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Et on souhaite la bienvenue au petit nouveau…

Depuis quelques jours, je prends un soin tout particulier à tenter d’occulter ce qu’il nous arrive. Je n’en parle pas. Je refuse même d’y penser.

Depuis quelques jours, nous avons un nouvel arrivant à la maison. Il a pris possession des lieux avec un sans-gêne à tout épreuve et ferai se dégonder les portes de Dolto.

Depuis quelques jours, je commence à me dire que la vanité qui m’habitait et qui me permettait de dire « jamais » a volé en éclat.

Depuis quelques jour, c’est l’enfer, la guerre, le bagne. les hostilités ont commencé sans trop prévenir, bien qu’on aurait pu sentir qu’on n’y couperait pas, et chaque matin, nous ne levons pour mieux partir en croisade.

Depuis quelques jours et avec un bon mois d’avance (comme quoi, c’est n’importe quoi -la mauvaise foi m’habite), Clapiotte fait son Terrible Two.

On va se marrer.

Ou pas

L’essentiel vient de l’éducation

En vacances, c’est aussi le moment de peaufinner quelques principes d’éducation et d’éveil. Ainsi, après avoir vu un gros tas d’animaux, Clapiotte était trop fière de savoir refaire leurs bruits respectifs.

Je n’ai pas pu m’empêcher de rajouter deux trois valeurs sures pour sa culture générale…


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(Pour ceux qui comprendraient pas la fin… demandez moi, je vous raconterais tout!)

(le masque de soudure, c’est la classe ou non?)

Et vous leur avez appris quoi, vous, à vos enfants cet été?

Un Village un peu différent…

Mercredi dernier, j’étais de nouveau en vadrouille. Mais cette fois -ci, je dois vous avouer que cette vadrouille avait une tout autre saveur.

Mercredi dernier, à 9h30, j’ai fouler pour la première fois le sol du centre omnisports de Temple sur Lot (Aquitaine).

Comme ça, là, tout de suite, vous vous demandez ce que fait une Cranemou dans un repère pour sportif, moi qui revendique souvent ma fainéantise…

A Temple sur Lot, pour la deuxième année consécutive, le village omnisports s’était paré de couleurs et d’énormes ballons flottants pour accueillir près de 1000 enfants durant les mois d’été. Le village est alors rebaptisé « Village Kinder » mais ce n’est pas pour autant qu’on compte faire faire du gras à tout ce petit monde.

Le Village Kinder, en quelques mots, c’est donc ces infrastructures, d’habitude utilisées par des sportifs de haut niveau venant de tous les pays du monde, qui sont mises à disposition de 165 enfants par semaine durant les mois d’été. Ces enfants sont issus de familles soutenues par le Secours Populaire et ne sont, pour la grande majorité d’entre eux, jamais partis en vacances. De LEUR VIE. Et ils ont entre 8 et 12 ans. (vous devez connaître la fameuse pub « 1enfant sur trois ne part pas en vacances« …)

En ne sachant que ça, déjà, j’avais une boule d’appréhension. Je suis TRES émotive, et je me doutais que cette journée serait bien différente d’une banale visite du musée du pruneau (oui, c’est juste à côté du village).

Finalement, j’ai eu les yeux mouillés mais pas de grands larmoiements. Non, parce que sur place, j’ai rencontré des enfants tellement heureux, tellement joyeux et plein d’entrain, des enfants curieux de savoir qui j’étais, d’autres ravis de me mettre une raclée au tennis, des enfants à fond dans leur séance de sport matinal, des enfants encadrés par des moniteurs de sport haut de gamme et des animateurs ultra motivés.Des enfants quoi.


Arrivés au Village, les enfants se voient remettre un « paquetage » aux logos du Village Kinder: shorts, TShirts, Baskets, sweat, casquettes… tout y est. Uniformiser (avec variation des couleurs, tout de même, on est pas chez les bonnes soeurs) pour que tout le monde parte à égalité. Chaque enfant choisi un sport pour ses matinées, puis, ils partent à la découverte d’autres activités: voile, Kayak, planche à voile, basket, tennis, hip hop, aviron, VTT… Ils pourront toucher à tout, et petit bonus, certains arrivent sans savoir nager et repartent avec une fierté supplémentaire: avoir appris en une semaine. Oh, oui, ils auront de quoi raconter à leurs petits camarades à la rentrée. Ceux avec qui j’ai eu le plaisir de partager ma journée, d’ailleurs, pourront se targuer d’avoir fait quelques échanges avec Jo Wilfried Tsonga himself. Ou avec moi… mais j’imagine que ça sonne différemment!


