Y’a dl’a Zumba dans l’air (cadeau, parce que c’est toujours Noël)

Tu aimes bouger ton corps mais tu trouves que:

1- fait quand même super froid pour ressortir après le boulot.
2- Y’en a toujours une qui est mieux gaulée que toi et franchement, c’est nul.
3- Non, vraiment, le jogging en public, c’est pas possible
4- Tu bouges pas super bien, finalement, et tu ne voudrais pas retrouver des preuves sur Facebook.
5- De toute façon tu n’as pas de baby sitter.

Y’a aussi l’option « tes 8heures de cours par semaine ne te suffisent plus et tu veux en faire encore et encore le samedi et le dimanche » (mais ça c’est parce que tu n’as pas d’enfant, j’imagine).

J’ai ce qu’il te faut !

La ZUMBA®.

Enfin, la Zumba® World Party, sur console, surtout.

Et ne venez pas me dire que vous ignorez complètement ce que signifie « Zumba ».
C’est LE sport que tout le monde se vante de pratiquer, et que moi, quand j’ai essayer, j’ai fait 4 crises d’asthme en 8 minutes environ.
Ça bouge bien. Tellement bien que niveau souffle, j’ai un peu de mal à tenir le rythme.

Mais comme ça se passe dans mon salon, finalement, on s’en fiche un peu, même pas peur, même pas honte, je peux transpirer sous les aisselles sans complexe.

Mais je m’égare.

Donc, un nouveau jeu Zumba Fitness Party est sorti le 22 novembre et il regorge de nouvelles chorégraphies et de nouvelles musiques.
Sans parler des fonctions « fitness » qui vont bien au delà du simple jeu de danse: on peut se fixer des objectifs, voir notre évolution, avoir accès à des statistiques et même à des conseils de nutritionniste.

Bonne nouvelle, j’ai donc un de ces jeux à vous faire gagner !
Deuxième bonne nouvelle, il est à gagner sur la plateforme de votre choix: Wii, Xbox360, XBox One et Wii U.

Pour tenter votre chance, laissez ci-dessous un commentaire en me disant que vous participez ainsi que la console sur laquelle vous jouez.
Vous avez jusqu’au 7 décembre inclus pour jouer.
Le gagnant sera tiré au sort et contacté par mail.
Le jeu ne pourra être envoyé qu’en France Métropolitaine seulement.
Évidemment, nous ne sommes pas du tout contre un relai sur les réseaux sociaux, c’est Noël, répandez la bonne nouvelle !

Bonne chance à tous !

Vous me remercierez quand vous serez pétris de courbatures !

Plus d’informations sur les jeux Zumba Fitness sur leur site.

worldparty-packart-fr

Concours sponsorisé.

EDIT: c’est Kat CheapbutChic qui gagne le jeu ! Bravo et merci à tous !

Cadeau : un stylo Appen à gagner. (C’est Noel #4)

Il y a quelques jours, je vous présentais une découverte sympathique : le stylo Appen de Giochi Preziosi

 

Que ce soit les enfants ou moi même, nous avons été convaincus  par ce stylet : entre jouet ludique et accessoire HiTech éducatif, il est bien rare qu’il ne soit pas branché à l’Ipad.

appen-giocchi-stylet-pour-tablette

 

Comme c’est bientôt Noël (bah oui, va bien falloir commencer à en parler un jour, de Noël) et que tant qu’à faire, on peut vous gâter un peu, j’ai l’occasion de vous offrir un de ces merveilleux stylo interactif

 

Alors si vous avez un petit geek en devenir à gâter, c’est le moment de jouer.

 

Pour tenter votre chance, laissez moi un commentaire ci-dessous en me disant ce que vous pensez de ce stylo, ce que vous aimeriez comme jeu associés et à qui vous l’offrirez si jamais vous le gagner (oui, je suis TRES curieuse).
Je vous invite également à venir liker la page Facebook de Appen , ça fait toujours plaisir.
Et bien évidemment, vous pouvez partager à loisir sur les réseaux, pour faire découvrir à vos amis.

 

Vous avez jusqu’au 4 décembre 2013 midi pour jouer. Le gagnant sera tiré au sort et contacté par mail.
Merci de bien remplir la case « mail » dans les commentaires avec un mail valide.
Le stylo Appen mis en jeu ne pourra être envoyé qu’en France Métropolitaine.

Bonne Chance !

EDIT: La gagnante est AnneSo. Je viens de faire partir le mail.

 

Souffre en silence.

Avant propos :
Je m’étais promis de ne jamais aborder ce sujet là. Trop personnel et anxiogène au possible pour toute future maman qui se respecte.
Y’a bien que les imbéciles qui ne changent pas d’avis et surtout, depuis quelques jours, je bondis de lire certains commentaires suite à cet article de Marie Hélène Lahaye. De commentaires outrés par la violence des propos à ceux balayant d’une seule main le fait même que cela existe réellement. Des personnes qui se permettent de juger des choses qu’ils n’ont pas connu sous prétexte qu’elles paraissent inconcevables.
A vous, futurs parents, je vous déconseille de lire ce qui suit à moins d’aimer vous faire peur. Je suis désolée d’exposer là des faits angoissants, mais après réflexion, ce blog reste mon chez moi et j’ai besoin aujourd’hui d’en faire ma tribune.
A vous qui vous permettez de nier cette souffrance, voici mon expérience.
A vous qui avez connu cela, voici mon témoignage.

