La parité selon Clapiotte

Il y a peu de temps, je me suis un peu pris la tête en tentant d’expliquer mon point de vue à Marlène, rapport à ce que je pense de l’égalité homme-femme.

Loin de moi la volonté de faire débat ici, j’ai déjà parler vaccin et allaitement, je reçois encore des mails de haine à ce propos, je m’abstiens donc de retomber dans des débats houleux qui excitent les psychopathes nolife avides de me cracher dessus.

Mais je devais de préciser une chose, c’est qu’effectivement, par chez moi, l’égalité, la parité tout ça, bah en fait, on n’en parle pas, parce qu’il n’y a pas de problème. Zéro, nada, j’ai peut être de la chance mais voilà, autour de moi, homme, femme, le boulot, les gosses, tout le monde fait tout et c’est l’exemple qu’on donne nous aussi à nos enfants d’ailleurs… Bref.

Hier matin à l’école, alors que Clapiotte se précipite sur une mini table et s’assoit sur sa mini chaise pour faire des mini puzzle dans cet univers de moins d’un mètre, je tente de passer quelques minutes avec elle. Elle commence à me montrer la porte:

« Tu peux sotir maman tu pars c’est sini l’école pou toi »

« Tu me montres un peu ta classe avant? »

elle ne daigne même pas me regarder. pas trois ans et déjà la honte que sa mère s’intéresse à sa scolarité et squatte 5 minutes la classe.

Je sens que je dérange ma fille, je commence à me lever quand je vois le plus mignon des blondinets de la planete (j’ai le droit, on est tous très brun dans la famille) s’approcher de Clapiotte avec ce qui ressemble à des essoreuses à salade miniature.

« Bonzour Calepiotte, tu veux manzer? Z’es fait de la salade à l’oeuf »

Clapiotte lève des yeux outrés vers le garçon.

« Ah non non et non! é veux des pâtes moi. DES PÂ-TES, pas salade, beuk la salade. Va faire des pâtes! »

Et le petit garçon de s’exécuter.

met toujours le clique du jour qui va bien! merci beaucoup de votre soutien!

Jouer bille en tête… ou ruser?

Quand J’y pense, avec tout le temps que je passe sur mon ordinateur et sur internet, je pense qu’on peut parier sur la mort de mes rétines d’ici peu de temps.

Mais c’est comme ça, je suis complétement accro. Non seulement je ne sais plus trop si je tape sur mon clavier par passion ou compulsion, mais je ne peux m’empêcher d’être connectée en permanence. Autant vous dire que mettre le mode avion me fait l’effet d’une amputation.

 En fait, je suis connectée pour communiquer, pour travailler et pour jouer. Heureusement qu’on ne peut pas donner les bains virtuellement sinon j’aurais sûrement déjà franchi le pas.

 Si vous me cherchez, je serai certainement sur un de mes blogs ou mes pages et profils facebook voire sur les blogs ou facebook des copines. Par chance je ne suis pas assez accro à Twitter pour en finir définitivement avec le temps qu’il me reste. Et si jamais je travaille sur word, je décroche à la moindre notification de mail.

Je suis grave. Complètement foutue.

 Mais ce n’est pas tout. Je suis aussi branchée sur l’ipad, le soir, pour jouer à des jeux en ligne: je dessine, je compte, je casse des briques et j’ai même appris à jouer aux échecs (Presque) (enfin me demandez pas de jouer avec vous quand meme j’en suis pas là)

 De là à franchir le pas pour m’inscrire sur un site de belote en ligne, je pense que je n’en suis pas loin du tout, alors même que je n’ai jamais rien compris à un quelconque jeu de cartes à partir du moment où on m’a dit que l’As pouvait être la plus forte ou la moins forte, j’ai su que j’aurai un soucis de connexions neuronales pour saisir les nuances de ces jeux.

C’était pas faute de faire partie d’une bande qui squattait le café en face du lycée en balançant des tarots, belotes ou coinches… pendant que je sirotais un coca les yeux dans le vide intersidéral de mon incompréhension.

Les jeux de cartes, si je regarde bien autour de moi, ça me suit depuis toujours sans que jamais je n’ai pu comprendre quoi que ce soit.