Chaque mercredi, un athlète partenaire de Kinder vient faire un tour au Village pour donner de son temps aux enfants… et à la presse, certes. (et ça n’avait pas l’air d’être la partie préféré de Tsonga). Et quand je dis « donner », c’est vraiment le cas, ils ne sont pas payés pour ça, ni obligés de le faire.

Au programme de l’an passé, toujours Tsonga (qui venait quand même de mettre la raclée à Federer à Wimbledon et de valider l’entrée en demi  à l’équipe de France en Coupe Davis) mais aussi Tony Parker (ex d’Eva Longoria basketteur), Tony Estanget (Kayak) (ils ont eu une promo sur les Tony, je pourrais peut etre proposer le mien… il joue très bien au… euh…y’a curling?), Nikola Karabatic (Hand) et Ladji Doucouré (athlétisme). Cette année, encore du beau monde avec une ouverture par Laura Flessel (escrime) et une premiere semaine avec Marc André Cratère (escrime handisport) et à suivre, d’autres stars mais chut, c’est secret!


Le projet du Village Kinder m’a particulièrement touché car je suis intimement convaincue que le sport est le seul remède à beaucoup de maux. Jean Giraudoux disait « le sport est l’esperanto des races ». Il n’y a que dans le sport que le langage est universel, et à Temple, les enfants apprennent cet esprit de partage, de dépassement, de jeu, de règles, la compétition aussi… tout ce qui fait du sport est fédérateur de bonnes valeurs. La bonne humeur et le sportif de compétition en prime font de cette semaine un recueil de souvenirs inoubliables pour ces jeunes qui n’ont pas forcément la chance que nous pouvons avoir durant ces deux longs mois d’été.

Dès demain matin (ou dans l’après midi, selon), je vous raconte en détails (croustillants) la journée de Tsonga et des enfants avec de la photo de collection dedans! Je suis obligée de couper le billet en deux car je suis encore tellement sous l’émotion que ça allait faire 3 tomes cet article!

« Il n’y a pas d’endroit où l’homme est plus heureux que dans un stade »

A. Camus.

 

Si vous souhaitez avoir la vision de mes copines qui étaient aussi présentes ce jour là, je vous invite à aller lire les billets de maman@home et de Chocoladdict! Pour ma part, je vous donne rendez vous demain pour la suite et fin!

Vous connaissiez le Village Kinder?

T’as pas ton Tann’s? (concours inside)

Je sais, je sais, les enfants sont en vacances et on a tendance à penser soleil et mer turquoise plutôt que fluo jaune et cartable. N’empêche, la rentrée, je ne sais pas vous, mais pour éviter la cohue, il vaut quand même mieux s’y prendre avant de partir plutôt que début septembre, 2 jours avant la rentrée, où on se rendra compte qu’il nous fallait des feuille petit carreaux grand format et pas grand carreaux petit format non perforées. Sans parler du rayon des crayons HB qui auront été dévalisés et qu’il ne restera plus que ceux à l’effigie d’Hello Kitty pour notre fils de 6 ans: non seulement ils coûtent un bras, mais je ne suis pas sûre qu’il nous le pardonne un jour.

Mais je suis là!

Quand j’étais petite, j’adorais la rentrée des classes, ranger mes nouveaux cahiers dans mon cartable, mes stylos neufs dans ma trousse… j’adorais que tout soit impeccable avant le jour J.

Ce que j’adorais plus que tout, c’était le cartable de ma copine Lucie. Un cartable Tann’s, le vrai, celui qui faisait « t’as ton Tann’s » à la télé… Sauf que moi, j’avais pas mon Tann’s, au grand désespoir de ma vie d’écolière modèle, je rêvais secrètement de pouvoir remplir la petite étiquette du rabat avec mon prénom…

Et un jour, j’eus mon Graal. Je ne sais plus vraiment pour quelle raison, mais je me rappelle de cette fierté qui m’avait envahie, je me souviens l’avoir caresser avec amour, aussi. Je pavanais devant mes camarades, mon beau cartable tout neuf sur le dos. A peine si j’osais le poser par terre pour aller sauter à la corde!

C’est drôle, ces souvenirs qu’on a de notre enfance et à quel point je suis restée attachée à l’image que me renvoyait mon cartable Tann’s.

Alors cette année, comme la question s’est posée pour la rentrée en CP de N°1, j’avais fait mon choix: ce sera Tann’s. A défaut de voir mon fils sauter au plafond parce qu’il n’y aura pas de Pokémons dessinés dessus, je fais le choix de la sobriété, de l’ergonomie ET de la robustesse! Parce que rappelez vous, il est solide, ton Tann’s!