Je ne suis pas quelqu’un de particulièrement branché sur le retour au naturel en puissance et le « c’était mieux avant ». Je suis une personne lambda qui vit avec son temps et qui s’en accommode fort bien. Tel était le cas lors de ma première grossesse et rien ne me fera changer d’avis à propos de la sécurité que peuvent nous offrir aujourd’hui les hôpitaux pour donner naissance à nos enfants.
Lorsque j’attendais ce premier enfant, j’ai beaucoup lu à propos de l’accouchement. Point particulièrement inquiétant lorsque nous sommes enceintes. J’ai lu du beau et du merveilleux comme du triste et de l’effrayant.
Je sais (et j’en suis bien heureuse) que la plupart des accouchements se passent parfaitement bien (ne rêvez pas, ça fait mal quand même).
Je ne nie pas l’existence de médecins, infirmiers, sages-femmes et autre personnel hospitalier ultra compétents tant dans les gestes que dans l’accompagnement à la personne.

Mais pour ce premier enfant, je n’ai croisé qu’une seule de ces personnes là.
Les autres ont été mes bourreaux.
Pendant 20 heures.

Alors que j’avais perdu les eaux, je me suis rendue à la maternité dans l’euphorie la plus totale: j’allais accoucher. Cela allait mettre un terme à mon statut de baleine échouée d’une part et me faire découvrir les joies (enfin) de la maternité. J’ai même quelques photos qui peuvent prouver que j’étais bien loin d’un quelconque stress au moment d’arriver.

1h10: On sonne à l’interphone et on nous ouvre, nous demandant d’attendre dans une petite salle.
Alors on attend. On est content, on va avoir un bébé, c’est pas rien.
Et on attend encore. Ceci dit, je n’ai pas de contraction du tout et les protèges slips de nos jours sont aussi efficaces que des Pampers.
La porte s’entrouvre et une voix nous demande d’avancer dans le couloir. Soit. Je suis bien élevée, je fais ce qu’on me dit.
Je m’allonge en ayant pris soin d’enlever pantalon et slip, jambes en l’air, on me fait le premier toucher vaginal de ma soirée. Tout est normal.
On somme mon mari de repartir chez lui pendant qu’on m’installe dans ce qui ressemble à un placard avec un lit mis là à la va-vite. Peu importe où après tout, il faut attendre, j’attends, mais attendre seule ne m’enchante guère. Pourtant, on nous explique que mon mari ne PEUT pas rester.
On abdique, je lui dis que ça va aller.

Je ne dors pas, rapport que tout de même, c’est une histoire de fou ce truc de devenir maman dans quelques heures !

Jusqu’à 6h30, personne ne vient me voir et je ne peux pas me lever étant donner que je suis branchée sous monito (qui se débranche régulièrement et que je remets en place seule, donc).
Après avoir éradiquer la forêt amazonienne pour imprimer un doppler foetal de 6h, mon mari refait son apparition.
Je lui demande d’appeler quelqu’un, hein, juste pour savoir où on en est. Et puis ça commence à piquer un peu au niveau contraction, finalement.
« Vous êtes à 1 »
Ha.
On m’autorise à aller me balader un peu mais je reviens assez vite, je suis douillette, et quand j’ai l’impression qu’on m’enfonce des banderilles dans les reins, je préfère grimacer loin d’un public.
Il est 7h30, j’ai soif, mais on me dit qu’il est désormais interdit de boire. Tant pis.
Je me plains d’avoir quand même un peu mal. Quelqu’un vient me voir et m’injecte en intraveineuse un « petit » calmant.
Pour me calmer, ça me calme, je suis à Hawaï.
Je suis toujours aussi dilatée que l’esprit d’un pétainiste, mais on me demande de me lever quand même parce que je vais tout de même passer en salle de travail.

« Youhou, ça commence » me dis-je en jouant à la bille de flipper dans le couloir tellement je suis droguée.

C’est là que tout à vraiment commencé, effectivement.

« Bon, on va vous provoquer les contractions pour que ce soit plus rapide ».
Je n’y connais que dalle, ils savent ce qu’ils font, hein, c’est leur boulot.
Joie des ocytocines qui m’emplissent de cette sensation incroyable de ne plus rien maitriser. En 30 minutes, j’ai des contractions qui ne rentrent même plus dans le petit écran qui tente tant bien que mal à les enregistrer.

Je suis ligotée au monito et mon mari m’asperge d’un brumisateur que je me félicite d’avoir acheté en version géante.

J’ai mal. Très. Les contractions fusent toutes les minutes au point culminant. Je pleure un peu, je suis un peu perdue aussi. La péridurale me semble une excellente option.

On me fait donc assoir après avoir couru après anesthésiante de service. J’ai les fesses à l’air mais comme tout le monde a déjà vu l’entrée de mon vagin, finalement, je m’en contre-carre.

« Faites le dos rond ».

Je n’y arrive pas, rapport que j’ai 60 secondes pour trouver cette position avant que le pic ne reprenne ses droits.

On m’engueule. Je ne fais pas d’effort. AUCUN. J’exagère même.

