J’voudrais être architecte à Dubaï.

Les enfants, c’est marrant (ça change de mon article d’hier), ils ont des lubies, des manies, des petites folies.

Et des préférences.

Chez les Cranemou, par exemple, on est très jeux de constructions.

Quand j’étais petite j’avais un bac de Clipo chez mes grands-parents et j’adorais y jouer pendant des heures. Tony a encore des caisses de Légos rangées dans le grenier de ses parents, tout comme celles de mon frère dans la cave parentale.

Génétiquement parlant, on peut dire que les enfants étaient prédisposer à aimer la brique colorée.


©Nathan Sawaya

Du coup quand une invitation pour une après-midi chez Légo s’est présentée, j’ai été bienheureuse (et complètement inconsciente) d’y emmener les enfants. Paris, Paris, comme tu es jolie, même après 2 heures de train à faire jurer-pas-cracher à mes enfants de rester calmes (ils ont été calmes. Mais ça reste usant cette histoire de train, j’exige qu’on m’affrète un jet privé la prochaine fois).

Sur place, BON-HEUR. Déjà, je découvre le café Kids Friendly Une mère Une fille où se passent en ce moment les opés pour blogueurs parents. Bon, je ne vois pas grand chose du concept vu que les Légos sont partout.

Un coup d’œil sur mes enfants.

Qui sont déjà loin.

Clapiotte a trouvé une caserne de pompier avec un boggan trop bien pour y faire glisser les missieurs et les mincesses. N°1 est en train de tenter la noyade dans la piscine de légo.

Je croise quelques copains, je vérifie que je vais bien gouter à mon premier cupcake de toute ma vie grâce à l’atelier organisé pour l’occasion, je bois des cafés, je discute le bout de lard et je m’aperçois que non, nous ne pouvons pas renier nos enfants. Je pense que Légo, c’est une allèle sur le chromosome 24 qui nous rend complètement barges dès qu’on croise une briquette à picots.

Je note que Clapiotte adhère aux univers que propose la marque, que ce soit les pompiers, les animaux, la « vie courante » ou les toutes nouvelles licences Disney avec Cars et les Princesses, elle a tout aimé (mais un petit pencant sur la princessee quand même qui faisait de la rampe de pompier)

N°1 quant à lui reste fidèle à la brique pure et dure. Et peu importe que ces briques là étaient des « grosses » (des Duplos quoi), il s’est empressé de faire des constructions, pour finalement venir me chercher, me montrant une multitude de tours sur une plaque: « J’ai recréé Dubaï. Quand j’serai grand, je ferai ça. Des tours à Dubaï ».

Nous sommes repartis avec quelques briques qui ont fait le bonheur des enfants pendant le voyage retour et j’en remercie vivement les organisateurs!

Ce jour là, les enfants se sont littéralement éclatés et à mon grand bonheur, sont toujours aussi heureux de participer avec moi à ce genre d’experience (ça m’embêterait un peu qu’ils soient blasés, quand même).
Pour ma part, j’ai aimé les voir s’occuper comme ça, j’ai adoré découvrir Clapiotte en mémère à l’aise quand elle jouait avec le set de construction de gâteau et qu’elle m’a donc servi du gateau en plastique en me chantant « jayeux naniversaire » et la tête de N°1 quand je lui annoncé la meilleure nouvelle de sa journée: les briques de Duplo et de Légo s’imbriquent les unes dans les autres… autant vous dire que le soir même il voulait récupérer ses Duplos dans la chambre de sa soeur!

Par la même occasion, j’ai appris l’existence du Club Légo auquel j’ai immédiatement inscrit N°1.

Demain, nous fêtons son anniversaire (oui, encore) en famille. Et devinez ce qu’il va avoir? Une nouvelle lubie.


Les Lego HeroFactory. Certainement ses employés dans son cabinet d’architecte….

 

Plaie ouverte

Selon une croyance ancestrale, » être parent, tu vas voir, c’est que du bonheur ».

J’aimerai que cette phrase soit passible d’un emprisonnent à vie avec petites tortures quotidiennes en sus.

Sans rire, faire miroiter ne serait-ce qu’un instant à des futurs parents qu’ils vont prendre leur pied chaque jour de leur existence en compagnie de leur descendance, c’est l’équivalent du Père-Noël: une grosse déception à la clé. Vous me direz qu’on a tous cru au Père-Noël et qu’on n’est pas tous devenus tueur en série. Certes.

Depuis qu’on est parent, et plus précisément, depuis que je suis mère, j’ai vécu des moments géniaux, doux, drôles, tendres, émouvants, joyeux, remplis de bonheur.

Plein.

vraiment.

Et puis il y a eu ces jours où j’ai eu envie de tout plaquer tant les cris inconsolables me faisait perdre la raison, des envies de défenestration aussi, parfois.

Le manque de sommeil m’a fait devenir exécrable, je n’aime pas vraiment donné le bain et les sorties au parc pour faire la mère sympa c’est vraiment pas mon truc. Non, tout n’est pas rose.

Mais par dessus tout, il y a la maladie infantile. Cette vicieuse, perfide et sournoise catin.

