Je ne suis qu’une super héroine refoulée (et faible…aussi)

Avant de vous faire un rapport détaille de mes supers vacances (qui l’eut cru, alors que je suis adepte dela plage), une mini mise au point quant à ma condition physique… Bah c’est pas ça, hein!

Depuis notre arrivée, tous les jours, nous courrons de droite à gauche, piscine, tennis, marche, trampoline, volley, Laverie, Ping pong… Et d puis quelques jours je me suis découverte une passion pour les sports de supers héros, à savoir, l’escrime et le tir à l’arc.
Ça doit faire un moment que je refoule mes espoirs de devnir Robin des bois ou D’Artagnan, parce que j’y mets du coeur…et du souffle.
A ce jour, j’ai donc fait le deuil de 3 de mes doigts de la main droite, de mon biceps droit, de ma cuisse droite et de ma fesse du même côté.

Devenir une super héroïne, ça a un prix, le prix de devenir pour la journée (enfin j’espère), complètement paralysée du côté droit.

Rien que de voir trois marches, j’en ai la larme à l’oeil.
Rien que de savoir que j’ai pris rendez vous avec les archers me fige les doigts.

J’aimerai bien devenir la soeur cachée de Guillaume Tell et de Lancelot, mais là, tout de suite, je vais juste me prendre un transat…

Et vous? Ça va bien?

Et si on se faisait un plan à plusieurs?

J’ai toujours rêvé d’un grand appartement à partager. Vivre façon auberge espagnole me faisait rêver et j’adorais squatter chez mes amis qui habitaient en colocation. D’ailleurs, du temps de mes études, il m’arrivait souvent de profiter de l’absence de l’un deux pour squatter sa chambre, histoire de vivre à plusieurs, moi qui habitait un petit studio confortable mais dans un quartier bof, mes copains avaient 150m2 avec poutres apparentes en plein centre ville. Et je ne parle même pas des fêtes.

J’ai failli, il y a de ça une dizaine d’années, franchir le pas avec une copine. A 2, pour commencer Et puis Tony a débarqué, et la collocation s’est transformé en mise en ménage, finalement.

Depuis, je regrette toujours un peu de ne pas avoir réellement connu un chez moi à plusieurs, je ne saurai pas si c’est chouette, de partager son petit déjeuner avec un pote ou simplement une autre personne, qui avait besoin, comme moi, d’un toit à partager. Il faut dire qu’à part avec ma copine, je ne sais pas si j’aurai osé poser une annonce pour demander si quelqu’un voulait bien tenter le coup: « JF cherche colocation désespérément ».

Dans le film l’Auberge espagnole, on voit les collocs faire passer des entretiens à leur futurs voisins de chambre… aurai je seulement été capable de poser les bonnes questions sans me faire dessus (mais non, ce n’est pas de la timidité, juste que j’aime pas être intrusive, hum)?

Par chance, aujourd’hui, il y a internet, et quand mes enfants partiront en colloc (nan parce que vous croyez que j’ai fait des Tanguy ou que j’ai assez d’argent pour payer un vrai loyer supplémentaire?), nous n’auront pas besoin de déposer une annonce sur le tableau d’affichage de la boulangerie:

« N°1, 19ans et propre recherche colocataire homme ou femme entre 19 et 25 ans capable de supporter les 135 appels quotidien de sa mère. Propriétaire de chat s’abstenir« 

Va savoir si avec ce genre d’annonce, on n’aurait pas eu des égorgeurs de chatons ou des jeunes hommes fan de voix de femmes mûres! On sait pas!

Non, maintenant, il y a plus simple, même pas la peine de demander la permission à la boulangère. De chez soi, derrière notre clavier, on peut poser une annonce ou simplement consulter les annonces en ligne sur un site colocation.

