Quand le moldave prend l’eau

On a eu beaucoup de chance cette année pour notre semaine à la mer. Pour la première fois depuis très longtemps, la mer nous a fait l’honneur de nous offrir un beau 26°c sans discontinuer.

Des heures de baignades programmées.

Et pour la plus grande joie des enfants, des petites vagues dans lesquelles se jeter.

Apres un jour dans le doute. Clapiotte a elle aussi succombé à l’appel du Point Break de la vaguelette.

Bien agrippé dans les bras de Tony après m’avoir fait comprendresûre je n’étais en aucun point rassurante duhaut de mon mètre cinquante-sept, elle n’était pas en reste:

« Aller papa, on monnnnte et on desceeeend, côôôôme caaaaaa. 

tu m’accoches bien hein papa.

moi n’a pu peur à n’a merrrrr. est bien la plachge, dans l’eau. »

Tony en profite pour lui manger ses joues salées, quand elle finit par lui dégommer un tympan, lui arrachant quelques poils de torse au passage (le stress toussa)

« ATTENTION PAPAAAAAAAAA!!!!!!!!!! 

LA GROOOOOSSSSSSEEEEEEE BLAAAAAAGUE

!!!!! »

en même temps z’ont pas la mer en Molavie

J’ai rêvé de vraies vacances… à cause de Thalasseo.com

Les vacances, c’est le moment où on se détend le bulbe en tentant de déconnecter de la réalité et de la routine quotidienne.

Bien.

Très bien.

Sauf que là, tout de suite, à une semaine d’une reprise sur les chapeaux de roues (me demandez pas ce que veux dire cette expression), je me rends compte que c’est pas tout à fait loin de la routine. Mis à part l’appart dix fois plus petit et la mer ou la montagne en fond, les réveils ne se sont décalés que d’une heure, la nourriture ne vient pas toute seule dans le frigo et encore moins cuisine dans mon assiette.
Les shampoings de Clapiotte sont un calvaire sans nom et  étonnamment, personne n’étend mes lessives pendant que je sauve mes enfants de la noyade. Et en plus j’ai une connexion toute pourrie.

Oui, oui, je me plains. Je sais que j’ai déjà de la chance d’être partie loin de chez moi, mais je dois bien dire que parfois, je me prends à rêver d’une vraie parenthèse où je me chouchouterais, moi et moi-même, sans penser au reste.

Il faut dire que pendant les vacances, on est venu me parler du site Thalasseo.com et que j’ai bien évidemment mis en route le bouton “rêvassons au fil de la navigation”.

Une petite thalasso à Hyères avec Tony en laissant les enfants aux grands parents qui étaient à Bandol? Hmmmm… je me vois déjà me prélassant dans des tongs en éponges sur un transat, digérant un soin gommage-peau neuve.
Un week end bien être, en tête à tête avec moi-même, histoire de décompresser et de recharger à fond les batteries? J’en rêve. vraiment je veux dire! Je rêve qu’on prenne soin de moi, dormir en étoile dans un grand lit aux draps blancs sans penser une seconde que je pourrais être dérangée par une sucette égarée ou un coup de soif nocturne (ou des ronflements… hum…).

En fait, depuis que j’ai visité le site Thalasseo.com, site regroupant divers choix de séjours selon nos propres critères, je suis vraiment prête à franchir le cap d’un week end « que » pour moi. Un jour, peut être, mais j’espère bientôt, je pense qu’on a tous besoin d’une pause de temps en temps, et en 7 ans, je n’en ai finalement jamais pris, et non, la demi heure tous les 3 mois chez le coiffeur, ça compte pas!


Si je me fais un périple Thalasso le Touquet, je vous fais la même pose, promis!

Si vous avez testé vous-mêmes et que vous avez des conseils à me donner, des types de Thalasso déjà tester etc… je suis toute ouïe!

 

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Mesures d’urgence plan canicule: ce qu’on ne peut pas faire

On ne ne peut pas regarder la télé sans avoir l’impression d’avoir mis en route trois réacteurs nucléaires dans le salon. Sans compter les messages de prévention qui te demandent de te mouiller la peau telle une baleine échouée sur la côte et qui te font penser qu’on te prend pour un demeuré tellement le message est infantilisant.