Les premières fois, ca nous tortille l’estomac, on a le poil qui se hérisse en entendant geindre notre petit bout de nous, on se sent vide et inutile quand même les câlins ne suffisent plus. Les nuits sont courtes, les yeux sont cernés, la tension est palpable.

Et puis certains s’y font.

Moi non. Il faut dire que mes enfants font des trucs rarement communs, parce que voyez vous, sans ça, on aurait une vie un peu trop pépère.

Depuis vendredi dernier, Clapiotte a eu 4 jours de fièvre, 2 jours de plaques-boutons de partout, 5 jours d’angine, un appétit d’anorexique. Et puis un truc à ne pas uriner pendant 24h aussi.
Elle a peu dormi, elle a râlé sans interruption.

J’ai eu mal pour elle, j’ai été inquiète et je l’avoue, oui, de temps en temps, j’avais juste envie de lui dire de la fermer tellement j’étais épuisée. Mais une bonne mère ne fait pas ça. Une bonne mère prend sur elle et encaisse sans sourciller. Je ne peux plus faire ça. je ne peux plus parce que quand l’angoisse se fait trop forte, je suis tétanisée et j’ai envie de respirer, de tout lâcher, d’envoyer tout le monde balader, de ne plus faire comme si ça me glissait dessus. Ça ne glisse plus. Et mes enfants sont tellement forts pour faire des trucs pas communs que j’en suis toujours à me demander comment ça va évoluer.

Bref, aujourd’hui, ça va mieux, je l’ai même mise à la crèche pour tout dire, mais même si les maladies infantiles s’espacent de plus en plus avec le temps, je sors vraiment épuisée moralement de ces étapes.

D’ailleurs, cette semaine, à ma visite annuelle chez la gynéco, avec Clapiotte qui me tenait la main, vu qu’elle n’a pas été à la crèche, mon docteur m’a demandé en jetant un regard attendri sur Clapiotte: « Vous pensez faire un troisième bientôt? »

J’ai ri. Nerveusement, mais j’ai bien ri.

Un troisième tour pour tenter encore des expériences médicales passionnantes. NO WAY!

Rappelez moi d’adopter un hamster si l’envie d’un troisième me titille!


La pharmacie du quartier où ils vont bientot me demander de participer au loyer tellement j’y passe du temps
Et sinon, je confirme qu’internet quand on s’inquiète, c’est de la merde (oui, à ce point là!).

 

 

 

 

 

L’âge de raison par N°1

Ca y est, nous y sommes passés.

N°1 a fêté dignement ses 7 ans dimanche.

7 ans que 3,470 Kg venait changer notre vie, malgré tout ce que nous avions pu nous jurer.
7 ans que je le regarde grandir s’en m’apercevoir qu’il a dépassé depuis longtemps le stade de bébé à sa maman.

N°1 s’épanouit sans avoir besoin de moi chaque minute parce qu’il a 7 ans, et qu’à 7 ans, on fait ses trucs et ses machins seuls, qu’on devient pudique (ou pas), qu’on a un jardin secret qu’on entretient en tenant éloigné les grands.

Et donc, avant de tomber délibérément dans le pathos de la mère qui regrette le temps des couches-culottes, je vais plutôt m’attarder sur la journée de dimanche.

Un anniversaire de 7 ans, finalement, pour un 7 ans, ça ne change pas vraiment par rapport aux anniversaires précédents: « je veux un super gâteaux et aussi qu’on s’amuse et aussi que mes copains repartent avec des cadeaux ».

Ouais, il est comme ça N°1, il aime bien faire plaisir.

A tout le monde sauf à moi, parce que me coltiner un gâteau « joli », c’est carrément un challenge pour moi. L’an passé, j’avais été subitement atteinte de folie passagère en lui aisant un gâteau Beyblade.

cette année, que nenni, je comptais pas y passer ma journée à faire de la découpe artistique de gâteau. Je lui ai dit, d’ailleurs. Il m’a répondu: « oui, mais là j’ai 7 ans » avec ce petit regard qui sait déjà qu’il a gagné d’avance.

J’ai fait un train que j’ai meublé de Légo Star Wars. Et finalement, c’était facile. La déco a tout fait, les enfants se sont prosternés devant ma Force.

Le seul soucis, c’est que cette fois ci, j’ai vite été écrasée par la supériorité de Tony qui avait passé la journée à confectionné une chasse au trésor de malade. tellement bien pensée que j’avais envie de jouer, même sous 35°c.

Pendant une heure, les enfants se sont éclatés à résoudre des énigmes, à faire des gages, pour finalement trouver un vrai coffre fort dont il fallait découvrir le code (un carton savamment attaché à une chaine, bouclée par un cadenas à code) (la chaine a eu son petit effet sur l’assemblée, je conseille vivement). Dans le coffre (et là j’interviens à nouveau), des merdouille trouvées dans un magasin* qui revend plein de jouets pas chers type fête foraine ET surtout, des pistolet à eau (merci pour l’idée aux copines de Facebook!). Et c’était parti pour une grande bataille d’eau.

