantesque.

Pas classe: 3 jours ? C’est sûr sûr ? Ca va être court non ?

club med Belek
club med Belek
Club Med Belek

Classe: La visite du village avec deux G.O (Gentils Organisateurs) fort sympathiques.

Pas classe: Planter la poignée de journalistes qui nous accompagnaient et qui posaient des questions du type « combien de mètres cube d’eau sont nécessaires pour remplir les piscine? » et s’accaparer les GO que pour nous.

 

Classe: L’inauguration du village avec tout le monde très classe aux couleurs de la Turquie.

Pas classe: sauf nous donc (pas le temps tout ça), en version tong-transpiration-TShirt du voyage.

 club med belek inauguration

Classe: Les buffets de dingues.

Pas classe: se dire que 3Kg en 3 jours ça va pas faire sérieux.

 

Classe: La montagne de mojitos.

Pas classe: Avoir cru que je pourrais tous les boire.

 mojitos club med belek

Classe: Tous les boire (presque)

Pas classe: #censored#

 

Classe: Rencontrer plein de gens.

Pas classe: Ne plus être bien sûr de qui ils étaient le lendemain.

 

Classe: Danser. Beaucoup.

Pas classe: Pas forcément bien (non, vraiment pas).

 

Classe: Un petit mojito ?

Pas classe: Avoir répondu oui (encore)

 

Classe: Un plouf dans la piscine avant de se coucher (tard donc) ?

Pas classe: Revenir avec un rhume.

 

Classe: Faire du trapèze et du tir à l’arc.

Pas classe: On parle des courbatures ou bien ?

Flying trapeze club med

Classe: le bar à sushis

Pas classe: en faire tomber tomber par terre devant tout le monde et les regarder rouler, honteuse.

 

Classe: La soirée blanche

Pas classe: Craquer sa robe blanche en faisant vite.

 

Classe: Avoir le pantalon blanc de la veille.

Pas classe: Le craquer en faisant… la roue. Mouimouimoui…

 

Classe: Le photobooth sur la plage pendant la soirée

Pas classe: Les photos qu’on a récupéré… hum…

photo-6

Classe: Retrouver ses 20 ans.

Pas classe: Ah non.

 

Classe: la soirée sur la plage.

Pas classe: se péter le petit orteil dans le sable.

 

Classe: Se coucher à 6 h comme quand j’avais 20 ans.

Pas classe: Avoir 30 ans donc. Et mourir.

 

Classe: Se dire « on s’en fout je me couche habillée, je verrai demain. »

Pas classe: Se réveiller en robe. Et sur un matelas transformé en plage avec le sable que j’avais ramené.

 

Classe: Aller au bar et se faire offrir un café par Christian Karembeu.

Pas classe: Pas trouver de « pas classe ».

 

Classe: Avoir passé deux jours géniaux.

Pas classe: Devoir déjà partir.

 

Classe: Avoir passé deux soirées géniales.

Pas classe: Et se dire que les prochaines seront dans… arf….

 

Classe: Avoir rencontré de belles personnes…

Pas classe: … qui habitent un peu loin pour continuer à les voir.

 

Classe: Même pas pleurer en partant.

Pas classe: Avoir bien les boules quand même.

 

Classe: Pouvoir prendre ma valise en bagage à main pour pas attendre des heures à Orly.

Pas classe: Ma carte d’embarquement qui passe DANS le tapis roulant et les regards assassins de la police turque qui a dû tout arrêter pour soulever le tout en perdant 1/4 d’heure pour la retrouver.

 

Classe: Revenir pleine de bons souvenirs et prête à reprendre une vie normale.

Pas classe: Tiens… ils tousseraient pas les enfants là ?

 

 club med belek
#TeamBelek
Merci les copains

ET EVIDEMMENT, MERCI aux GO hors normes rencontrés sur place: Zazou, James, Ahmed, Selçuz, Yousry… et tous les autres <3