Je sers les dents et je sens l’aiguille me rentrer dans le dos. Je jure à qui veut l’entendre que j’aime ce sentiment de futur soulagement en sentant le liquide anesthésiant passer le long de mon dos dans le tube relié au cathéter.

J’ai toujours mal, mais armée de mon petit régulateur, je clique comme une sauvage pour connaitre le répit.

Rien n’y fait. J’ai toujours aussi mal. Je commence sérieusement à faiblir. Je me laisse aller à pousser des cris de douleurs qu’on me demande instamment de réprimer rapport que ça pourrait faire peur aux autres futures mamans.

A chaque pic de contraction, je tombe dans les pommes pour mieux me réveiller au suivant. Je ne tient pas et balance un lâche « j’en peux plus, je fais une pause, je reviens demain ». Je ne suis plus tout à fait là, plus tout à fait consciente. J’essaie de bouger mais ma jambe gauche est paralysée par la péridurale qui a pris visiblement le mauvais chemin. Ceci explique cela.
Taisez vous Madame, moins fort enfin.

Vous n’allez pas pleurer tout de même ?

Si. Si, je pleure, mais je le fais pas exprès, je suis désolée, pardon.

J’arrive à exprimer verbalement le fait que la péri ne fonctionne pas, je demande quand il sera possible d’avoir une seconde chance.
« On verra »
4 heures.
En essayant de garder le silence, en essayant de me faire discrète. Je suis terrorisée. Fatiguée.

Je ne suis plus grand chose à ce moment précis.

Un nouvel anesthésiste se présente. Je ne me souviens pas très bien, j’obtempère il me semble.

J’ai « de la chance », on peut faire une deuxième péridurale vu que mon col fait grève.

On m’abandonne là, la dose maximum m’ayant été administrée afin que je me calme.

Je vais mieux. On va toujours mieux quand la douleur ne fausse pas notre perception.

Une stagiaire aide-soignante se faufile dans la pièce et s’assoit près de moi en me prenant la main. Elle m’a entendu crier à côté. Elle devrait suivre l’accouchement de ma voisine, mais elle a voulu venir me voir. Me prendre la main. Plonger son regard dans le mien et me dire que ça allait aller. Me dire de respirer. Un regard bienveillant au milieu de robots. Un discours d’une douceur extrême qui me permet pour quelques temps de reprendre mes esprits.
MERCI.

On revient vers moi quelques heures plus tard. Je ne sais plus combien. C’était long, il me semble, mais trop court pour reprendre quelques forces.

Vous êtes à 8. Si dans 30 minutes ça ne bouge pas, on passera en césarienne.

Je n’ai aucun problème avec cette option.

1 heure plus tard, on revient. Ça n’a pas bougé.
Quelques minutes se passe quand la gynécologue que je ne connais pas intervient: on va commencer à pousser madame.

Ah. Bon. A 8 donc. Bon. Ok.

Vous ne poussez pas.
Je n’ai plus de force, je m’excuse platement.

On va vous aider.

Une dame se met à cheval sur mon visage, une autre prend mon ventre entre ses mains et à deux, elles me pressent comme un tube de dentifrice. Je ressens une douleur atroce au niveau de mes côtes, de mon plexus et de tout ce qu’il me reste d’organes.

J’hurle.

Moins fort. Vous exagérez là. Vous êtes vraiment douillette.

20 minutes de ce supplice plus tard, elles se résignent et rappellent la gynéco en renfort. Elle colle une ventouse sur la tête de mon fils et me demande de pousser à son commandement. J’ai envie de pousser en permanence à vrai dire et j’ai bien du mal à me contenir.

Je suis nulle.

Je n’aide vraiment pas.

Faites un effort madame.

Je sens une pression énorme de la tête de mon enfant qui tente tant bien que mal de sortir par ma cuisse droite. Je signale cette impression.

« Vous ne savez pas »

Ah.

Le docteur vire la ventouse et dégoupille une paire de forceps. On n’a pas bien le choix hein madame.
On fait sortir mon mari. Y’en a pour 10 minutes.
Je sens quelque chose de chaud me couler sur la cuisse. Je saurais quelques temps plus tard que c’était le sang d’une épisiotomie, plus pratique pour insérer les pinces.
Debout devant moi, je vois cette dame masquée, un pied à terre, l’autre en appuie sur ma table de travail. La sueur goutte sur son front. Elle tire pour essayer de me sortir ce qu’il me reste de tripes. Je pleure en silence.

30 minutes plus tard, elle abandonne ses outils au sol. Je n’existe plus. Mon enfant est en souffrance. Je passe au bloc.

Je suis quasi soulagée que ce calvaire s’achève, même ainsi.

Sur mon brancard je croise le regard hagard de mon mari qui, seul dans le couloir, n’a eu aucune nouvelle et me voit soudain transférée en urgence. On lui dit d’attendre. Encore.

On m’attache, on m’ouvre. J’entends le cri de mon fils s’éteindre. On l’emmène. Je ne sais pas où. Je demande si tout va bien mais toutes les blouses sont trop occupées à brasser du vent autour de moi pour me répondre.

J’hurle en exigeant de savoir.

Personne. On me laisse attendre 15 minutes dans l’angoisse et une certitude grandissante que mon fils est mort.

Je somme l’infirmière anesthésiste qui veille à mon bien être de se lever et d’aller voir elle même. Je vais bien aller moi, mais je veux savoir. C’est MON enfant.

