Classe pas classe: j’ai visité un des plus beaux villages de France, Pujols,

Il y a des petits plaisirs inattendus comme ça, qu’on trouve au fin fond de la France. Après un atterrissage à Bordeaux tout en douceur et deux heures de voiture plus tard, notre chauffeur nous dépose dans un endroit qui nous parait être le trou du cul de la Terre, personne aux alentours, juste un mot du chauffeur « vous devriez monter au village, ça vaut le coup ».
Avec N°1, on a tenté l’aventure, on est bien urbain, mais on aime prendre des risques.

Classe: N°1 qui dort une heure trois quart sur les 2 heures de route, avec mon angoisse qu’il se mette à vomir qui s’estompe au fur et à mesure que les Km défilent.

Pas classe: avoir la nausée à force de me retourner sans arrêt à vérifier que N°1 ne devienne pas tout vert et redécore l’intérieur de la Mégane.

Classe: Choisir de suivre le conseil du chauffeur malgré la piscine déserte de l’Hôtel qui n’attendait que nous.

Pas classe: Les 39°c qui auraient dû nous faire hésiter.

Classe: Avoir un N°1 super motivé sur le chemin nous menant au village

Pas classe: Qu’il me demande dès qu’on voit un oiseau quel est son nom dans ce « pays » (oui, c’est loin, mais c’est en France, mon chéri, on a les même chez nous, donc)

Classe: arriver dans Pujols avec un « Wahou » d’admiration de N°1 face au calme ambiant et à la beauté de ce village médiéval.

Pas Classe: « Ça doit être un village qui existait au moins à l’époque des dinosaures ». Au moins.

Classe: me rendre compte que mon N°1, gavé d’écran et de nouvelles technologies, est complètement intrigué et curieux de découvrir les secrets de ce village.

Pas classe: me rendre compte que j’ai une mémoire d’huitre et que je ne sais même pas expliquer ce qu’est une collégiale ou comment s’appellent ces maisons, là… (maison à colombage, donc).
Pas classe (bis): le Edge qui s’obstine à ramer et qui ne fait rien pour arranger mes défaillances d’historienne.

Classe: se rappeler que l’Office du Tourisme peut nous aider et avoir un petit bout d’histoire gratos pour la peine et la bonne nouvelle que le soir même, une visite guidée en son et lumière est organisée.

Pas classe: fallait s’inscrire, pour la visite, et c’est complet.

Classe: finir sur la terrasse d’un café, au soleil, place St Nicolas, devant l’église qui fait sonner ses cloches à la plus grande joie de N°1.

Pas classe: les gouttes de sueur qui trempent mon TShirt et cette impression désagréable de finir incrustée dans la chaise grâce à mon jeans qui, en plus d’être bien trop chaud, fond sur ma peau.

Classe: finir la journée sur la terrasse du restaurant La Toque Blanche.

Pas Classe: en avoir un peu marre qu’on veuille toujours me faire manger des pruneaux (j’aime pas les pruneaux)

Classe: savoir qu’au lendemain d’une nuit dans le calme absolu de ce village allait arriver une belle journée, un peu plus loin de là, au Village Kinder.

Pas Classe: avoir toujours le même jeans pour y aller.

INFO: Pujols se trouve à 30Km de Agen, à mi chemin entre Toulouse et Bordeaux. Site de L’Office du Tourisme.

S’inventer famille nombreuse et bénéficier des tarifs SNCF pour l’occasion.

Qui dit été dit souvent vacances et qui dit vacances dit… trajets… sans compter les galères d’organisation, il faut aussi tabler sur un budget trajet, et parfois, on tombe de haut quand on se rend compte que ça va nous couter le même prix que la semaine de location…

Cette année, SNCF propose une opération intéressante si vous partez à plusieurs, en famille ou entre amis peu importe: à partir de deux et jusqu’à 5 maximum, plus vous êtes nombreux, moins votre trajet coute cher (ça vaudrait presque le cout de se faire des amis sur le parvis de la gare cette histoire)

Par exemple,

Partez à 5, à partir de 25€/personne

Partez à 4, à partir de 30€/personne

Partez à 3, à partir de 35€/personne

On comprendra que les célibataires sans enfants et sans amis se sentent un peu lésés, mais pour le commun du mortel, c’est tout de même un sacré bon plan!