Ainsi, en un coup d’œil, on a l’âge de la personne, sa situation amoureuse et professionnel, si elle a des animaux, si elle fume, si elle est pour les fiestas etc… bref, déjà de quoi faire un bon tri, puis, on renseigne les goûts, les + de la colocation (si jamais on arrive avec un lave linge, c’est un gros plus, par exemple) puis un descriptif de l’appart et de sa situation.

En me baladant sur le site SmoovUp, j’ai pu m’apercevoir qu’on pouvait rechercher le colocataire idéal par critères d’affinités, et ça change tout, car autant ne pas se retrouver avec quelqu’un qui va nous taper sur le système au bout de trois jours.

Quand on connait les prix exorbitants des loyers dans les grandes villes, on sait bien que ce genre de site n’est pas seulement utile qu’aux étudiants, mais aussi aux jeunes actifs. Il y a même des parents séparés qui s’y inscrivent pour alléger un peu leurs charges mensuelles. Plutôt une bonne nouvelle, je trouve, car je ne vois pas bien comment on peut lâcher  minimum 800euros dans un loyer (histoire d’avoir une chambre pour les enfants quoi) lorsqu’on est seul(e).

Vous y avez déjà pensé à la coloc? Vous avez essayé?

 

 

 
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C’est pas c’lui d’ta mère

Bon, j’ai coutume de souhaiter les anniversaires des enfants, de Tony et même du blog ici même…

Alors, comme je ne suis qu’auto satisfaction, je vous le dis: aujourd’hui, c’est MON anniversaire, et malgré le vent gelé, il fait SOLEIL en Bretagne, et je vais encore me gaver de Kouign Aman… Je suis faible.

Et sinon, les vacances, c’est chouette! Mais je reviens binetôt, ne croyez pas que je vais laisser ce blog à l’abandon aussi longtemps.

Vous pouvez continuer à prier pour que tout à l’heure, j’ouvre un beau paquet contenant, au choix, un mac book ou un IPad… on y croit encore, j’ai renoncé à la voiture, mais ça, je suis sure que ca pouvait rentrer dans une valise!

A la bonne votre, je vais noyer cette année supplémentaire dans la biere, le cidre et les cris des enfants…

 

 

 

Mouais;…

Et mes chaussettes, rouges et jaunes à p’tits pois…

Aujourd’hui, c’est la journée nationale de la valise chez Cranemou.

Nous partons demain en vacances, et il va falloir assurer niveau valoches, parce que nous partons en avion, avec EasyJet, si, si, vous savez, la compagnie pas chère mais que si ta valise pèse 4 grammes de plus, tu es bon pour repayer l’équivalent d’un billet.

Donc, aujourd’hui, on se prend la tête pour savoir ce qu’on emmène. Le pire, c’est que dans une semaine, nous serons revenus et il faudra refaire le même trafic… bon, certes, la prochaine destination, on y va en voiture, ça sera plus simple.. On va comparer tiens (je ferais le mode voiture la semaine prochaine, j’ai déjà du mal à penser à ma valise de demain, alors celle de dans une semaine, c’est même pas la peine)!

Mode de transport: AVION

Destination: BRETAGNE

Nombre de passagers: 4 (moins 1, Clapiotte comptant pour du beurre).

Nombre de valises: 3 bagages à main (poids non limité) + 2 valises en soute (moins de 20kg).

Evaluation de la situation: Bon, je veux bien tant que vous voulez ne pas continuer à alimenter la rumeur comme quoi en Bretagne il ne fait jamais beau, mais là, franchement, au vu de la météo, ils m’annoncent pas franchement du soleil.. ni une température estivale d’ailleurs (par estival, j’entends plus de 22°C, j’ai revus mes critères à la baisse ces dernières semaines). Donc, il va faire 17°c, pluie incluse.

Bonus difficulté: Dans la semaine, il y aura le baptême de ma filleule, ce qui veut dire qu’il nous faut une tenue un peu plus jolie+ la paire de godasses qui va avec. Pour chacun d’entre nous.