Un petit arrêt pour s’extasier sur le gâteau, mais finalement, il faudra quand même que je retienne qu’il peut être beau, mais être bon, on s’en fiche, les gosses préfèrent jouer et boulotter des bonbons.

Après ravitaillement des troupes et avant que les parents ne les retrouvent asséchés comme le Sahara, Tony lance un grand foot.

A priori, facile de faire faire du foot à des enfants de 7 ans. En période d’Euro, c’est carrément l’apothéose du jeu d’anniversaire. Ils s’en sont donnés à cœur joie, on a failli récupérer quelques chevilles au passage, mais je pense que nous pouvons nous vantez d’avoir accompli notre mission: rendre les enfants à leur parents dans en état proche de l’Ohio, cuit confit, prêt à coucher.

On est comme ça, avec Tony, on aime donner un petit coup de main.

D’ailleurs, à propos de coup de main, si vous avez dans l’idée d’organiser un anniversaire de mômes ou juste d’en inviter chez vous, je vous conseille d’avoir une cage de foot à porter de main, ça fait toujours son petit effet.

Quoi? Comment ça vous n’avez pas de cage de foot?

Bon, alors si c’est comme ça, Varta et moi-même vous en offrons une de ce genre pour célébrer l’Euro (bon, moi, je célèbre surtout l’Euro en profitant des soirées que ça me laisse à vrai dire):

1 cage à gagner en me laissant un commentaire digne d’un supporter (supporter de quoi? A vous de voir)

Fin des participations dimanche, comme l’Euro.
Je tirerai au sort le gagnant.

 Et sinon, l’âge de raison?

Bah N°1 a dit « putain » trois fois sans même sourciller et ose des « c’est dégueulasse, j’m’en fous etc… ». Il a dû confondre raison et lâchage complet!Mais c’est bien, il tente sa chance! Il perd mais il tente sa chance.

*Le magasin de merdouilles s’appelle « La porte Bleue », rue Deruelle, Lyon 3eme.

EDIT: FisherE gagne la cage de foot!
Merci à tous!

Je me suis remise au sport. Rigole pas toi au fond!

Non, sérieusement, j’en pouvais plus de mettre des tuniques longues pour cacher la misère de mon fessier épanoui et, surtout, mou.

14 ans de sport intense, arrêt quasi complet, soirées arrosées de bières et de curly, un homme, deux enfants et 10 ans plus tard… bizarrement, je ne rentre plus dans mes pantalons d’une époque si lointaine que je ne me rappelle même plus quelle taille je mettais (je mens).

Le soucis majeur n’étant pas de prendre du poids, finalement, ça, je pourrais presque m’y faire. Mais la mollesse et l’aspect capitonné de la cuisse, je peux pas. je peux plus? Et c’est pas grâce à mon laisser-aller de ces dernières années que j’ai aidé à remédier au probleme!

Il y a quelques mois, j’entendais parler pour la première fois de l’aquabiking. Des genres de tarés avaient eu la bonne idée de mettre des vélos dans une piscine et de faire pédaler mémère pour lui faire fondre son derrière.


Les tarés en action.
(zut, nous on n’a pas de petit bonnet vert)

J’avais ri. Un peu, en me disant que tout de même, la vie était rempli de masochistes.

Et puis mon popotin s’est mis à enfler et s’avachir. Tant et si bien qu’à la fin il creva. Enfin, non, mais c’est l’impression qu’il me donnait. Surtout en maillot de bain en fait.

Du coup, j’ai comme péter un câble, un lundi matin, après un petit déj tartines-beurre-nutella j’ai googlisé aquabiking dans ma ville. Hasard, la seule salle de sport proposant ce sport de psychopathes se trouve dans ma rue. Plus loin, mais dans ma rue. Coïncidence? je ne pense pas.

Je glane quelques infos sur facebook en demandant aux copines si elles ont eu vent de ce sport. Entre les convaincues et celles qui, comme moi, hésitent, je me dis qu’il y a de l’espoir: tout le monde a l’air content et personne n’est venu dire à quel point c’était nul. Je pars en courant vers la salle en question demander un peu plus.

2 heures plus tard, j’ai signé un contrat (sans engagement, je suis pas dingue, et j’ai déjà commis cette erreur).

Le lendemain, je mets mon plus beau maillot, c’est à dire mon seul une-pièce qui ressemble au maillot de l’équipe roumaine de relai en dos crawlé en 1974, et je pars toute pleine d’espoir sur le devenir de mes capitons.

« Tu vas voir, en trois séances, tu vois déjà des résultats »

« C’est super, mais c’est dur, et alors quand il te dit de pédaler en arrière, je te raconte pas… »

Ouais, c’est ça, me raconte pas. Pas la peine, ce matin, après ma 6ème séance, il m’a fait pédaler en arrière. Je pense avoir versé une larme mais je me demande si peut être c’était pas de la sueur qui me goutait dans les yeux.

L’aquabiking, c’est vraiment bien. si si. Ça me fait du bien. j’ai envie de crever à chaque fois que j’en fais mais je suis fierté et changement de peau après chaque séance. Oui, parce que non, je n’ai pas maigri (faudrait que je m’attaque à mon alimentation pour cette partie là), mais ma peau va un peu mieux. C’est beau, de savoir que j’en chie pour quelque chose.