Et puis comme j’aime partager mes gros coups de cœur, et que chez Tann’s, ils aiment aussi faire plaisir, (la preuve en ressuscitant nos cartables!) nous vous proposons aujourd’hui de gagner vous aussi le cartable de votre enfant pour la rentrée! Oui oui, et même trois trousses! Alors? Comment ça c’est pas sympa de parler de la rentrée en plein milieu des grandes vacances? (oui, oui, je vous avais entendu râler!).

Je vous donne un aperçu des lots, juste pour vous faire baver:

 

1 cartables « Classic » 38cm, coloris au choix

3 trousses « Classic », coloris au choix

 

Ah, je suis sûre que vous trouver maintenant que mon côté nostalgique a du bon!

D’ailleurs, en parlant nostalgie et de petit point Vintage qui va avec, j’ai eu la surprise de découvrir que Tann’s ne s’occupe plus QUE de nos enfants. Nan, nan, nous aussi avons le droit à notre Tann’s, et pas n’importe comment en plus. C’est comme ça que je lorgne sur la saccoche multi poches dans laquelle je pourrais ranger mon portable… et surtout, je suis tombée d’amour pour ce sac week end:

 

Bon, maintenant, vous vous demandez comment on fait pour participer?

Alors, lisez bien TOUT, comme ça, vous aurez toutes vos chances.

1/Vous me racontez en commentaire une petite anecdote scolaire (moi, par exemple, j’avais essayé d’assommer une camarade avec un microscope, tout le monde s’en est sorti, pas d’inquiétude), si c’est une anecdote Tann’s, c’est encore mieux, mais c’est comme vous voulez!

ET Vous répondez au questionnaire ci-dessous (avec le même pseudo qu’en commentaire, ca sera plus facile pour moi!)

2/ Vous relayez sur vos blogs, twitter, facebook; Hellocoton etc…: cela vous rapportera une chance supplémentaire par relai, à me confirmer en commentaire distinct s’il vous plait!

3/ On ferme les participations le 22 juillet au soir, les 4 gagnants seront désignés pendant le week end qui suivra.

Loading…

Je vous souhaite bonne chance à tous, que la force du Tann’s soit avec vous!

 

Un très grand merci à l’équipe de Tann’s pour leur confiance et pour ces très beaux cadeaux ainsi que pour le cadeau de N°1! Et mon anniversaire c’est le 8 août ;) (quoiiii?)

 

 

EDIT du 23/07/2011

 

Vous avez été 88 particpants, avec els chances supplémentaires pour les relais, cela fait 151… Et je vous ai tous mis dans le chapeau… alros….

Qui a gagné les trousses?

Bravo à Faustvic, La Dame Blonde et Cathy59

Et qui pour le cartable?

Bravo à Chocoladdict

 

Les filles, je vérifie si j’ai vos adresses dans le formulaire et je vous contacte pour être sure pour les couleurs.

Merci à tous les participants, j’ai été ravie de pouvoir faire ce giveaway Tann’s! Comme d’habitude, j’aurai aimé faire gagner tout le monde…mais bon…

Aller, y’en aura d’autres (bon, peut etre pas Tann’s, mais d’autres cadeaux, certainement!)

 

Une vocation ratée

Dimanche, nous avions organisé l’anniversaire de N°1 avec 7 de ses petits copains. C’était bien, c’était chouette, c’était bruyant et il faisait 34°c.

Sachez que le week end qui suit le 24 juin, il fait TOUJOURS 34°c, c’est la tradition. Avis aux futurs mariés… parce que nous, on a tenté le 7 juin, et le 7 juin, il fait toujours 12°c avec de la pluie.

Bref, après mon samedi aux urgences pour Clapiotte, autant avouer que j’étais pas super motivée pour me transformer en animatrice de centre aéré- en moins aéré parce que dès qu’il y a des gosses, je cloisonne les fenêtres- mais pour N°1, j’ai rassemblé ce qu’il me restait de courage pour accueillir toute la marmaille.

L’enfant abandonné:

Le rendez-vous est à 14h30. A 13h24, coup de fil:

« bonjour, c’est la maman de Maïkeul, ça vous dérange pas si je vous amène Maïkeul en avance? »

« C’est à dire? »

« Vers 13h30 »

… Là, tu sais que si tu dis non, le pauvre Maïkeul ne pourra pas venir parce que ses parents avaient plutôt prévu de faire sieste, à 14h30, alors tu dis oui, tu ravales ta salive en te rappelant que ça fait juste 2 semaines qu’ils connaissent la date et l’heure mais c’est pas grave. 2 minutes plus tard, l’enfant est déposé par son père qui nous lance un « oui, 17h30, c’est un peu tôt, on viendra le récupérer plutôt vers 18h »… Même pas le temps de lui dire qu’on est capable de foutre Maïkeul dans une consigne de la gare que le père s’est barré.