Je pourrai profiter de la présentation qu’on m’a faite de Beloteenligne.com avec son blog, ses quizz, ses vidéos, ses BD ou encore simplement, ses règles et astuces pour ne pas paraitre bécasse au prochain apéro cet été. En l’écrivant, je reprends espoir mais je me connais trop bien pour savoir que mon cerveau se met en veille dès qu’on lui présente autre chose qu’une règle de bataille. Je ne sais même pas jouer à des jeux tout bêtes comme le Nain Jaune, le Trou du Cul ou le Huit Américain. Quant au poker, à part les jetons très jolis, j’ai rien compris non plus.Alors la belote… Remarquez, ca peut être un challenge pour ce site de me faire comprendre les règles!!!

Je suis perdue définitivement pour les jeux de cartes, je ne pourrai jamais boire un petit jaune en criant « re-belote » à l’ombre d’un arbre dans le jardin… pas plus que je n’irai m’inscrire dans un des nombreux clubs de passionnés qu’on retrouvera sur le site belote en ligne.com. Pourtant, vraiment, le sympathique propriétaire du site m’a donné envie avec son enthousiasme, alors j’avais envie de vous transmettre un peu de sa passion pour ce jeu de carte puisque chez moi ça fait défaut (mais c’est pas faute d’avoir essayé, je le jure), d’autant plus qu’il paraitrait que ses abonnés sont pour 55% des femmes entre 30 et 45 ans (je te vois sourire, toi, derrière ton ordi au bureau! Prise la main dans le sac! je sais tout)

Bref, malgré mes déficiences mentales avérées, peut être que l’un ou l’une d’entre vous se dévoue pour m’apprendre à jouer (avec de la patience) (beaucoup) (j’amène la bière) ou peut être avez vous une expérience similaire avec les cartes (ça m’intéresse de ne pas être la seule en fait)


Et toujours, on ne faiblit pas, c’est tous les jours (merci):

Toi aussi mets ton enfant dans un carcan

Depuis que Clapiotte est arrivée dans la famille, je découvre la mode enfantine avec un réel plaisir.

Y’a pas à dire, les fringues de garçon sont tout de même nettement moins sympathiques à associer, quoique je note tout de même une évolution depuis 7 ans, mais c’est encore assez classique pour ne pas avoir un orgasme à la vue d’un pantalon en velours côtelé beige.

Il y a un an, j’avais déjà parlé de mon soucis avec les stylistes enfants qui ont un réel soucis avec la réalité de la vie. (vous pouvez cliquer, j’aime bien cet ancien article, et pour une fois que je le dis, peut être que c’est vrai…).

Aujourd’hui encore, je me retrouve face à ce problème journalier qu’est l’habillage de nain en zone de stress, c’est à dire, entre 8h et 8h15, heure maximale de départ pour l’école.

De manière générale, N°1 s’habille seul. On note tout de même que la fermeture éclair à cet âge n’est pas franchement utile étant donné que la remonté ne fait absolument pas parti de ses priorités.

Pour Clapiotte c’est devenu bien plus compliqué.

Vous comprenez, Clapiotte, dorénavant propre (hiiihaaaa)(quoi qu’on m’a donné une culotte sale hier, mais passons) trouve de bon ton de se déshabiller seule afin de vaquer à des occupations naturelles obligatoires. Sauf que.

Défaire un bouton de jeans à deux ans et demi, c’est ultra compliqué. Du coup elle ne le défait pas, ce qui lui vaut une séance de contorsionniste hors du commun pour la plus grande joie de mon humour moqueur.

Comme il lui semble important de se dépoiler entièrement quand elle est sur son pot -je n’explique ce comportement que par un ennui mortel en attendant que ça se passe- nous avons régulièrement droit à un drame national. Parce qu’à partir du 3 ans, les encolures sont nettement moins larges qu’avant. Ou la tête plus grosse, mais comme je n’ai pas l’impression d’avoir mis au monde une hydrocéphale, je me dis que c’est tout de même de la faute du T-Shirt. Du coup, je me dois d’intervenir dans la seconde, retrouvant Clapiotte rouge de frustration et de hurlements, la narine droite encore coincée dans son collet, l’œil droit s’étirant jusqu’à l’arrière de la boite crânienne et la bouche façon Béart. Vison plutôt comique où je me dois de contenir un fou rire sans quoi elle ne voudra plus jamais se déshabiller seule avant ses 26 ans.