Elle revient en me rassurant. Il va… mieux.

Recousue de milles points et de quelques agrafes balafrant à jamais mon ventre, plusieurs personnes se mettent autour de moi pour me transbahuter sur le brancard qui m’attend. Je vire tout le monde, de rage, je refuse qu’on me touche. Plus jamais. Laissez moi.

Cette nuit là j’ai souffert physiquement, beaucoup. Je regardais mon fils défiguré mais bien portant et je ne savais pas si j’étais vraiment mère.

A 8 h le lendemain matin, la gynécologue est venue me rendre visite. Suivie d’une dizaine d’internes.
« Je viens montrer à mes étudiants votre cas fort intéressant. Une épisio et une césarienne, c’est rare, il faut qu’ils voient ça »

Avant de baisser à jamais mon regard je fixe ces jeunes en me demandant s’ils seront plus humains. Aucun n’ose regarder mon intimité.
La bête de foire est intéressante jusqu’au point où ça devient inhumain de ne pas prendre en compte qu’elle a une dignité, elle aussi.

En repartant de ma chambre, la gynécologue jette un œil dans le berceau de mon fils.
« Ouh bah vous pourriez quand même éviter le bonnet hein, on est en juin ».

Voilà. CA, c’est ma réalité. J’ai mis 3 mois à ne plus souffrir des hématomes internes provoqués par les sages femmes.
J’ai mis près de 4 ans à me reconstruire psychologiquement et physiquement, bien que je ne sois pas bien certaine que tout soit encore bien réglé.

Alors oui, on parle de torture. On parle de sévices et de mutilations sexuels.
Je suis bien désolée de dire que ça existe et le fait que la majeure partie des accouchements se passent bien ne justifie pas qu’on n’ait pas le droit de dire que certaines d’entre nous ont été détruites de façon consciente par des personnes qui ont profité de leur blouse pour assouvir un narcissisme maladif.
Nous avons été meurtries, nous avons le droit de le dire, parce que c’est le seul moyen qu’il nous reste que de faire reconnaitre cette souffrance et de passer à autre chose.
Un jour.

 

 

 

 

Billet niais : 4 ans (avec un cadeau dedans)

Clapiotte a 4 ans aujourd’hui.

4 ans.

Avant qu’on m’annonce que Clapiotte était une fille, j’étais intimement persuadée que je n’en aurai jamais, de fille. Tellement que lorsque le sexe de N°1 a été dévoilé, je n’ai ni sauté de joie, ni été surprise, c’était normal. Un garçon, c’était la logique. Parce que je trouve les filles compliquées, parce que je m’entends mieux avec des garçons, je trouve ça plus simple, binaire, pratique.

Même N°1 était assez d’accord avec ça. Dans mon ventre un bébé grandissait et il me répétait sans arrête que si c’était un garçon, on l’appellerait Robin des Bois. parce que c’est un gars cool, Robin des Bois. Si jamais on avait le malheur de découvrir que c’était une fille, elle s’appellerait CacBoudin.
Les filles c’est trop naze de toute façon.

« C’est une fille ».

Avec N°1 qui m’accompagnait pour l’occasion, on s’est regardé un peu perdu. WHAT ? UNE FILLE ?
Une fille.
J’ai acheté que des trucs blancs, beige et jaune. Et j’avais prévu de rentabiliser mes addictions antérieures concernant l’achat compulsif de pyjamas en velours en lui remettant les dors-bien de N°1. Bleus.
D’façon, franchement, les couleurs de filles, c’est la loose.

Et puis il y a 4 ans tout pile, après avoir survécu à un Koh Lanta utérin, je l’ai vu.

Je l’ai trouvé moche. Elle n’était pas bien belle, il faut bien dire. Un bébé fille trop poilu du front avec un œil de boxeur rougi façon myxomatose. Le glamour à l’état pur.

J’ai passé 8 jours entiers enfermée avec cette petite fille dans une chambre jaune et verte. On s’est regardé dans le blanc des yeux pendant tout ce temps. Toutes les deux, coupées du reste du monde parce que la grippe frappait à l’extérieur.
8 jours pour se connaitre. 8 jours pour réaliser que j’étais capable de faire une fille et que malgré mes appréhensions, c’était plutôt cool, finalement.

8 jours pour que son duvet vilain s’en aille et que je la présente fièrement, enfin, à sa famille, toute belle, lisse et sans poil (ou presque).

Et depuis 4 ans, je l’observe toujours en me félicitant.
Parce que cette fille là est loin de beaucoup de clichés, elle est drôle, elle a de grands yeux qu’elle sait à loisir faire briller pour obtenir le dernier carré de chocolat. Elle est à la fois sérieuse et complètement barrée, elle sait être douce ou violente, elle sait se faire entendre, elle aime la vie et chaque jour depuis 4 ans, elle nous apprend à rythmer notre quotidien différemment. Elle bouscule les habitudes en passant de l’exaspération à l’excitation, de la joie extrême à la crise de larme. Elle rit trop fort, elle raconte tout, elle n’aime rien, elle aime trop, aussi.
Elle danse comme si sa vie en dépendait, elle chante avec bonheur, elle ne dessine pas très bien mais toujours en couleur.

Comme sa vie.

Depuis 4 ans.