L’enfant pas de bol:

Quand j’ouvre la porte, je manque de tourner de l’œil tellement il est méconnaissable. La veille, il s’est vautré sur des gravier, tête la première, il a dû glisser sur quelques mètres pour se retrouver avec les lèvres de Loana, gratos.

Il a gagné au concours de grimaces.

Il s’est pris le ballon au moins 5 fois dans la tête au ballon prisonnier.

L’enfant pas de bol (bis)

Il est 17h17, tout s’est bien passé, aucun enfant n’est déshydraté, ni perdu, ni cassé/ Plus que 13 minutes avant que les parents débarquent. Le foot bat son plein, il court après le ballon, tente de faire une feinte que Tony lui a montré et là… c’est le drame. Vautrage. Genou râpé. On pose l’enfant dans l’herbe, à l’ombre. Il hurle out ce qu’il peut quand je rince le genou à l’eau. Tout à coup, il se rend compte qu’il a un peu mal au coude aussi. Oui, donc, le coude, il pisse le sang, c’est vachement impressionnant, et finalement, il ne criait pas si fort, pour le genou. Je rince comme je peux en en mettant de partout parce que je tremble, parce que dans une autre vie, je voudrais emballer les enfants dans du papier bulle et les faire jouer dans des pièces capitonnées. Le coude aurait mérité un petit strip, mais il est courageux, avec ses compresses et ses pansements, même si maintenant, il ne veut plus être militaire.

L’enfant conneries:

L’enfant connerie a des alliés, il faut le savoir.

Il arrive sous des airs angéliques, il joue tranquillement jusqu’à ce qu’une idée fantastique lui traverse l’esprit: il va lancer les toupies sur la table. Si, parce que c’est plus drôle.

On renvoie l’enfant dans la chambre en lui faisant remarqué qu’on le pensait plus futé que ça. Il nous prouve qu’il l’est quand N°1 vient me prévenir que… eus… y’a un soucis. L’enfant connerie fait tourner les toupies contre le mur blanc. Les toupies Beyblade, ça les occupe bien, mais les traces noires, on aime moins. Je ne crie pas, je demande que les responsables se désignent (j’aime bien foutre la honte), je leur ramène une éponge imbibé au Mr Propre et je les fais nettoyer. Bah ils n’ont plus bronché, après ça!

L’enfant fantôme

Nan, bah il est pas venu, pas de nouvelle…

L’enfant qui veut pas

Dès son arrivée, il s’assoit avec nous plutôt que de jouer avec les autres. je l’envoie bouler à chaque fois, hein, j’aime bien boire mon café sans moins d ‘1mètre 20.

Au parc, même combat. Il fait plutôt ramasseur de balles, redresseur de quilles ou rêveur dans l’herbe, bref, j’ai l’impression qu’il s’ennuie à mourir mais quand ses parents le récupèrent, il dit qu’il a passé une merveilleuse après midi…

Et sinon, je m’auto proclame mère de l’année, avec ces petites remarques qui font du bien:

« Tu vois! Ma mère elle sait faire les gâteaux toupie Beyblade! »

« Wahouuuuu, elle est trop forte ta mère »

« Hé, N°1, ta mère, elle est pas maitresse? » (je prends ça comme un compliment, même si, concrètement, je faisais un peu psychorigide…hum…)

Oui, c’est un gâteau Toupie Beyblade

Oui, prosterne toi!

Petite fillasse deviendra grande, mais pas aujourd’hui, aujourd’hui, elle a pâte à modeler.

Clapiotte veut tout faire comme son frère.

Elle va rigoler quand il rigole, elle va tenter de prendre les mêmes positions que lui quand il joue ou qu’il regarde la télé, elle pousse même le vice de boire et de s’arrêter en même temps que son Dieu vivant, j’ai nommé N°1.

C’est marrant à voir, mais j’avoue que sur le long terme, c’est pas facile facile.

Par exemple, à table, on pourrait croire que ça aide, mais non. N°1 mange seul et se débrouille très bien. Sa sœur nettement moins. MAIS, il faut lui laisser le champs libre pour tenter de faire pareil que le grand, et je vous jure que Tony est proche de l’arrêt cardiaque à chaque volée de haricots dans l pièce.

N°1 n’ayant toujours pas saisi le concept du « tu ne sautes pas sur le canapé » montre donc le bel exemple à sa sœur, et c’est régulièrement que je frôle l’apoplexie en la retrouvant debout, prête à faire le saut de l’ange.

Ou encore dans la salle de bain, alors que N°1 se brosse les dents consciencieusement (si je veux je mens, c’est mon blog), Clapiotte en profite pour se nettoyer la glotte à coups de réflexes vomitifs et de brossage de gencives.

Je vous passe les expériences avec les petits pions et les légos qu’elle pourrait se coincer au fond de la gorge ou dans n’importe quel orifice d’ailleurs… j’en frémis encore!