Sincèrement, depuis le temps que les marques créent de magnifiques petits ensembles pour nos marmots, je ne comprends pas qu’elles ne se soient pas encore penchées activement sur la question d’adapter les habits aux morphologies enfantines. C’est bien mignon de vouloir en faire des petits fashionistas mais si vous regardez des enfants de 4 ans monter sur un toboggan avec un jeans slim, je pense que vous serez d’accord avec moi si je vous dis que mon coeur s’arrête de battre en attendant que tout ce beau monde au Bieber style se vautre au niveau du troisième barreau.

A croire qu’en 2012, à l’ère de l’association des imprimés improbables et des matières bioniques, on n’est pas encore capable de s’adapter aux ventres rebondis, aux cous inexistants et aux bras qui ne passent pas par dessus les têtes.

A moins que le jogging ne soit l’accessoire indispensable de toutes les saisons, je crois vraiment que la mode n’aime pas l’enfant…. ou l’inverse.

Aller, viens, on va faire du tourniquet!

 


MERCI!

Des jouets à nous faire tourner la tête (cadeaux Hasbro)

Je vous avais promis une semaine tout en jouets, on va commencer directement par les cadeaux, vous en pensez quoi?

Après tout, il faut commencer à penser à Noël, donc, comme je ne suis que générosité et don de moi, je teste plein de trucs pour vous dire si on valide ou non pour que ces jouets aient une place ou non sous le sapin.

Aujourd’hui, laissez moi vous parler un peu de la marque Hasbro.

Pour un tas de raison, vous connaissez tous un peu cette marque. Les jeux de sociétés comme le Monopoly (ou Hippos Gloutons, le jeu qui a rendu ma mère dingue à cause du boucan qu’on faisait avec mon frère et l’hystérie que ce jeu nous procurait… faut que je pense à en acheter un d’ailleurs tiens), des toupies Bebyblade, les petits poneys, et les inimitables M. et Mme Patate font partis de la grande famille. Je crois que j’ai joué à tous ces jeux au moins une fois, que ce soit dans mon enfance ou par le biais de mon rôle de mère (mère parfaite qui sait comment se nomment les différentes toupies et leurs attaques respectives… sisi, j’ai bluffé le démonstrateur la dernière fois même… mais je pense que je suis vraiment atteinte niveau jouets. Ça me passionne complétement en fait).

Donc, récemment, nous avons reçu deux jeux: deux enfants, deux jeux, pas de jaloux, chez Hasbro, ils sont pour la paix des fratries!

D’abord, celui destiné à Clapiotte qui rentre dans l’âge, justement, des petits personnages type PetShop, Petits Poneys ou… Dizzy Dancer. C’est ce dernier qui s’est retrouvé chez nous et c’est vraiment pas mal car il assouvi ses envies de jouer à la toupie comme son frère mais c’est tout de même plus adapter à son âge sous cette forme de peluche un peu déjantée (d’ailleurs, le système de lanceur est plus simple à utiliser que celui des toupies Beyblade)… attention démonstration…

N°1 n’est pas en reste, il a, lui, reçu un Bop It Smash.

Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre en le recevant. A vrai dire, je me remue le cerveau pour tenter de vous expliquer le concept là tout de suite. Il s’agit d’une lumière qu’il faut » attraper » dans la bonne zone en pressant sur les deux extrémités du jeu. C’est très drôle. Et addictif. Et stressant. Et je suis un boulet qui n’y arrive pas du tout, mais avec Tony, on se fait des soirées bataille (à défaut d’avoir une vie sociale). N°1 fait un peu la tête quand on lui vole, mais je tente de lui expliquer que c’est pour la bonne cause… hum….
Bon, je l’ai filmé pour que vous saisissiez mais il n’avait pas envie d’y mettre du sien (parce qu’en réalité, il est bien meilleur que moi)… On notera que Clapiotte est d’un soutien sans faille… ou non…

Aujourd’hui, je vous propose de gagner un Dizzy Dancer ou un Blop it smash, au choix, les deux sont en jeu, donc il y aura deux gagnants.

Pour jouer, dites moi en commentaire ce qui va figurer à votre avis sur la liste de Noël (oui, en septembre, mais faut commencer à y penser je vous ferai remarquer) de votre enfant préféré (haha).
N’oubliez pas de me dire aussi pour lequel des deux vous jouez (vous pouvez jouer pour les deux dans deux coms différents)
Une chance supplémentaire dans le chapeau en partageant cet article (en me donnant le lien, ca serait plus pratique).

