Archives de catégorie : Sponso et kdo

Au lit on dort

Combien de fois ai-je entendu cette phrase qui, au lieu de m’inspirer, m’angoissait totalement, rapport que perso, du coup, j’associais mon lit à un gros lion endormi qui allait très certainement se réveiller en ayant bien faim, avec moi en première ligne de mire.

 

Mais bon, je vais pas donner des leçons d’éducation vu mes prédispositions à faire douter mes enfants alors que je voulais juste bien faire à la base.

 

Toujours est-il que quand je veux parler sommeil, c’est la première phrase qui me vient.

Et le sommeil, j’en parle souvent depuis quelques mois à la maison. J’ai eu un rythme de vie quelque peu chamboulé avec des montées de fatigues et de stress, saupoudrés de quelques angoisses, dues à 2 boulots, des travaux, un déménagement qui s’est moyennement passé et un aménagement toujours pas terminé. Autant vous dire que les vacances étaient plus que les bienvenues.

 

D’ailleurs,  en vacances, je pense que je passe plus de temps dans mon lit qu’à la plage. J’ai pris un rythme du grand n’importe quoi, et même si je tâchais de ne pas (trop) penser à la rentrée, je l’ai un peu mal vécu, du point de vue du réveil qui sonne à 7h.

Je ne parle même pas des greffons qui se lèvent tous les jours entre 9h et 10h30. Visiblement, ils sont pourvus de mes gènes dormeurs, donc par extension, de mon souci de mise au pli du rythme de vie « normal ». Ça va être sympa la rentrée, je vous dis pas.

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J’avais trouvé une excellente solution pour pallier ma mauvaise humeur et fatigue chronique de septembre en utilisant un réveil simulateur d’aube. Bon, la vie a voulu que MON simulateur n’ait pas vraiment eu le droit de partir avec moi suite à mon déménagement. Donc depuis, ça se passe avec mon téléphone portable, et c’est nettement moins enchanteur.

 

Je sais qu’il existe d’autres moyens de réguler son sommeil, et je recommence à me pencher sur la question étant donné que j’ai bien l’impression que mon souci de fatigue/mauvaise nuit/ mauvais réveil me plombe mon humeur au jour le jour.

 

Moi qui fais partie de ces gens « connectés », justement, les solutions comme ce que propose SevenHugs serait vraiment pas mal pour, déjà, analyser les habitudes de sommeil de chacun et agir en fonction. Comme j’ai déjà des ampoules intelligentes, je pourrais les connecter au système pour remplacer le simulateur d’aube et me réveiller moins « en stress » qu’avec une sonnerie lambda. Les capteurs hugOne surveillent aussi la température et le taux d’humidité de chaque pièce ainsi que la qualité de l’air ce qui est un gros plus quand on habite en ville pour veiller à la qualité de notre environnement intérieur. J’ai tellement un bon souvenir de mes réveils en douceur que je suis à ÇA de craquer pour toute la famille avec ces capteurs. En plus, moi qui débranche et coupe toutes les ondes quand je dors, là, ça le fait tout seul, j’ai même pas à avoir peur de me faire irradier les oreilles avec le capteur sous mon drap housse.

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Bref. Je me tâte. Et je me demande si vous avez des solutions, vous, pour mieux gérer sommeil et réveil de votre côté. En attendant… Je vais faire une sieste hein !

 

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Une histoire de rentrée des classes à préparer…

Cette année je n’ai pas pu pleurer. Et pourtant, j’avais le cœur gros. Un des avantages, s’il en est, de ne voir ses enfants qu’une semaine sur deux, c’est peut-être que parfois, on rate aussi des moments pas cool. Du genre, le tout dernier jour d’école primaire de son fils.

Je me connais, j’aurais croisé les yeux embrumés de certains élèves, j’aurais vu les larmes couler sur les joues des profs de CM2. J’aurais observé les accolades, les « à l’année prochaine » des enfants jetés la gorge serrée sous des airs de grands.

Et j’aurais pleuré comme je ne peux m’en empêcher quand je sais qu’un de mes enfants franchi une de ces étapes dont on se souvient toute sa vie.

J’ai raté ce moment. Tant mieux, tant pis, je ne sais pas.