Ne pas oublier: Les doudoux, les pyjamas, les brosses à dents, les sous vêtements, pantoufles des enfants, les fringues pour le baptême (ca serait con quand même), la trousse à pharmacie (anti histaminique, anti gratte, anti fièvre, anti poux, anti maux de tête et anti gueule de bois-indigestion), les nœuds pour les cheveux. Accessoirement, ne aps oublier, non plus, les pièces d’identité ET les billets d’avion... Les enfants?

Et sinon, bah il va falloir faire rentrer les Kway et cirés, une polaire chacun, des pantalons, des TShirt, des lunettes de soleil (parce qu’on y croit toujours), des baskets pour les ballades, des parapluies, des pulls, des bermudas (pour avoir testé, je préfère avoir les mollets mouillés que tout le pantalon humide qui me colle jusqu’au genou) le nécessaire de toilette, quelques bouquins, la DS, les Ipod, les jouets, les cadeaux, les appareils photos, l’ordi portable, les carnets; les coloriages, le couches, … Bah on n’a pas fini.

C’est surtout en arrivant sur place qu’on se rendra compte de ce qu’on a oublié. En attendant, on va faire ce qu’on peut…

Là, tout de suite, on est en pleine mesures des différents sacs que nous avons pour savoir ce qui rentre ou non en bagage à main et ce qui passera en soute. Et plus je regarde le tas de valises, plus je me dis que j’ai eu des gros goûts de chiottes concernant le choix de mes bagages.

Dans mes rêves, je voyagerai avec de beaux bagages, mais je jetterai surtout mon dévolu sur ce genre de bagages à main, juste parce que je ne suis qu’une crâneuse refoulée:

Valises Bakker made With Love, Tann’s et Lale

 

Et les enfants seraient pourvus de roulettes:

Porteur Valise Trunki

Dites moi que je ne suis pas seule et que chez vous aussi,

les bagages, c’est une vraie galère! Non?

 

Culture people en berne.

Je dois avouer quelque chose de peu reluisant pour une « femme » de mon âge, je ne prends plus le temps de lire. Je lis des bouquins en anglais, le soir, avant de sombrer dans le coma de la mère épuisée fait de rêves entre-coupés de micro-réveils (on ne sait jamais, des fois qu’un des deux rejetons ait un besoin urgent de pipi-eau-respirer (on sait jamais). En gros, on va dire que je lis 10 pages par soir, sauf exception, quand je m’endors devant facebook.

Il fût un temps où je lisais un bouquin en 4 jours, où j’achetais 15 magazines par mois et même, parfois, le journal.

Aujourd’hui, je lis en diagonale les infos sur le net et les magazines qui s’entassent dans mes toilettes datent de 2009.

Ma culture people s’en ressent grandement. Hier, je me suis retrouvée avec Closer Magazine entre les mains. J’avoue qu’à part chez mon coiffeur, je ne pratique pas trop ce genre de lecture, sauf l’été, où je me plongeais pendant des heures sur des articles de dix lignes et des photos de cellulite en gros plan. Pas très profond mais ô combien jubilatoire. Je ne suis qu’une fille, voyez vous.

Le soucis, lorsqu’on replonge dans ces magazines et qu’on n’a pas vu la brosse à brush de Massimo depuis plus de 6 mois, c’est qu’on est larguée. Le magazine people, ça se lit régulièrement au risque de passer pour une has been de la hype. Pour moi, Georges Clooney avait toujours un cochon comme compagnon, Brad Pitt trompait Jennifer Aniston et j’avais toutes mes chances avec Matt Damon. Ouais, bah le cochon est mort, Brad a 54 enfants et Matt ne donne plus de ses nouvelles. En fait, ces trois personnes comme un tas d’autres qui faisaient partis de ma culture  VIP (Very Important Potins) ne fascinent plus. Ils sont moins bankables pour ces magazines, qui préfèrent pariés sur de jeunes gens prometteurs comme Ayem de secret Story, Bar Rafaeli, DSK, ou autres Kardashian. Ne me demandez pas, je ne sais pas qui sont ces gens. De toutes façons, j’ai eu des potins sexe-cellulite et Rock’n Roll, ça me va, je ne m’attendais pas à plus (ce qui est faux, finalement, puique pour le même prix, j’ai même eu des pages beauté, mode, horoscope et jeux… à croire qu’ils savaient que j’avais un peu mûri).