Une seule participation par jouet mis en jeu par foyer (adresse IP et mail).

Vous avez jusqu’au 25 septembre midi.

Évidemment, comme toujours, je vous adorerai encore plus si vous aimez la page du blog sur facebook.

Et si jamais vous votez pour le blog ici (rapport à mon projet etc), le bouton ci dessous est là pour ça, et c’est tous les jours (vous le retrouverez en haut à droite du blog durant toute la période de vote)


MERCI!

Et bonne chance!

jouets offerts par la marque

 

EDIT: les gagnants sont:

Pour le Bop It Smash: minimimi
Pour le Dizzy Dancer: Batmax

 

bravo à elles et merci à tous pour vos participations!

 

 

Cranemou cette blogueuse mode

Sans blaguer, vous avez de la chance que je parte très tôt ce matin et que je n’aie pas du tout pris le temps d’écrire un vrai article….

Aujourd’hui, je vais à ce fameux mariage pour lequel je cherchais une robe. Robe que j’ai trouvé grâce à vous (et merci Héléna!)

Alors, comme promis ce blog sera blog mode d’un jour. Et les blagues, les tacles et les petites piques sont permis, j’assumerai jusqu’au bout (de toute façon, mes copains m’ont dit qu’on captait pas là bas, vous avez 2 jours pour vous lâcher)

3, 2, 1… c’est parti! (photo floue by N°1)


 

C’est tout.
Je suis partie en Bretagne me terrer.
Bien à vous.
CRanemou

(robe Esprit, si jamais)

Ah non, vous avez vu en haut à droite… voilà, un truc pour voter, tous les jours pendant…euh… je sais plus…
Si je participe, c’est que j’ai une réelle motivation derrière, un petit projet que ce truc pourrait m’aider à réaliser… alors à vot’bon coeur et merci beaucoup!

Jouer, rire, grandir….

Oui, je sais c’est un slogan mais ces trois mots sont tout de même tellement liés que je ne me voyais pas choisir un autre titre.

Je suis absolument fan de jouets. J’aime retrouver mes souvenirs d’enfants quand je croise la route d’un jouet vintage ou même d’une marque que j’affectionnais, ça a sur moi un effet de flashback que j’apprécie plus que tout, me lançant dans des histoires d’enfance que mes enfants adorent entendre.

Et plus que tout, j’adore jouer. J’aime que les règles soient simples, j’aime que ça nous permette de passer un bon moment en famille ou entre ami, j’aime voir mon fils pester en apprenant à perdre et ne pas contenir sa joie quand je tente de lui inculquer le respect de l’adversaire et j’aime les tricheries, les mauvais perdants, les chanceux, les rigolos…. J’aime m’amuser et voir les autres en faire autant.

Alors figurez vous que j’ai été ravie qu’on m’invite à faire parti du jury Kidexpo cette semaine. « Vous devrez choisir votre jeu préféré et voter ». J’avais 12 ans en rentrant dans l’appartement où se trouvaient les jeux et jouets sélectionnés.

Et malgré toute ma bonne humeur et les personnes charmantes et passionnées que j’ai pu rencontrer de table en table, je suis reparti avec ce petit gout amer.

Où se trouve le jeu dans tout ça?

Évidemment, sur la quarantaine de jouets présentés, certains m’ont vraiment plu parce qu’ils correspondaient exactement à ce que j’aime dans le jeu:

L’amusement, la détente, un passe temps sympathique.

Là où j’ai tiqué, c’est lorsque déjà, dès le départ, le concepteur mettait plus de 10 minutes à m’expliquer la règle. La complexité n’étant pas suffisante visiblement, le but du jeu était parfois carrément consternant (en tout cas à mes yeux): ils vont apprendre les langues étrangères, ils vont intégrer les grande dates, ils vont finir premier de la classe etc etc…

Alors, que ce soit bien clair, je ne remets pas en cause la bonne volonté de ces créateurs qui pensent certainement bien faire en voulant bourrer le mou de nos têtes blondes. Sauf que je ne lâcherai pas l’affaire en brandissant mon drapeau et en criant bien fort que les jeux sont faits pour jouer. Que le jeu nous permette de mettre en ébullition notre cerveau, je trouve ça très bien, que le jeu nous fasse marrer de part ses règles farfelues, c’est encore plus sympa, mais sortir un jeu aussi triste que la règle de 3, sincèrement, ça ne sera JAMAIS ma came.