Mais je n’ai pas raté l’essentiel : l’inscription au collège et les joies qui l’accompagnent. Les demandes de 1000 papiers différents parce qu’on est séparés mais pas encore divorcés, qu’on n’a pas la même adresse mais les mêmes enfants (OH WAIT). Et surtout, je n’ai pas raté la trèèèès longue liste de fournitures scolaires qui allaient avec. Les « PAS de grands carreaux en maths et les petits carreaux interdits en français. Les crayons HB, 2B et ce flutain de cahier de musique petit format une page de portée sur deux. »

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Ça fait bien un mois que la liste est accrochée sur mon frigo alors même que j’avais dit que cette fois ci, on accrocherait RIEN sur le frigo parce que ça fait pas joli quand on a une cuisine ouverte.

Et je n’avais encore rien acheté, prétextant un manque de temps alors que j’avais juste la flemme de devoir réfléchir des heures devant des rayons encombrés de fournitures scolaires.

Pourtant, j’aime bien les fournitures scolaires et cette impression qu’elles nous donnent de recommencer à zéro et proprement. Bon… Peut-être que je préférais surtout ça quand elles étaient pour moi et que je ne m’en occupais pas si ce n’est à les regarder et les ranger dans mon sac de rentrée.

Et puis il y a eu la découverte de services tels que List&Go de chez Auchan qui a dû sortir de la tête de quelqu’un au moins aussi fainéant que moi. Le principe c’est « ça me saoule donc je le fais faire par quelqu’un d’autre ».

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En gros, on se connecte sur la plateforme, on télécharge notre liste de fournitures (une photo suffit d’ailleurs), quelqu’un se charge de nous proposer cette liste sous forme de panier virtuel, on nous prévient par notification, on clique sur ce qu’on souhaite commander et… bah on commande.

Donc en gros, si VRAIMENT on est les pires feignasses du monde, en 3 clics et un code de carte bleue, c’est réglé. Plus qu’à se faire livrer ou à aller chercher tout ça au magasin ( c’est gratuit à partir de 25€) ou en point relais ou à domicile. N’en jeter plus, je voudrais que ces gens aient une statue en leur honneur devant tout collège qui se respecte.

Si jamais tu veux en savoir plus, ils officient sur les réseaux sociaux avec les #LaRentréeQueJaime #Auchan et #ListAndGo.

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Pendant ce temps là, je vais encore glandouiller quelques jours à la playa et prévoir la livraison pour mon retour, histoire d’impressionner le fiston qui commence à se demander si j’ai bien compris l’importance d’avoir ses fournitures pour la rentrée.

Mais si mon chéri, t’inquiète pas, maman le mec de chez Auchan gère. Va chercher une beignet s’il te plait. Au chocolat. Merci.


(j’attends cette MàJ hein les gars)

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

Salon de jardin ou jardin de salon, telle est la question.

Tu n’auras pas raté, si tu me suis un peu, que je suis ‘en travaux’ depuis quelques semaines. Bon, ok, depuis quelques mois, mais avoue que c’est pas facile facile de faire des travaux tout seul, surtout quand tu cumules deux boulots, des enfants et un peu de malchance histoire de bien se coordonner pour me ralentir efficacement.

Bref, je commence à en voir le bout. Ne reste que quelques finitions en gros (oui, tu sais, les trucs que tu feras JAMAIS en vrai. Voilà.)

Du coup arrive à grand pas le plaisir de pouvoir profiter pleinement de l’appartement et de ENFIN l’aménager définitivement. Premier constat : cet appartement est biscornu comme ma vie, je suis ravie. Deuxième constat : il est franchement hyper cool aussi. Troisième constat : ok, il serait carrément parfait avec un extérieur.

Parce qu’avoir un endroit à l’extérieur où se poser en tong avec son café du matin, c’est top. Mais bon, on peut pas tout avoir. Nous, on a déjà un chouette salon, hyper lumineux, qui donne l’impression d’être sur une terrasse. Du coup, avec l’été (et le fait que mon salon reste hyper frais malgré la chaleur estivale), j’ai bien envie d’en faire… mon jardin… façon terrasse aménagée.

Genre avec ce genre de choses :

1/ Un hamac Oui, parce que c’est MA maison, je fais les trous que je veux, et le hamac incarne parfaitement le farniente et les vacances. J’en veux !

hamac

2/ Un gros pouf de ceux qui se calent comme on a envie, qui sont imperméables (j’ai des enfants ET des boissons sucrées, il faut que ce soit compatible) et avec des couleurs estivales. On est bon ? Ok. Où est la piscine ?

