Et les yeux dans les yeux… Ahou Ahou

 

Si vous
ne comprenez pas le titre, ben faut lire le dernier billet « c’est
l’amour à la plage Ahou Tcha Thca Tcha
», voilà, donc, c’est la
suite (tant attendue, oui, je sais, mais je suis en vacances, hein !!)

 

 

 

Donc, Nous voilà avec
Tony et les trolls à la Playa del Sol. Température de l’air : 31°c,
Température de l’eau : 24°c, mer calme, vent : juste ce qu’il faut.
Bref, on va pas se plaindre, c’est plutôt, idéal
comme cadre ; Oui ? bon, on a quand même un peu la pression, nous avons
devant nous seulement la journée du dimanche de « tranquille », ensuite,
le lundi débarquent la Mère, Le Frère et la Mamy de la famille
Cranemou. Oui, je parle de Mamy Stéryk… C’est dire si on est impatient
de la voir arriver !

 

Restons en à la journée de dimanche, donc, puisque nous avons décidé de prendre les bonnes choses au jour le jour.

 

N°1 reprend vite ses marques rapport
qu’il était au même endroit il y a une petite semaine, il nous nargue
avec sa marque de maillot, on dirait un chouchou qu’on n’aurait pas cuit
à l’entre-jambe. Évidemment, je lui met le moule-zigounette histoire
qu’on voit bien la blancheur de sa cuisse dû à son petit boxer de
crâneur…. Y’a pas de raison que nous soyons seuls à avoir honte de notre
peau de boudin blanc. On dirait qu’on s’est frotté le corps avec du
dentifrice Signal Blancheur Extrême. Mais visiblement, on est plein dans
ce cas là, puisque pas mal de gens nous concurrencent niveau pas de
marques de maillots !

 

Clapiotte,
quant à elle, fait ses premières expériences à la plage. Fi des
recommandations, je l’embarque à la plage dès qu’elle se réveille, peut
importe l’heure, de toute façon, il fait moins chaud au bord de l’eau
que dans la maison. Je la couvre comme un inuit au cas où elle essaye de
faire de la concurrence à son frangin avec le soleil, et zou, c’est
parti.

 

Ce que
j’adore sur cette plage de la Méditérannée, c’est que contrairement à
d’autres, elle est grande, on a de la place, elle est large et cerise
sur le gâteau, elle est propre !

 

Bon, je
regrette soudainement qu’elle soit si large, arriver au bord de l’eau
avec la Boulette dans les bras relève du Trek au Sahara, j’aime moins,
d’un coup.

 

Enfin
arrivées près de la mer, je repère le parasol, je jette la clapiotte
dessous sur la serviette et je vire ma robe. Nan, j’déconne, j’suis pas
encore prête à dévoiler ma cuisse moi, j’suis pas une fille facile.

 

Je suis en nage, rapport que Clapiotte pèse son poids de Blédina, que mon sac de plage est blindé et que Tony ne m’aide pas vu qu’il porte déjà un parasol, un semi remorque de pelles et râteaux divers, 3 ballons, 6 pneumatiques gonflés et qu’il doit motiver N°1 à chaque pas parce que les sandales de plage lui font des ampoules.

 

C’est toujours comme ça, le premier départ à la plage, on veut faire plaisir au gosse, on en prend des tonnes alors qu’il ne va jouer qu’à envoyer des boulets de sable dans les vagues… mais à chaque première fois, on se prend pour une caravane dans le désert… qu’on est con!

 

Revenons en à Clapiotte et à sa découverte de la plage. L’eau, c’est pas ça, elle aime bien, mais le brouhaha des vagues doit vraiment lui faire peur. Elle recroqueville ses jambes jusqu’à son cou (je note à se propos que l’expression « prendre ses jambes à son cou » pour dire qu’on détale est totalement stupide vu que cette position est loin d’être la meilleure pour essayer de faire un 100mètres en moins de 10secondes!), donc, elle remonte ses jambe aussi vite qu’un escargot rentre dans sa coquille: étonnant. On rempli donc sa petite piscine privée d’eau de mer, et en voilà une d’heureuse!

 

Ah, donc, quand on dit de surveiller son enfant comme de l’huile sur le feu, je peux valider: je me retourne à peine 10secondes pour admirer N°1 imitant Jaques Mayol que Clapiotte a cru bon de s’offrir un peeling naturel des yeux avec le sable. Pur moment de bonheur, moi qui suis phobique des yeux, j’ai tourné de l’œil à chaque grain enlevé… je me saigne pour mes enfants et je sais qu’un jour ils me diront « t’es qu’une vieille conne »… A quoi bon? parfois, on peut se le demander!!!


Mis à part quelques petits incidents techniques comme celui ci ou alors un tapissage de belle serviette au caca (notons que Clapiotte a une tendance à la constipation digne de sa mère -journée révélation bonjour- mais que quitte à se lâcher sur ma belle serviette, autant faire un bon truc liquide, jaune et acide, ça aurait été beaucoup moins drôle sinon!!! (oui, je suis contre les couches à la plage)

En somme, on peu dire que ce prmeier week end fût un succès. Le lundi, Tony a dû partir, ma mère et frère ado arrivé…et point de Mamy Stéryk en vu… on soufflait chaque jour de savoir qu’elle avait repoussé (encore) son départ).