Les enfants passent du temps à l’école, on les bassine avec leurs devoirs et leurs leçons, alors quand on joue: on joue!

Voilà. fallait que je le dise hein! Non mais dites donc.

Sinon, la Kidexpo se déroulera du 27 au 30 octobre à Porte de Versailles pour les amateurs et ici, je pense que je vous prépare une petite semaine jeux et jouets, parce que tant qu’on y est, je vais en profiter pour vous présenter mes coups de coeur (ou pas) que j’ai découvert pendant mon périple au pays du jouet!
Donc, la semaine prochaine, vous pouvez sortir le calepin pour les idées de Noël, j’arriiiive!

Et comme y’a pas que les enfants dans la vie, et que le mariage dont je vous parlais là se déroule déjà demain… bah je vous promets la photo de la robe tant recherchée pendant le week end… oui oui, j’vais promis, je le ferai!

Bon, sinon, pour les jeux, je suis la seule à en avoir marre de cette tendance à l’éducatif à outrance?

Le plus beau souvenir… (une séance photo pro de vos enfants à gagner)

Mon plus beau souvenir d’enfance doit certainement se trouver pendant mes longues vacances que je passais dans le Sud, dans la maison de ma Grand-mère. Là bas, chaque année, je retrouvaisles mêmes copines. Trois copines qui font toujours parties de ma vie aujourd’hui.

Tout ce temps à conserver cette amitié, je crois quand même que ça veut dire quelque chose, non?

De ces trois copines, la plus « vieille » (en terme d’amitié, évidemment.. quoi qu’on a bien 15 jours d’écart) c’est Virginie. Et si je vous dis son vrai prénom aujourd’hui, c’est parce que ma copine d’enfance s’est fait un nom depuis qu’on courrait comme des tarées en voyant le marchand de glaces.

Virginie est devenue photographe. . De nulle part elle a sorti son talent comme un magicien fait apparaitre un lapin de son chapeau. Un véritable don, un œil, un talent… et cette touche personnelle qui rend ses photos si poétiques (ou pouët hic).

Elle a commencé à faire des photos de mode adulte et déjà je trouvais qu’elle me donnais envie de me remettre aux magazines féminins…

Vous allez me dire que je ne suis pas objective, et c’est sûrement vrai, mais toujours est-il que je suis fan d’elle, encore plus que quand je rêvais qu’elle me prête sa peluche Schtroumpf.

Attendez je vous montre:

 

Aujourd’hui, elle me fait l’honneur de vouloir apparaitre sur mon blog, et je ne vous dis pas comme ça me met la pression, parce qu’aujourd’hui, Virginie a enfin compris que ce qui était vraiment bien dans ses photos, c’était sa folie de femme-enfant, qui se révélerait encore mieux en shootant… des enfants. Ouais, logique. Je sais. Mais j’ai pas dit qu’elle était rapide hein! (rhoooo)

Donc, aujourd’hui, déjà, je vous annonce une mauvaise nouvelle, Virginie est devenue « Photographe pour bébés, enfants et femmes enceintes » est devenu son métier. C’est comme ça, c’est une éternelle parisienne, je crois qu’elle a même failli défaillir quand elle était venue me voir en Essonne (rhooo bis).

C’est pas grave, j’ai bientôt un truc pour mes amis lyonnais de toute façon.

Oui, parce qu’aujourd’hui, vous pouvez gagner un shooting photo de vos enfants par Virginie, et ça c’est pas rien. Le gagnant fixera avec elle un jour pour se rendre à son studio parisien où vous comprendrez ce qui fait de ses photos des clichés uniques et originaux. Le jeu, le rire et l’amusement seront au rendez vous pour que vos enfants, sous votre surveillance (c’est pas parce qu’elle est sympa qu’il faut lui laisser hein!) passent un merveilleux moments et que vous repartiez avec 20 photos.

Une occasion à ne pas rater pour tous les parents de Paris et Ile de France (où même ceux qui peuvent s’y rendre facilement), j’en suis verte de jalousie.