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Et oui, donc chez Gifi, y’a ce genre d’articles qui coutent rien ou bien moins  !

3/ Des sunjar (des lampes solaires quoi) Parce qu’une ambiance terrasse d’été n’est rien sans les petites lampes qui vont bien, celles-ci sont un must have quand même.

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4/ Des assiettes « plage » Parce que ça fait du bien, et que c’est suffisant !

5/ Des VRAIS verres à mojito. Je vous fais pas un dessin, on a tous compris que la principale motivation de se prélasser en terrasse, c’est quand même l’apéro !

Manque le sable et le barbecue et on est bon… Je cherche donc à palier à ces détails (y’a des pschiit qui sentent la pâte à modeler, y’en a peut-être qui sentent les grillades on sait pas).

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

 

C’est l’histoire d’un stress ….

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Depuis, on va dire, 2 mois environ, je cumule.

Je cumule du stress, je cumule du boulot, je cumule du retard, je cumule des mauvaises nouvelles, je cumule des bonnes nouvelles, aussi, d’ailleurs.

On a galéré pour trouver un banquier qui voulait bien nous prêter des sous, puis, on a galéré à cause d’un papier qui manquait et finalement qui ne manquait plus. On a donc pris du retard sur la signature et donc sur les travaux et donc sur le déménagement. Entre temps, le gars qui devait faire nos travaux nous a lâché. On a dû trouver quelqu’un d’autre, mais qui n’est pas dispo tout de suite non plus.
Parallèlement, j’ai commencé à flipper parce que je ne bossais pas beaucoup quand même, alors j’ai accepté plein de trucs à droite à gauche histoire de faire illusion un temps. Continuer la lecture de C’est l’histoire d’un stress ….

Un week end… JUSTE un week end !

Salut ! Ça va ? Moi, c’est Cranemou, et je suis au bord du burn out.
Pas parce que des choses m’agacent ou quoi, pas parce que quelque chose me ronge, non non.

Parce que ça fait un peu trop longtemps que je n’ai pas bougé mes fesses de Lyon et que j’ai beau adorer ma ville, les semaines défilent inlassablement et le break devient nécessaire.

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(j’exagère, on a fait des break à Annecy qui puaient pas trop… mais bon… on connait quoi…)

Bon, en fait, si, je cumule un peu depuis quelques mois, donc ça doit forcément jouer avec cette envie pressante de vouloir voir ailleurs si j’y suis.

En septembre, je suis partie avec N°1 à Londres et depuis, plus rien.
Oui, hein, je sais bien que des tas de gens ne partent jamais nulle part, tout ça, mais chez nous, on a décidé de plutôt bouffer des pâtes et se caler des week end de temps en temps plutôt que de rester ici et manger des asperges. Continuer la lecture de Un week end… JUSTE un week end !

De l’art de faire la crêpe.

AVERTISSEMENT : Cher toi qui me lit et qui est éventuellement breton, donc, par définition, un peu obtus sur les bords, tu te détends, j’adore aussi TES crêpes, mais comme une billig ne rentre pas dans ma cuisine et que de toute façon, je suis bien loin d’en maitriser l’art, je me contente donc de faire dans la crêpe classique. Donc, tu viens pas crier au blasphème tout de suite, je t’en supplie.

J’adore les crêpes. A ça près que j’adore seulement les crêpes au chocolat OU les crêpes de ma belle sœur (qui, ELLE, a une billig)(ça fait partie de la dot chez les bretons, je pense). Donc, concrètement, j’en fais pas très souvent, sinon je pèserais le double de mon poids, à peu près (je mets BEAUCOUP de chocolat dans mes crêpes). Mais je me laisse très volontiers emporter dans la mouvance quand vient la chandeleur et là, c’est un peu fête à la maison, parce que bon, je ne suis visiblement pas la seule à vouer un culte à la bonne crêpe.

Jusqu’ici, si je suis tout à fait honnête avec toi, je dois t’avouer que même si j’aime ça, j’ai toujours eu tendance à les faire un chouille trop épaisses, un chouille trop trouées, un chouille trop accrochées à la poêle ou un chouille trop tombée par terre. Parce qu’une crêpe, tu la fais sauter, sinon, ça n’amuse personne, c’est bien connu.