Et vînt le vendredi……………….


A suivre…………………. (et oui!!!! mouahahahahahaha)

Une petite vue sur ma serviette?: serviette Splash qui mérite bien une petite pub tellement elle est cholie!!!!


Cahier de vacances; volume 2

Apprendre le tact et la subtilité.

Un matin, alors que nous avons fuit la maison familiale pour cause de Mamy S. en pleine crise (dès la semaine prochaine, la suite des vacances…pas eu le temps, mais vous comprendrez pourquoi à ce moment là!), je décide de faire un crochet par les petits commerces de proximité et par la boulangerie pour ramener du pain.

Clapiotte et N°1 sont tout à fait heureux de faire les courses à 8heure du matin, le peu de gens que l’on croise sont des vieux retraités insomniaques, des jeunes rentrant de boite et des mamans, comme moi, tête dans le cul, traînant leur marmaille aussi réveillée que nous après 12 cafés, survivant à peine à ce rythme effréné de vacances sans sommeil.

Arrivés à la boulangerie, c’est le train-train des poussettes.

« Bonjour, 2 baguettes s’il vous plait »
« 1,70 »
« merci, au revoir… dis au revoir N°1! »

Juste en sortant:
« maman… »
« oui »
« nan rien »
« vas y dis, qu’est ce qu’il y a? »
« bah…je voulais te poser une question »
« vas y mon chéri »
« pourquoi toutes les mamans elles sont plus grandes que toi? »
« … »

Le mec qui buvait son café devant la boulangerie a failli mourir étouffé, et je suis repartie avec le reste de fierté qui me restait me faire greffer 10cm de tibia…

Bon week end!

Je vous rappelle que si vous voulez venir écrire ici pendant le mois d’aout, y’a pas de soucis, je laisse la porte ouverte, y’a juste à me contacter!

Cahier de vacances; volume 1

« Maman, tire sur mon doigt! »
« ??? »
« Tire sur mon doigt » (sourire idiot aux lèvres)
Je tire.

« Prrrrrrrrroooooooouuuuuuuuuttttttttt » (à croire qu’il avait attendu 3jours pour le lâcher celui là)

N°1 apprend un tas de choses en vacances, je remercie mon demeuré d’ado de frère pour les découvertes permanentes qu’il permet à mon fils, qui est par ailleurs très intéressé par toutes ces nouveautés éducatives!

Les vacances à la plage, Ahou Tcha Tcha Tcha…

Héros : N°1, Clapiotte, Cranemou.

Intervenant : Tony

Guest : Mamy Steryk

Rôles secondaires : Petit frère, Mère.

Partir le samdedi suivant le 14 juillet, on savait bien que l’idée était affreusement lumineuse, mais on était tellement content de pouvoir se faire ce petit week end en famille qu’on a pris nos mômes et qu’on a chargé la voiture, l’esprit léger, heureux de bientôt sentir la brise marine nous dresser le poil en bord de mer. Bon, certes, fêter comme il se doit le mariage de nos amis la veille ainsi que le matin d’ailleurs c’était pas franchement l’idée du siècle, mais bon, on pouvait pas non plus ruiner notre week end, ni zapper ce mariage, alors on a cumulé.

Couchés à 6h, réveillés à 10, on boucle les valises, on prend 3 douches en espérant évacuer les effluves avinées qui embaument notre pas alerte et enchanteur (oui, quand on a encore des grammes, notre pas fleure bon la belle des champs) et on charge la voiture. Il faut aussi penser à récupérer les trolls en consigne chez Belle-maman et beau Papa.

Bon, d’abord, on va se remplir un peu l’estomac, ça nous parait être une bonne idée aussi, de combler un peu le vide abyssal entre notre luette et notre lorgnette.

Mac Do. Y’a que ça de vrai quand on est vaseux. Ca devrait être certifié conforme au lendemain de cuite cette nourriture. Soi-disant, il faudrait manger ultra sain après un « écart » (comprenez, « une mine »). Moi, rien de tel qu’un énorme sandwich nappé de Sprite pour me réveiller un semblant de vie dans mon corps maltraités par mes abus nocturnes. Ca, plus un oxyboldine et 2 Advil, sans compter le masque « éclat » et la crème teinté qui fait genre j’ai la mine ensoleillé et radieuse, même après cette nuit passée à danser pieds nus sur le DanceFloor, un verre à la main (toujours plein, bizarre) sur du RedNex à fond de balle…. Bref, je ne suis que tricherie, en dedans, je suis aussi morte qu’un encornet farci. V’là les mioches qui déboulent dans la voiture.

Ils sont beaux mes enfants. Mais par contre, muets, ça aurait été une option à prendre pour ces journées un peu difficiles. On part, donc.