Non, à 18 mois, ce n’est pas facile de copier le plus grand, avec toute la bonne volonté qu’elle y met, on est souvent au bord du plantage.

D’autant que pour être tout à fait sincère, ça me dérange un peu que mon bébé veuille à ce point devenir grande. Le petit dernier, on aimerait qu’il grandisse plus doucement, en prenant son temps. Mais non. Elle, elle a décidé qu’il fallait faire comme une grande, même certains de ses gestes sortent tout droit des pires stéréotypes de la fillasses en puissance. Pour le coup, je ne sais pas d’où elle sort ça, mais elle imite très bien Eva Longoria dans ses pubs pour les cheveux!

Et puis, bon, elle pourrait au moins tenter l’imitation jusqu’au bout, à savoir, elle pourrait réellement marcher ou être propre par exemple. Nan parce que bizarrement, pour le coup, ça, elle s’en tamponne la coquille la Clapiotte, elle préfère continuer à user ses fonds de culottes su les graviers plutôt que de risquer (Oh Mon Dieu) d’utiliser ses pieds!

Pour le reste, j’essaie tout de même de sauver les meubles quant aux catastrophes. J’ai donc ressorti les couverts en plastiques et les assiettes en mélamine, j’ai retrouver un gobelet dans le fond du placard, j’ai surélevé les légos avec l’accord de son frère, et N°1 a pour mission de hurler si jamais Clapiotte se met debout sur le canapé (en général, j’ai compris avant, vu qu’ils se bidonnent tous les deux en se jetant l’un sur l’autre). Bref, je commence à gérer sa mémé côté précaution suite aux catastrophes que notre boulette provoque avec ses essais!

Alors, aussi, je dis merci à Bébé au Naturel qui a offert une petite gourde Sigg à Clapiotte, et qui, en plus d’être super jolie, NE FUIT PAS! Et ça prend toute son importance quand on voit comment Clapiotte se sert d’une bouteille d’eau (puisque le biberon est devenu obsolète, surtout devant son frère). Non, maintenant, quand on sort, c’est chacun sa bouteille, et Clapiotte adore la sienne. Et moi, j’ai moins de fringues de rechange dans le sac!!!

Message personnel à Clapiotte (puisque tu fais tout comme N°1, tu dois presque savoir lire ces lignes): je ne t’empêcherai pas de grandir, ni te pousserai vers l’avant, mais prends tout de même ton temps, laisse moi encore te regarder comme un bébé… ET MARCHE Bordel!

 

Sur ce, je voulais souhaiter la bienvenue aux lecteurs d’InfoBébés qui se retrouveraient ici suite à (attention, sortez le tapis rouge) un article dans le magazine de juillet en kiosque aujourd’hui! Oui, je suis une star, oui, oui, je crâne(mou), mais c’est pas tous les jours qu’on a un encart dans un magazine (et promis, mes chevilles iront mieux dès cette après midi quand je devrais retourner au parc avec les 2 nains). Merci à Virginie Péducasse pour cette opportunité, pour l’expérience et pour sa gentillesse!

La suite? chez ton marchand de journaux! :D

 

2 ans de Cranemou: Dernier jour (Part.2): V Tech (cadeauxxx inside!)

Et voilà, nous arrivons au bout de cette semaine de folie!
Je vous rappel que pour chaque concours (10 en tout… ouais, ca fait beaucoup, je le referai plus, je suis épuisée!), vous avez jusqu’au 22mai inclus pour participer. N’oubliez pas de bien m’indiquer des adresses mail valides et de bien lire les instructions pour jouer, certains oublient la moitié!

Je ferai une grande récap demain. Mais aujourd’hui, c’est encore la fête!

Et à défaut d’avoir vraiment pu gâter les parents (bah oui, mes amis partenaires sont plus axés petite enfance), on va gâter les plus grands. Aujourd’hui, je vais vous proposer un jouet pour les plus de 4 ans Je vois déjà la rage dans les yeux des petits frères et sœurs qui n’auront pas le droit d’y jouer… quoique, le voler pendant les heures d’école peut être une solution…
Depuis que votre enfant a croisé la route de Winston, le cocker anglais du voisin ou de Roger, le lapin nain (qui s’avère être un lièvre) de son copain Fernand, il vous bassine avec des gérémiades à base de « chien, lapin, souris blanche » et il tente même le « poisson rouge » en tout dernier recours.