Faut dire que j’ai toujours fait ça dans une poêle normale. A raison de deux sessions annuelles, j’ai jamais trouvé l’occasion d’acheter une crêpière.

Et puis Tefal est venu me parler de la chandeleur, me rappelant que ça arrivait, que j’avais pas perdu mes kilos de Noël et que donc, c’était pas la peine de commencer maintenant puisque maintenant, c’était l’heure de la crêpe.

Les enfants ont crié YOUHOUUUUU. Mon poilu a crié GRAAAAAAS ! Et je suis vite partie acheter des œufs pour calmer l’excitation générale.

J’ai tapé dans la recette de la pâte à crêpes ultra basique histoire que Clapiotte n’est rien à redire :

500 gr de farine
1l de lait
5 œufs
1 bonne pincée de sel
2c.s. d’huile

crepes tefal

Et vas-y que j’y ai donné du mien pour faire disparaître toute trace de grumeaux. Bon, ok, j’ai « un peu » utiliser le robot de ma mère (j’ai pas de robot, moi, je l’ai cassé), puis j’ai battu le fond du récipient (parce que bizarrement son robot ne va pas jusqu’au fond) au fouet et à la fin, j’ai même filtré la pâte. Plus lisse t’es une piste de curling.

La crêpière que Tefal m’a offerte pour l’occasion a eu tout juste. D’abord, parce que je n’ai pas eu besoin une seule fois de graisser la poêle, ça n’accrochait tout simplement pas (dingue). Et puis parce qu’il n’y a pas à dire, ça a été bien étudié pour faire des jolies crêpes pas épaisses et qui se retournent sans broncher.
(note pour Tefal : est-ce que tu fais pareil pour les omelettes ?)
Vint le moment où j’ai dû rameuter la famille au complet pour qu’ils s’extasient devant ma dextérité au niveau du retournage de crêpes. On m’avait bien dit de garder une pièce dans ma main gauche pendant que la droite s’occupait de manœuvrer, mais bon, en fait, j’ai quand même besoin de mes deux mains pour faire ce genre de truc, la prospérité attendra.

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J’ai été déclarée meilleure crêpière de tous les temps, à l’unanimité, sache-le !

Et comme depuis le début de cet article tu t’extasies (je te vois) devant la photo avec les ustensiles Nestlé Dessert, et bien tu peux te procurer la boite en allant voir les deux offres sur Tefal.fr. De plus, il y a plein de cadeaux à gagner (dont la fameuse crêpière, la balance et même les accessoires Tefal Enjoy que j’ai également pu tester) sur la page Facebook de Tefal avec leur « Quiz Poêlant »

Voilà, voilà… c’était bien, c’était bon, et je file me racheter un pantalon à ma taille parce que maintenant que les enfants ont découvert mon don de la crêpe, je vais devoir m’y coller plus souvent apparemment !

 

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De la déco originale ? Bouge pas, j’ai un concept store sous la main ! (avec un bon d’achat à gagner)

Si tu me suis sur les réseaux sociaux et notamment sur Instagram, tu n’auras certainement pas raté que j’ai un problème avec l’achat compulsif de TShirts ET de décos en tout genre.
J’ai notamment un léger souci avec les affiches. Et le formica. Et les figurines. Et globalement tout ce qui touche au street art.
Çafait beaucoup, je sais.

Bref, quand j’ai aménagé, j’ai dû dévaliser Emmaüs pour trouver des dizaines de cadres et créer « le mur du n’imp ».
Mais je me suis arrêtée dans ma lancée, rapport que le mur du n’imp se trouve être un mur impossible à percer, et comme on est en location, ça devenait compliqué.

Ca ressemble à ça :

mur du nimp

emmaus

Une fois que j’ai eu fini de vider les allées d’Emmaüs, j’ai aussi cherché sur le net ce que je pouvais trouver.
Du coup c’est avec une grande joie que pu constater qu’il existait des sites proposant de la déco hyper originale, surtout que j’ai la chance de recevoir pas mal de communiqués de presse me proposant d’en découvrir encore et toujours plus.
C’est là que j’ai découvert le site Family Drugstore

Un site qui propose des tas d’articles, allant de la petite déco au meuble, en passant par un rayon épicerie. Un concept store créé par et pour les fanas de décos inspirées par le pop art, la culture américaine et le street art. On peut même y faire customiser son propre objet, genre sa paire d’escarpins de mariage un peu trop blanches ou sa table basse. Tout est possible, il suffit de demander.