Publicité mensongère.
Non, tu ne souris pas et tu n’as pas cet air enjoué quand tu pédales comme un forçat.

 


Après égérie du papier toilette, égérie Easytone?
Je vous laisse deviner celui qui me flatte le plus :D

Les livres pour mamans, c’est bon, mangez-en. (cadeau)

Deuxième petite chronique de ces livres que je reçois dans ma boite histoire de m’instruire un peu.
C’est drôle, parce que depuis que je blogue, je lis moins de livres. j’ai un Kindle mais finalement, en lisant toute la journée sur mon écran, j’ai un peu du mal à m’y remettre le soir. C’était sans compter les talentueuses auteures qu’on me fait découvrir ou re-découvrir.

Tout d’abord, je vais vous parler d’un livre qui m’a beaucoup plu alors qu’il ne m’est pas spécialement adressé, il s’agit de « Au secours! Elle veut des fraises« , la grossesse expliquée aux garçonc édité chez Leduc et écrit par Gaëlle Renard. Ce nom vous dit quelque chose? C’est normal, elle était chroniqueuse aux Maternelles sur France 5 à l’époque de Maïtena.
Et moi, dans une autre vie, je voudrais être Gaëlle, parce qu’elle est vivante, souriante, intelligente et vraiment marrante. Quand elle parle de maternité, elle vise juste et quand elle parle aux mecs de la grossesse, je me marre. Livre non-testé sur Tony mais je suis certaine qu’il apprécierait l’humour. Pas à pas elle s’adresse au futur père avec une justesse que j’aimerai avoir.
Je vais le relire, pour la peine!

On reste aux Editions Leduc pour vous présenter le livre de Kaz Cooke talentueusement traduit par notre désormais célèbre Frédérique Corre Montagu. C’est en fait la suite de son premier opus « Guide de la maman qui assure » de 0 à 1 an dont j’ai parlé précédemment. cette suite, donc, est fatalement appelé « Maman assure, quand bébé grandit » et donne des conseils concrets pour les enfants de 1 à 5 ans. J’ai moins adhéré à tout ce qu’il se disait dans ce livre par rapport au premier (oui, bon, seulement un ou deux points en fait, et comme c’est un avis subjectif, je ne dirai même pas lesquels, je n’ai pas encore la parole toute puissante pour vous imposez mon avis), mais le chapitre sur la rentrée en maternelle ou sur les papas sont des perles qui valent le détour, idem pour les thèmes faire garder son enfant ou quelques règles de comportements qui m’ont bien fait marrer. Le chapitre sur la santé est vraiment digne d’intérêt car franchement instructif pour un premier enfant (oui, car au deuxième enfant, on a un équivalent bac+12 en pédiatrie).

On continue dans les « suite » bien que ça n’en soit pas une, mais je vais reparler d’une auteure dont j’avais également parlé la derniere fois, il s’agit de Marjolaine Solaro (que vous connaissez sous le pseudo Marjoliemaman) qui publie cette fois chez First un livre intitulé « Ma grossesse en 300 questions-réponses« . Co-écrit avec Marie-Christine Bourg et Bénedicte Lafarge-Bart, respectivement sage-femme et gynéco-obstétricienne, ce livre répond en détail et avec sérieux à un tas de questions qu’on peut se poser quand notre ventre s’arrondit sans pour autant oser les exprimer face à des équipes médicales qui ne nous mettent pas toujours à l’aise (et puis avouons le, parfois, on a l’impression qu’on va passer pour une demeurée avec nos questions que l’on pense idiotes). Un must have pour les futures mamans dans le doute (ou pas d’ailleurs).

Et pour finir, on sort un peu de la maternité (ouais, rébellion, on en a marre, youhou, brûlez moi ces couches culottes)(oui, je pète un plomb, si je veux) avec les carnets de listes de Frède chez Hachette Pratique.
Quand j’ai reçu ces listes, d’abord, j’ai juste dit « hiiiii, c’est trop joliiiiii ». Tellement qu’imaginer les ouvrir me paraissait inconcevable tant j’allais regretter de les abîmer un peu.

Et puis, bon, je suis bien trop curieuse pour m’arrêter là. 10 petits carnets colorés, un pour la beauté, un autre pour les voyages ou encore un pour les enfants. Mais y’a quoi derrière ces jolies couvertures qu’on a l’impression d’avoir de nouveau 10 ans tant ça nous plait de les avoir entre les mains?
Des listes de tout.
Des listes pour le pas oublier, des listes à cocher, des liste pour ne pas se tromper, des listes à idées…. Des listes et des listes, sans s’arrêter, Frede à compiler ses conseils sous forme de carnets listes ludiques.

A quoi ça sert? A rien, à tout, à sourire surtout et parfois même à se rappeler, à trouver la bonne idée.

Parce que c’est joliment futile, ces listes trônes sur mon bureau, elles m’inspirent et rien qu’en regardant leurs couvertures je suis de bonne humeur.