Ces billets seront en vente dès le 31 juillet et jusqu’au 21 aout 2012 dans les boutiques et gares SNCF, sur le site www.sncf.com ou au 3665 (0,34 € TTC, hors surcoût éventuel)

L’opération est valable sur les TGV et les billets ne seront ni échangeables, ni remboursables et seront valables pour un départ du 3 aout au 3 septembre 2012. Une vraie bonne idée pour faire quelques économies, parce qu’on vous a pas dit, mais le petit, il voudrait refaire 124 tours de manège au Luna Park et votre resto préféré « un air de mer parmi les mouettes » a augmenté ses tarifs!

(Sinon, le Paris Lyon à 5 à partir de 18 euros par personne, j’ai envie de vous dire que je vous accueillerai bien chez moi mais je ne serai pas là… mais Lyon, c’est vraiment beau hein!!!)

Je suis I-addict

Bonjour, je m’appelle Cranemou et je suis mac-addict.

Bonjour Cranemou.

J’ai commencé il y a environ 5 ans, tout à coup, mon PC m’a lâché, et je suis passé au MAC, pas par soucis de mode, mais parce que j’avais l’occasion d’en récupérer un d’une personne dont je tairais le nom mais qui ignore la fonction reset et qui, donc, pensait que ce Mac était mort, alors qu’en fait, non.
(Drapée de mon honnêteté, je lui ai dit, mais non, il m’a pas cru, de toutes façon, il lui fallait un 72 pouces là tout de suite).

J’ai trouvé ça super, parce que bien fichu pour une handicapé de l’informatique comme moi.

Alors, j’ai voulu un Iphone. Pour faire comme mes copines.

Et puis j’ai voulu un Ipad, pour faire comme… OH WAIT, je m’en sers SEULEMENT quand mes enfants me le laissent.
Et puis, et puis, j’ai rêvé d’un Mac Book Pro. « Ohhh ca serait super d’avoir un portable, ça serait bien, ça sera

Les enfants des autres

On peut se faire passer pour la personne la plus tolérante du monde, je ne croirai JAMAIS qu’un parent, quel qu’il soit, est capable de ne pas dire du mal d’un enfant d’un autre pendant plus de 10 heures d’affilées.
C’est un fait, nous avons tous une façon à nous d’élever nos enfants, nous avons tous notre propre seuil de tolérance aux cris, caprices, tempéraments chaotiques….. Et critiquer l’enfant des autres, c’est non seulement une façon d’extérioriser nos propres déceptions mais aussi une manière d’exprimer ce qu’on ne peut dire de notre propre Greffon.

Sans compter que ce seuil varie selon l’humeur. En plus.

Dans les enfants des autres, ceux qu’on croise dans la rue régulièrement, on trouvera:

L’enfant surdoué: Comme ses parents lui répètent à longueur de journée qu’il détient la Vérité Absolue tant il est malin et doté d’une intelligence supérieur, l’enfant surdoué ne manque jamais de nous rappeler que nous n’avons rien à lui apprendre, encore moins de conseils à lui donner. L’enfant surdoué parle avec des mots d’adulte à à peine 6 ans et deviendra certainement neurophysicien.
L’enfant surdoué, en plus d’être agaçant, est chiant, manquant cruellement d’humour et de légèreté. Une vague envie de lui en retourner une nous traverse l’esprit lorsqu’il nous regarde de son air supérieur en nous citant Kant.

L’enfant Timide: Lui, on n’a jamais vraiment entendu le son de sa voix. ce qui peut poser un certain probleme quand il est invité à prendre le gouter à la maison. Il est pratique en ce sens qu’il ne va pas broncher de toute l’après midi, mais il ne répond qu’en hochant la tête doucement dans un sens ou dans l’autre, indépendamment de la réponse qu’il voudrait nous donner. Communication difficile, il faudra faire en sorte de ne pas le laisser se déshydrater quand même…

L’enfant Râle: Jamais content, jamais satisfait de quoi que ce soit, on l’entend geindre sans arrêt, que ce soit au square ou dans la chambre de nos propres enfants, rien n’y fera, pour lui, tout ça, c’est nul, il en a marre, il s’ennuie. Voir un sourire de satisfaction s’afficher sur son visage nous procure le même effet que l’obtention d’une médaille d’Or au J.O en natation alors qu’on ne sait pas nager.