Une photo publiée par @familydrugstore le

Du coup, j’ai un peu craquer mon slip pour une pomme (ne me jugez pas)(je vous dis pas la tronche du chéri quand il a vu ça) et une sérigraphie de Béa Toa (éditée à 12 exemplaires) tellement canon (là, le chéri a plus approuvé mon choix, bizarrement)

pomme vintage serigraphie star wars

Niveau prix, pareil, il y en a pour tout le monde. Des petits plaisirs à la pièce rare et chère, ça dépendra du porte monnaie et du coup de cœur.
Si j’avais le budget, je pense vraiment que j’investirais dans une de leur pièce unique… genre le Gansta Kitty, parce que bon, quand même, il claque !
Et si vous voulez tester, j’ai un bon d’achat de 25 euros à vous faire gagner (hors FDP).
Pour tenter votre chance, je vous laisse jusqu’au 11 décembre midi pour laisser un commentaire ci dessous.
Je tirerai au sort le gagnant et lui communiquerai son code rapidement par mail qu’il puisse se faire un petit plaisir de NOËL.
N’hésitez pas à partager cet article sur les réseaux sociaux et à liker la page de Family Drugstore (et la mienne, hein, je suis pas contre) pour soutenir ce chouette projet !

Bonne chance !

 

EDIT : c’est Sabine qui repart avec le bon d’achat, en esperant qu’elle trouvera son bonheur. Bravo et merci à tous !

Faire ses courses de Noël avec Wesco-family

Je suis ce qu’on appelle une frénétique du clic, une accro du shopping virtuel et j’ai été diagnostiquée comme étant une e-chercheuse compulsive.

Je passe du temps sur internet. Beaucoup. En même temps, ça fait partie de mon boulot, aussi.
Et quand certains s’octroient des pauses café avec leurs collègues, moi, j’engage une conversation en message privé sur Facebook OU je cherche des trucs sur internet.
Et disons qu’à partir d’octobre, environ, je cherche surtout des bons plans et de nouvelles trouvailles autour de Noël et, bien évidemment, des cadeaux pour les enfants.

A cette période, j’aime assez sortir des sentiers battus et découvrir ce qu’il se fait d’autre que ce qu’on voit passer en boucle à la télé et dans les catalogues de jouets des grandes surfaces.
Parce que oui, je comprends bien que les greffons soient à fond sur tel ou tel jouet à la mode, et je suis bien la dernière à avoir assez de cran pour les frustrer à cette période (youhou, à nous les paquets de cartes Pokemon à 60 000 dollars), mais j’aime aussi leur faire découvrir d’autres choses.
Surtout qu’ici, ils ne sont jamais contre en général, et que j’ai réussi à me bâtir une belle réputation de « maman les bonnes idées » auprès d’eux (je profite de ce statut allégrement avant que l’adolescence et le « Maman la grosse relou » le remplace définitivement).

J’ai toujours garder en tête que le matériel qu’on utilisait à la crèche, à l’époque où j’y travaillais, était le top du top (oui, j’ai fait 132 métiers), du coup, je cherche toujours à retrouver certains produits que j’ai pu y croiser.
Dans le lot, ce que propose Wesco-family est certainement ce que j’ai pu croiser le plus souvent, notamment au niveau des jeux extérieurs et des tapis et aires de jeu. Seulement, il n’était pas vraiment facile d’avoir accès à ce genre de matériel quand nous étions simples parents et non professionnels.
Depuis, ils ont un site internet bien fourni et cette année, ils proposent même un onglet spécial Noël  pour trouver tout un tas d’excellentes idées cadeaux.
Je pense notamment aux kits Playstix  qui seraient une bonne alternative aux Lego pour assouvir les besoins architecturaux de mes enfants…

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Le site regorgeant de trouvailles aussi sympas que de bonne qualité, je ne peux pas vraiment vous faire la liste entière de tout ce qui est susceptible d’atterrir dans mon panier à l’instant où j’écris ces lignes, mais si jamais vous cherchez quelque chose qui change un peu, je vous invite à jeter un œil tout de même, il se peut que vous trouviez votre bonheur.