On n’a plus le temps de faire refroidir les bouteilles d’eau au frigo. Et si par chance on a de l’eau fraiche, il faut la boire dans les 5 minutes sans quoi on a l’impression de boire de l’eau de tuyau.

On ne fait plus pipi. Jamais. Je pense que c’est trop la fête en maison de retraite.

On regrette amèrement de ne pas avoir fait un petit régime avant de partir histoire que le frottement de nos cuisses l’une contre l’autre ne fasse pas le même bruit que le même frottement avec un pantalon de ski (frcht frtch…)

On ne se touche plus. Un mari? Ou ça? Des câlins pour les enfants? J’ai jamais été très tactile de toute façon! Le moindre contact peau à peau te fait prendre 5°c d’un seul coup, donc, en réfléchissant bien, on va faire sans. y’aura pas beaucoup de naissance en mai 2013 à mon avis.

On oublie de mettre des vêtements blancs. A moins d’aimer participer à Miss TShirt mouillé du camping du lamentin. Idem pour le short ou pantalon en lin blanc. Oui, on transpire AUSSI des fesses dans ces moments glamours.

On n’oublie pas de mettre du déo. Après CHAQUE douche. Même avant de se coucher, même si ça ne sera qu’un cache misère de l’odeur de chacal planant dans la suite parentale.

On ne se plaint pas et on lance plutôt une nouvelle mode: OUI, la chaise en plastique incrustée dans notre arrière train, c’ets la tendance 2014. On assume notre côté avant-gardiste jusqu’au bout.

On n’a pas le droit de tuer pour une place à l’ombre. Toujours pas. Ni pour le dernier ventilateur au Super U. Une loi est en cours à ce sujet, alors on patiente.

On n’oublie pas mamie sur une aire d’autoroute de l’A7. Sauf si on lui a bien répété de se mouiller la peau.

Bon courage!


Image qui circule sur FB vu sur le mur de Anne, qui me fait bien rire. A chaque fois.

 

 

Le « classe/ Pas classe » de la montagne (ça te gagne).

L’an dernier, on a testé pour la première fois la Montagne en été.

Comme on n’était pas sûrs, on a retenté l’expérience cette année. Direction, Les Menuires (bis répétita). On y est encore quelques jours, mais après une bonne semaine sur place, ça vaut bien un classe/pas classe en guise de compte rendu.

Classe: il fait beau, il fait chaud, le soleil briiiiille

Pas classe: J’ai la marque des chaussettes. Et du T-Shirt.

Classe: la bonne humeur des animateurs (mention spéciale pour l’humour et la patience de Joël et Thibault du Tir à l’arc)

Pas classe: l’humeur de certains vacanciers qui confondent « se laisser aller en vacances » et « être désagréable en pensant que tout leur est dû parce qu’ils sont en vacances, eux » (parce que toi, non, évidemment).

Classe: Clapiotte qui kiffe les matinées chez les Piou-Piou au point de ne pas vouloir partir quand on vient la chercher à midi.

Pas classe: Qu’elle donne l’impression de vivre dans une famille de dégénérés qui la tabassent tellement elle a pas envie de repartir. Sale gosse.

Classe: N°1 qui, pour la première fois, n’a pas rechigné à participer aux activités des « spots jeunes » et s’y est même fait des copains (youhou! Champagne!)

Pas classe: Bon, certes, il ne connait toujours pas leurs noms, mais je les ai vu, il jouait avec d’autres enfants de son âge!

Classe: la carte Multi Loisirs qui nous a permis de profiter de tellement d’activités qu’on n’en a même pas fait la moitié.

Pas classe: qu’il n’y ai pas un forfait 10jours, parce que le forfait 7 jours et le forfait 3 jours sont quasiment au même prix, et franchement… bon… pourraient faire un effort quand même!

Classe: faire du badminton…

Pas classe: …avant de se rendre compte que ça nous fait suer comme des veaux au bout de 3 minutes (comme quoi, reprendre le sport 1 mois avant, ça suffit pas)

Classe: faire une visite à la ferme avec les enfants et vouloir y boire un petit café au soleil, les pieds au milieu des veaux et des biquettes, avec comme fond sonore les cloches des vaches et les grognements de cochons.

