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Gui Mauve et son bonheur en boite.

Aujourd’hui, pas de concours, tiens, ça vous fera les pieds un peu. D’ailleurs, je tenais à dire que je me suis légèrement laissée prendre dans le tourbillon, mais qu’on ne m’y reprendra plus, j’ai un peu perdu les renes alors que je suis chez moi, c’est tout de même fou!

En fait, si, tiens, aujourd’hui, c’est cadeau, c’est distribution de barres de bonheur.

Du bonheur parce qu’on n’en a jamais assez, parce que je lis trop de choses remplies d’amertumes et que je veux juste m’amuser et rire de la vie.

Du bonheur parce que je suis partie deux jours respirer ailleurs, loin des miens pour mieux les retrouver et apprécier une vie simple et légère.

Du bonheur parce que ça me va mieux au teint que l’angoisse.

Du bonheur parce que c’est bien après ça que tout le monde court.

Le soucis quand on parle du bonheur, c’est qu’on devient cul-cul. Et je suis pas cul-cul. Sauf quand je tente de parler de bonheur (cqfd).

Juste parce que je suis systématiquement dans l’opposition, je voulais un billet écœurant plein de barbapapa pour contrecarrer les polémiques vaseuses, les petites croisades futiles et les gérémiades sans fin sur lesquelles je tombe.

On respire un bon coup, on se regarde et on se dit que finalement, la vie est belle, forcément quelque part.

Et je prends le parti d’y croire coûte que coûte. Je vous en fais profiter, mais demain, je reviens pour dire à quel point mes enfants ont des gènes de Belzébuth.

Parce qu’il faut pas déconner non plus.

Ayons le courage d’être heureux, cultivons notre plaisir et laissons nous le temps d’apprécier.

Récemment, à Paris, ville réputée pour abriter un condensé de gens tirant la tronches, j’ai levé la tête dans le métro. Dans la cohue de têtes baissése et oreilles vissées à des casques, certains faisaient comme moi. Et nous nous sommes souris.

Oui, prenez moi pour une illuminée, mais je pense que nous avons tous besoin de ça en ce moment. Fin de l’ambiance morose. Serieusement, à quoi ça sert de se morfondre? Se faire plaindre par dautres gens qui se plaignent, personne ne s’écoute plus, c’est stérile et sans fin.

J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé.

(Voltaire)

Viens, je t’emmène!