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Moi aussi j’ai un « Morning Routine ». Un vrai.

Tous les matins, je me lève à 6h05, après avoir été réveillée par le chant des oiseaux et une légère brise estivale, puis, des koalas m’aident a enfiler mon peignoir-doudou pendant que quelques écureuils moulent mes grains de café brésiliens certifiés équitables. Ma maison à l’esprit scandinave embaume l’odeur de la brioche que mon robot thermomix a préparé.
La vie est si douce mes amours.
C’est l’heure de mon selfie Instagram pour vous annoncer que mon « morning routine » a commencé.

BONJOUUUUUUR.

Et sinon ? Ma vraie vie ?
Nan parce que ça va bien les meufs enroulées dans des draps assortis (et propres)(et repassés) avec une coupe de cheveux géniale que même 4 coiffeurs me feraient pas ça. Ça va bien les photos prises de haut des p’tit déj étalés savamment sur le lit alors que MOI, la seule fois ou mon chéri a eu l’idée de m’apporter mon café alors que j’avais encore les yeux collés, j’ai tout renversé sur ma couette froissée et mes taies d’oreiller pas à la bonne dimension.
OUAIS.
Ça, c’est la vraie vie messieurs et mesdames.

Bienvenue dans MON #MorningRoutine.

The Cranemou’s Rituel de la Beautayyyyyy !

7h20 : Réveil. Musique de « Somewhere Over The Rainbow » qui devient aussi désagréable qu’un concert de Grégoire à jeun.
7h25 : 2ème réveil. J’ai très TRÈS envie de buter les constructeurs de ukulélés.

7h26 : Je râle parce qu’il fait trop tôt/froid/chaud/je crois que j’ai plus de soutif propre.

7h27 : je vais réveiller mes charmants enfants qui ont à peu près la même motivation que moi. La GÉNÉTIQUE !

Et donc, perso, ma tête le matin, c’est comme ça que ça se passe (et réjouis toi, j’avais des draps coordonnées pour une fois ce jour là) :


La grâce et la bonne humeur, donc.

Ensuite, je ne sais plus trop quelle heure il est, mais je vais dans la salle de bain.
Oui, en fille qui fait bien les choses et comme ne le préconise pas à peu près la totalité des gens s’y connaissant en nutrition, je ne déjeune pas le matin. Pis quand bien même, vu ma tronche, je préfère aller me réveiller sous la douche, à l’abri des regards (dit celle qui, donc, va poster toutes les photos d’elle ici-même).

Etape 1 du rituel de la beautayyyy (et du respect des gens à qui je vais parler dans la journée) : le brossage de dents, plus communément appeler le tueur de Yack morts.
Avec un bon dentifrice qui m’arrache bien la bouche histoire d’être bien certaine d’être réveillée et d’activer cette bonne humeur qui me caractérise si bien.

À la télé, quand on se lave les dents, on ressemble à ça :

Alors que… en vrai, moi, bon… :

Ensuite, et pour une raison qui m’échappe complètement, je me dis que VU que j’ai mangé une pizza-raclette la veille au soir, j’ai du perdre un peu de poids….

En mettant le deuxième pied, je suis certaine qu’il y a erreur. De toute façon, le mieux, c’est de prendre ses mesures.

Ce régime pizza, de toute façon, j’y croyais pas trop à la base. Je vais me remettre aux burgers.

Ensuite, je me douche, parce que je suis quelqu’un de très hygiénique. Je me lave également les cheveux tous les jours, comme ne le préconisent pas tous les gens s’y connaissant en soins capillaires, mais FRANCHEMENT, quand tu vis avec mon épi, tu sais que c’est le seul moyen de ne pas ressembler à une meuf sortie d’un téléfilm des années 80. Donc tu es obligée de mouiller (je t’ai vu sourire PERVERS !) pour le dresser  (je t’ai revu sourire !).

C’est là que je te donne mes petits « tricks » de blogueuse beautayyyy. Accroche toi, tu vas m’adorer tellement ça va changer ta vie.