Il est 13h15. Au final on a mis 7h pour faire 350 bornes, on est au taquet en arrivant, mais nos enfants ont compris que c’était pas le jour de la déconnade, alors tout le monde a passé un bon voyage, à peu de chose près, genre, l’itinéraire bis qui est censé nous faire au moins roulé plutôt que de jouer à touche-pot d’échappement avec nos copains de route mais qui s’avère être le traquenard du siècle pour te faire traverser des villes fantômes que tu mets « seulement » 45 minutes pour faire 25Km… j’vais les fumer chez InfoTraffic !

Bon, évidemment, le principal est que nous sommes arrivés en bon état, malgré certaines bouffées de chaleur et un manque évident de sommeil. Tout le monde au lit après avoir éventré les valises. On verra bien le lendemain.

……………….A suivre……………………

(NB: étant donné la connexion merdique de mon lieu de vac,ances, je ne peux pas repondre aux commentaires qui sont néanmoins les bienvenus… je repondrai à mon retour)

A la fraiche!

Nous nous sommes exilés chez mes parents quelques jours, histoire de ne plus subir les nuits à 31°c sans air aucun… et ça fait du bien, on a enfin pu dormir!

De retour aujourd’hui dans notre Home sweet home, me voilà bonne pour les machines à bloc et de nouveau cette chaleur. Habiter en centre-ville a ses avantages comme ses inconvénients, et celui ci est assez fatigant, à vrai dire. Je ne comprendrai jamais les gens qui aiment cette sensation de poisse sur les bras, les joues, le creux des reins ou entre les cuisses, je ne supporte pas de faire la bise tant j’ai l’impression de dégouliné, même Tony est repoussé de ses assauts pour cause d’allergie soudaine au peau à peau! Parait-il que ça se calme… à Lyon, je ne sais pas, j’ai pris la décision d’aller voir si l’air marin était meilleur, donc, demain, après un mariage (oui, un vendredi), on prend les gosses et cassos à la mer. Pour ma part, j’y resterai 10jours….les billets risquent donc d’être de plus en plus espacés, mais de toute façon, j’ai bien l’impression que je ne suis pas la seule à ne plus hanter le web en ce moment!

Il faudra quand même que je raconte comment était mon repas chez Georges Blanc (« bon », c’est pas suffisant), comment j’ai survécu à mon premier enterrement (ouais, ma vie, en plus d’être passionnante, est drôle à souhait), comment N°1 et Clapiotte me prenne  pour une bille…. Voilà, ça fera du billet de vacances!

A propos de vacances, si certains d’entre vous le souhaitent, je laisse quelques billets de libre pour vous que je publierai pendant nos « vraies » vacances, en août. A vos plumes, donc, vous pouvez m’envoyer vos textes en faisant « contacter l’auteur » en haut du blog!

A très bientôt, et bon week end en avance, du coup, faut que je fasse ma valise moi!!!

Si t’es au boulot, tu peux t’amuser à colorier ce dessin en pensant à moi…j’autorise même les pendu et les têtes de mort!

La bonne poilade!

 

Grâce à la technologie merveilleuse du web on the block, je suis sur tous les fronts, incluant twitter, facebook etc… (si tu n’es pas encore mon ami(e), cherche vite une cranemou, hop hop hop!). Et ö surprise, s’ennuyer devant son écran a du bon lorsqu’une personne de ma TL (me demande pas ce que ça veut dire) retweet (demande pas non plus) un message de Madmoizelle.com m’invitant à Lyon (pour une fois que c’est chez moi), au Rideau Rouge, voir Bérengère Krief.
Je zyeute la demoiselle, en me disant qu’une blonde mignonette a peu de chance de me décrocher un rire, encore moins un fou-rire, et encore moins pendant 1heure. (oui, je suis bourrée de préjugés, et alors?)

Comme je crois toujours avoir raison et que c’est rarement le cas, j’ai regardé une vidéo de la blonde en question. Mouais, ok, ça a l’air drôle. Mais pas question que j’y aille seule, je veux de la copine avec qui cracher mon venin à la fin de la course au rire. C’est donc parti, direction La Croix Rousse, 1 place Bertonne (69004). Pour la première fois, je ne me perd pas à la Croix Rousse, et Bingo, premier bon point, j’ai déjà repéré l’endroit où j’allais pouvoir boire un verre après (genre, en face, sur la place, d’où l’adresse, tu suis ou pas?).

Ambiance petite salle, chaises pliantes, plus de filles que de mecs, faut dire que Madmoizelle c’est un peu pour les frisées de la vulve, forcément, ça va pas rameuter le maximum de testostérone.

La blonde (je l’appelle comme ça parce que 1/ elle est blonde et 2/ elle a eu la mauvaise idée de s’appeler comme l’ex de Tony, celle qui lui avait dit « on se  quitte pour mieux se retrouver dans 10 ans »…et comme ça fait 10ans, j’ai les glandes, j’ai pas oublié, connasse!…d’où les 2gosses, j’ai prévu le coup! Mais on sait jamais. Bref). La blonde donc, entre en scène en dansant, téléphonant et se dépoile aussi sec. Une blonde quoi!
Je me dis que finalement, Tony aurait peut être aimé être là.
Elle enchaîne les scènes de ma vie (ma vie de quand j’avais pas d’enfant, et même celle de maintenant, parfois). Il me faut pas 3 minutes pour tomber sous le charme, j’ai chaud mais je transpire de rire. Et ça fait du bien! Ça m’embête de l’admettre, mais j’avais tord, cette fille est drôle, et en plus, elle est très forte: d’abord parce qu’elle ne perd pas le fil quand les gens débarquent en retard et que dans une petite salle, ça doit être assez déstabilisant, et puis elle a son style. On retrouve certaines « manières » d’autres humoristes, mais dans l’ensemble, elle est ELLE, et c’est bien agréable de découvrir une nouvelle copine d’humour.