Et comme je ne vais pas vous laissez à procrastiner sans faire quelque chose pour vous, j’ai donc la joie de vous annoncer que ces listes porront bientot trôner sur votre bureau aussi. j’en ai une à vous faire gagner et pour jouer, il suffira de me dire en commentaire une de vos raisons de faire des listes (je dis çà en regardant lamentablement celle qui est scotchée à mon ordinateur avec écrit « à faire pour mercredi » alors qu’on est samedi et que seulement deux choses sont rayées).
Vous avez jusqu’au 1er Juillet 2012 inclus pour participer.

Je tirerai au sort l’heureux gagnant.

Bonne chance et encore merci à tous ces gentils éditeurs pour ces découvertes et aux auteures, évidemment, pour leur talent.
PS: moi aussi j’ai un projet. je donne. Qui n’en veut?

EDIT: c’est Anti Mere Poule qui a été tirée au sort! Bravo et merci à tous pour vos commentaires qui, vraiment, parfois, sont bien marrants!

Bon, on fait quoi?

On a beau être les plus merveilleux parents du monde, nous ne sommes jamais à l’abri d’un vide intersidéral quand un jour, comme ça, alors qu’on pensait s’en sortir l’air de rien, l’Enfant se pointe avec sa mou de chien battu et nous assène d’un « on fait quoiiii? J’m’ennuiiiiie »

Oui, il s’ennuie. Il a environ tout Toy’s r Us dans sa chambre et la DVDthèque de la plus grande médiathèque de France mais non. Il s’ennuie.

Alors on se creuse lamentablement la tête pour aérer la bête mais on ne voit pas toujours plus loin que le parc municipal… à la toute limite la piscine.

C’est là que notre über-connectivité intervient et qu’on peut vite fait trouver des sorties pour enfants sur des sites tels que Citizen Kid.
Je m’en sers régulièrement pour avoir les programmations jeunes publics, par exemple, ou pour trouver la sortie enfants à faire pas loin de chez moi.

Bon, là tout de suite, je me demande une chose, c’est « qu’est ce que je vais bien pouvoir faire faire à 8 enfants dimanche »?

Oui, dimanche, N°1 aura 7 ans.

Dimanche pile en plus, alors c’est dire s’il est content de fêter l’âge de raison pile poil le bon jour avec ses amis (qui n’ont toujours pas tous répondu à l’invitation, nan mais franchement j’ai une journée à OR-GA-NI-SER moi!)

Donc, oui, au début, je me disais que pour ne pas avoir le droit à des « on fait quoiiii on s’ennuiiiie » pendant cette journée, j’allais zyeuter un peu les sorties enfants du moment, ne serait ce que pour avoir un plan B en cas de mauvais temps.

Et puis finalement, je me suis rendue compte aux anniversaires où N°1 est allé récemment que maintenant, il n’était plus vraiment nécessaire de leur préparer des occupations pré-définies. Voire même que ça pouvait se retourner contre nous!
Entendu récemment en sortant d’un anniversaire, justement: « La mère de Kevin elle est nulle pour les jeux d’anniversaire, elle y comprend rien et en plus elle s’énerve ». Comme quoi, en voulant trop bien faire…

Donc, oui, 7 ans, âge de raison etc… mais on va se la jouer cool et garder nos plans sorties et activités pour les journées de vraie glandouille. Dimanche, on ira sur l’herbe, avec deux ballons en mousse, une cage de foot improvisée, des boissons et des bonbons.

Et ça sera bien.

Et pendant ce temps là, je pourrai pleurer sur le temps qui passe….


J+1 avec l’arrière grand mère…
C’était hier non?

 

 Bon, si vous avez quand même UNE activité de jardin à proposer, je veux bien, hein, on sait jamais des fois qu’ils decident que le foot, c’est trooop nuuuul (sales gosses)

 

Le mobile, l’alibi déco.

Sachez d’abord, avant de commencer, que je suis très fière de mon titre, en tant que grande consommatrice de séries type Les experts & Co!
Mais ça n’a rien à voir avec la choucroute du jour. Aujourd’hui, je voudrais vous présenter une réalité: c’est en choisissant un mobile qu’on va choisir la déco de la chambre de son enfant. Bon, l’inverse peut être tout à fait vrai, en fait, mais si je l’avoue ça ne rentre plus du tout dans l’esprit de cet article.

Donc, un mobile, c’est quoi? Un espèce de machin qu’on pendouille au dessus de la couche du divin enfant, pensant naïvement que cela va lui procurer un quelconque divertissement, apaisement ou même que cela va l’éveiller (enfin, parce que bon, trois mois à ne pas fixer son regard, c’est long, quand même).

Oui, et bien non, hein, un mobile, ça sert SURTOUT à faire joli.

Et il faut quand même avouer qu’il y en a des vraiment chouettes.


pas mal de ces mobiles sont réalisables avec un peu d’huile de coude, comme celui-ci
Et puis il y a aussi des créations Ferm Living, Clemence G, Kristin Loffer Theiss ou encore un vieux mobile Fisher Price.

Je ne sais pas ce que ça fera à nos enfants, mais moi, en tout cas, ça me fait rêver… et ça me donne encore plus envie de décorer la chambre en raccord avec le mobile choisi…

Faut-il encore arriver à le choisir! Vous prenez lequel?