En sortant de la douche, je vois que j’ai l’oeil cerné.

Du coup, je me doute bien que ça doit être un reste de maquillage de la veille. Avant toute chose, donc, je me re-démaquille, pour que ma peau soit débarrassée de tous les….blablablabla.

Une fois bien re-démaquillée, je m’enchante du résultat :

Pas de résultat.

La cerne est toujours là, ce n’était pas la faute au mauvais démaquillage de la veille. OUF, hein ! (hum)

C’est le moment de m’occuper de mes cheveux que je déroule de leur serviette pour les frictionner à l’aide de cette mirifique fouta (que m’avait offerte Burger King pour la fête des mères, la vie de blogueuse n’est qu’éternel émerveillement devant tant de cohérence) pour les sécher au maximum.

Du coup, c’est carrément le bordel. MAIS, j’ai un super produit à base de soie et de jus de licorne pour m’aider. Heureusement !


L’ESPOIR se lit dans mon regard….

Plus qu’à démêler tout ça, bien évidemment, c’est grandement facilité par ce produit miracle.


Oh lala, ça marche si bien ! Je ne perds plus que 850g de cheveux après démêlage maintenant. Cool !

Tu noteras sur les dernières photos (me mettant tellement en valeur je trouve), que je ne mens pas à propos de mon épi samayre.

Mais It’s déjà time pour le make-up-rituel mes chéris.

En général, je me tartine la figure de crème hydratante.
Je re-tartine  ma figure de BB crème en espérant que la cerne se barre en même temps que le vilain bouton.

Et hop, un peu de mascara.

Oui, c’est tout, je me maquille « effet nude », c’est très joli et surtout, ça convient tellement aux meufs comme moi qui ne savent toujours pas se servir du maquillage pour avoir l’air d’une bombe en toute circonstance.

Je me souviens tout à coup que ma copine m’avait dit qu’en fait il y avait un SENS pour les brosses à mascara.
HOP, magie et contorsion, je mets mon bras à l’épreuve de ne pas me crever l’oeil dans un mouvement trop brusque.

Plus inconfortable et périlleux tu meurs.
Heureusement, il est déjà l’heure de passer au deuxième œil (et je me réjouis de ne pas en avoir trois, chaque matin, parce que j’aime que les petits cadeaux de la vie embellissent mon quotidien)

DRAME, évidemment, j’ai voulu faire vite parce que l’heure tourne, et évidemment, je me fourre une belle trace noire quelque part sur le visage (une fois, j’ai réussi à me le mettre DANS l’œil. Je te ferai un DIY la prochaine fois)

A ce stade, je renonce au maquillage make up : il est l’heure de se mettre au boulot pour dompter l’épi de Satan.

Si il prenait à quelqu’un de rentrer à ce moment là dans la salle de bain, il pourrait éventuellement penser que je ne suis qu’une vulgaire réincarnation du cousin machin mixé avec le bossu de Notre Dame, vu mes positions tout à fait adéquates pour la santé de mon dos.

Je me crame un peu le cuir chevelu, mais ça ressemble à peu près à quelque chose à la fin.


Grâce, toujours.

Je jette les 850g de cheveux restés pour morts sur ma brosse.

Ensuite, il faut que je retrouve la chaussette de Clapiotte (qui était donc là 4 minutes avant) et je fais un bisou à N°1 qui part déjà.

Je me fais couler un café en attendant qu’il soit l’heure de partir.

Clapiotte me dit que finalement, si, il y a un mot à signer dans son carnet ainsi que 368 évaluations.

La journée commence pour de bon.

A 17h, en rentrant de l’école, je retrouve mon café qui à coulé le matin.

Je le jette, de toute façon, il faut que je me mette à boire du thé detox vert à la bergamote et aux extraits de jojoba, un jour.

Voilà les chéris. J’espère que mon morning Routine vous a plu.
Je suis désolée de ne pas avoir eu le temps de faire ça sur mon Vlog les zamours, j’avais ma vie qui m’attendait !

Bisous et Take Care.
Cœur avec les doigts.
XOXO

 

Tout est question d’organisation !