L’enfant à décoder: lui, il adore parler. Le soucis, c’est qu’on ne comprend pas grand chose aux sons qu’il débite à une allure infernale. Articulation aléatoire, mots à remettre dans l’ordre façon Boggle, on dépense une énergie impressionnante à tenter de comprendre de quoi il parle. Comme l’enfant timide, on fera en sorte d’anticiper afin de ne pas le laisser mourir de soif un après midi de canicule, et on lui lancera de temps en temps des hochements de tête et des « hmm hmmm » d’approbation pour le laisser penser qu’on a tout bien compris et qu’il aille se faire décoder ailleurs (là, on est fatigué).

L’enfant 2nd degré: Croire que les enfants n’ont pas de second degré sera dans ce cas précis comme foncer dans un mur. Si on part du principe que l’enfant de moins de x années est incapable de comprendre ou de faire du second degré, alors on prendra cet enfant pour une sorte d’extra terrestre vivant dans une galaxie fort fort lointaine. Parfois même, on pensera qu’il est un peu bizarre, cet enfant.

L’enfant unique: partager, il n’a pas bien l’habitude, mais passe encore, si il arrive à se faire des copains, c’est déjà ça de gagner. Le soucis avec l’enfant unique, c’est qu’il est le seul enfant de sa maison, et que certaines règles, donc, changent. Et qu’il est bien incapable de s’adapter aux nôtres en 2h de temps. NON, on ne crie pas d’une piece à une autre pour se faire entendre, on se déplace, parce que peut être que Clapiotte aurait bien aimé faire une sieste.

L’enfant de la campagne. Ou de la maison. L’enfant qui n’a pas de voisin quoi: Lui, on a envie de le défenestrer pour lui rappeler qu’on habite au 5ème étage et que NON, on ne joue pas à imiter l’éléphant dans le couloir, NON, on le joue pas au tennis sur le mur mitoyen, NON, la musique, on baisse, parce que la voisine vient d’accoucher et qu’on SAIT qu’elle a besoin de se reposer, là. Et repose immédiatement ces rollers dans l’entrée. Et NON, désolée, on n’a pas de toboggan sur le balcon.

L’enfant malade: On le reconnait par sa goutte de morve verte pendue à la narine et à sa toux de cancéreux en fin de vie. Il pète la forme, du coup, il n’est pas au fond de son lit. Mais comme il fait en sorte de tousser et d’éternuer dans la bouche de mes enfants, j’ai simplement envie qu’il s’étouffe avec ses miasmes en attendant qu’il apprenne qu’il n’est pas manchot et que les deux appendices en bout de bras, il peut aussi s’en servir pour tousser dedans (en plus d’y coller son slime nasal)

L’enfant crado: (souvent associé à l’enfant malade, mais peut être indépendant de ce premier cas): On sait pas. Il est vraiment crade ou alors nous sommes des descendants  de Danièle et Béatrice de « C’est du propre », mais tout de même, on a du mal à supporter les ongles fourrés à la Play Doh, la morve savamment étalée et séchée sur ses joues, les tâches douteuses sur le T Shirt… Et dire qu’on l’a vu tout propre il y a une heure, ce gosse doit vivre dans 3 univers en même temps pour être aussi crassouille en si peu de temps.

Évidemment, mes enfants à moi, ils sont parfaits.

ÉVIDEMMENT

Pique et pique et colégram (cadeaux)

C’est de saison, on va reparler moustique.

Savez vous seulement à quoi servent ces %*#@6§ de #£`ù? Non? Moi non plus. Et sincèrement, j’ai même pas envie de tenter de leur trouver une excuse de nous pourrir la vie, nos étés, nos barbecues dans le jardin. Je leur voue une haine sans fin. Si j’étais un crapaud, je serai roi des crapauds et j’ordonnerai à tous mes disciples d’exterminer ces nuisibles à coup de jets de langues.

Mais comme je suis née humaine (nul hein?), et que je suis pas reine et qu’en plus, même si c’était le cas, je pourrais pas demander aux autres humains de tirer la langue pour avaler des moustiques, bah je fais comme tout le monde: je supporte comme je peux, je préviens, j’agis… Surtout depuis que Clapiotte s’est prise pour le garde manger de tous les anophèles du Grand Lyon.