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© VIRGINIE DUBOIS PHOTOGRAPHER FOR KIDS

Et puisque c’est comme ça et que je vous colle une photo de Clapiotte qui joue au lapin, ça me fait penser qu’elle a reçu récemment de la part de KOTO Parfums le toute nouvelle eau de senteur Trousselier, spécialement conçue pour les plus petits. Ça sent bien bon l’enfance, c’est tout doux, léger et même presque poétique et ça s’appelle « Ange Lapin ». Je ne comprends même pas comment ils n’ont pas pensé à prendre Clapiotte comme égérie voyez….

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Cette eau de senteur peut se retrouver dans toutes les bonnes parfumeries seule ou sous forme de coffrets, avec, au choix, une petite peluche Ange Lapin, mascotte Trousselier par excellence ou une paire de chausson qui te donne DIRECT envie d’avoir un nouveau né dans l’instant. Une bonne idée cadeau de naissance ou de Noël pour le petit Gudule qui devrait pointer sa trombine dans quelques jours ça !

Clapiotte, Koto Parfums et moi-même vous offrons du coup la possibilité de gagner ce parfum spécial kids.
Pour tenter votre chance, laissez un commentaire ci-dessous en me donnant un souvenir d’odeur d’enfance (vous avez aussi le droit de souhaiter un bon anniversaire à ma fille, au passage).
Comme vous êtes des gens bien, je suis certaine que vous allez diffuser l’information via vos réseaux. Genre, si toute la planète pouvait se prosterner pour Clapiotte aujourd’hui, ce serait chouette.
Vous pouvez aussi suivre la page Facebook de Koto Parfums, je suis sûre que vous y trouverez des bons plans régulièrement.

Vous avez jusqu’au 29 novembre inclus pour jouer.
Le parfum ne pourra être envoyé qu’en France Métropolotaine.

 

EDIT: c’est Cleopat qui recevra le parfum « Ange Lapin ». Bravo. Je viens de faire partir mon mail !

Pour les cadeaux ici, on prend des photos

J’adoooore faire des cadeaux. Si j’avais le temps (et l’argent), je passerai ma vie à faire plaisir aux gens qui m’entourent. Vivement que je gagne au Loto, je vous le dis.

Toutefois, il n’est pas rare, dans cette société d’hyper-consommation (j’avais TELLEMENT envie de faire la fille impliquée avec ce mot) que je tombe face à une personne qui « a tout ».

 

Mais si, vous savez, cette personne qui, dès qu’elle a envie d’un truc, court se l’acheter, ne nous laissant même pas le temps de mémoriser de quoi il s’agissait afin de lui ressortir entouré de bolduc à son anniversaire ou à Noël.

Ces gens là sont des gros relous-du-cadeau MAIS ils ont le mérite de nous faire travailler notre imagination et notre originalité.

Pour eux, on doit se creuser. Qu’est ce qu’ils n’ont pas ? Et surtout, qu’est ce qu’ils ignorent VOULOIR.

 

Han…. Pas facile.

 

Encore moins quand le décompte des jours se fait de plus en plus pressant avant la date fatidique où il faudra bien avoir quelque chose à offrir (oui, parce qu’adulte, dire « je t’offre ma présence », ça ne marche pas, à moins d’être en face d’une indécrottable fleur bleue, mais là, c’est une autre histoire).

 

Donc, voilà, depuis quelques années, maintenant, j’ai trouvé la parade car OUI, je suis dotée de ce genre de spécimen en la personne de mon beau père (et de ma mère, aussi, mais quand même, c’est plus facile pour elle).
La photo.

 

les tableaux pop art Cadopix

 

Une belle photo, de ses petits enfants si possible (pas qu’il ne veuille pas d’un portrait sur plexiglas de ma trogne, mais je suis bien moins mignonne que mes greffons).

 

Suffit de beaux clichés pour faire son petit effet une fois le paquet cadeau déchiré.

Oui, bon, évidemment, il faut aussi que le site sur lequel on commande son tableau personnalisé depuis une photo soit assez pro pour rendre l’idée excellente.
Faire faire un tableau photo peut maintenant être bien facile et un site comme Cadopix propose de le faire sur plexiglas, châssis entoilé, aluminium, PVC ou même du « plexart », un support alluminium recouvert de plexi, pour un rendu encore plus bluffant et exclusivement chez Cadopix. Evidemment, il est aussi possible  d’imprimer nos photos sur des tas d’objets utiles type coque de smartphone, mug, trousses etc…

De plus, pour les procrastinateurs que nous sommes, toujours en retard pour faire les cadeaux, Cadopix nous livre notre tableau en 24h. Et pour ne rien gâcher, la fabrication des tableaux est 100% française, et c’est une bonne nouvelle !

 

Sachez que jusqu’au 25 décembre 2013, vous pouvez bénéficier sur le site de 25% de réduction avec le code OMGCADOPIX sur les tableaux personnalisés, comme ça vous n’avez plus d’excuses pour pas tenter !

 

tableaux cadopix

 

J’éduque mon enfant au Street Art: Marker Airbrush de Crayola à gagner (C’est Noel #4)

J’aime le street art, il rend les rues poétiques, drôles ou révoltées.
Avec les enfants, quand on croise du Street Art, on s’arrete souvent un moment, on lit, on sourit, on apprécie… souvent on critique, aussi. Ça nous amuse beaucoup.
Ado, rebelle de mon état, j’achetais des magazines de graff et on s’amusait à redécorer nos agendas avec les copains en reproduisant plus ou moins bien nos préférés.