Au grand désespoir de ma mère, j’ai toujours eu une tendance à être organisée d’une manière bien particulière.
D’un point de vue de l’intendance à la maison, par exemple, je range quand c’est nécessaire ou quand je cherche quelque chose. Ca donne des situations un peu ubuesques, par exemple, quand je suis à la recherche d’une paire de lunettes de soleil et que je finis, deux heures plus tard, à être plongée dans le classement de mes vieilles fiches de paye, allant faire des pauses pour regarder des photos du siècle dernier, retrouvées dans une pile de documents dits « à classer ».
Côté boulot, je ne travaille que dans l’urgence. Enfin… Je ne travaille « bien » que dans l’urgence. Je suis dotée d’une grande efficacité quand j’ai le couteau sous la gorge.
Tellement que je me dis que je devrais songer à une reconversion genre « démineur » tant c’est dans des moments de rush et de stress absolu que mon cerveau fait de petites merveilles…

Du genre d’avoir mon bac en n’ayant pas franchement révisé si ce n’est la nuit précédent l’examen.

Mais aujourd’hui, je suis freelance ET je suis adulte.
Ca implique, normalement, d’avoir un minimum d’organisation dans la vie de tous les jours pour ne pas me retrouver à chercher pour la 43ème fois ma feuille d’impôt quand j’en ai besoin, découvrir que le frigo est vide 1h avant que les enfants ne reviennent de week end ou me rendre compte que je devais effectivement rédiger un article pour le 3ème lundi du mois et qu’on est donc ce fameux lundi, 10h30.

J’ai rêvé devant les « bullet journal » de blogueuses et j’admire mes copines qui font ça avec patience et dévotion.
Le mien (oui, comme tout le monde, j’ai tenté le Bullet Journal, je suis un vrai mouton crédule), il s’est arrêté au niveau du 18 janvier 2017 alors que je l’avais commencé le 5.


Ceci dit, merci @LaPoste d’avoir tenté de m’aider avec ces cadeaux trooop choupi. (j’avoue, je me sers quand meme un peu du planning)

Le problème là dedans, ce n’est pas d’être en permanence en flux tendu, parce qu’au final, ça reste mon problème à moi de me mettre des coups de pression.

Non, mon souci, c’est le temps que je peux perdre à m’agacer de ne pas trouver tel ou tel truc.
Ca me fait râler façon pitbull, entre deux « rhooo, cette photo des potes de fac de 98 est géniale, il faut que j’envoie un SMS à Alex pour lui montrer ».

Ça fait un moment que mon cher et tendre,lui, a saisi que j’avais un souci et, bien qu’il ne soit pas parfait niveau rangement/classement, il n’a eu de cesse de me répéter que QUAND MÊME, aujourd’hui, il y avait plein de solutions vachement pratiques pour sauver la mise des gens comme nous moi.
Par exemple, des trucs qui permettent de sauvegarder les mots de passe.

Parce que j’oublie bien évidemment TOUJOURS mes mots de passe. Même en ayant créé un onglet « mot de passe » dans ma boite mail, histoire que si je me fais un jour hacker, ce soit open bar (ne rêve pas, tu penses bien que cet onglet n’est pas à jour depuis 2004).
Il me parle aussi depuis un moment de Digiposte +, un service de la Poste qui permet de regrouper la quasi totalité de nos documents. Il a connu ça parce que c’est par ce biais que sa boite lui envoie ses fiches de paye. Du coup il y a intégré son compte URSSAF, téléphone, factures diverses, relevés bancaires, mutuelles et j’en passe.
En gros, sur ce seul site, tu peux avoir accès à tout. Y compris les copies de tes papiers d’identités. TOUT.
Moi, j’ai fait la sourde.
« hmm hmm, oui oui, super »
Et je passais à autre chose.