Je lui ai pas parlé en sortant, ouais, je sais, j’aborde les réalisateurs et pas une jeune artiste, mais je suis timide, et j’avais pas bu… et je suis timide (2 fois, oui). Pourtant, je mourrai d’envie de lui demander le nom d’un de ses mecs, parce qu’on a dû avoir eu le même (celui qui n’a pas le temps d’enlever son slip).

Un petit message personnel si jamais Bérengère (fichu prénom quand même, merde, même en l’écrivant ça m’énerve) passait par là: aspirateur-man, il est chez moi, c’est Tony, et je peux te jurer que c’est pas l’affaire du siècle, preuve en est: on a eu la chance d’être invité dans un méga resto avant-hier, le truc où t’as 20 couverts de chaque côté et que la carte affiche des prix à 4 chiffres. On a eu 20 minutes de retard (honte suprême dans ce genre d’endroit) parce Monsieur devait ABSOLUMENT passer l’aspi dans tout l’appart, y compris sous le frigo, on ne sait jamais, après tout, les mouches de l’après midi auraient pu trouver l’appart un peu trop poussiéreux à leur gout (les mouches, c’est plus ce que c’était).

Bon, voilà, donc, je suis ravie de cette découverte, je remercie donc Twitter, Madmoizelle et Bérengère ainsi que L., C., et Choco qui m’ont accompagnée et qui ont vraiment bien aimé aussi.

Courez y si vous pouvez, elle reste au rideau Rouge jusqu’au 31juillet, du jeudi au samedi (relâche le 16 et 17, elle a « élevage de phasmes en milieu hostile »):

Me tâte à y retourner avec Tony moi….avant qu’elle s’en aille de Lyon…

Allez, voilà un extrait, parce que je suis pour le partage des bonnes choses!

Le premier et le deuxième, ma différence, à moi.

Je ne sais pas vous, mais ici, depuis le premier jour des vacances scolaires, on n’arrête pas.
Quoi? Qu’entend-je? J’exagère? pas du tout mon genre ça pourtant…
Bon, oui, d’accord, j’ai pas eu N°1 jusqu’à hier. D’ailleurs, re-goûter à l’enfant unique, c’est vraiment bien.

Non, parce qu’au bout de 7 mois, on m’enlève N°1 pendant 8jours plein, je sais qu’il est bien (lui, au moins, il a la mer pour se rafraichir) et je me retrouve seule en tête à tête avec une Clapiotte complètement calme puisque son frère ne fait pas le satellite autour de sa chaise-haute/lit/tapis de jeu/elle tout court.

Plusieurs choses me sautent à la figure:

1/ je culpabilise à peu pres 30secondes de laisser mon grand, j’ai pas que ça à faire, faut que je transpire aussi!
2/ Je regrette amèrement de ne pas avoir suivi ma mère dans le Sud, rapport à la dernière fois que je suis partie avec elle et les enfants (mais là, j’aurai au moins eu l’air marin et pas 30°c dans l’appart)
3/On devrait avoir 2 enfants avant d’en avoir 1.

Comment ça ma phrase n’est pas compréhensible? Les mamans de 2 enfants et plus me comprennent, je suis sûre. Quand on s’habitue à élever 2 veaux enfants, au bout de quelques mois, on s’imagine mal comment c’était « avant », là, on s’est organisé, on est au taquet au niveau des horaires etc…
Et tout à coup, on se retrouve avec la plus petite, ici, Clapiotte, alias Boulettos (oui, pas 8mois, 8,1Kg, c’est une boule, à ce stade). Tout est calme. Au bout de 2 jours, elle se réveille à 9h après une bonne nuit sans réveil. j’ai le droit à des câlins, des genre de pelles sur la joue. Elle apprend à kiffer sa mère plutôt que son frère, et je suis toute à elle, même pour chanter 143 fois « les marionnettes ». Et là, tout à coup, je réalise que je n’ai pas stressé une minutes, que Clapiotte a manger tous ses repas sans que je m’en rende vraiment compte et que ça soit une corvée, que je sortais quand je voulais, faire ce que je voulais.

Punaise… mais pourquoi j’étais pas aussi zen du genou quand j’ai eu N°1 avec mes principes de l’heure c’est l’heure et que s’il ne fini pas son biberon il va mourir déshydraté dans d’atroces souffrances sans avoir su qui était Joe Dassin et Paul le Poulpe. Qu’est ce qu’on est con quand on a notre premier enfant!
Le stress me bouffait je crois.
Là, j’ai su profiter de chaque instant (bon, sauf quand j’ai sérieusement pensé la défenestrer après 2jours de cris non-stop…qui cachaient une laryngite, mais je pouvais pas deviner non plus!).