Pas classe: se trainer un nuage de mouches pendant des heures après notre retour (rapport à notre odeur) et des enfants réclamant l’adoption immédiate de 3 lapins, deux cailles et un veau.



Classe: être lookée comme une ado de 16 ans en pantacourt, T-Shirt et sweat à capuche pendant une semaine et se trouver trop cool.

Pas classe: Que les jeunes de 20 ans m’interpellent en me disant « Madame », leur dire que ça pique un peu le « madame », là, et les entendre nous balancer « bah ouais, mais bon, vous avez quel âge? ». Et mourir.


Nan? Vraiment?

Classe: N°1 qui, donc, a perdu ses diabolos (les trucs que les ORL leur mettent dans les oreilles pour qu’ils soient moins sourds, nos mioches) et rattrape son retard en nage dans la piscine sous l’eau comme à la surface (au passage, merci les nageurs français pendant les JO, source d’inspiration et e motivation pour N°1 sur ce coup là)

Pas classe: devoir mettre un maillot de bain pour l’accompagner, donc. Avec la marque des chaussettes. Et du T-Shirt. Oui.

Classe: tomber pendant la grande braderie des commerçants avec des jeux gonflables, de l’animation, de la musique toute la journée.

Pas classe: ça ramène du peuple. AVEC enfants. On a eu envie de décéder sous les décibels aux alentours de 16h.

Classe: C’est définitivement un super lieu pour de bonnes vacances en famille.

Pas Classe: Avec des potes, même s’ils ont des enfants, ça doit quand même être plus festif, parce que bon, le coucher à 21h, c’était bof.

Classe: profiter des nuits à la fraiche et calmes en pensant au reste de la France qui dort dans un douillet et transpirant 28°c la nuit.

Pas classe: rentrer demain dans notre grande ville bruyante. Pire jour de canicule de cet été 2012.

L’an prochain, pour la troisième année, on y retournera, c’est certain!
Si vous voulez nous y retrouver, ça se passe aux Menuires, et tous les renseignements sont disponibles sur le site: http://www.lesmenuires.com/ete/

 

Où j’ai 7 ans… et parfois même 3 (déco)

Voilà une semaine que j’ai soufflé ma 32ème bougie, et pourtant, je ne me sens toujours pas l’âme d’une adulte.

N’en déplaise à certains, le fait d’avoir des enfants n’arrange en rien ma capacité à faire des bulles dans du coca quand on me le sert avec une paille ou à faire un concours de roulés-boulés dans l’herbe.
En fait, les enfants m’ont permis de devenir plus responsable, mais pas plus mature. Loin de là.

Du coup, comme j’ai environ 7 ans d’âge mental environ 60% du temps, j’ai les mêmes gouts qu’eux. Ça aide pas mal pour éviter les conflits inter-générationnels, faut quand même l’avouer.

Au début des vacances, j’ai eu un bon d’achat pour tester la boutique Bambins Déco.

Sachez que pour moi, surfer sur ce genre de boutique, ça me prend  à la louche une journée complète. Parce que je suis gravissime et hyper consommatrice de produits de puériculture, jeux, jouets et, évidemment, de déco. Je flâne, je clique, je re-clique, je reviens en arrière, je fais des paniers équivalent au PIB du Burundi pour finalement annuler, prenant conscience que tout de même, je ne vais pas avoir les moyens de faire construire une annexe à l’appartement pour ranger tout ça.

Bref, je ne suis pas la dernière à rester planté des heures devant des rayons de jouets, loin de là.

Après donc un loooong moment à parcourir ce site de déco pour enfants, j’ai (enfin) jeté mon dévolu sur des petits cadeaux pour les enfants qui me faisaient de l’œil depuis un moment:


Une grosse tête de Légo (on avait déjà la plus petite), une boite Légo, des boules de glaces Haba et un mémory princesses Haba

On devine facilement ce que j’ai choisi pour Clapiotte et ce que j’ai pris pour N°1 qui me saoulait depuis des mois pour avoir une tête de Légo comme la mienne. Oui, j’ai bien dit la MIENNE!
Du coup, il y a eu atelier cônes glacés « hmmm c’est cro bon na gace maman, hein, fouffe, c’est un peu chaud voilà » et rangement de toutes les pièces de Légos qui ne rentraient plus dans les 2 autres boites (de la même marque, je ne m’en lasse pas, on est tarée ou on ne l’est pas) achetées il y a un an.