Merci à Alicia Keys de ne pas avoir encore perdu ses kilos, ça fait plaisir!

J’en viens donc à me poser cette question: faudrait-il que je m’abonne à ce genre de magazines pour ne plus être à la rue pendant des conversations profondes entre amies sur le bien fondé de la relation entre Cameron Diaz et Jared Letto Justin Timberlake Paul Sculfer  Matt Dillon Alex Rodriguez?

La dernière fois que je me suis abonnée à un mensuel, c’était Picsou magazine en 2008 1989. Il serait temps que je me reconnecte à la lecture de revues… Et puis à part quelques mails, je ne reçois plus trop de courrier, alors que je me rappelle encore de ma joie lorsque je recevais mon journal, petite. Je suis sûre que ça fait toujours le même effet!

Bon, certes, le deuxième effet kisscool, c’est le prix d’une année d’abonnement, mais en cherchant bien, on peut trouver une bonne centrale d’abonnements magazines comme Toutabo qui propose des prix plus qu’intéressants. Le seul soucis, c’est qu’avec plus de 900 abonnements magazines, là, tout de suite, je ne sais plus trop où donner de la tête… Je penche pour 6 mois de Closer… et Time… pour compenser (le prix pour Time est juste hallucinant).

Et vous, vous saviez que Georges et Leonardo etaient célibataires?

Mais qu’est ce qu’on fout encore là, je vous l’demande?

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Une MimiQuE pour la Terre?

Quand N°1 est né, entre deux visites à la maternité, j’avais pris un grand plaisir à dépouiller la grosse boite pleine de magazines, publicités et d’échantillons qu’on nous donne en cadeau et en bon pigeon de nouvelle mère que nous devenons.

A un moment de mon tri, je suis tombée sur un petit prospectus à renvoyer concernant l’opération Guigoz en partenariat avec l’Office national des forêts Un BéBé, Un Arbre. En remplissant la petite fiche, mon fils avait reçu, en son nom et quelques jours plus tard, une attestation comme quoi il était le parrain d’un arbre, planté grâce à lui, dans une forêt de la région. Je trouve ça mignon, et peut être qu’un jour, nous irons admirer SON arbre… peut être…

Cette campagne Guigoz existe depuis 1991 et depuis, des millions d’arbres ont été plantés. Plus qu’un clin d’œil à notre enfant, cette opération a permis l’entretien et la protection des forêts françaises.

Cette année, les Laboratoires Guigoz repoussent nos frontière pour une opération exceptionnelle en faveur du reboisement de forêts à Madagascar : Une MimiQuE pour la Terre.

Et nous pouvons tous y participer dès aujourd’hui.

Sur le même principe que Un BéBé Un Arbre, cette fois ci, il s’agit de poster 1 photo de bébé semée dans l’arbre virtuel (un arbre symbolisant les 20 ans d’engagement des Laboratoires Guigoz pour l’environnement) = 1 arbre planté à Madagascar.

Madagascar est, en taille, la 5ème île du monde et possède pas moins de 13 millions d’hectares de forêt. Cependant, à cause de l’explosion démographique et de l’augmentation des besoins en ressources, un reboisement est nécessaire.

L’ONF International et les populations locales y travaillent, et les Laboratoires Guigoz s’engagent dans cette campagne à hauteur de 20 000 arbres plantés.