Je connais les bénéfices des animaux domestiques sur les enfants. Mais perso, j’ai trop souffert de la perte de ma chienne, je suis allergique aux chats, je suis limite phobique des poissons (en tout cas, j’y touche pas, c’est trop visqueux), mes lapins sont morts d’une insolation (et en être responsable, c’est franchement un lourd fardeau), mes poneys ont dû se résigner à rester dans un champs (ça rentrait pas dans l’appartement), les souris, j’en ai disséqué une centaine pendant mes études et mon singe a failli mourir pendu à la corde à linge, il a fini dans un zoo.
Les animaux, je connais, et j’ai la poisse avec eux. Je les aime, mais il arrive toujours un truc (je suis pareil avec les plantes… faudrait tout de même que je me fasse désenvoutée)

Si possible, donc, j’aimerai que mes enfants soient préservés de cette souffrance que j’ai connu. Donc, pas d’animaux. Je sais, c’est vache, mais je peux plus.

Ou alors, un cyber animal. On n’aura qu’à changer les piles si il meurt, et ça, je préfère!

Aujourd’hui, donc, VTech s’associe au blog pour vous faire gagner 6 adorables petits animaux interactifs. Des animaux qui ne meurent pas (yes), qui, équipés de roulettes, se déplacent en avant, en arrière et tournent à gauche ou à droite; et qui réagissent au son : il suffit de leur parler ou de taper dans ses mains pour leur donner à manger, les laver…

L’animal parfait par excellence, et surtout, un jeu sympa pour amuser nos chères têtes blondes.

Regardez donc comme c’est mignon:

Donc 6 Kidiminiz en jeu aujourd’hui!

Pour cela, c’est très simple, il vous faudra remplir le formulaire ci dessous et revenir me dire en commentaire que c’est fait (vous pouvez même me raconter une anecdote avec un animal pour que je me sente moins seule!)

Vous avez jusqu’au 22 mai 2011 inclus.

Et toujours, jusqu’au 22 mai inclus, vous pouvez jouer ici:

(j’ai un cadeau bonus dans ma manche, si vous avez participer à au moins 8 sur 10 jeux, vous avez votre noms dans le panier)

 

1 Marcel Les Babioles de Max

1 Tableau OléOhlala

1 vêtement anti-UV de chez Lilikim

1 veilleuse nomade Pabobo

3  Scanny Interactive de Leapfrog

3 albums photos chez foto.com

1 Biberon isotherme en inox OrganicKidz

2 portes-bébé Babybjörn vintage

1 baignoire ou 1 babyphone Babymoov

BONNE CHANCE!

Stigmates…

J’ai stressé les 2 fois 9 mois de mes grossesses. D’un stress sans nom. Pourtant, j’étais plutôt bien, malgré les 3 premiers mois horribles, le reste c’est passé comme une formalité.
Mais j’avais constamment cette boule au ventre – non, je ne parle pas du fœtus- l’impression permanente qu’il allait arrivé quelque chose. Quelque chose de grave. Comme si je ne méritais pas ce bonheur. Je ne peux pas l’expliqué, au fond, je me dis que je tentais inconsciemment de conjurer le mal.

Mais rien n’est arrivé de malheureux, mes enfants ont enchainé les tests en labo et autres échographies avec succès. Encore maintenant, les petites cases sur leurs carnets de santé sont scrupuleusement cochées (ah non, Clapiotte ne marche toujours pas vraiment, en fait).

Bref, je ne sais pas d’où cette angoisse sortait, mais j’en ai fini, et c’est tant mieux.

Aujourd’hui, je me bats avec une autre angoisse, évidemment, mais celle-ci, je pense que toute bonne mère un peu psychotique -comme moi- se traîne le même soucis: la peur qu’il arrive quelque chose à notre progéniture.

HEUREUSEMENT, on n’y pense pas tout le temps. Nonnnnn, ça serait trop horrible sinon!
Nooon, pour détourner notre attention de mère parano, on a de la matière, et quand je dis matière, je choisis mon mot.

Par exemple, AVANT d’avoir planté la graine, on était plus jeune, plus sereine, plus mince, plus lisse, plus pétillante plus…. (complétez à votre guise).
APRÈS… comment dire… avec un peu de chance, on ne cumule pas tout.

Mais personnellement, je cumule suffisamment pour parfois avoir envie d’un séjour en centre de re-formation corporel. Oui, car il nous reste des stigmates de nos grossesses, ne mentez pas!

Attention, cette liste me concerne moi, Cranemou, 30 ans, mais si tu t’y reconnais (un peu), tu as le droit de me dire que je ne suis pas seule.

1/ La peau d’orange ou moins poétiquement appelée la cellulite. Je sais, je mens un peu, j’en avais déjà avant. Mais là, lààààà. J’en ai tellement que je n’ose même plus me regarder l’arrière train sans quoi l’ai l’impression qu’on m’a greffé un sac Chanel capitonné. Sur chaque fesse. J’ai un cul de luxe.