Et puis j’ai grandi, un peu (ouais, pas en taille).
J’ai arrêté de me prendre pour une artiste mais je continue à montrer à mes enfants qu’on peut faire plein de choses de ses 10 doigts (artistiquement parlant) (je vous ai vu sourire).

On m’a récemment envoyé le Marker AirBrush de Crayola, pour test.
Je en savais pas trop de quoi il retournait avant de le recevoir, et en ouvrant ma boite, j’ai trouvé ça vraiment marrant.

airbrush marker crayola

« Les enfants, on va détrôner Banksy ! » que j’ai crié.

Parce que le Airbrush est un système astucieux qui permet de transformer le feutre en véritable bombe prête à apposer le blase de Clapiotte sur les murs de Lyon une feuille.
On fixe le feutre au pistolet, on pompe like a Shadock une vingtaine de fois pour la pression et… on joue. Les pochoirs proposés permettent un petit entrainement avant de se lancer dans des créations plus personnelles.
Il est tout de même bon de préciser qu’il faut pomper régulièrement (et donc, manuellement) pour pouvoir se servir du Airbrush de manière intensive.
Et puis quand l’enfant se lassera ou lorsqu’il manquera d’imagination, rien n’empêche de créer nos propres pochoirs (vous qui ne saviez pas quoi faire de vos vieilles radios, ça tombe bien).

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Mouais, bon, l’univers du graff peut encore attendre un peu avant de trembler….

Le rendu est vraiment sympa. Bon, on n’est pas encore super prêts pour entamer une guerilla urbaine, mais on s’amuse bien quand même !

Afin de faire trembler le maire de New York (au moins) j’ai un Marker Airbrush à vous faire gagner.
Pour tenter votre chance, laissez un commentaire ci-dessous en me disant ce que vous aimez voir ou non sur les murs de votre ville.
Vous avez jusqu’au 27 novembre inclus pour jouer.
Le lot ne pourra être envoyé qu’en France Métropolitaine seulement.
Le gagnant sera contacté par mail après tirage au sort.

photo-15
Ouais, je sais, je suis née pour ça….

Bonne chance et merci à Crayola !

Monstres Academy sort en DVD : cadeau ! (C’est Noël #3)

Quoi de mieux avec ce temps de caillante généralisée que de rester bien au chaud sous une couverture, bien enfoncé dans les coussins du canapé ? Rien. Enfin, si, rester bien au chaud sous une couverture, avec un bon DVD (et un thé fumant).

Si vous avez épuisé 1000 fois tous les DVD de votre collection, en revanche, c’est plus compliqué, mais ne bougez plus, j’ai de quoi vous sauver. En tout cas deux d’entre vous (mais j’ai jamais dit que j’étais Mère Thérésa non plus)

Ca n’a pas pu vous échapper, un des films d’animation star de cette année était Monstres Académy. ENFIN, ce film sort en DVD et Blu Rayce mercredi 20 novembre 2013.

Logo-Titre

« Même quand il n’était qu’un tout petit monstre, Bob Razowski rêvait déjà de devenir une Terreur. Aujourd’hui, il est enfin en première année à l’université Monstres Academy, une prestigieuse école où l’élite est formée. Son plan de carrière bien préparé est pourtant menacé par sa rencontre avec Jacques Sullivent, dit Sulli, un vrai crack issu d’une grande famille de Terreurs, qui a lui-même un don naturel pour effrayer les autres. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ils sont imbattables, tous deux finissent par se faire exclure du programme de Terreur d’élite. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les choses aient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler ensemble, et avec un petit groupe de monstres aussi bizarres que mal assortis… »

©2013 Disney

J’ai donc deux DVD à vous faire gagner.
Pour jouer, regardez la bande annonce ci-dessus et répondez aux questionnaire. Validez enfin votre participation dans les commentaires sous cet article en utilisant le même pseudo
Les deux gagnants seront tirés au sort et contacté par mail.
Les DVD ne pourront être envoyé qu’en France Métropolitaine.
Vous avez jusqu’au 24 novembre inclus pour jouer.

 

Bonne chance !

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EDIT: Les gagnants sont:
Mél DequoijemeMél et Lisbei.
Un mail vous a été envoyé !

La Storio 3 S est passée par moi (test et avis)

Je déclare officiellement mon foyer hyper connecté.

On n’est pas loin d’avoir environ tout ce qu’il se fait en matière de matos multimédia, du lecteur mp3 à l’ordinateur en passant par des tablettes diverses et variées et des téléphones qui font frigo-fax et centrale vapeur.

Je SAIS tout ce qu’on dit à propos des écrans.

Je ne m’en fiche pas, loin de là. Mais j’estime que mes enfants en ont une utilisation raisonnable dans le sens où, quand je leur demande de décrocher, ils le font sans rechigner (oui, au bout de 3 ou 4 fois) et passent facilement à des jeux dits « normaux » sans trainer des pieds.

C’est ainsi que lorsqu’on m’a proposé de m’envoyer la toute nouvelle Storio 3® S , je n’ai pas hésité longtemps avant de dire oui.