 

Oui, vous avez bien compris, 20 000, c’est donc le nombre de photos qui devront être accrochées dans l’arbre virtuel et je compte sur vous pour non seulement participer, mais aussi déployer tous vos réseaux pour faire circuler l’information un maximum.

J’ai déjà posté mes deux photos, l’arbre n’attend plus que les vôtres !

Rendez vous vite ici: www.unemimiquepourlaterre.fr

 

Vous en êtes ?

 




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Vidéo virale par ebuzzing

Coup de pot!

Clapiotte grandit, truc de dingue, genre on ne m’avait pas prévenu!

Et puis faut dire que tant qu’elle ne marchait pas, ça restait mon petit bébé…là, depuis un mois qu’elle s’est vraiment lancée (au bout de 6mois de « je sais faire mais je vois pas l’intérêt), je la vois un peu moins comme mon gros bébé rien qu’à moi, d’ailleurs, elle me le fait bien sentir.

Depuis un petit moment, j’ai reçu un pot grâce à Bébé au naturel, un joli petit pot tout rose de fille qui fait des crottes odeurs barbe à papa (comment ça vous n’y croyez pas?). Le pot est resté en bonne place dans la chambre de Clapiotte, bien en vu. Mais je n’avais pas grand espoir.

Et puis comme Clapiotte adore me tenir compagnie dans les toilettes (classe), je me suis dit que tant qu’à faire, j’allais lui montrer l’utilité de la chose (non, je ne me suis aps assise dessus, n’allez pas imaginer des pratiques bizarre dans cette famille!). Depuis, le bécopotty, puisque c’est son nom (même si Clapiotte l’appelle « Pipi ») se fait balader par elle de pièces en pièces, servant d’assise, où qu’elle aille.

Mon futur meilleur ami


Et un jour, pendant que je changeais mon arsouille, elle me montre son pot et me dit « Pipi ». Pleine d’espérance, je la laisse cul nu et la plante sur le pot. Je lui donne un livre et la motive à coup de « pschhhh » (le bruit de l’eau est vachement dur à reproduire à l’écrit). Ni une ni deux, elle rempli son pot et se lève, trop fière. Je me vois déjà jeter le plan de change, ériger une statue en forme d’urinoir et faire la danse de la joie. D’autant plus que Clapiotte refuse de remettre une couche. Pas de problème, j’y crois, je la laisse les fesses à l’air, le temps de nettoyer le pot que je remet dans la chambre, spécifiant à ma grande fille trop douée de l’urètre qu’il est là en cas de besoin.

Sereine, je vaque à mes occupations de mère au foyer (si, facebook, ca compte). Soudain: HURLEMENT.

Suspens, que c’est-il donc passé?

Je retrouve Clapiotte dans sa chambre, index tendu vers son beau tapis qui a coûté une plèvre à ma mère, et au milieu, une énorme crotte. On m’aurait dit que c’était un Rotweiller qui était passé par là que je l’aurai cru.

Traumatisée, ma p’tite Clapiotte. Il a fallu une bonne demi heure pour que je la calme, le pire moment étant celui où il a fallu ramasser son ignominie devant ses yeux de princesse en sucre.

Depuis, la couche est redevenue sacrée, le pot redevenu un fauteuil…


Si elle veut, elle s’assoit dessus en amazone!

(oui, je sais pour ses cheveux, pas la peine  d’insister)


Y’a plus qu’à attendre la prochaine fois. Je reste positive, la propreté sera mon chemin de croix pour l’année 2011-2012. Et dire que ce pot est biodégradable et que le truc que je trouvais sympa, c’est qu’une fois que l’enfant passe aux toilettes de grands, on peut l’enterrer dans le jardin de mamie pour lui dire adieu… Bah c’est pas gagné, ça, encore!

 

 

 

 

Une soirée secouée.