Tes fesses à l’Elizée

 

2/ L’arrière de canasson  plus communément appelé « culotte de cheval ». Rien que de nom, t’as envie de t’immoler devant une statue de Bartabas. Deux espèces de flancs te sont poussés sur le bas des hanches… Et bientôt, tu penseras serieusement à t’en défaire à coup de taille-haie.

Si en plus il te pousse une queue, le deuxième taille-haie est à 50%.

 

3/ Les vergetures. Tout un programme. Si tu as de la chance, tu en auras à des endroits peu visibles par le commun des mortels (tout autre personne que toi et -malheureusement- ton homme). Genre, si on était des beaufs, on aurait pu surnommer mes seins Louis XIV tant ils ont tenté un remake des Tournesols de Van Gogh. Là, j’ai rien à dire. C’est moche ET irréversible ET bien moins appétissant qu’un marbré de mémé.

 

4/ La ligne brune. 17 mois que Clapiotte a trouvé le chemin et cette fichue ligne est toujours là. Certes, au début, ça peut toujours servir à nous rappeler la direction à prendre au Mari, mais bon… franchement, après 6mois c’est bon, non? on se rappelle tout seul du chemin, pas besoin de se la jouer Petit Poucet!

C’est nettement moins joli sans le ventre

 

5/ La cerne. Façon maquillage permanent. Impossible de l’enlever à moins de tenter la technique de la truelle et d’investir dans des cours de camouflage. On ne dormira PLUS JAMAIS sur ses deux oreilles. S’y faire. Et en profiter pour détester l’homme ronflant à nos côtés, atteint chaque nuit d’une surdité sélective.

6/ Le dérèglement hormonal. Quoi t’est-ce? Si, on a toute ça, je suis sure. Genre, AVANT, bah on était « normale ». Depuis on a, au choix (ou tout à la fois), trois horribles poils bien drus qui nous poussent sur le menton qu’un jour le gosse va te sortir un assassin « tu piques » qui te rappellera à quel point tu étais méchante avec tata Chrysanthème. Tu peux aussi avoir une sudation excessive. Qui pue. Parce que « juste » les auréoles, c’est pas fun. La migraine peut également te rendre visite de temps en temps, histoire de conforter le mâle dans l’idée que la ligne brune, finalement, pour se rappeler du chemin, c’est pas mal.

7/ Une (ou plusieurs) cicatrice. Genre, moi, j’en ai 3. Sur 2 accouchements, on note qu’il y en a une de trop. La faute au forceps. Foncièrement, au bout d’un temps, ça va, on les oublie. Surtout étant donné leur emplacement? Mais mince, quoi, avoir la salle des fêtes qui se prend pour Ribéry, on aurait pu éviter!

8/ Je vous laisse écrire la suite, je trouve que perso, j’en cumule déjà suffisament!

9/ Oui, bon, ok, en tout derniers stigmates, il reste quand même ça:

Le bon dieu sans confession

 

 

Pour faire original

Aujourd’hui, je vais vous la faire ultra originale, genre, han tout le monde parle de la quantité astronomique de chocolat ingurgitée hier (sauf ceux qui le font aujourd’hui)…
Bah moi… bah je vais faire pareil, en image et juste en rajoutant que Météo France n’a qu’à bien se tenir, il a fait BEAU!
Les enfants ont couru, on a découvert de la famille (toujours pas d’oncle riche des États Unis mais je ne désespère pas), on a pris 120Kg chacun… et c’était une belle journée… même pas de quoi vous faire marrer avec des anecdotes croustillantes…

Sauf si N°1 qui marche sur le pied de sa Mamie fraîchement opérée et lui fait sauter un point ça compte…

Sauf si mon fils qui court dans tout les sens comme un possédé en criant « lààààà, y’en a aussiiii lààààà » et qu’avec son panier plat, dans les côtes, des oeufs se faisaient la malle, et qu’en se retournant, il re-hurlait « lààààààà, j’en ai encore trouvé làààààà » ça compte aussi….

Sauf si quand on retrouve sa mère et sa fille planquée derrière des arbres en train d’ouvrir les Kinder ça compte double.

Sauf si N°1, toujours en transe, qui voit de la couleur à travers les buissons, y fonce comme une furie et s’arrête net: « ah, non, c’est Clapiotte » ça compte triple!

 

 

Et vous, c’était bien?

 

Demain, y’a du giveaway pour enfants gâtés, et en attendant, c’est pas parce que c’est le week end (encore) qu’il faut oublier la Clapiotte: On cherche « Cléo » là et on clique, tous les jours, de chaque ordi! http://www.jeu-kibio.fr/voter

Ma tête dans la boite

« Mamaaaaan, t’as dit que t’étais à la télé aujourd’hui, mais t’as pas dit sur quelle chaine et on t’a as vu »

Voilà comment je me suis faite accueillir par N°1 quand je suis rentrée de ma virée parisienne lundi dernier.