Clapiotte a déjà testé ses petites soeurs à savoir la Storio 1 et la Storio 2 de VTech, pas de raison d’en rester là, j’étais curieuse de voir ce que réservait cette petite dernière.

Pour commencer, je lui ai trouvé un design un peu plus épuré que les précédentes, ce qui lui donne plus de légitimité auprès de N°1 qui trouvait les autres vraiment trop « bébé ». Ce constat m’amène à penser qu’elle devrait plaire dans le temps, puisqu’elle ressemble plus à une tablette qu’à un jouet.

C’est d’ailleurs un point assez important pour moi. Les tablettes restent des objets onéreux et on ne les considère pas comme un jouet à la maison.

Ca, c’est pour le visuel.

Sinon, que nous propose-t-elle ?

– Un appareil photo (2 Mpx) rotatif qui permet à l’enfant de s’entrainer à la mode du « selfie » ou de prendre en photo son frère en pleine grosse commission. C’est parfait.

– Un lecteur vidéo sur lequel je ne pariais pas grand chose mais dont j’ai dû admettre la qualité: les épisodes de dessins animés ou d’animation sont sincèrement d’une très bonne qualité.

– Un lecteur mp3. Qui m’a permis d’arrêter de mettre « Emile le Mille Pattes » et Bruno Mars sur MON ordinateur.

– Des applis de jeux ou des applis « regarde c’est comme sur le téléphone de maman » à savoir un calendrier, un chronomètre, un répertoire etc… Pratique, le greffon pourra enfin mettre le bordel dans ses propres listes d’amis ou dérégler l’horloge sans que ça puisse interférer sur notre RDV de 14h (oui, celui qu’on a raté la semaine dernière parce que le numéro avait été effacé de notre répertoire. Le Saint Esprit, probablement)

– Une tablette graphique pour dessiner, un album photo et un studio de retouche photo pour mettre des moustaches à mamie, parce que c’est Movember pour tout le monde, y’a pas de raison.

La tablette et toutes ses fonctionnalités sont ultra simples d’accès. Pour tout vous dire, Clapiotte a déballé l’engin et y a joué sans que je n’intervienne une seule fois (ha, si, pour une raison que j’ignore, elle n’arrive pas à enlever le stylet de son encoche, à l’arrière de la tablette… Elle a les doigts en mousse, je ne vois que ça)

Mais alors, mais alors me direz-vous, qu’est-ce qu’il y a de différent avec la Storio 2 à part cette histoire de design, finalement ?

Déjà, les piles. Y’en a pas. PAS DE PILES ! Victoire ! Une batterie. Et un chargeur secteur. LE truc qu’on attendait tous, nous, parents, qui n’en pouvons plus d’acheter encore et encore des piles rechargeables et d’oublier de les recharger.

Je salue l’effort. Vraiment.

Ensuite, la Storio 3®S est une tablette connectée. En WIFI donc. Et elle propose une application fort sympathique « Kid Connect » qui permet à l’enfant et aux parents de pouvoir communiquer par tablette et smartphone interposés.

Il suffit à nous, parents, de crée un compte Kid Connect à l’enfant et de télécharger l’appli sur notre smartphone. Ensuite, l’enfant pourra nous envoyer des dessins, photos ou petits messages d’amour du genre « quècekon mange jespaire que cé pas des zaricos ». Et nous de leur répondre « J’espère que tu as rangé ta chambre et que tu as retrouvé ton bled parce que sinon, ça sera choux de Bruxelles ».

Ca va être chouette, on va bien s’amuser !

BON A SAVOIR: les jeux de Storio 2 et 3 sont les mêmes et sont donc compatibles sur ces deux tablettes, sans problème.

LE MOT DE LA FIN: Clapiotte est clairement trop petite pour utiliser Kid Connect, mais je pense qu’à partir de 5 ans c’est tout à fait jouable. Donc, à part pour cette histoire de batterie (coeur sur ta tête VTech), la différence entre la Storio 2 et ce modèle n’est pas assez grande pour que je choisisse ce modèle là, un peu plus cher, en magasin. MAIS, à réfléchir tout de même, étant donné que je pense vraiment que le look fait la différence sur l’espérance de vie et d’utilisation de la tablette.

 

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De l’art de manipuler ses enfants

Soyons sérieux deux minutes (oui, non, hein, pas plus, sinon ça serait suspect): en tant que parent, nous avons tous pensé que nous éduquerions nos enfants sous des valeurs pleines de psychologies positives, de patience, d’amour, de respect de chacun et de rots de Bisounours.

Et nous avons tous pensé que nos enfants seraient donc, grâce à ce cadre idyllique qu’apporterait notre parentalité parfaitement orchestrée, des enfants dociles et coopératifs (et beaux, aussi).

Et puis bon, voilà, y’a dû y avoir un truc qui a dû foiré à un moment, il se trouve, par le plus grand des hasards, que notre enfant, cet héritier sur lequel on misait absolument tout et qu’on élevait au rang de l’excellence, ce greffon parfait ne l’était pas tant que ça.

A commencer par des choses toutes bêtes du genre « Arrête ! », « A table » ou encore « tu as bien dormi ? » qui se soldent régulièrement par un « Non ! » bien senti dans le meilleur des cas, une ignorance impeccable le reste du temps.