Bref, je teste un tas de chose. J’ai des prises, j’ai un spray, j’ai tenté des boules qui diffusaient je sais plus trop quoi aussi (mais qu’il faut pas oublier de fermer, sinon, en 2 jours, t’as plus de produit (et j’ai oublié de fermer). J’ai aussi testé les bracelets où on insert une plaquette anti-moustique. Bref, je m’y connais mieux que le pharmacien d’en bas de la maison.

Le soucis, c’est que j’ai testé tellement de trucs que je me rappelle plus très bien de ce qui a marché et de ce qui était plus ou moins inutile.

Par exemple, je me suis retrouvée avec le bracelet, sans plaquette, et cette année en le retrouvant, je me suis demandée si j’en avais été contente l’an passé.

Et pile pendant mes questionnements métaphysiques, voilà que Para’kito, la marque des bracelets et plaquettes, donc, me proposent de m’en envoyer environ 15KG pour protéger Clapiotte. Faut dire qu’ils sont tomber sur cet article. Je comprends qu’ils aient été inquiets.

Depuis, j’ai accroché un bracelet au lit de Clapiotte et un au lit de N°1. Je change la plaquette tous les 15 jours et, là, je dois dire qu’on s’en sort bien (à noter qu’on a une prise dans le couloir aussi). Hier soir, dans le jardin des copains, ils avaient leurs bracelets respectifs au bras et pas de piqure à signaler (pendant que mes chevilles ont morfler de façon assez impressionnante)(bah oui, j’ai pas de bracelet moi)


Devinez QUI s’est jeté sur le modèle rose?

Para’Kito™ c’est quoi? Des plaquettes qui diffusent un mélange de 7 Huiles Essentielles (HE) d’origine végétale. Les tablettes ne sont pas en contact de la peau et conviennent aux femmes enceintes, jeunes enfants et recommandées aux personnes sujettes aux allergie cutanées ou irritations: pas de produit chimique, pas de contact: parfait!
La plaquette s’insère au choix dans un bracelet ou un clip (à accrocher au sac par exemple) et on peut même se baigner avec! Et l’anti-moustique fonctionne plutôt bien jusqu’à maintenant!

Aujourd’hui, Para’Kito™ me permet de vous faire tester leur produit, et croyez moi, ca vaut le coup de tenter!

Alors, en jeu, 3 lots:

– Premier lot : 1 lot Para’Kito pour toute la famille ( 3 bracelets + 1 clip)
– Second lot : 1 bracelet + 1 clip
– Troisième lot : 1 bracelet

Pour tenter votre chance, vous me dites en commentaire quel bracelet vous trouvez le plus sympa pour vous ou vos enfants (le nom suffira) et pourquoi vous avez absolument besoin de gagner!
Vous avez jusqu’au 4 aout 2012 inclus.
Chaque relai signalé en commentaire vous donnera une chance supplémentaire.

Si vous êtes des gens cools, vous pouvez aimer la page Facebook Para’Kito et la mienne.  Vous n’aurez pas une chance supplémentaire mais vous serez très bien vu par les membres de la rédaction (moi, donc).

je tirerai au sort les gagnants.
Bonne chance!


Le clip, discret, efficace.

EDIT du 11-08 (oui, en PLEIN pendant les vacances)

Le lot de 3 bracelets+1 clip est gagné par: moreau Elsa
Le lot de 1 bracelet+1clip est gagné par: Spipile
Le bracelet est gagné par: Maman Psychomot
Bravo à vous trois, le mail part de suite, et merci à tous pour vos participations et à Para’kito pour les cadeaux!

Sponsorisé par Auto-kiff, l’auto-satisfaction parentale N°1 en France et tout l’univers

Quand notre Greffon revient de sa chambre en s’étant tatoué des bonhommes patates sur les bras, eux-mêmes tendus avec, en bout de moignons, une feuille remplie de traits, couleurs, formes indistinctement entre-mêlées et que nous nous extasions devant un tel sens artistique alors qu’au fond, on se demande déjà quand on va pouvoir enfouir cette horreur au fond de la benne; nousfaison preuve d’une capacité hors du commun à mettre en valeur les efforts du Scotch. Malgré le mauvais gout qu’il étale des ses dix doigts boudinés.