Bref, chere future maman pour la première fois ou fraichement éventrée, sache que si je t’entend te plaindre une seule seconde que « pfiouuuu, c’est dur quand même », je te latte à coup de bib sans BPA et je t’encastre la tête dans le guidon de ta poussette… on me l’a fait plus celle ci!

N°1 le p’tit con, est revenu tout bronzé, je suis jalouse comme un poux… Et Clapiotte a de nouveau oublié que j’étais sa mère… et ma vie recommence!!! :D

Mon périple anti-fuite

Je vous avais parlé de ma petite escapade parisienne-allemande il a de ça 10jours, il est temps que vous en sachiez un peu plus.

 

Paris, Lundi, 6heure du matin: bip bip, faut que je me lève, j’ai rendez vous à Gare de Lyon avec l’équipe des P’tites Pousses et plein de blogueuses. Destination: aéroport pour Francfort. On rempli une navette, comme en colo, sauf que là, on est toutes légèrement explosées de notre réveil si matinal.

 

12 litres de café plus tard, on tente de me foutre à poil au contrôle,j’ai les mollets qui affolent le  scanner… j’ai dû me faire autopsier par des aliens dans une vie antérieure, du coup, j’ai des restes de cryptonite dans le sang, je n’ai pas d’autre explication.

 

Après un petit vol de routine (mais si, parlez en à Virginie ou à Anne-Charlotte), on saute dans un taxi qui roule à toute bombe, limitation de vitesse non incluse, vers Schwalbach, que je rebaptise « Pampers Land ».

 

Nous rencontrons alors Heidi, directrice du centre de recherche Pampers et de René, notre chercheur-guide pour la journée. Que la découverte commence.
Après un petit brief sur l’univers du centre de recherche, on apprend qu’il circule ici environ 1200 parents testeurs habitants dans les environs de Pmpers Land. Les veinards (ou pas) viennent chaque semaine récupérer leur paquet de couches et une liasse de feuillets à remplir, dont certains sont à remplir à chaque change… la couche gratuite se paye, d’une manière ou d’une autre!

 

On comprend alors le principal problème des marques de couches, et on peut même extrapoler pour tout ce qui est puériculture: l’acheteur (les parents) n’est pas le consommateur (le bébé), et il va falloir quand même satisfaire tout le monde. Les recherches vont donc dans ce sens là: donner du confort au bébé tout en faisant plaisir aux parents.

 

René nous présente la couche comme un objet émotionnel. Ouias, moi, j’avais toujorus vu ça comme un sac à caca, mais pourquoi pas… après tout, je me rappelle avoir gardé une couche taille 0 de N°1 dans sa boite à souvenirs… René a tout compris. Et s’il a tout compris, c’est parce que cet homme est tout simplement passionné par son boulot. Le défi de plaire à chacun l’anime et après cette journée passée à ses côtés, j’aurai presque (j’ai dit presuqe) envie de m’installer à Pampers-Land pour y travailler tellement ça a l’air épanouissant: je deviens fan de l’absorption, je pense fuites et cacas mous, je m’imagine déjà avec la blouse blanche.

 

Pour que nos trolls aient le fessier doux comme la rosée fraiche du matin au bord d’un lac (oui, j’essaie de vous faire imaginer un truc super bucolique là), les tests commencent directement sur les enfants, via une mini crèche.
On teste ensuite le taux d’humidité de la fesse rose, environ 5 bébés passent dans la salle de test par jour (sachant qu’il faut compter que le change en question dure bien 20 minutes, les bébés sont plutôt coopératifs, je suis vraiment fascinée!…bon, on les gave de biscuits pendant le test, ça doit être motivant!)

 

Certains parents testeurs sont chargés de ramener les couches sales de leur têtes blondes, boulot de merde direz vous… on n’est pas loin. Les couches récupérées sont passées aux rayons X, pesées, disséquées sous les yeux de la brigade anti-fuite. On fait des calculs, on essaye une nouvelle fois sur la ligne de production du centre, on re-teste. Il y a même, dans une salle en sous sol, une dizaine de femmes qui créent des couches sur mesure, suivant la demande des parents testeurs. Un elastique plus haut, plus bas, moins large, elles sont les petites mains de Pampers, incroyable de savoir qu’une couche demande autant de travail, moi qui croyait il n’y a pas si longtemps, que les frites poussaient sur des arbres

 

Après 10 ans de recherches et plus de 60 brevets déposés, Pampers ose donc sortir une toute nouvelle technologie sur ses « Active Fit » et ses « new baby » (si comme moi, vous parlez pas Pampers, je parle donc des paquets jaunes et violets).

 

La technologie DryMax débarque dès la rentrée, 20% plus fine car moins de cellulose, mais qui permettent de rester 12h au sec. Les paquets resteront au même prix, et on nous signale qu’on pourra compter une couche de moins par jour (si évidemment, vos gniards ne sont pas comme clapiotte à vouloir de la couche neuve pour démouler son trop plein…cette gosse est loin d’être rentable! Je vais m’installer à Schwalbach moi!)