Et puis Digiposte + m’a contactée pour me dire « mais si, Natacha, ça serait bien d’essayer et d’en parler si jamais tu trouvais ça cool».
Au fond de moi, je me suis dit que mon mec devait connaître quelqu’un au service com de La Poste, c’était pas possible autrement.
Mais en bonne adolescente attardée, BIZARREMENT, c’était tout à coup devenu  une bonne occasion de tester. Intérieurement, je pense que je ne voulais pas donner raison à mon mec, c’est tout.

J’ai installé l’appli, parce que concrètement, je préfère de loin une appli qu’un site internet pour ce genre de truc.

Tadaaaaaam

Alors je ne vais pas te mentir, il a fallu que je retrouve une quantité incroyable de mots de passe pour chaque compte que j’ai voulu associer au service.

N’EMPÊCHE !

Voilà que par le biais d’une seule et unique appli, je peux télécharger mon dernier relevé URSSAF ou avoir un petit rappel d’une démarche importante à faire. VOIRE, avoir mon passeport sous le coude si je venais à me le faire piquer alors que j’étais en rando dans le Yucatan (quoi ?), ce qui, si tu n’as jamais connu ce genre d’aventure, est fortement conseillé vu la galère que c’est de ne plus avoir de papiers quand tu es à l’étranger.

BREF. Ça roule tout seul une fois que les comptes sont enregistrés, ce qui est parfait pour moi, donc, vu que très clairement, je ne ferai pas très souvent les mises à jour.

Je ne sais pas si La Poste et Digiposte connaissaient ma situation réelle avant de me proposer le test mais on peut dire qu’ils ont visé juste ! (L’appli et les services de base sont gratuits, pour info, il y a des fonctionnalités payantes, mais pour le moment, je n’en ai pas eu besoin).

Je vais donc devoir le dire officiellement : mon chéri n’essaye pas juste de me faire des leçons de morale. Il veut juste m’aider. Il avait raison. J’avais tort. Je saigne des doigts en l’écrivant.

Plus qu’à attendre que l’appli propose des rappels « tu n’as plus de culottes propres », « Et sinon, cet article sur Digiposte c’est pour quand ? » ou « le frigo manque cruellement de compotes » pour que tout mon planning soit géré efficacement !

Merci d’y penser !

Guardian of the galaxy

Parfois (souvent) je râle contre les gens qui ne savent pas lire correctement.
Je ne parle pas du fait de déchiffrer des lettres formant des mots, mais de la faculté de comprendre un texte dans son ensemble avec suffisamment d’esprit critique pour déceler ce qui y est dit afin d’en tirer les conclusions qui s’imposent, de soulever des questions pertinentes, voire, de douter de la véracité de certains propos.

C’est compliqué, je sais, surtout aujourd’hui où on aime consommer rapidement, même la lecture. Mais ça s’apprend plutôt bien, l’exercice n’est pas si difficile, alors ça me fait pester quand j’entends dire des âneries à propos de tel ou tel texte juste parce que le « lecteur » n’a pas pris le temps de connecter trois de ses neurones.

Et je ne parle pas seulement de littératures ou d’articles longs. Pas même de petits résumés.

Aujourd’hui, pour la 2 501ème fois, quelqu’un a sonné à mon interphone où sont inscrits le nom des enfants, celui de mon chéri et le mien.

« Gardian »

C’est mon nom.

  • « Je ne suis pas gardien, il n’y a pas de gardien dans l’immeuble ».
  • « ha pardon. Désolé ! »
  • DRIIIIIING
  • « Au fait, vous connaissez la SARL TrouduChmole ? Non ? Et M. Biduline ? »

Je vais brûler mon interphone.
A TOUT JAMAIS.

Ou faire une petite affichette que je collerai dans mon entrée, comme me l’a suggéré Papa Cube

 

Parlez moi d’amour

Cet article est sponsorisé par ma subite envie de love en partenariat avec Interflora.