Parce qu’on est fiers, malgré tout, et qu’on sait que la première des motivations, c’est d’avoir nos proches derrière nous, à faire les pom-pom Girl, scandant notre prénom. Ca marche comme ca: on nous encourage, en échange, on fait de notre mieux.

Enfin, c’est comme ça quand on a deux ans. Voire 8. Mais après, tout se complique et on n’a plus qu’à habiter chez les bisounours pour voir notre travail récompenser d’une rondade flip double salto en guise  de félicitations.

Et bien, désormais, c’est terminé.

Auto-kiff crée pour vous ses forfaits d’auto-satisfaction afin de vous auto-aimer et de vous auto-proclamer bon. Vos enfants ne seront plus les seuls à s’aimer, réapprenez l’égocentrisme de vos 3 ans!

Plusieurs forfaits sont désormais en ligne sur auto-kiff.com:

le forfait Soir +: Tous les soirs, à heure choisie, si possible après le coucher des scotchs, vous recevez un sms vous félicitant d’avoir survécu à votre journée. Cette offre est entièrement personnalisable.

Le forfait auto-Kiff: une connexion illimitée au site auto-Kiff afin d’apprendre dans le détail la chorégraphie de la danse de la joie. La danse de la joie est une danse d’auto satisfaction visant à nous congratuler de notre journée ou simplement parce que là, tout de suite, on a besoin d’un remontant grattifiant.

Le Forfait All Inclusive: Forfait intégral journée: une sonnerie de réveil personnalisé en hymne à vous-même, un service de mails journaliers vous rappelant à quel point vous êtes formidable, un mojito à votre porte en guise d’apéro tous les jeudi soir pour palier au blues des soirées étudiantes de votre passé, un gif animé d’un homme nu dansant sur Hot Stuff s’ouvrant à chaque connexion au site doctissimo, un appel skype à 13h30 de notre coach pour faire la danse de la joie d’après repas. Le texto soir+ est inclus dans ce forfait.

Pour un Forfait  de 3 mois acheté, un mois vous seras offert avec les félicitations de notre société Auto-Kiff.com. Si vous faites partis des 100 premiers inscrits, vous recerez gratuitement sur votre mobile la sonnerie SMS « Satisfaction »

Si vous souhaitez vous abonnez, contactez dès à présent notre service kiff à contact@autokiff.com, une réduction de 10% avec le code « hiiiiii je suis trop fort, je me kiffe »

Le sport… et nous. (J.O J-2)

Le sport a toujours fait parti de ma vie, pas le choix, quand on nait dans une famille où la mère est prof de tennis et qu’on grandit dans une grande ville du rugby.
En sport, mis à part en volley ou basket où je me faisais écrabouiller par les plus grands, j’ai toujours su me défendre. J’ai choisi la danse,pour faire comme les copines, mais le tutu a eu raison de ma passion fugace, je me suis vite tournée vers la gym.
Finalement, je n’ai pratiqué aucun sport collectif à part ceux qu’on nous enseigne à l’école. La gym me permettait de me tromper sans mettre en péril toute une équipe, ça n’impliquait que moi, sauf dans quelques compétitions par équipe mais comme nous étions plutôt douées avec les copines, y’en avait toujours une pour rattraper les bourdes d’une autre., et ça reste différent de toute facon.

Quoi qu’il en soit, d’équipe ou non, je suis une grande fan de sport. Au delà des performances et de ce que notre corps nous permet de faire au delà de ce qu’on croit être nos limites, le sport nous enseigne bien plus que tout autre éducation.
Pour moi, il reste mon pilier dans l’éducation de mes enfants, parce que certaines valeurs qu’on nous enseigne sur un cours, un terrain, un tapis, on ne les apprend nul part ailleurs. On a beau être bourrés de principes et tâcher d’élever nos enfants le mieux qu’on peut, on ne pourra jamais leur enseigner aussi bien que le sport des valeurs comme le respect, la rigueur, le partage, l’engagement.