 

La visite était vraiment intéressante, je ne regrette vraiment pas, quant à la nouvelle couche, je suis conquise, même si j’attend de tester, car la finesse de la couche est tout de même assez déconcertante!

 

Avant de finir, nous avons eu la joie de passer dans la salle des bébés pour se mettre dans leur peau. Tout à leur échelle, assez incroyable. Evidemment, lorsque j’ai croisé le regard d’un matelas, je m’y suis jeter…pour m’exploser les reins, puisque, à l’échelle d’un bébé, un matelas est aussi dur qu’une table… Les autres blogueuses se souviendront de moi comme de celle qui a hurlé sa joie de perdre le coccyx chez Pampers!

 

Je vous laisse donc, sur ce, avec les photos de la journée. Oui, j’ai testé la couche aussi, je suis à fond dans mon travail d’investigation, tout ça pour vous… (comment ça, je fais juste le clown?).

 

je remercie l’équipe des P’tites Pousses de m’avoir permis de découvrir les secrets de la couche, ainsi que Oum, Isabelle, Virginie, Stéphanie et Carole qui m’ont accompagné fort agréablement. Bravo aussi à Julie pour ses explications et traductions so professionnelles et à René de m’avoir rappelé qu’être passionné par son travail, ça n’a pas de prix.

La crèche et la vitrine de l’évolution Pampers… dans le sachet en haut à droite, une couche de 1976, en bas à droite, les nouveaux DryMax

Virginie en chercheuse , Oum et l’équipe des p’tites pousses…oui, on avait toutes de trèèèès belles lunettes….


Je suis à l’échelle d’un bébé, adossée à ce fauteuil et dans cette couche, pile poil à ma taille!

 

A l’ancienne….

L’âge de raison

Je me fais toujours cette remarque que quand on devient adulte, on a peur de tomber. Tomber littéralement, tomber malade, tomber enceinte, tomber de haut, tomber sur un con, tomber sur une tuile…. Cette peur nous empêche parfois d’oser, simplement.
Oser comme quand on était enfant, parce qu’on était naïf, qu’on avait seulement peur du loup, du noir ou de la tante au nez crochu. Nos peurs étaient émotionnelles, concrètes et immédiates. Maintenant, mes peurs concernent l’impact que les faits auraient sur mon futur.

 

Je m’obstine chaque jour à revivre une partie de mon enfance, à ressentir une émotion, à traduire un nuage, à m’imaginer un monde, à rêver. C’est mon côté Peter-Pan, je me dis que peut être, ces 5 minutes que je consacre à mon enfance me permettront de ne pas finir aigrie de ma vie d’adulte, même si je la trouve plutôt sympathique, comme vie!

 

Mercredi soir, j’ai été touchée par un film, un film inspiré et poétique, avec une touche de Prévert dedans.
Chocoladdict m’a permis d’y assister en avant-première, en compagnie de Bergie et Sonia, Chrys n’ayant pas pu venir.

 

Un film de filles, à haute capacité lacrymale.

 

Je suis très bon public concernant ce genre de film sur l’enfance, j’ai la larme aussi facile que le rire, il ne faudrait surtout pas me faire venir dans un panel de testeurs émotionnels, je foutrais toutes les statistiques en l’air.

 

bon, j’ai jamais fait de pitch, mais y’a une premiere pour tout, alors:

 

(mouhahahaha)

Margareth est une working business woman à fond dans son boulot, elle fait juste des journées de 60heures, elle a plus trop l’air de savoir si elle parle français ou anglais…bref, sa vie est tout à fait passionnante, pour une requin.
Et puis à son anniv, un vieux lui remet un paquet qui contient des lettres, des lettres commençant comme ça: « chère moi-même », des lettres qu’elle avait écrit à 7 ans. Petit à petit, elle replonge dans son enfance et réapprend à rêver.
Sophie Marceau dans le rôle principal est au bord de la crise de nerf, oscillant entre un trop-plein émotionnel et une froideur de trader.

 

Un petit mot sur la musique du film, que je trouve vraiment bien choisie: Lisa Mitchell, 19ans, gagnantes de la Nouvelle star en Australie..écoutez, vous connaissez! (Neopolitan Dream, Lisa Mitchell).

Sans compter que l’actrice m’a toujours fait rêver et représente pour beaucoup une icône du cinéma français, je n’étais pas vraiment déçue qu’elle ne soit pas là au cocktail d’après film. Oui, car cocktail il y avait et cocktail j’ai tapé l’incruste. Bon, ok, je triche, il y avait des gens que je connaissais qui y allaient, j’ai juste suivi la troupe.

 

Donc, pas déçue, car j’imagine que je me serai liquéfiée en la voyant, or, là, j’étais toute à mes mon rosé, et je me suis concentrée sur ceux qui m’intriguent depuis longtemps: réalisateur, producteur… rien que leur fonction me font penser que ces gens là évoluent dans une autre stratosphère.

 

Vite, voilà Yann Samuell et Christophe Rossignon accoudés à un mange-debout. Je fais quoi? Ben je rebois une gorgée, et j’y vais, hein, faudrait pas non plus que Cranemou se dégonfle!