 

En ce moment, j’ai un gros besoin de savoir que l’amour existe.
Je le sais, je suis bien entourée et globalement, pour me supporter, mon cher et tendre (et poilu) en déborde à mon égard. Pour te dire, même malade, au fond du lit, alors qu’il se met à ronfler bruyamment et me réveille, il émet des « RRRRRRoooonnn, pardon de te réveiller ma chérie, RRRrroooonnnn, désolé, Rrrrooonnn, si tu veux je vais ailleurs, RRrrrrooon pscchhhhh »
Si c’est pas la plus belle preuve d’amour, ça, un homme au bord de l’agonie (un rhume donc) qui pense à mon sommeil TOUT en dormant !?

Mais j’ai quand même besoin de voir l’amour partout ailleurs. Je suis fatiguée de constater que les gens oublient de penser d’abord à l’amour avant de penser à trahir, mentir, voler, blesser… Sérieux on se croirait dans une série Netflix dès qu’on allume la télé (ou parfois dès qu’on regarde juste autour de nous).
Les gens deviennent-ils fous ?

Alors voilà, la Saint Valentin arrive et bien que je ne sois pas à cheval sur cette tradition, cette année, je voudrais que cela vaille réellement quelque chose. Qu’on prenne le temps de se dire qu’on s’aime, qu’on pense à l’autre, aux autres, avec bienveillance.
Qu’on laisse de côté ceux qui ne comprennent rien au bonheur pour se concentrer sur ceux qui le méritent, ceux avec qui on veut le partager pleinement.

Bon, dans mon cas, étant du genre à m’organiser au dernier moment, je me servirai des moyens mis à ma disposition pour faire plaisir.
Ça commencera par ne pas bouder parce qu’un verre n’est pas allé au lave-vaisselle tout seul, j’enchainerai avec des attentions qui veulent dire « je pense à toi ».
Logiquement, j’oublierai d’envoyer des fleurs à ceux que je chéris et j’irai courir sur le site d’Interflora qui connaît les gens comme moi, qui font tout à la dernière minute et donc prévoit des livraisons de fleurs « pour le lendemain ».
Parce qu’ envoyer des fleurs pour la st valentin , Ça marche pour les amoureux mais aussi, juste pour les gens qu’on aime.
Ça représente beaucoup. Un clin d’œil pour dire « je t’aime, je pense à toi, je suis là », qu’on peut envoyer où que soit cet être aimé.
C’est joli les fleurs, et pour l’avoir vécu à l’instant, c’est toujours plaisant d’ouvrir au monsieur qui nous apporte un gros bouquet, comme ça, alors qu’on ne s’y attendait pas.

Je ne crois pas avoir jamais été déçue d’Interflora quant à leurs services proposés, ça reste une valeur sûre, pour moi qui ai une famille éclatée aux quatre coins de la France et qui ne peut clairement pas sonner à leur porte avec un bouquet planqué derrière le dos dès que j’ai envie de leur rappeler que je les aime.

 

J’aimerais pouvoir vous faire profiter de cette occasion, du coup, pour que vous puissiez dire ce « je t’aime » avec des fleurs à qui vous voulez. Et même à vous-même, parce que ça commence d’abord par là, d’après moi.

Grâce à Interflora, je vous propose donc de gagner un bouquet de fleurs*.
Il vous suffira de me dire en commentaire ci-dessous quel message vous aimeriez laisser avec ce bouquet. Parlez moi d’amour ! Osez la mièvrerie ! Je crois qu’on a besoin de ça en ce moment !
Je tirerai au sort le gagnant que je contacterai par mail après le 17 février 2017 à 13h.

 

*d’une valeur de 50€ maximum, livraison en France métropolitaine seulement, à choisir parmi les bouquets disponibles ici .

 

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EDIT : Après bataille de petits papiers avec le nom de tous les participants, la main de Clapiotte a choisi le commentaire de Nicolas Ma.
Merci à tous  et bravo à lui !

Les petits poucets

Depuis maintenant 11 ans et demi je suis devenue mère. On ne sait jamais trop quelle genre de mère on sera avant de le devenir et encore, même en plein dedans, on se pose sans arrêt des milliards de questions de si on fait bien/bon le boulot.