Et si c’est le cas, voilà un code promo* à utiliser avant le 31 décembre 2015 : FYBLOG. Il vous permettra de bénéficier d’une réduction de 10%.

Et évidemment, vous avez le droit de me donner vos propres « sites coup de cœur » je suis preneuse (c’est bientôt la pause)

* Offres utilisables une seule fois par client, jusqu’au 31 décembre 2015, non applicables aux produits déjà remisés ou soldés, hors librairie, poussettes, sièges-auto, boutiques « Exprimer ses talents », « Fournitures scolaires » et frais de livraison.

 

 

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

Test et avis : la Storio TV de VTech

[Test en partenariat avec la marque]

Le truc génial quand tu es enfant de blogueur, c’est que parfois, ta mère t’as dit « non » pour avoir un énième cadeau, mais que tu le reçois quand même parce qu’on voudrait ton avis dessus.
Ceci dit, je dis « non » à mes greffons environ 6 fois par jour concernant un nouvel achat de jeux ou de jouets, donc ça augmente les chances qu’un jour on me propose de leur faire tester un jouet sur lequel j’avais posé un véto.

C’est ce qu’il s’est passé avec la Storio TV de VTech.
« Han mamannnnn ça a l’air trop biiiiien ça ! »

Oui.
Mais non.
Non parce qu’on a une vieille Nintendo 64, une Xbox , une DS et une tablette donc, bon, ça commence a être n’importe quoi .

Et puis….
« Souhaitez-vous tester la console Storio TV de VTech ? »

Bon, je suis faible, OK !

Je vous passe les cris de joie quand Clapiotte a vu la boite dans ma chambre, à base de « hannnnn ! » et de « hiiiiii ».

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On a dû brancher la bête illico. Il n’y a que deux câbles, et pourtant, j’ai bien mis 15 minutes à comprendre que c’était un câble HDMi, sous les huées du public.
On se refait pas.
Coup de chance, j’avais les bonnes piles pour la manette (sans fil, du coup).

C’est parti.

Après quelques réglages basiques, Clapiotte a pris en main la manette et le jeu. Jeu qui PARLE, ce qui est bien pratique parce qu’on est encore loin au niveau de l’acquisition de la lecture, et que très sincèrement, même si je regarde de loin, ça m’aurait agacé de devoir tout lui lire.
Elle s’est donc débrouiller seule pour la suite.

Le jeu fourni avec la console propose 4 mini jeux, assez simples, demandant logique et rapidité. L’un d’eux consiste à trier des déchets jetés au sol par une sorte de monstre, ça nous a bien fait rire. Il faut, au début, débloquer les niveaux pour avoir accès au niveaux correspondant à son âge, j’ai donc pu constater que les premiers niveaux étaient tout à fait accessibles et compréhensibles pour des enfants plus jeunes (et aussi des enfants de 10 ans, parce que N°1 n’a pas réussi à se contenir et a voulu jouer lui aussi). A priori, VTech indique qu’on peut utiliser la console dès 3 ans. Ca ne me paraît pas fou étant donné la facilité de compréhension ET de préhension du jeu fourni.
On peut aussi jouer à plusieurs sur la console. Bon, nous, on n’avait qu’une manette, mais on peut en connecter jusqu’à 4.
A savoir que les jeux de la console Storio sont compatibles avec la Storio TV pour ceux en HD. Idem pour les applis achetées sur l’Explor@ Park, seules les versions HD sont compatibles sur les différentes consoles Storio.

Il va de soi que tout est sécurisé et que l’enfant, aussi futé soit-il, ne pourra pas charger des applis sans mot de passe et ne proposent pas d’achats in-app non plus.

Concernant les jeux, mis à part celui fourni, VTech en propose des tas, par tranche d’âge, dont beaucoup à l’effigie des héros adorés des greffons. On n’a donc pas échappé à… La Reine Des Neiges !
ET oui… Je sais….
L’avantage de ce dernier étant que Clapiotte a passé des heures à faire la lecture avec Elsa, mot à mot….
Si jamais ça pouvait la motiver encore et encore à lire (puisqu’elle préfère « la calculation »), je veux bien me faire une tresse en épi et me rouler dans la neige !