 

Bon, OK, j’ai jamais eu comme vocation de faire des interviews, donc, je suis plutôt maladroite, je en sais pas vraiment comment entamer la conversation, je parle des enfants de Yann que j’ai reconnu dans le film (oui, bon, j’en ai reconnu 2 sur trois qui jouent dedans, Yann a 5 enfants, Yann est relégué au statut de fou furieux dans mon cerveau: 5 enfants quoi!!!).

 

Je lance à Christophe que je me sens pas vraiment à l’aise. « Pourquoi? » me demande-t-il.

 

Pfff, je lui ris au nez, faut pas me la faire, il sait très bien de quoi je parle. Pour nous, humains évoluant dans la vraie vie, on pense toujours que le monde du cinéma, du spectacle est intouchable, inaccessible. Ces 2 gars là me prouvent que si, on peut être accessible, même en ayant côtoyé les plus connus, même en ayant de l’argent, de la notoriété.

 

Je suis sciée de voir à quel point ils me prouvent que j’ai tord, moi, qui, c’est bien connu, ai toujours raison. Du coup, j’arrête un peu d’essayer  de les prendre pour des gens de la haute, et j’avoue à Yann que ses films* me touchent beaucoup, il a un regard sur l’enfance qui est resté un peu magique, et tout à coup j’aurai envie qu’il sorte de mon inconscient de petite fille parce que je suis assez terrifiée de voir que je ne suis seule à conserver mes rêves de gosses dans des boîtes à tiroirs rouillées. Étonnamment (je ne m’en lasse pas), Yann est touché de ce que je lui dis sur son film.

 

Je me rend à l’évidence que réaliser un film est un travail et un stress monstrueux, qu’il y met une partie de sa personne, de son temps, de sa vie, au profit du rêve du spectateur… peut être alors que oui, ces gens là ne sont pas blasés, ni hautains, ils veulent juste nous faire partager leur monde, avec leur talent et leur générosité.

 

En revanche, comme moi, je ne suis qu’une blasée de la laïfe, j’imagine qu’ils font le coup à tous les lèches-cul de la terre de faire les mecs trop cools qui peuvent être touchés par le fait qu’on ai aimé leur travail! On se refait pas!

 

J’aurai envie de discuter plus mais le rosé me rend légèrement hors service, la fin est proche. Avec Yann, on monte dans le même ascensseur, je le remercie, on tente une photo avec mon portable, je lui explique que c’est pour mon blog, que personne ne va me croire, qu’il me faut une preuve!

 

C’est là que je lui sors: « j’vais parler de vous, d’ailleurs, sur mon blog…nan, parce que z’êts ‘achement sympa comme gars! Si vous voulez lire, vous zavez qu’à taper « Cranemou » dans Google, vous trouverez! »

 

Je ne suis qu’une ivrogne qui ne sait pas se tenir!

 

*Filmographie:

 

 

 

Sortie en salle le 28 juillet, n’oubliez pas vos mouchoirs!

PS: Sophie, pour une interview ratée et bidon, c’est quand tu veux!

Un blog, ça serait un peu comme Meetic, en fait.

En créant ce blog, je pensais que ça allait m’occuper, je pensais que j’allais rire, je pensais que j’allais en avoir marre vite.
En réalité, il me fait aussi du bien  et cerise sur le cheese-cake, il me permet de rencontrer des gens.

 

Au début, les rencontres virtuelles, évidemment. Des liens et des affinités se font au fil de mes lectures, on échange des mails aussi, après.

 

Et puis un jour: « on se voit? »
Arf, je plains vraiment les gens qui se rencontrent via internet pour tenter de trouver le Grand Amour. Vu comme je suis paniquée à l’idée de rencontrer quelqu’un que je ne connais que par un pseudo et nos échanges virtuels, j’imagine même pas si l’amour était en jeu en supplément!

 

Ma première fois, c’était l’échec. Il faut dire  que rencontrer 10 blogueuses d’un coup, dont beaucoup d’entre elles représentent ce que la bloggosphere appelera « les influentes »…bah je peux avouer que j’étais pas franchement à l’aise! Pire, j’ai pas parler. Shame on me, j’étais dégoûtée de ce comportement de gosse qui m’envahit dans ce genre de situation.

 

La deuxieme fois, en plus petit comité, dans un endroit que je connaissais en plus, avec des blogueuses lyonnaises. Là, y’avait du mieux!

 

La troisiéme fois, on a tenu une promesse: on s’était promis de se boire un Mojitos une fois nos grossesses terminées. Choses faite depuis peu, avec Chocoladdict, sur les Berges du Rhône. Assiette de Tapas en plus et tout a roulé. C’est plus facile de se connaitre « en vrai » quand on n’est que 2, finalement. Je retiens la leçon. Je retiens surtout que j’aime cette fille, même si elle m’a fait poireauter à côté d’un manège au risuqe qu’on me prenne pour une kidnapeuse, à dévisager toutes les nanas qui avaient un sac rouge!
Choco est gentille, elle est drôle aussi. Intelligente, elle trouve le bon mot quand moi il ne me vient à l’esprit que le soir dans mon lit. Elle se dit timide, mais j’ai trouvé que je pouvais être bien pire! Elle a des yeux de fous, que bon, quand même, elle crâne un peu avec ce regard là! C’est drôle, parce que je me rend compte que les gens que j’apprécie sur leur blog, finalement, j’ai surtout peur que ce dernier ne soit qu’une façade, et de découvrir une autre personnalité. Peu importe du physique, finalement, la peur de la déception vient surtout du ressenti.
Donc Choco: Check, c’est ma copine, elle ment pas, c’est bien elle!