Ce n’est pas en jouant avec moi à la bataille que N°1 a enfin acquis la capacité de dire de son adversaire qu’il avait été bon quand il perdait un match, ni de rester modeste quand il le gagnait. C’est en appréciant ses efforts qu’il se rend compte que le travail a payé, et en sport plus qu’ailleurs, on est récompenser pour cela, notre effort est récompensé, que ce soit en terme de performance ou simplement dans un applaudissement, un regard, un geste.

Du sport ressort tout le positif que nous avons en nous. Je crois au plus profond de moi qu’ils nous aide à être meilleur en tant que personne.

Ca fait bien longtemps (et la largeur de mes cuisse le confirme) que j’ai arrêter le sport à haute dose. J’ai longuement pesté, d’ailleurs, contre ce revers de médaille, comme une trahison de mon propre corps. Et puis non, en fait, je pense que ce qu’il reste en moi de ces années à m’amuser, c’est ce que j’ai de mieux à inculquer maintenant à mes enfants… avec l’aide de la fédération qu’ils choisiront à leur tour.

Bref, je sais qu’on n’est pas tous fait pour le sport, mais le renier serait trop bête…

Dans 2 jours, nous serons tous à Londres, un peu, beaucoup, passionnément. Chez nous, on vibrera plusieurs fois par jour parce qu’en plus du sport, la magie des Jeux Olympiques nous a toujours transporté. Un moyen bien plus festif, aussi, de faire découvrir certains sports à nos enfants.

Ces derniers jours, pour ne rien gâcher, j’ai été baigné dans pas mal d’univers sportifs.

A commencer par Le Stade Des Bébés, organisé par Pampers et Fisher Price qui se tenait à La Vilette. Deux journées où les parisiens pouvaient venir gratuitement faire essayer le sport d’une facon ludique à leur plus petits. Lancer de doudou, équitation, course, kayak, trampoline… de quoi les épuiser et leur faire découvrir un tas de nouveautés.
Le lieu etait suffisamment grand pour qu’il n’y ait pas trop la queue aux différents ateliers, l’organisation tres sympa et décontractée. J’ai eu les oreilles en feu (et une petite migraine au retour) d’entendre les cris de joie et d’excitation de ces centaines d’enfants, mais quel plaisir de les voir s’éclater comme ca… On attend la prochaine avec impatience, avec, j’espère, une tournée en province histoire que tout le monde puisse en profiter!


© Frederic Baron-Morin

Et puis là, tout fraichement (non, en vrai, je meurs de chaud), je reviens du village Kinder. J’avais eu la chance d’y faire un tour l’an dernier et je ne vous cache pas que j’ai sauté au plafond quand on m’a proposé d’y retourner. Cette fois-ci, j’avais N°1 sous le bras. j’ai dû lui expliquer mille fois que NON, le Village Kinder n’était pas un village facon Hansel et grettel tout de Kinder Surprise et de Pingui dans les arbres.
Le Village Kinder, pour rappel, c’est l’ouverture du centre Omnisport Base de Plein air de temple-Sur-Lot au Secours Populaire, Ferrero et 160 enfants par semaine et tous les organisateurs, éducateurs, accompagnateurs, cuisiniers etc… pendant les deux mois d’été.
Un Village où le sport est au centre d’un intérêt commun: faire vivre des vacances inoubliables à des enfants qui, pour 90% d’entre eux, n’ont jamais eu le plaisir de partir.
Une journée vive et remplie d’émotions (et de coups de chaud, faut le dire, les Kinder Bueno n’ont pas survécu à mon retour d’ailleurs) avec le joueur de HandBall Ibrahima Diaw en guest… Mais je reviendrais sur cette journée hors du temps très très vite.

En attendant, je vais imprimer le programme des JO.

No me moleste mosquito…

… let me eat my burrito

C'est la chanson que je fredonne quand je couche mes enfants dorénavant. Rappelez vous il y a quelques mois de ça, alors que le froid nous saisissait au plus profond de notre chair, chez moi, sournoisement, se réveillait un moustique mutant. Il étira ses ailes bailla trois ou quatre fois, se tortilla légèrement afin de se délier et se mit à  faire frémir ses ailes et à se lustrer la trompe. Il prit son envole jusqu'à la chambre de Clapiotte et se dit que tout de même, les festins de fêtes n'avaient pas de prix.
Le lendemain, nous retrouvâmes une Clapiotte défigurée. 5 jours pour la faire dégonfler, ma pauvre petite baudruche. (c'est ici pour lire, si jamais vous ne comrpenez pas de quoi je parle).