Évidemment, la contre-partie sera assez exceptionnelle, d’une part parce que c’est mon amie mais surtout parce que ce cadeau est simplement magique (et que je suis jalouse… j’ai déjà dit?)

Donc, pour tenter votre chance et gagner une sénce photo pour vo(s)tre enfant (entre 12 mois et 12 ans),

1/ devenez fan de sa page Facebook       (et de la mienne? c’est pas obligé pour moi, mais bon…)
2/ likez cette photo concours sur la page fan de Virginie Photographer For Kids:

EDIT: la gagnante de la seance photo a été annoncé sur la page FB de Virginie! Bravo à elle et merci à tous d’avoir aimé et partagé le travail de ma copine :D

3/ partagez le concours sur votre mur Facebook
4/ non obligatoire, mais bon, vous pouvez toujours dire un mot en commentaire de cet article, ca me fera plaisir hein!

Alors, oui, je sais, il faut avoir Facebook, tout ça, mais exceptionnellement et parce qu’elle mérite qu’on parle d’elle, les règles sont établies ainsi.

Pour découvrir ses photos, en savoir plus que mes anecdotes pourries ou savoir comment la contacter, rendez vous vite sur son site

Le gagnant sera tiré au sort lundi 17 septembre (le jeu s’arrête lundi 17 à midi) ! Bonne chance à tous

La grande aventure….

Pas de grande tirade aujourd’hui, pas vraiment d’anecdote croustillante sur cette Clapiotte qui boycotte mon blog à force de bien se comporter à l’école et de ne même pas faire pipi sur un petit camarade.

Ah, si, remarquez, je peux noter que la maitresse m’a interpellé car quand elle a demandé aux enfant de chanter une chanson qu’ils connaissaient, la mienne a entonné…. La Cane de Jeanne de Brassens. Normal quoi. Et aussi, ça fait 4 jours que j’appelle l’Atsem Mireille alors qu’elle s’appelle Micheline, et elle qui me sourit gentiment… moi qui espérais me la mettre dans la poche rapport à mes doutes sur les capacités de rétention d’urine de Clapiotte, je pense que c’est foutu.

Enfin, bref, cette rentrée est d’un calme mortuaire…. Sauf pour moi, finalement, qui me noit peut être dans un verre d’eau.. quoi que…

Saviez vous (attention, auto-promo) que j’ai écrit un article hautement sérieux sur le blog de Veronique Delachaux?

Et saviez vous (attention, auto-promo bis repetita) que j’avais ouvert un second blog spécialement pour les parents Lyonnais, qu’ils soient natif ou d’adoption? Une idée qui me trottait depuis tellement longtemps dans la tête, une envie de m’occuper un peu aussi de ma propre ville et de fédérer les familles lyonnaise autour d’événements et de bons plans et pour partager nos avis sur les lieux adaptés (ou non) aux enfant sur Lyon et alentours.
J’en ai parlé autour de moi, j’ai voulu y aller, j’ai douté, et puis finalement, hein, on n’est jamais si bien servi que par soi-même (quoi que si tu veux relooker le site, toi, web-designer, je suis d’accord)
Je suis donc heureuse de vous présenter mon « bébé »:

Avec la Page Facebook qui va avec, évidemment, et que vous pouvez liker, par simple soutien, par exemple, huhuhu….

Voilà, je suis convaincue que c’est une bonne idée et j’attends avec impatience que la sauce prenne et que les contributeurs deviennent de véritables ambassadeurs, mais vu le nombre de visite dans cette première semaine, j’ai bon espoir!

Donc voilà, une rentrée qui démarre aussi pour moi sur les startings blocks, en espérant trouver le temps de tout faire, surtout, mais avec un peu d’organisation…. mouhahahaha!

Évidemment, vos avis sont les bienvenus sur tout ça! (ou des encouragements… oui je réclame… et alors???)

Air biniou.com

Il fallait tout de même que je vous parle d’un truc super qu’on a fait cet été.

On est allé en Bretagne.

Comme plein de gens, en fait. Mais je n’ai jamais été convaincue par notre désir d’originalité dans cette famille.

En bons petits lyonnais, nous avons cette chance folle d’avoir un bout de famille  dans cette contrée lointaine (originalité, toujours), inaccessible au possible, qu’est cette terre celtique.