C’est au moment où nous ne pouvons que constater que notre greffon n’est pas aussi apte à saisir le concept de perfection que tous nos grands principes volent en éclat.

C’est à ce moment là qu’on décide que finalement, manipuler, ce n’est pas vraiment tromper.

Et puis mince à la fin, faut savoir ce qu’on veut aussi.

Attention, mode d’emploi:

– Laisser le choix. Oui, on peut laisser le choix à son enfant. Mais il s’agit là de lui donner le choix entre avoir des bras en branche de céleri ou de se laver les dents. Notre choix d’un côté et pas le sien de l’autre. C’est bénef. Ça ne marchera pas à vie (si tant est que l’enfant est suffisamment malin) mais les possibilités d’évolution des choix étant infinies, ça va quand même nous occuper un moment.

– Faire diversion. Oui, on sait chéri-baby-de-mon-coeur-mais-quand-même-tu-me-fatigues à vouloir ma carte bleue là, OH REGARDE L’AVION ! Tu as vu ? Mais si, là, regarde, il a traversé le salon tu n’as pas vu ? vraiment (quel boulet, même vous vous faites prendre au jeu et pensez réellement qu’un avion vient de traverser la salle à manger). Et hop, carte bleue oublié, cuillère dans la bouche enfournée, habillage fait en toute efficacité.

– Le chantage: oui, bon, là, je vous fais pas un dessin, vous voyez TRÈS BIEN de quoi je parle, ne faites pas les innocents. Oui, c’est pas bien. Et OUI? 96% du temps, c’est très efficace. CQFD.

– La pub déguisée. Non, les courses au Super U du coin, c’est pas folichon folichon par rapport à l’épisode d’Inazuma Eleven qui va arriver, je CONÇOIS bien. Moi même j’aurai préféré attaquer enfin la troisième saison de Dexter (oui, j’ai du retard, j’ai des enfants à éduquer moi, MADAME). Mais si on présente l’expédition comme un genre de chasse au trésor où celui qui trouve en premier les papillotes (au mois de juin) ou le seau et la pelle (au mois de novembre) à gagner le droit de repartir avec. Oui, on ment aussi. So what ?

– Oser la punition qui le touche vraiment: sa tablette, son téléphone, la télé, la DS, peu importe. Il faut qu’il sache que son addiction du moment (pas pour rien que je ne cite que des écrans) peut tout simplement disparaitre durant quelques jours car en fait, sale petit gosse qui se croit maitre du monde, ce n’est pas TOI qui décide. Non non…

Non. Non… ne fais pas cette petite tête. Non, pas le regard, pas… non….. bon, ok, on fait comme tu veux choupinet. Mais la prochaine fois attention hein…

evil child

LOSERS
Mouhahahaha

Le retour du Tam-Tam: le jeu de cartes ludo-éducatif à emporter… Et à gagner. (C’est Noël #2)

Allez, hop, c’est toujours et encore NOël et ce n’est pas parce que j’ai manqué de temps cette semaine que j’ai oublié que j’avais des cadeaux à vous faire gagner.

Il y a de ça une petite année, je vous faisais découvrir le jeu Tam Tam de ABludis.

J’étais assez conquise par le principe du jeu et son format: un petit paquet de cartes à emporter partout. Le but du jeu étant d’associer une carte « mot » avec une carte « dessins ». Un jeu visuel de rapidité et d’observation. Des parties qui ne durent pas des heures et des heures. Des règles simples à intégrées, dès 6 ans, avec des évolutions selon le niveau de l’enfant. Et un prix franchement abordable.

C’est vite devenu LE jeu que j’offrais aux anniversaires des copains de N°1 l’an dernier.

Pour Noël, Frédérique, la créatrice du jeu, a lancé depuis la rentrée deux nouvelles versions: les princesses et les pirates.

Une nouvelle fois, on retrouve 62 cartes, moitié illustrées, moitié remplies de mots. 6 règles du jeux différentes pour varier les plaisir, mais cette fois)ci, donc, sur un thème bien particulier.

De quoi faire plaisir aux fans de pirates ou aux monomaniaques de la tiares en diamant.

jeu carte tam tam princessesjeu carte Tam tam pirates

Cherche pas, j’ai gagné.

J’ai deux jeux de chaque à vous faire gagner: cinq pirates, et cinq princesses. Ce sera donc 10 gagnants qu’il y aura !
POur tenter votre chance, laissez moi un commentaire en me disant pour lequel vous jouez et dites moi quel thème (autre que pirates et princesses donc) vous aimeriez voir apparaitre dans cette gamme de jeux.

On est super d’accord pour que vous relayiez le jeu sur les réseaux sociaux (merci beaucoup d’avance). Vous pouvez même aller voir la page Facebook de ABludis par la même occasion, ça fait toujours plaisir !

Vous avez jusqu’au 21 novembre inclus pour jouer.
Les gagnants seront tirés au sort et contactés par mail.
Les lots ne pourront être envoyés qu’en France Métropolitaine seulement.

Bonne chance et encore merci à Frédérique et ABludis pour leur gentillesse et leur créativité.

 

EDIT: les gagnants sont:
Mi-nous Anne So, Steph2Lyon, Loumaloe, Sandrine, Geraldine, POulette Dodue, Céline, Vinie, Karine D et Anienska. Je vous ai envoyé un mail !