Lecteur, tiens toi prêt, je suis une STAR en devenir!

Mes chers lecteurs, mes amis, mes chouchous (ça commence bien tiens),

Depuis des mois et des mois vous me suivez, ici ou ailleurs et parfois même chez d’autres.

J’ai pas toujours le temps de vous répondre un à un mais j’essaie, j’essaie d’être divertissante pour les pénibles journées de bureau (oui, hein, je vois bien que le week en arrivé, vous avez tôt fait de zapper la case blog, bande d’ingrats qui préférez passer vos week end en famille, nan mais dites donc!), j’essaie d’apprendre à vous connaitre même si j’ai une mémoire de poisson lune.

Mais bientôt, tout ça va changer. Tout ça ne sera plus qu’un lointain souvenir. Bientôt, je vous snoberais de très haut et vous, vous serez encore fiers d’avoir eu la chance de pouvoir communiquer avec moi aussi facilement. OUI, parce que prochainement, je vais devenir une star mondial et CA, vous l’aviez pas vu venir.

Dans quelques jours maintenant, vous allez allumer votre télé pour regarder Jean Luc Reichmann (tu as des gouts simples, lecteur, c’est bien de savoir rester simple) et là, comme une révélation, entre la poire et le fromage, la tronche de Cranemou dans ta télé. BIM. PIRE: pendant une looongue semaine, vous allez voir ma trombine sur plein de chaines (même celles qu’on regarde jamais).

Cranemou, votre serviteuse (j’ai le droit d’inventer des mots, je suis une star) s’auto-proclame reine du papier toilette triple épaisseur (et parle d’elle à la 3ème personne, star-attitude on a dit).

Je sais que vous trépignez, les milliards de mails que je reçois chaque jour anticipent ma gloire prochaine en me demandant des photos dédicacées. Bientôt, je mettrai même sur Ebay le rouleau de PQ qui m’a rendu célèbre au profit d’une association pour la recherche contre l’hémorroïde. Oui, je saurai rester généreuse.

Et comme mon heure de gloire est proche, je me permets de vous raconter un peu comment s’est passé cette journée qui, sans vous, public, n’aurait pas eu lieu d’être.

D’abord, je me suis levée tôt. Très tôt. Sous le soleil parisien, je savais qu’il n’était pas nécessaire de me mettre de l’anti-cerne mais par respect pour le chauffeur de taxi, il a quand même fallu que je passe mon visage, meurtri par des oreillers trop mous, à la truelle.
J’attends patiemment mes futurs collègues (oui, nous sommes trois futures stars, mais on parle de moi là non?) et nous voilà partis tous les trois pour Chatenay Mallabry, charmante petite bourgade non desservie par la RATP (en tout cas, pas celle connu du provincial de base, à savoir, moi).

Arrivés sur place, je sens que je suis tout à fait à l’aise… envie de me terrer environ à la profondeur d’une strate du paléozoïque supérieur.
On me propose un café, ce qui est fort perspicace pour me laisser le temps de m’adapter à tout ça: des gens (inconnus), un lieu (inconnu), du materiel de télé (inconnu) et des gens ‘inconnus) (oui, deux fois, mais des gens quoi!!!).

Oh, et puis finalement, le producteur a dû penser que j’avais l’air bien assez à l’aise comme ça, tiens, hop, qu’il me dit, tu finiras ton café quand tu seras décédée de timidité prête, plutôt. On m’envoie directement à l’habillage-maquillage.

Il est 9h et j’ai déjà sué comme après une séance de Pilates (GENRE, je fais du Pilates), pas honte du tout non, jamais. De toute façon il est trop tard.

Marie la j’espère gentille maquilleuse m’en veut légèrement de m’être déjà mal maquillée. Je le savais, mais je bredouille une excuse à base d’oreiller, de taxi, de GENS!

Autour de moi s’affaire la douce et gentille habilleuse qui ne m’en veut pas de ne pas assumer une veste de tailleur rose fushia et opte plutôt pour quelque chose de plus simple. Je ne me vois pas, mais après le fushia, j’ai entière confiance.

De retour auprès de Marie, Make Up Artist de renom (si, c’est moi qui le dit, tu verras comme elle m’a fait jolie!) me rachete un visage humain. les maquilleurs sont des génies. Je ne me vois toujours pas, mais bizarrement, on me sourit plus que quand je suis arrivée, ça doit avoir un lien.

Pendant que la magie du ravalement de façade opère, mon « coach » Jean Marie, vrai comédien, lui, tente de me mettre à l’aise avec mon texte (une phrase, donc). je pense que je lui fais un peu peur, la faut à mon Alazheimer précoce qui m’empêche de retenir une phrase de 12 mots.

Et puis aller, hein, c’est pas comme si on avait un planning à tenir mais on me jette dans l’arène.

J’ai de la chance. Beaucoup. Parce que parfois, j’ai tort, et moi qui prenait cet univers de la télé comme un milieu où les gens se snobaient les uns les autres, je me retrouve avec des personnes charmantes, de bonne humeur et toujours là pour encourager, motiver et sourire.