Evidemment, depuis ce jour, je teste absolment tout ce qui me tombe sous la main pour éviter de revivre cet enfer (pas que pour elle, hein, visuellement, c'était AUSSI un calvaire) (rhoooo ca vaaaa)

Donc, récemment, on me propose de tester le nouveau Apaisyl après-piqûres. Bon, ça tombe mal, c'est que pour les enfants de plus de 36 mois et Clapiotte, même en grandissant vite, n'y est pas encore.

Dans le colis, je trouve également un spray anti moustique de la même marque. Pas avant 30 mois. On est limite mais on y est.
 

La chaleur arrivant, je pulvérise le produit sur mes enfants, 3 soirs durant. Le ledemain, point de piqures, ça a l'air de fonctionner, d'autant que je tue un moustique dans la cuisine au matin du troisième jour.

Le quatrième soir, je recommence mon petit rituel. Et vais me coucher à mon tour.

4h du matin, tout à coup, je me réveille, un peu agacée. je suis en train de me gratter depuis 5 bonnes minutes à divers endroit. Cette nuit là, LA cible, c'était moi. Je suis couverte de boutons.

Pendant que Tony, toutes lumières allumées, debout sur le lit, part en chasse, je m'enferme dans la salle de bain pour voir l'étendu des dégâts. Je regarde d'un air douteux le petit roll-on Apaisyl qui ne m'a pour l'instant pas servi et prie pour qu'il me rende mon calme pour que je puisse me rendormir sans m'arracher des lambeaux de peau.


Utilisez les biocides avec précaution. Avant toute utilisation,
lisez attentivement l’étiquette et les informations concernant le produit.

 

Tout à coup l'effet glaçon joue son rôle de calmant. Mis à part l'énorme bouton que j'ai entre les orteil (le PIRE) avec lequel je dois recommencer bien deux fois pour calmer les démangeaisons, tout rentre rapidement dans l'ordre. Non seulement la praticité du stick est indéniable mais en plus c'est assez efficace.

Maintenant, il me suit partout y compris dans le sac à main (on sait jamais) et je compte bien le dégainer à la moindre piqure. J'attends juste qu'on me propose la même chose pour Clapiotte aussi en fait!
Et en attendant, je me badigeonne aussi du spray
Apaisyl Répulsif Moustiques zones tropicales , parce que je veux bien faire cobaye pour vous tester des produits, mais c'est quand même super désagréable de faire partie de l'happy Hour au buffet des moustiques!

 

 

 

 



Article sponsorisé

Dessinez c’est gagné

J’ai toujours écrit, mais j’ai toujours dessiné aussi. Tout ca, c’est venu tôt, mais ca a beaucoup été entretenu grâce aux cours d’histoire géo soporifiques de M. Binet.

Bon, si j’ai choisi de faire un blog où je racontais ma vie plutôt qu’un blog de dessins, c’est qu’il y a une raison, quand même, faut bien l’avouer.

Mais pendant les vacances, j’ai tenter de dessiner Clapiotte et son éternel « NON ». Comme ça m’a fait rire (bon public) (et aussi, que là, je n’ai pas le temps d’écrire un article), je vous le montre ici.

Dans cette image se cache le premier dessin bonhommes de Clapiotte… je vous laisse y aller de votre interprétation, les commentaires sur Facebook m’ont trouvé un fouet, une capacité étonnante à hurler contre ma fille qui traine la patte…. à vous de voir, mais j’adore ce dessin!

Et pour ceux qui me suivent sur Twitter ou la page de Cranemou, j’ai dit adieu au Lapin Crétin qui me suivait depuis des années, il est désormais remplacé par cet avatar. ce n’est surement pas définitif, mais pour l’instant, c’est comme ca…

Et sinon, bientot, à la rentrée, il y aura de la nouveauté chez Cranemou,comme un Flash Back pour moi à vrai dire…. J’dis ça….

Et aussi, comme c’est les vacances et que je vais être moins présente ici, si je vous manque (mais si, amis si!), vous pouvez me retrouver chez Hubwin-mamans et (fierté) sur le blog de Véronique Delachaux!