Et pour Haba, ai-je vraiment besoin de vous dire pourquoi cette marque est une de mes favorites? Non, hein… ça tombe sous le sens.

J’aurai pu me laisser tenter encore par du petit mobilier comme cette chaise pour enfant ou de la déco comme cette frise murale trop rigolote, mais j’ai préféré gâter les greffons avec des jouets. je suis faible. Et j’adore ça.

Prochaine étape, la tête Légo de madame, histoire de compléter ma collection… et peut être quelques boites pour la chambre de Clapiotte (y’en a des roses!)

On se refait pas…


Et parce qu’on aime avoir des news toutes fraiches, il y a évidemment une page Facebook dédiée à bambins Déco à suivre illico

Merci à Bambins Déco qui m’a permis d’assouvir un peu mes pulsions grâce à son bon d’achat.

Test et avis sur le MagicBed: un lit de voyage magique? On dit Banco ou pas?

Avec un nom pareil, je m’attendais à recevoir une sorte de Graal de la sieste enfantine et de la nuit parentale.

Le MagicBed, c’est ce dont on a tous rêvé au moins une fois en dépliant un lit parapluie.

Flash Back.

Il y a quelques années, on découvrait avec extase la tente Queshua, cette tente que tu lances au milieu d’un champs et qui, en trois seconde, se montait. Seule.

Depuis, j’ai toujours voulu une tente Queshua. Je ne suis jamais partie camper, mais j’en veux une quand même, parce que. Parce que monter une tente, c’est la misère. Parce que porter une tente, c’est bon pour la scoliose aussi. Parce que monter une tente en 3 secondes, c’est autant de gagner face à un orage (ou une attaque d’ours, on sait pas).

Bref, je parle tente parce que, bien évidemment, ça m’a beaucoup trotté dans la tête quand j’avais les pattes en l’air dans le lit parapluie en le traitant d’abruti (pour pas être plus vulgaire) sans arriver à le mettre à plat au niveau du couchage. Et ces maudits clips qui se clippent jamais sur les côtés. Argh.

Du coup, quand on m’a proposé de tester le MagicBed et que j’ai pris conscience que mon vœu avait été exaucé, j’ai dit banco.
C’est la marque de puériculture Outlander qui l’a créé, et je ne leur serai jamais assez reconnaissante de s’être penché sur la question, au nom de tous les parents galériens du lit pliant!

Ce lit, c’est simplement l’idée qu’on attendait tous pour les parents, et plus « que » pour les campeurs.

Un lit de 3,4 kg qu’on « lance » dans la chambre et « pouf » il et monté. Dois-je vraiment faire un dessin pour vous dire à quel point c’est pratique et anti-prise de tête?



Les plus:

Sa légèreté, son dépliage ultra rapide, son matelas auto-gonflant de 6cm étonnamment confortable, son look (très girly pour Clapiotte, mais j’adore celui à pois aussi), sa dimension tout à fait honorable une fois déplié, je pense que l’enfant peut y rentrer jusqu’à 3 ans facile (100/60cm)*.
La norme européenne NF EN 716 qui est la norme « Lit pliant pour enfant » a été attribué à ce lit, seul « pop-up » à en bénéficier!

Les bofs:

le pliage est quand même plus compliqué que le dépliage, mais on s’en doutait. J’ai pris le coup de main au bout de 4 utilisation (comprendre: j’ai su le faire sans avoir à regarder la video au ralenti sur youtube), ceci dit, ma tente de plage pop-up, elle, n’a jamais pu être repliée, preuve que le MagicBed est un chouilla mieux pensé quand même!
Une fois plié, il est très plat mais aussi tres grand (70x72cm). Quand on n’est pas grand (comme moi), c’est quand même une belle taille et assez encombrant à transporter. Des lanières pour le porter en sac à dos auraient été un plus.

*Le fait qu’il soit « conseillé » pour ds enfants de 80cm maximum. Bon, là, c’est pour les normes de sécurité, on est bien d’accord, parce que vraiment, Clapiotte peut encore dormir dedans au moins 1 an, et c’est bien pratique quand on pense aux amis qui n’ont pas de barrière de lit (vous savez, les gens qui n’ont PAS d’enfant!)