Même l’ingénieur du son à l’affût du moindre souffle mal placé me faisait des blagounettes.

Et on sait comme le sourire a son importance pour moi. Tout à coup (après 10 000 prises à peu près), je me détends un peu et je comprends que si je me lâchais un peu, l’Oscar ne serait pas loin.
Je rigole bien. Je ne sais absolument pas si ce que je fais est digne d’une production AB mais je m’éclate, parce que l’expérience est vraiment bonne, parce que l’équipe est chouette et parce que… bah quand même quoi, c’est pas comme si j’allais recommencer demain, donc autant en profiter!
(Nan mais si vous insistez, je dois avoir un créneau pour une pub pour du saucisson ou des retours gastriques) (nan, sans blaguer, je dois avouer que je retenterai bien… pour voir si je suis capable de me détendre un peu plus vite).

Je n’ai rien vu de ce que j’ai fait. J’espère ne pas trop vous faire honte quand même. J’espère que ma famille ne me reniera pas sur 8 générations non plus.

Et j’espère que vous allez bien rire en tombant dessus. Vraiment, parce que c’était super!

MERCI!

(Et merci à toute l’équipe de tournage, sans exception ainsi qu’à l’Agence Acapulco, à Lotus et au soleil qui a permis de passer une journée un peu hors du commun ce jour là)

Tous en boite

NON, il est impossible d’y avoir échappé ces derniers temps, les box fleurissent de toutes part et les marques ne manquent pas d’imagination pour nous donner envie d’acquérir à notre tour ce précieux coffret pour une somme modique… Pourquoi? Parce que nous aimons les cadeaux et que recevoir une box, c’est l’assurance d’avoir chaque mois une petite surprise dans sa boite aux lettres.

Oui, parce que si on compte sur le mari ou les enfants, on peut toujours moisir en la regardant notre boite aux lettres.

Donc, les « box » qu’est ce que c’est (pour toi, au fond, qui n’a pas été connecté depuis qu’on a dépassé le stade  de l’abonnement internet 512k):

La box est un concept d’abonnement mensuel grâce auquel vous allez recevoir chaque mois une boite remplie de cadeaux selon le thème auquel vous vous êtes abonnés.

Ainsi, la toutou-box te fera parvenir chaque mois un ciré à la taille de ton chien, un os à mâchouiller, une balle qui fait boing-boing et un collier anti-puce.

La bio-box te fera parvenir des recettes bio, des graines de soja et des jardinières en papier mâché, tout comme la 80’s-Box t’enverra chaque mois un lot de pin’s, de chouchous et une K7 de la Compagnie Créole pour le mois de juillet.

Je me moque un peu, parce qu’en fait, comme beaucoup, je me suis faite piéger, j’ai tenté une box beauté une fois et sincèrement, à 25 ou 30 euros la boite d’échantillons, on ne m’y reprendra plus. En fait, seule la jolie boite rose poudrée toute belle valait le coup finalement, si je veux des échantillons, je peux aller pleurer chez Sephora, je serai moins déçue!

Toute bornée que je suis j’ai dit « plus jamais ».

Et puis Tiniloo m’a contacté pour tester SA box pour les bébés.

Bon, déjà, on touche une corde sensible, je suis plus bébés que beauté. Et puis j’ai prévenu: je ne suis pas du tout convaincu du concept.

Mais Caroline ne se démonte pas, sûre de son projet et insiste pour m’envoyer la box de juin. Soit. Je suis joueuse.

Avant de recevoir mon paquet, je m’informe un peu mieux sur le site de Tiniloo (je suis joueuse mais j’aime bien savoir à quoi m’attendre quand même): le concept de Tiniloo, c’est un coffret surprise à destination des mamans et des bébés (0-36 mois) moyennant un abonnement mensuel de 24,90 €. Le coffret contient entre 4 et 6 produits et on me promets que je n’aurai pas le droit à des échantillons… j’attends donc!
Le petit truc sympa, c’est qu’un abonnement est possible et plus économique: 48,80 € pour 2 mois d’abonnement; 69 €  pour 3 mois d’abonnement (5€ de réduction); 124 € pour 6 mois d’abonnement (1 coffret offert); 249 € pour 12 mois d’abonnement (2 coffrets offerts). Pratique pour nous ou pour un cadeau de naissance original (sans se fouler, feignasse que nous sommes)

Lorsque j’ai reçu mon colis, j’ai déjà été étonnée par son format: gros. Et moi, les gros colis, j’adore ça, je suis faible, j’adooore les cadeaux.

A l’ouverture, je n’ai même pas eu le temps de tenter de me plaindre que déjà j’étais conquise: au milieu d’un papier de soie, 3 soins Weleda (je VÉNÈRE cette marque) dont 2 pour moi (en fait, un seul, mais je compte aussi me laver avec le gel lavant bébé), un petit jouet, un bavoir grande taille tout mignon et une belle assiette creuse de fillasse pour une Clapiotte en transe: « a n’assiette de Mincesse moi, à rosse la nassiette de Mincesse ».