 

Quand les enfants nous terrorisent

Hier, nous avons passé une belle journée avec des copains et nos enfants respectifs, nous avons fait un shooting photo (teasing), nous avons fait un gros barbecue. A part le vent qui glaçait l’air, c’était vraiment chouette.

Quand Clapiotte s’est levée de sa sieste, elle était toute chaude. Vraiment très chaude.
Du coup, malgré une dose de doliprane-mon-ami qui avait quand même marché quelques heures, nous sommes rentrés à la maison histoire d’avoir sous la main de quoi la soigner.
La fièvre monte, descend, Clapiotte varie de complètement amorphe à pile électrique (comportement habituel, donc) toutes les 2-3heures environ.

Elle se couche le ventre rempli d’une Danette, parce qu’on sait bien que quand nos enfants sont malades, on se carre bien profond nos préceptes alimentaires et les recommandations nutritionnelles.

Je décide de rejoindre mon lit et je passe la voir juste avant.

C’est là que je la retrouve, raidasse comme la justice, prise de soubresauts et tremblements. J’arrive à peine à la prendre dans mes bras tant tout son corps est raidi. Ses yeux ne fixent pas. Le 15 a déjà été appelé.

Quand ils arrivent, Clapiotte s’est détendue un peu, les pompiers et le Samu bousille le coup de serpillère de Tony et je ne sais pas bien si leurs regards éprouvent de la compassion ou du mépris. Je n’aime pas appeler le 15, même pour un renseignement, j’ai toujours cette culpabilité d’être trop stressée, de peut être ne pas mesurer la gravité des choses, de me laisser emporter par la panique et de mobiliser une unité « pour rien » pendant que peut, être, ailleurs, c’était plus grave.

Ils décident d’emmener Clapiotte pour plus d’examens. A cette heure ci, elle va mieux, mais la température est déjà bien remontée.

Se pose la question de qui accompagnera notre fille. Il est 23h, on sait que quelque soit celui qui montera dans le camion de pompier, l’autre ne dormira pas plus, ce n’est pas vraiment la question.
Je supplie Tony d’y aller.

Et je me sens bien mal, une fois de plus. Parce que je n’assume pas jusqu’au bout d’accompagner ma propre fille, parce que je sens que je vais craquer, là, dans quelques secondes, et que craquer devant elle qui n’est déjà pas bien rassurée, ça ne serait pas donner un coup de main. Je me sens vide. je ferme la porte derrière eux et entends les sirènes d’éloignées.

Je vomis mon stress et craque comme si on venait de m’arracher le cœur. Je tremble, j’ai honte, j’ai la trouille. Doux mélange de culpabilité et d’angoisse.

Tout va « bien ». Clapiotte convulse quand elle fait de la fièvre, il faudra bien que je m’y fasse, visiblement, ils avaient l’air de dire que ça risquait de se reproduire. You-Pi.

J’ai passé la nuit à mettre mon réveil toutes les 2h30 afin d’aller surveiller et lui refiler sa dose d’antipyrétique, elle n’a pas eu le temps de monter au dessus de39°c pendant la nuit, donc.

Si je vous raconte ça ce matin, ce n’est pas pour que vous me plaignez, oh non, cette histoire, on l’a tous vécu au moins une fois quand on est parents.

Je veux juste, déjà, remercier mes copines qui se couchent tard et qui m’ont déculpabiliser alors que j’avais envie de m’étouffer avec ma lâcheté. Quand on sent qu’il faut appeler, on appelle le 15, c’est tout, et au lieu de culpabiliser, on rassemble les bonnes ondes. D’ailleurs, quand j’y pense, ils me regardaient juste « normalement », finalement.
Une maman ou un papa, ça gère l’air de rien quand il a pas le choix. … et puis vomir dans les couloirs de l’hôpital sous les néons blanchâtres, c’est pas flatteur.

Je ne suis peut être pas si mauvaise que ça. Je crois. J’espère.

Au réveil ce matin et afin de rassurer tout le monde, Clapiotte n’a eu de cesse que de crâner devant son frère que « moi, ai monté dans camion dé pampiers a fait pimpon moi »


ON APPELLE, POUR UNE URGENCE, UN CONSEIL, On N’HÉSITE PAS: SI ON N’A PAS D’AUTRE CHOIX.