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Donc, on en pense quoi à la maison ?
Clapiotte a vraiment accroché. Son frère et sa demi-sœur, alors qu’ils ont 10 ans, ont réussi à y trouver un intérêt (battre sa sœur pour l’un, retranscrire sur papier les histoires d’Elsa et Anna pour l’autre).
Et moi ? J’étais très sceptique au départ, car on n’a plus l’habitude de ces graphismes simples, et on a dû mal à croire que les enfants accrocheront alors que c’est nettement moins rapide que ce qu’ils peuvent avoir eu entre les mains jusque là.
Mais comme ils ne s’en sont pas plaints une seule fois, j’ai bien dû me rendre à l’évidence, je crois bien que mes critères d’adulte (graphisme réaliste et 3D, rapidité et réactivité) ne sont pas ceux des enfants DU TOUT.
Peut-être même que c’est mieux adapter à leur façon d’appréhender les jeux, d’ailleurs…

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Nutrition, digestion, étron, étron, petit patapon.

On n’est pas tout à fait une vraie blogueuse « maman » si on ne parle pas au moins une fois par an de caca (ou de bouchon muqueux, mais là, j’ai vachement moins de matière sur ce sujet).

Et j’en ai à dire à ce propos, rapport que chez nous, depuis toujours et ce, je pense, sur plusieurs générations depuis Clovis, on a été fourni avec un système digestif un peu capricieux au niveau des derniers boulots à accomplir.
Des premiers aussi, d’ailleurs, quand j’y repense.

Petits, à peine sortis de mon énorme ventre, mes enfants m’en ont fait baver au niveau des régurgitations. Ils étaient gloutons, ils avalaint leurs bibs comme des assoiffés et ça ne manquait que rarement, BIM, régurgitation. Je devais leur retirer le bib à intervalle régulier pour ‘laisser passer’ ce qu’ils avaient déjà englouti. Ca ne suffisait pas toujours (voire rarement), j’avais donc opté pour des laits anti régurgitation à ce moment là. Ca compensait pas mal le problème, mais je ne me doutais pas que le plus dur restait à venir.
LA CONSTIPATION.
Cette plaie de l’enfant (et de l’adulte, mais je me permets de te dispenser de mes déboires intestinaux personnels).

Le souci avec des enfants ayant ce genre de problème, c’est qu’ils n’arrivent pas à le gérer; Mais genre PAS DU TOUT.
Ils se tordent, ils crient, il forcent, ils re-crient. Ca te fait passer des moments proche de l’enfer, parce que concrètement, tu ne peux vraiment rien faire de bien concret pour lui à ce moment là, il faut qu’il se débrouille avec, et toi, t’es là, impuissant, à tenter de le réconforter, à lui relever les genoux sur la poitrine, en massant son bas du dos et en répétant ‘ça va aller’.
Pour des soucis ponctuels du genre, j’avais (pour moi) de quoi aider, mais pour les greffons, avant un certain âge, le seul moyen que j’ai eu, c’est une nouvelle fois d’adapter leur lait avec, par exemple, des laits infantiles comme Aptamil qui proposent des gammes adaptées aux soucis de digestion des bébés.

A vrai dire, je vais m’abstenir de parler de comment ça peut se passer quand on allaite, car je n’en sais absolument rien (mais tes infos sont les bienvenues).

Je sais juste qu’en grandissant, après la diversification et même la propreté, le problème persiste parfois longtemps (surtout, donc, tu l’auras compris, quand tu fais partie de ma famille).
Et que quand tu pensais qu’une fois que ton enfant serait suffisamment grand pour que le souci cesse de TE stresser autant, tu te fourrais bien le doigt dans l’œil, parce que tu passeras encore de longs moments à tenter de leur faire manger des épinards, à tenir des mains en soutien aux 45 minutes prostré sur les WC, que tu lanceras même des challenges du genre ‘Si tu fais au moins une fois cette semaine, je fais des pâtes !’ Parce que t’en as un peu marre de manger des fibres en permanence, toi aussi, alors tu TENTES tout ce que tu peux.

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Photo : iStockphoto

Au final, tu préférais de loin les laits adaptés plutôt que les négociations sans fin autour d’une assiette, puis, d’une cuvette.

La seule certitude que j’ai, c’est que moi, aujourd’hui, ma mère ne fait plus la danse de la joie du caca quand ça arrive.

C’est donc qu’un jour, ce souci devient (enfin) seulement le leur.

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Oui, même parfois, tu te mets à prier. OUI !
©fotolia

J’attends ce jour avec impatience.

Vraiment.

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.