Il y a une quinzaine de jours, je vous racontais à quel point ce blog me faisait faire parfois un peu n’importe quoi. C’est comme ça que je me suis retrouvée avec une quantité astronomique d’Orangina dans mon placard. Les enfants avaient joué avec un moment en faisant un tas de constructions, n’empêche qu’il fallait tout de même trouver un moyen d’écouler un peu le stock.

C’est comme ça que j’ai pensé à une soirée Cocktails. Le cocktail, c’est bon, c’est chic, c’est…euh…bon (oui, deux fois).

On a fait ça à la maison, et donc, en accord avec Tony (qui imaginait déjà voir débarquer une troupe de blogueuses en folie), en petit comité (les travaux dans mon manoir de 648m2 n’étant pas terminés).

La cuisine s’est transformée le temps d’un soir en bar à cocktails, moi en barmaid (pas très douée, surtout au niveau du style) et les clientes allaient arrivées. Sur la liste des invitées: Cyl, Chocoladdict, Electroménagère et Alorom (y’en avait une autre, mais bizarrement, elle a préféré rester à la plage).

Bon au final, seules les deux premières sont venues, les deux autres déclinant au dernier moment pour d’obscures raisons, à base d’enfants, il me semble…

Au menu, des toasts, des cannelés salés By Cyl et un dessert à tomber par Choco (des cannelés(aussi), souvenirs de notre escapade bordelaise, une tuerie). Le tout arrosé joyeusement d’Orangina mélangé à un tas de bonnes choses et des blablas à n’en plus finir.

Résultat? C’était TRES bon, tellement que j’ai remis ça avec des amis le lendemain soir. J’ai décrété que boire des cocktails à la maison, c’était quand même redevenir Djeuns, un peu. Et même aps mal aux cheveux le lendemain!

Et comment on fait pour avoir une recette, allez vous me demander? On va sur le site de la boisson, et on clique frénétiquement jusqu’à ce qu’on trouve son préféré.
Vendredi soir, nous avons testé le Gina’s Punch, le Gina’s Passion et j’ai même tenté le Orangita. Mon préféré restant tout de même le premier, à base de jus d’ananas…

Je ne vous cache pas qu’il reste quelques packs… donc, peut être que je remettrais ça en septembre! Et cette fois, pas d’excuses bidons où des enfants auraient besoin de vous!

@Choco: tu sera OBLIGEE de revenir et OBLIGEE de refaire des cannelés. Mais 150 cette fois ;D

A la maison, vous êtes plutôt vin, apéros ou vous jouez les barmen?

Ne me mange pas, ne me mange pas!

J’avais entamé il y a un moment une saga sur les repas de Clapiotte. J’avais parlé de l’allaitement, puis, du biberon. Il est temps de parler de la diversification.

Oui, tu le sais, Clapiotte est déjà loin de la diversification. 15 mois déjà que cette petite chose a goûté pour la première fois à la petite cuillère. Un grand moment pour la variété de mes échanges avec elle!

Ça avait bien commencé, elle avait l’air de plutôt apprécier le changement, les nouveaux goûts, mes mimiques ridicules pour qu’elle ouvre la bouche. En fait, tant qu’on en restait à de la purée de base et surtout quand c’était moi qui gérais le moment, tout allait bien. Sauf que Clapiotte, dès qu’elle a compris qu’elle avait des mains, elle a tout de suite su à quoi elles allaient servir. La catastrophe commençait. Barbouillage à la carotte et autres masques aux épinards, rien n’allait plus.

Voilà, voilà….


Pire encore, nous avons abandonné les purées lisses pour les morceaux. Ma nature stressée de l’étouffement par biscuits à la cuiller a sûrement eu raison de l’accomplissement totale de cette étape: Clapiotte a refusé très longtemps les morceaux, triant patiemment les bouts trop gros du mouliné. Les repas devenaient une vraie plaie.

Oui, avec que deux dents, je pouvais encore comprendre!