BILAN: j’adore le concept, le look, la praticité, la légèreté et le confort. Le seul bémol, vraiment, c’est son encombrement une fois plié quand on mesure 1m57… un système de portage le rendrait parfait à mes yeux pour les parents nomades (ou fêtards, je vous laisse nous mettre dans la catégorie adéquate)

Pour suivre l’actualité d’Outlander, çà se passe sur leur page Facebook!

 

Aller, une démo pour la route:


Prix de vente conseillé: 99€

 

 

Lit offert par la marque

Y’a de l’écho en Moldavie

Bien que le Moldave s’annonce langue morte d’ici quelques mois, je dois tout de même vous annoncer qu’une variante de cette langue (parlé par Clapiotte et pas mal de ses amis moins d’un mètre, pour ceux qui ne suivent pas, au fond) a fait son apparition.

L’écho moldave consiste à faire résonner toutes fin de phrases que prononceraient ses parents ou membres de sa fratrie en version moldave.

Très appréciable pour l’interlocuteur, on a l’impression de parler dans un combiné de téléphone au fin fond de la Creuse du Sud (à gauche, au fond de la grotte)

« Clapiotte, viens, on va réserver un cours de tennis pour demain »
…. « tinnis demain »

« Tu veux boire quoi? »
« …Oi »

« Est ce que tu veux aller à la piscine? Faut mettre le maillot de bain »
« e bain »

« Arrête de répéter tout ce qu’on dit Clapiotte »
« é pété calepiotte »

« C’est partiiiii » (tiiiii) « On va à la piscine » (« issiiiiiine »)


De loin, on l’entend moins.

Et quand elle écoute une conversation, ça donne ça:

Moi à Tony: »Demain tu veux qu’on fasse quoi? » (quoi)
Tony: « bah on peut les emmener voir les animaux » (amimaux)
N°1: « moi je voudrais bien refaire du trampoline » (ninine)
Moi: « bah on peut faire les deux » (et de deux)
N°1: « ah oui supeeeer » (pèèèèèère)

On va finir taré.

Parfois, je me demande si avoir été fan d’Eric et Ramzy ne joue pas dans le comportement de mes propres enfants: elle fait EXACTEMENT pareil (parce qu’à l’écrit, je suis pas sûre que vous saisissiez à quel point c’est exaspérant)

 

 

Faut-il vivre à Paris pour manger des sushis? (sponso)

Pas de chance, je suis lyonnaise.
Il y a 5 ans de ça, nous avions à peine 3 restos japonais ici, et pas un pour nous livrer à domicile, alors qu’à Paris, mes amis se vantaient de commander du maki royal comme on commandait (avant, quand on n’était plus branché junk food que poison cru, jadis quoi, hum… non rien). Aujourd’hui, ca a changé (ouf), n’empêche que pour trouver des sushis à Paris, on trouve des restos type Côté Sushi qui ont une carte à tomber. Y’en a un aussi à St Tropez. A Lyon? Nada, peanuts, néant intersidéral. Pourtant, on est en manque de cartes originales qui change des éternels sushis-makis basiques.

Et pour moi qui suis capable de manger des sushis 3 fois par semaine, j’aimerai bien varier un peu. Du coup, je me contente de livraisons de sushis avec ce que je trouve ici, et je me fais plaisir quand je monte à la capitale, y’a pas de raison.
L’engagement écologique (validé par Fish2Fork) n’est pas à négliger non plus, du coup, on se dit qu’on ne fait pas de mal, contrairement à certains qui sont pas forcément très clairs à ce niveau là

Pour varier, je fais des expériences maison. C’est moche, mais au moins, ca change. Même si pendant 4h de temps, je n’ai plus aucune vie sociale possible pour faire ça (sans AUCUNE aide, vous comprenez, ca peut salir les blanches mains des membres de ma famille, alors que moi, si je sens la daurade, tout le monde s’en fout)


Oui, ils sont tout écrasés, je sais

Alors que si je me les fais livrer, non seulement je gagne 4h de ma vie, mais visuellement, c’est pas la même:

Forcément.

Et chez vous? Vous commandez? Vous tentez de les faire? Vous vous souciez de l’engagement écologique du restaurant qui vous nourrit de cette tuerie gustative?