J’aimais pas la Bretagne. A vrai dire, je fais partie des gens remplis d’à priori. Bon, mon avis quant au climat n’a pas vraiment changé, mais je dois dire qu’à force de devoir m’y rendre pour faire du trampoline avec ma filleule, j’ai appris à apprécier le Kway même au mois d’août.
Et puis il y a ces histoires de prix aussi.  Parce que pour rejoindre le bout du monde, nous n’avons d’autre choix que de prendre l’avion (on oublie le train tant que Clapiotte n’est pas en âge de se taire pendant 7 heures… et ne me dites pas « jamais »).

Bref, on fait jouer les comparateurs pour les vols vers Brest à fond les ballons pour tenter de ne pas trop se ruiner, et je dois dire qu’il vaut mieux etre au taquet avec ça car les prix ne sont même pas les mêmes du jour au lendemain.

Évidemment, on n’a pas trouvé mieux que EasyJet niveau tarif.

J’aimais pas des masses la compagnie, alors j’étais pas méga ravie non plus, mais bon, la différence de tarif était trop grande.

Et bien j’ai été bien surprise. Contrairement à mon dernier voyage avec eux, j’ai été ravie de voir qu’on n’avait plus à attendre dans un hangar sans chaise, qu’on pouvait (avant d’enregistrer) faire un petit tour dans les nouvelles boutiques et même se poser boire un café. Ça n’existait pas l’an dernier, c’était carrément glauque.

Une fois le check-in effectué, un monsieur tout de ce merveilleux orange vêtu nous a dit de passer dans la ligne des « fast boarding » (et on remercie Clapiotte d’être encore considérée comme un enfant en bas âge). Du coup, on s’est retrouvé assis à attendre et on a embarqué dans les premiers, ce qui nous a évité la peur panique de se retrouver tous séparés, étant donné que la compagnie n’attribue pas les places: premier arrivé, premier servi.

Bon, petit conseil quand même: comme les parents avec enfants en bas âge montent en premier, ils s’assoient tous à l’avant de l’avion…. Et je vous JURE que voyager, même 1h30, à côté de 8 autres enfants dont 3 qui hurlent, bah c’est pas très reposant, surtout quand les nôtres ne pipent mot, devant les yeux admiratifs de ma voisine-la-vieille-dame qui m’a félicité pour l’éducation de mes enfants (j’ai réprimé un rire, tout de même)… Donc, discretos, on se place 3-4 rangs derrière eux, avant qu’une hôtesse de l’air nous choppe!

Au retour, même combat (mais pas mêmes erreurs) (surtout qu’en plus, on avait pu acheter un stock de crêpes).

Au final, donc, des billets pas (trop) chers et une organisations nettement mieux rodée qu’il y a un an.
Maintenant, j’avoue que pour des trajets de plus d’une heure trente, je ne pense pas que je prendrais cette compagnie… mais bon, je dis ça, après, faut voir le prix quand même, hein.

Et puis quoi qu’il arrive, quelle que soit la compagnie ou le prix, je crois que je n’aimerai JAMAIS prendre l’avion. C’est trop flippant cette histoire d’être au dessus des nuages.

Des anecdotes avec cette compagnie? Ou une autre d’ailleurs…

lien sponsorisé

J’habite une maison témoin, rapetipeton, le soleil est pas loin. (cadeau déco)

C’est pas facile tous les jours de vivre avec Tony, maniaque de son état, accro au chiffon microfibre et à l’aspirateur, obsédé du rangement. Aussi.

Mais l’avantage non négligeable que j’y trouve, outre le fait que je ne fasse plus JAMAIS le ménage, c’est que je me suis débarrassée de toutes sortes de déco plus ou moins kitsch accumulées au fil des ans. Petit à petit, l’appartement s’est épuré, et j’ai beau clamé que vivre dans une maison témoin n’est pas toujours drôle, j’aime beaucoup la sensation apaisante que me procure justement le trop net.

Depuis un peu plus de deux ans maintenant, nous avons aménagé dans cet appartement où nous avons tout refait, des sols aux plafonds à la sueur de nos fronts (et de ceux de beau-papa et beau-frère aussi, rendons leur hommage comme il se doit, tout de même).
Mais depuis deux ans et des brouettes, toujours rien n’habillait nos murs. Par manque de temps, manque d’entrain après les travaux, problèmes d’accords entre les deux partis… bref, on était depuis ce temps encadrés par des murs blancs, partout, tout le temps et c’était vraiment froid et peu accueillant, faut dire ce qui est.