Et puis c’est venu petit à petit. A grand renfort de gâteaux, surtout. Quand elle a enfin compris qu’on pouvait couper avec les dents et non pas avec sa lange, il y a eu comme un déclic.

A nous morceaux de pain, de viande, de miettes…. mais les légumes QUE NENNI.

Non, il faut savoir que depuis tout ce temps, Clapiotte refuse le légume en morceaux alors qu’elle va être capable de se descendre un paquet de Petits Beurre en 10 minutes chrono planquée derrière une porte (ça pue le vécu!).

Et plutôt que de me battre, oui, dites le, je suis faible, je préfère lui servir de la purée de légumes plutôt que de voir mon mijoté de carottes-topinambour partir à la poubelle.

Et je ne vais pas mentir non plus en disant que ca ne m’arrange pas. Nan, parce que dès qu’on sort ou qu’on voyage, le petit pot tout prêt à faire réchauffer est mon meilleur ami, je l’avoue.

Sauf que la purée pour Mme Clapiotte, quand elle n’est pas déjà toute prête, il faut lui faire. Et sortir ma cocotte minute et mon robot pour 200grammes de mouliné, ça me rend hystérique. Encore plus depuis que le babyCook m’a lâchement abandonné (et PAF le bol). Du coup, je vous avoue que je rentabilise mon nouveau robot Philips Avent*: Maxi Saveur, il s’appelle. Que de promesses!

Simple, efficace

Aller, je vous fait un topo de la bête, vu que je peux comparer avec le mythique Babycook:

Niveau design déjà, ça fait moins bébé. Du coup, bizarrement, je trouve aussi que ça fait moins camelote… La contenance du bol est plus grande ce qui est un gros plus car je préfère congelé que de faire des micro portions, et à l’âge de Clapiotte, la contenance du babyCook était limite.

Niveau utilisation, j’ai trouvé ça assez similaire, avec un petit plus car le fait de juste retourner le bol pour mixer, et donc sans avoir à enlever le panier vapeur en se brûlant les doigts, c’est quand même le grand luxe. Evidemment, si vous devez vider l’eau (parce que vos enfants mangent des légumes moins liquides que ma fille), il faudra bien ouvrir la bestiole à un moment. Niveau bruit, bah, ça reste un robot. En revanche j’ai trouvé qu’il mixait plus rapidement… maintenant, mon Babycook se faisait peut être vieux aussi. En tout cas, cuisson + mixage, ça n’a pris que 15 minutes tout compris, et je n’ai pas eu besoin de m’y reprendre à douze fois pour mixer cette satanée patate!

Le petit truc que j’ai trouver moins marrant, c’est l’ouverture du couvercle. Dur dur. Bon, il se fait avec le temps, mais la première fois, je me suis demandée si j’allais réussir à en venir à bout!

Et le truc carrément bien, c’est que comme il n’y a qu’un seul élément, on ne perd pas trop de temps au nettoyage (vu qu’on adore tous ce moment là, c’est bien connu!)

Et sinon? Bah sinon, le côté pratique du robot n’a pas amplifié mes dons de cuisinière, je suis donc constamment en train de chercher une idée de menu. Comme je ne fais que les légumes au robot (oui, rappelez vous, la viande, elle la mange en morceaux), je patauge un peu. Ce qui marche bien, c’est la purée pomme de terre-betterave. Je sais, moi non plus ça ne me fait pas baver d’envie, mais le principal, c’est que ça marche!
Et sinon, on a testé le brocolis-pomme de terre-vache qui rit: grand succès (et les brocolis, à la maison, c’est un peu le légume maudit), tout le monde en a mangé… en purée, donc!

(pas de panique, le bavoir est blanc car c’est le DEBUT du repas!)