 

Vient le tour d’Alorom. Alorom, elle est très à l’aise, elle a le verbe facile, son blog est déconnant et nos échanges hors blogs me font réaliser que je vais rencontrer la speedée de service, et que je vais pas m’ennuyer!
Déjà, Alorom, elle déboule à la casbah avec 2 énormes cartons remplis de fringues: livraison Vertbaudet qu’elle me sort! Tony tire la tronche…quoi? des fringues? mais elle en a déjà plein la gosse!

 

On notera que Tony n’a jamais mis les pieds dans un magasin d’enfants et qu’il ne sait donc pas ce que sa fille met comme taille. Il remarque juste que le tiroir est plein, et ça, ça le perturbe.

 

Bref, Alorom est non seulement sympa
et généreuse mais en plus, elle boit de la biere. A la bouteille. Bingo. Tu
seras ma soeur! Elle dit que c’est aps grave si l’endroit où on devait manger
est fermé, on se contente d’un wok qu’on tatouille de nos baguettes sans finir
parce que à discuter à ce rythme là, on ne prend pas le temps de manger. Ni de
pisser d’ialleurs, on a dû se précipiter sur les toilettes pour pas perdre
notre dignité en fin de soirée. Minuit approchait et Cendrillon devait briquer
le lendemain… M’en fout, je la revois dans 2 jours!

 

J’ai rencontré Virginie B aussi
pendant mon périple parigo-allemand lundi dernier. Virginie, elle a les yeux de
ma mère, c’est dingue. Vous savez, les yeux qui sourient et qui brillent. Dans
les yeux de Virginie, j’étais à l’aise, j’étais chez moi. Alors oui, on a
accroché, on a discuté, on a fait les folles, et j’ai essayer de lui refourguer
les smarties de l’anniv de N°1… la pauvre était tellmemnt stressée par
l’avion qu’elle pouvait rien avalé (la bonne excuse!).

 

En plus de Virginie, j’ai pu papoter
avec Isabelle, retrouver le sourire chaleureux de Oum, enfin mieux connaitre
Stephanie et me rendre compte que Carole n’allait pas me manger. et est même tout à fait charmante (oui, je me fais des films parfois…souvent même) J’ai mieux
appris de toutes, rapport à la premiere fois où j’étais mal à l’aise. Je pense
que cette fois, c’est bon, j’ai franchit le cap! Pas trop tôt!

 

Avant mon escapade de lundi, j’ai
dormi à Paris. Dès mon arrivée Gare de Lyon, je me suis dirigée dans le mauvais
sens
vers mon lieu de RDV. Un RDV qui me barbouillait un peu. J’allais voir une
blogueuse que j’admire beaucoup. Et ça n’arrange pas mon stress, ça!

 

Je suis arrivée la premiere. J’ai dû
fumer 18 clopes en 10 minutes, et puis la voilà. Elle est comme dans les courts
métrages de JC, elle est pétillante comme son blog, elle est souriante. Je ne
sais pas quelle tête j’ai fait. J’étais toute bizarre. Et puis bon, on a parlé,
on a mangé, on avait chaud, on a descendu 3litres d’eau et du vin, l’entendre
parler me fascinait presque. Il y a des gens qu’on met sur un piédestal comme ça,
parce qu’on pense qu’ils nous sont supérieurs?. Mais Muriel te prend comme égale, elle est juste quelqu’un
d’admirable, de doux et de sympathique, sans compter qu’en plus, elle est drôle.
Le temps a passé si vite que je me suis retrouvée avec 10 appels en absence de
Tony qui se demandait pourquoi je rappelais pas, et de ma copine qui me logeait
qui voulait aller se coucher. Encore passée à toute allure cette soirée.

Pour finir, j’étais mercredi avec Sonia, Bergie et Choco qui m’avait invité à l’avant premiere de ‘l’âge de raison ». J’y reviendrais lundi, cette soirée vaut un billet à elle toute seule (les autres aussi, hein, mais vou comprendrez pourquoi celle ci en particulier).

Ca fait légerement édulcoré tout ça, j’aime tout le monde, tout le monde est gentil. Mais effectivement, toutes les filles rencontrées jusque là sont adorables. Evidemment, j’ai plus ou moins d’affinités avec certaines, mais ce que je retiens, c’est que jusqu’à present le passage virtuel/réel n’a pas été décevant, ces filles sont donc vraies sur leur blog, qui les représente si bien, donc!

Merci à toutes pour ces moments.

Désolée pour la police changeante, je sais pas, j’ai fait un truc bizarre ça se remet pas!