Ouais, j’étais sur un tournage, mais c’est un peu compliqué d’expliquer de quoi il retournait à mon N°1 qui a encore du mal à saisir qu’il y a des acteurs ou alors des présentateurs et que ces gens ont une vraie vie en dehors du petit écran…

Alors qu’à vous, je peux vous raconter!

J’avais rendez-vous à Saint Denis, Stade de France dans les studios où l’équipe de Parole de Mamans nous attendait. On a inauguré la première, et c’était assez bien, finalement, comme ça, tout le monde refilait son stress à tout le monde, pas de jaloux dans les coulisses!

Sans blagues, une émission télé, ça se passe comment?

Déjà, j’ai pas de point de comparaison, mais je vais te parler de celle ci en particulier, et on fera genre c’est pareil partout, ahem..

Donc, on t’accueille gentiment et tu passes direct au maquillage. Ça tombe bien, tu viens de te faire 2h de train suivis de quasi 1h de RER juste parce que t’as pas pris le bon et que tu t’es retrouvée dans la zone de Paris, entourée par trois charmants jeunes hommes au jogging remonté et au vocabulaire onomatopique (si, ça doit exister ce mot, quelque part). prix du voyage en cité: rajouter dans les 2,50euros pour la ballade, sans compter le saut de l’ange par dessus les barrières parce que ton billet n’était pas censé t’amener aussi loin.

L’avantage, quand la maquilleuse ne se prend pas pour Picasso, c’est que tu as le droit de regard sur ton oeil de panda, donc, tu demandes un oeil plutôt naturel, hein!

Ensuite on mange. Des hamburgers, parce qu’on aime bien le défi de ne pas s’en mettre de partout et de pas niquer tout le travail du make up artist (ouais, à un certain niveau de rattrapage de face, on appelle ça des artistes). Et puis, zou, en scène. On se retrouve sur un plateau convivial, nous sommes 4 blogueuses, deux experts et la présentatrice… et une armada de caméras et de gens qui viennent et s’en vont aux aléas des dispositions des projecteurs ou des traces invisibles sur les écrans derrière nous.

On te colle un micro dans le décolleté, et ça te fait marrer parce que y’a un mec qui fait que de revenir pour tenter de le remettre droit. Et puis, pouf, j’oublie qu’être branchée à un micro signifie qu’on est écouté, aussi, je ne m’en rends compte seulement une fois que j’ai sorti ma connerie « rhoooo, encore mon micro tu crois? pfff, tout ça pour toucher mes nichons! ». Tu penses qu’il m’a laissé faire toute seule après, le pauvre, pis c’est pas comme si y’avait du matos dans le tish en plus…

Et cette fille qui revient sans cesse te repoudrer parce que tu brilles… tellement qu’à la fin, tu ne te vexes même plus!

Et c’est parti pour les répétitions, un petit rire, on recommence, et on tourne!

Je passais en dernier. J’avoue tout, j’étais super zen, vraiment, très concentrée sur ce que disaient mes copines. Je faisais même des clins d’oeil à Virginie quand elle a réussi à dire SON mot compliqué (que même l’experte elle a trébuché). Sauf quand c’est arrivé à Shalima. Là, j’ai moins fait la maligne, je commençais à avoir les miquettes…jusqu’à ce que ce soit vraiment mon tour. Il fallait assurer. Il Le Fallait. Et alors? allez vous me demander… Bah alors, je ne sais plus. je ne sais pas vraiment ce que j’ai raconté, je sais que j’ai trembloté, j’imagine que je n’avais pas l’air bien futée… mais voilà, c’est fait, et j’ai aimé l’expérience, vraiment, surtout avec une équipe pareille (petit coucou à Sandra qui était là et qui nous faisait des signaux d’encouragement!)!

Avant de partir, ne pas oublier qu’on vit aussi dans le monde réel où les gens ne sont pas plâtrer par du fond de teint, alors on enlève le gros, quand même.

Et c’est quand qu’on nous voit, vous allez me demander? Bah je ne sais pas, et de toute façon, je garde le droit de ne RIEN vous montrer si jamais j’ai trop honte, gnark gnark gnark!

Je remercie Parole de Mamans de m’avoir permis cette expérience, les copines grâce à qui on a bien ri et aussi à l’équipe qui était franchement sympathique, et j’espère à une prochaine fois! (si si, je serai mieux!)

nan mais vu du canapé, c’était moins impressionnant..hum…

 


Le naturel est mon ami

 

 

 

Ca vous tenterait vous, de faire de la télé? Et si c’est déjà fait, ça vous a plu?