Longtemps, je me suis posé la question: un tableau, des photos, des stickers?… Le temps a passé et la décision n’était toujours pas prise, mon salon était triste comme un samedi sans Fort Boyard pour les enfants (hommage à N°1 qui se languit déjà)

Et puis j’ai vu un stickers design à un croisement de clics. Un stickers qui disait « regarde moi, je suis tout comme ta maison » « carré » comme dirait N°1 qui ne comprend pas pourquoi nos meubles ne ressemblent pas à des ballons.

Quelques semaines plus tard, le stickers arrivait à la maison dans son étui, tellement bien protégé que j’ai bien cru que je ne l’en sortirait jamais.

Je me suis mise tout de suite en action:

Déroulage de stickers. Ah oui, c’est grand quand même.

Ah, tiens, ils ont fourni la petite raclette pour bien le plaquer au mur, chouette.

Tony me regarde, douteux: « je repars au travail, tu veux pas attendre ce soir, on le fera tous les deux? »

Tssss, la confiance, ciment du couple, bah dis donc notre couple doit être aussi solide qu’un château de sable un 15 aout sur la côte d’azur… si il le prend comme ça… soit, il va voir.

Je découpe, je prend ce dont j’ai besoin ET la raclette et me voilà, tendant les bras comme si j’allais tout à coup prendre 20cm.

Ok. Ça commence mal, je suis trop petite. Qu’à cela ne tienne, j’empile les tabourets, même pas peur. (un peu quand même)

Je décolle le papier du stickers (encore collé, lui, au papier type transfert), et je racle, et je racle.

Je tente d’enlever le papier transfert, pensant que la fée de la déco allait être de mon côté.

Bon, en fait, elle avait prolongé ses vacances en Costa brava, parce que rien ne restait sur le mur. Misère de misère.

Le téléphone sonne. C’est Tony. Il se moque. Un peu. « T’as lu le mode d’emploi? »

(re) tsss, le mode d’emploi, GENRE je saurai pas coller un stupide stickers!

Bon… il est là qui pendouille à moitié collé mais pas vraiment sur mon mur… je vais sur le site iDzif.com … pour voir. j’en n’ai pas besoin mais bon, peut être que ce stickers est défectueux.

Bon, finalement, ça devait venir de moi, après avoir compris deux trois choses primordiales (genre, faut VRAIMENT racler), je gère la pose mieux qu’une Valérie Damidot alors que j’ai même pas mis la salopette. Devant les yeux admiratifs de mon fils, on voit le mur s’habiller.

Et hop, je suis fierté!

Dans la foulée, j’avais aussi choisi un stickers enfant pour la chambre de N°1 (des graphistes Paristic, que j’adore tout particulièrement). Bon, en fait, je l’ai plutôt garder pour mon bureau, en bonne mère égoïste que je suis (mais je lui ai promis que je lui en prendrais un autre très bientot)

Au final, je suis ravie, Tony aussi et les enfants s’amusent à taper sur les cubes « comme dans Fort Boyard » (décidément). Je regrette de ne pas avoir osé la couleur mais je le saurai pour la prochaine fois. Et j’espère continuer la déco autour de mon bureau dans le même genre… ça me divertit quand je lève la tête!

Aller, comme je suis certaine que vous devez trouver ça teeeellemeeeent magnifique, iDzif.com et moi-même vous offrons un bon d’achat sur le site: 30 euros pour se faire un petit plaisir déco et pourquoi pas, comme moi, tester pour la première fois les stickers.

Pour jouer, vous avez jusqu’au 16 septembre 22h.
Vous me dites en commentaire  quel stickers vous ferait envie sur le site.
En relayant cet article sur les resaux sociaux ou blogs, et en le mentionnant dans le même commentaire, vous gagner une chance supplémentaire pour le tirage au sort.

Vous pouvez liker la page facebook iDzif.com et celle du blog pour nous remercier, ca coute rien et nous, ça nous fait drôlement plaisir!

Bonne chance à tous!

Stickers offerts par iDzif.com

 

EDIt: C’est lulu qui remporte le bon d’achat! BRAVO!
Merci à vous tous pour vos participations et pour les compliments sur mon joli salon… si vous pouviez dire à Tony de se détendre un peu coté ménage, ca serait top aussi ;)