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Pour mon anniversaire, je voudrais avoir le don de l’organisation (cadeaux)

Je suis très mal organisée. Pour tout dire, je ne m’organise pas vraiment, comme ça, c’est réglé.

Autant je fais des listes à rallonge pour tenter de berner l’ennemi (et avoir l’impression de faire quelque chose), autant je ne les fais pas dans l’ordre, j’en perds une sur deux et je finis par ne plus bien savoir de quand elles datent.

D’ailleurs, je suis désespérément nulle en dates, mis à part les anniversaires de mes enfants, Tony, ma mère et le mien, j’oublie tous les autres (merci Iphone et Facebook pour le coup!)

Et aujourd’hui, c’est mon anniversaire. Ouais. j’ai 23 ans (et comme on me croit pas, je rajoute un 1/2 pour être plus crédible), ça je m’en souviens, parce que naitre au mois d’aout, c’est être vouée à ne jamais fêter ça avec ses copains d’école, ou ses copains tout court, à moins de passer des vacances avec eux (pas encore trouver moyen de les convaincre tous d’un coup)/

Bref, aujourd’hui, en soufflant mes bougies (y’aura pas de bougies, mais on va imaginer), je ferai le vœu de savoir m’organiser un peu mieux.

Déjà, les Éditions 365 et leur Mémoniaks ont dû voir venir mon vœu de loin en m’envoyant un Agenda Familial et un Kifékoi, planning familial (pas celui de la pilule du lendemain, l’autre) sur 16 mois afin d’avoir en un coup d’œil les activités de chacun.
Apercu global de ce qu’il y a à faire dans la semaine, menus, listes détachables, autocollants… c’est à la fois ultra pratique et ludique, N°1 est complétement fan et a hâte que je remplisse ses cases avec des corvées (huhuhu, si il savait)

J’ai feuilleté ces deux agendas et j’ai eu une lueur d’espoir: peut être qu’à la rentrée, j’allais pouvoir me réveiller le matin sans me rappeler que j’avais quelque chose à faire… mais quoi?
Fin du stress d’oublier un rendez-vous? les paris sont ouverts!

 Vous aussi vous avez besoin d’aide pour vous organiser? Bougez pas, Memoniaks et moi même vous offrons un Kifékoi et un agenda familial! Oui, c’est possible!
Pour tenter votre chance, vous me dites pour lequel des deux vous jouez et si vous avez une astuce pour vous organiser (ou pas du tout, comme moi quoi).
Vous pouvez jouer pour les 2 dans deux commentaires différents.
+1 chance en relayant sur les réseaux sociaux
+ ma gratitude éternelle si vous likez ma page Facebook et celle des Editions 365

Vous avez jusqu’au 15 aout inclus pour tenter votre chance!

EDIT:

Depuis ma connexion pourrie, ENFIN les deux gagnants:

Le Kifékoi est gagné par Lolly
L’agenda familial sera pour: Plumedange

Bravo à vous deux, les mails sont partis, j’attends donc vos coordonnées.
Merci à tous pour vos participations et encore désolée pour le délai du tirage au sort!!!

Un Village loin des nuages

 Il y a un an, je découvrais de mes propres yeux un village où les sourires d’enfants étaient légion.

Il y a un an et un jour, je priais très fort de pouvoir y retourner afin de reprendre ma claque et ma dose de bonnes émotions.

Mon vœu a été exaucé, il y a une semaine, je redécouvrais ce village avec beaucoup plus de soleil que l’an dernier. Et de chaleur aussi. Et avec N°1 en prime sous le bras.

Mais toujours ce même sentiment de pouvoir participer à une belle aventure, en plus de découvrir la région.

Nous sommes à Temple sur Lot, à quelques kilomètres à peine d’Agen (temple du pruneau) où se situe le centre Omnisport (temple de la forme physique ) où les équipes nationales de tout pays viennent s’entrainer régulièrement tout au long de l’année.
Il faut dire que les structures sont superbes, sans parler du lieu idéal ET calme.

Ici, pour la troisième année se relaient pendant les deux mois d’été 160 enfants par semaine. Pas n’importe quels enfants. Des enfants choisis par le secours Populaire, des enfants qui n’ont encore jamais connu le plaisir de partir en vacances.