Avec le robot, Clapiotte a eu en cadeau un set de couverts-assiettes-bols de la même marque. Mon avis à moi, c’est que c’est plutôt mignon et bien pratique car le dessous des assiettes est anti-dérapant. Mais un VRAI anti dérapant. ca a évité pas mal de lancé d’assiettes en cuisine: oui, parce que Clapiotte, quand elle n’en veut plus, il faut que ça dégage vite fait. Elle se croit au Pub!


Côté Clapiotte, c’est la joie totale. Elle est dingue du ‘apin qui y est dessiné et je n’ai absolument plus le droit de tenter de la faire manger dans autre chose que ça. C’est dommage, parce que quand même, j’avais quelques bols très jolis, moi!

Le seul point noir de ce set, c’est qu’il ne supporte pas qu’on y coupe quelque chose au couteau dedans. Le plastique s’abîme immédiatement. J’ai retenu la leçon, je coupe AVANT la viande dans une autre assiette (genre, la mienne quoi) et je verse.

Voilà, voilà, je ne sais vraiment pas comment je vais m’en sortir avec ces repas bizarres et compliqués… moi qui espère secrètement qu’un jour, nous mangions tous le même plat, c’est pas encore gagné… à moins qu’on ne mange que des purées nous aussi!


 

Chez vous aussi c’est compliqué de faire passer certaines choses?

 

*(le robot et les assiettes  de cet article m’ont été offerts pour test, merci à Philips Avent).

Les 10 bonnes raisons de ne pas être petit

Ouais, c’est un peu la mode des tops, et comme j’ai été élevée à coup de Top50, que je suis d’humeur joueuse et que je ne savais pas comment caser cette photo qui me paraissait indispensable à la vie de ce blog, bah je me lance!

les 10 bonnes raisons de ne pas être petit.

1/ Quand tu prends 2 kilos, ça se voit.

2/marcher à longueur de journée avec des talons de 12, ça va bien quand tu t’appelles Eva Longoria, moins quand on t’appelle « mamannnnn, j’veux faire cacaaaaa ».

3/ Quand on te demande ta carte d’identité à l’entrée d’une boîte à 20 ans, tu te vexes. A 30, c’est pathétique.

4/ On te fait toujours monter à l’arrière dans les voitures de la taille  d’un Playschool ou on te met derrière le conducteur qui a reculé son siège à mort parce que lui, il fait 1,90m.

4 (bis)/ Au mieux, on te fait monter devant en te demandant de rapprocher le siège si près du tableau de bord que tu doutes que l’airbag ait la place de se déployer avant que tu t’encastres dans le plastique.

5/ Tu ne sais pas ce que c’est qu’une soirée mousse ou un concert dans une fosse, en général, tu t’échappes avant de mourir (au bout de 7 minutes, donc)

6/ Les gosses de 8 ans font ta taille, et mon fils en a 6… il n’attend que ça!

7/ Ah, dommage, tu n’auras pas le dernier pot de Nutella en haut du rayon.. à moins que… en grimpant lààà…si je tire fort sur mon bras…. ah non. Bon, le miel, c’est bien aussi.

8/ Être deux sous un parapluie, c’est juste pas possible. Soit t’as une crampe au bras, soit t’es mouillée tellement il est haut.

9/ Au bar, t’es toujours obligée de monter sur le repose pieds pour qu’on te voit. Avec un peu de chance, ça glisse et tu te prends le comptoir sous le menton.

9 (bis) / y’en a toujours un pour te dire que t’es pile à la taille pour lui faire une gâterie (en général, tard le soir, dans le même bar pourtant très fréquentable… mais là, tu peux aussi changer de potes…)

10/ Y’a des jeux qui ne sont pas vraiment étudiés pour…

Un 11ème pour la route: tu es ridicule de vouloir faire une photo avec un tennisman…

 

Et on peut rajouter:

12/ on te rabat les oreilles avec des « ohhh, mais plus c’est p’tit, plus c’est mignon »… On sent qu’ils n’ont jamais vu Mimi Matty de près