24,90 euros? Sérieusement? Il y en a bien pour plus de 40€ devant mes yeux pourtant. Bonne affaire, donc, puisque pour le coup: tout me servira, forcément, les produits ont été choisis en fonction du sexe et de l’âge de mon bébé (oui, Clapiotte est mon bébé, mon gros bébé mincesse). C’est là que Tiniloo assure, c’est que non, rien de rien n’ira chez le voisins ou finira dans ma caisse de produits qui ne servent à rien d’autres qu’à prendre la poussière!

Et donc, aujourd’hui, je suis bien heureuse de vous la présenter, cette « baby-box » que j’ai aimé. Surtout que j’ai fait promettre à caroline d’assurer chaque mois comme ça!

Et en plus de vous la présenter, je propose à l’un d’entre vous d’en gagner une! Bah oui, hein, je ne sais pas garder les bonnes choses que pour moi!

Alors, pour tenter votre chance, vous me dites en commentaire quel produit ou quelle marque vous aimeriez trouver dans le coffret Tiniloo (merci de rester raisonnable et de ne pas trop croire au Père Noël quand même, il s’agit là de donner des idées à Caroline!).

Une chance de plus si vous aimez la page Facebook de Tiniloo (me le préciser en commentaire avec votre pseudo)
Une chance de plus pour un relai public (merci de me donner l’url du relai en question également en commentaire sinon impossible de vérifier.. d’ailleurs, je vérifie de façon aléatoire, pour info).

Vous avez jusqu’au 27/06/12 inclus, le gagnant sera tiré au sort.

Merci à caroline pour cette belle découverte et ces beaux cadeaux!

 

 EDIT du 1/07/2012: Apres tirage au sort, c’est Baby Pop qui gagne la box Tiniloo!
Bravo à toi et merci à tous pour vos participations et vos idées!

 

Vie difficile…?

Parfois, la vie de blogueuse n’est pas de tout repos. Si on m’avait dit ce qu’il allait advenir de moi quand j’ai créé ce blog trois ans auparanvant, j’aurai peut être pensé à poser des conditions. Sauf qu’en fait, je ne m’attendais pas du tout, mais alors vraiment pas à devenir une adepte des allers-retour Lyon-Paris.

Encore moins devoir me faire des brushings pour faire bonne figure dans des soirées cocktails auxquelles je suis invitée on ne sait trop pourquoi (mon addiction pour le champagne et le bon vin doit sûrement jouer? non? bon…).

Bref, se faire inviter à Parsi pour boire du vin, manger des bonnes choses, découvrir de chouettes projets et rencontrer des gens interessants, on pourra me dire qu’il y a plus difficile.
Et ça sera vrai.
Mais c’est crevant hein, faut pas croire, surtout quand, comme moi, tu as la chance de vite redescendre de ton nuage de retour dans le train, systématiquement assise à côté du mec au sandwich au pâté ou de la mère débordée avec une fille en plein Terrible Two, sans sourdine ni autorité. Je en sais pas si je dois parler de celui qui pense qu’allonger ses jambes sous les miennes et s’endormir profondément est une bonne idée, ni de ceux qui s’endorment sur mon épaule en ronflant.

Cette fois là, mon voisin de train aurait pu s’assoir sur mes genoux que je n’aurai pas bronché. La soirée fût parfaite, j’ai retrouvé des copains, j’ai rencontré plein de gens, j’ai discuté, j’ai bu, j’ai ri, j’ai bu, j’ai mangé aussi, un peu, j’ai bu pour fêter ça. C’était vraiment bien.

Faut dire… c’était une soirée organisée par Club Med.

Oui, Club Med. LE club de vanaces par excellence.

Club Med je connais, parce que j’y suis allée avec Tony et N°1 après notre mariage il y a 4 ans. Quand on goute à ça, on se demande dans la seconde quand on repartira, quitte à se serrer la ceinture pour se l’offrir tous les 5 ans, tant pis, mais c’est tellement le pied quand on a un enfant que je ne m’en suis jamais remise vraiment.

Ce soir là, donc, Club Med nous donnait l’occasion, en plus de faire une soirée digne de ce qu’ils savent faire, de découvrir en avant première leurs nouvelles applis pour Iphone et Ipad.

D’abord, le journal lifestyle « Happy life » qui nous permet de voyager de son canapé, puis l’appli Happy Profiler qui non seulement nous font rêver et découvrir mais qui nous oriente vers les clubs nous correspondant le plus… laissez vous guider et écoutez le bruit des vagues (et l’appel du sable chaud… je VEUX des vacances… OUI? même si j’étais à Dubai il y a 2 mois) et toujours l’appli Club Med pour Iphone ou Ipad. De quoi se laisser un peu aller aux rêves de cocktails les pieds dans l’eau (mais noooon je ne bois pas).
Évidemment, vous pouvez aussi suivre tout ça sur Facebook et Twitter.
Et puis peut être… un de ces jours… sur ce blog? Qui sait?

En attendant, je vous laisse avec mes souvenirs de cette soirée:


Un lieu magnifique, une super ambiance, de bonnes choses, un petit concert de Jain… Et nous.
Merci toute l’équipe de @Club Med!