Ces enfants qui ont entre 8 et 12 ans, N°1 les a vu, tous rassemblés avant de passer à table.

« Tous ces enfants, ils sont jamais partis? Jamais jamais? »

« Non. Et toutes les semaines, il y en a 160 nouveaux qui prennent le relai. Et les mois d’été ne sont pas assez longs pour faire partir tout le monde »

« C’est pas juste »

Non, ce n’est pas juste, mais c’est déjà formidable que le secours populaire puisse profiter de la visibilité et la popularité de Ferrero pour pouvoir leur faire profiter de cette semaine loin de leur quotidien, pour couper un peu, des vacances, des vraies, avec des copains, des animateurs super motivés, des activités et des découvertes sportives à n’en plus finir et même l’occasion d’apprendre à nager si jamais ce n’était pas encore acquis.

Quand on arrive au Village Kinder, comme ces enfants, on s’attend à faire du roller sur des rivières de chocolat. Mais tout ce qu’on croise ici, ce sont des sourires.

La motivation et l’investissement de chacun est tellement touchante qu’on a tout de suite envie de faire partie de l’aventure.

Sans parler du sport, omniprésent, qui permet d’intégrer l’intérêt des valeurs qu’il nous enseigne, la cohésion sociale qu’il apporte et l’épanouissement physique et mental qu’il procure, mais j’ai déjà parlé de mon amour du sport ici, pas la peine de refaire mon petit laïus!

Non seulement les enfants sont à fond toute cette semaine, ponctuée de veillées, d’une sortie ciné, de jeux (autre que le sport, oui, oui, quand même), mais chaque mercredi, un athlète de haut niveau, parrain de l’opération vient leur rendre visite.

L’an dernier, j’ai pu voir Tsonga leur faire une petite leçon de tennis. Cette année, le Village Kinder a accueilli pour la première fois Ibrahima Diaw, Handballeur professionnel, capitaine de l’équipe du Sénégal et joueur à Paris.

Du haut de son mètre quatre-vint-treize, taillé dans la masse, autant vous dire qu’on peut être impressionné. Les enfants, tour à tour, ont posé leurs questions. Ibrahima leur a dit le principal: « faut s’accrocher, s’entraider, rien lâcher et s’amuser ».
Je ne vais pas en rajouter une couche, mais voilà un simple conseil qui pourrait, étant donné qu’il a été lâché par une personnalité, leur rester dans la tête un moment. Et tant mieux.

S’en sont suivies deux heures entre eux et lui, deux heures à se dépenser et se surpasser.

« Moi, je vais réussir à l’avoir, c’est pas parce qu’il est grand et fort que je peux pas y arriver ».

Une semaine de vacances avec ce genre d’esprit, ça ne peut faire que du bien, et je suis heureuse que N°1 ait pu m’accompagner, parce que du haut de ses sept ans, il a eu le mot de la fin:

« on a de la chance, nous, maman, mais c’est chouette ce village quand même »

Super chouette, même.


« tout ce qu’on croise ici, ce sont des sourires »
©photo Olivier Perez

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Pour rappel, 1 enfant sur 3 ne part pas en vacances, Le Secours Populaire et Kinder s’engagent ensemble pour l’enfance. Chaque été, le centre de Temple sur Lot est mis à disposition pour 1000 enfants issus de familles défavorisées. Chaque enfant profite du programme et des structures mis à leur disposition durant cette semaine exceptionnelle, le sport au centre de l’attention de chacun.
A leur arrivée, chaque enfant se voit remettre un « pack » comprenant l’essentiel du bon sportif, baskets, Tshirt, short etc… afin que chacun parte sur un pied d’égalité.
Non, le chocolat ne coule pas à flot, à la grande déception des enfants qui croyait atterrir chez Charly et la chocolaterie.
Si un enfant se découvre dans un sport et souhaite continuer à s’y épanouir à la rentrée, Kinder s’engage à lui offrir sa licence afin de continuer à l’accompagner, même après ces vacances.

Le Secours Populaire et Kinder organisent tout au long de l’année des actions en faveur de l’enfance, je vous invite à faire un tour sur le site Kinder pour l’enfance.

Je vais me remettre à prier pour l’an prochain, donc….