Je peux me vanter d’avoir de la chance d’avoir des greffons qui sont relativement « faciles » et qui ne posent pas de problèmes majeurs quant à leur éducation jusqu’à aujourd’hui. Evidemment, leur éducation doit sûrement jouer un peu, ce qui flatte bien entendu grandement mon égo de mère tout en me rassurant. Parce que la mère doute, hein. Ça fait parti du package (avec l’épisio, les angoisses, les dérèglements hormonaux et les montées de lait).

Le seul truc dont je suis sûre concernant mon statut de mère, c’est que je crie très peu. Voire jamais. Sur mes enfants en tout cas, faut me voir dans une voiture ou devant un débat politique pour comprendre que je n’applique cette règle qu’en famille.
Certains diront donc que je pratique l’éducation « bienveillante », mot à la mode pour dire visiblement que ceux qui partent en couille et crient plus souvent ne sont rien que des parents trop nazes, indignes de leur statut et méritant le bûcher, puisque, par déduction, ils sont, eux, MALveillants. On remercie donc le comité des étiquettes éducatives pour ces mots si bien choisi, qui, sans nul doute, ne culpabilisent pas du tout la majorité des parents.

BREF.

Hier, j’ai crié.

Du genre fort. Du genre que je suis partie dans un monologue de 10 minutes, en faisant des grands gestes histoire de bien en rajouter au niveau de la théâtralité de ma scène.

Clapiotte était assise sur le gros fauteuil jaune et me regardait d’un air mi-interloqué, mi-agacé parce que ça devait quand même l’empêcher d’entendre les dialogues des lapins crétins à la télé (à partir du moment où ce programme propose de l’audio-description et des sous-titre, OUI, il y a des dialogues.).
Elle levait parfois les sourcils histoire de marquer la surprise. Normal. Elle a pas vraiment l’habitude. Puis elle n’était pas concernée, d’après elle, alors bon, elle pouvait se permettre, il faut croire.

Hier, j’ai crié sur N°1.
Lui, il levait pas trop les yeux au ciel, non. Il ne disait rien. Il attendait que ça passe. Je voyais bien que les larmes lui montaient parce que bichette, il sait que si je crie, c’est que forcément, il a fait quelque chose de pas cool DU TOUT.
N°1, dans la vie de tous les jours, c’est le petit garçon le plus gentil, patient et bienveillant que je connaisse. En plus d’avoir de l’esprit et d’être particulièrement beau, bien évidemment et en toute objectivité.

Mais hier, je lui ai crié dessus.


Oui, je pense que je suis pas loin de ressembler à ça quand je gueule.

J’ai pété un câble parce que pour la 4ème fois de l’hiver, il est ENCORE revenu de son entrainement de foot avec un vêtement en moins (genre, le sous pull technique thermique qui m’avait coûté trois plèvres et qui, accessoirement était neuf). Trois jours après que ça sœur ait perdu son bonnet (en plus d’un gant, d’une écharpe, d’une polaire et d’un gilet)


Minnnce, l’aspirateur, j’ai oublié de l’éteindre, j’te rappelle.

Je m’en suis voulue à mort après, bien évidemment, parce que crier, ça n’a pas fait revenir le sous pull. Ni les gants. Ni le collant. Ni la polaire. Ni l’autre sous pull. Ni les chaussettes.

Ce n’était pas bienveillant.
C’était juste libérateur.

J’ai engendré des descendants du Petit Poucet.
Si vous trouvez leurs cailloux quelques part dans Lyon, merci de me contacter.


Tiens, je vais oublier mes godasses aujourd’hui. Je lui ai jamais fait, le coup des pompes. HAHAHA.

La déco, les travaux… Call me Damidot !

Durant toute ma vie, j’ai beaucoup déménagé.
Je me permets donc de dire, en connaissance de cause, que je SAIS tout ce que cela implique.
Et outre tous les trucs bien bien relous dont les cartons, les changements d’adresse et les papiers, il y a un truc qui pose assez souvent souci, ce sont les meubles.

Quand j’ai aménagé dans mon appartement il y a 3 ans, je n’avais pas un seul meuble, seulement un espace vide à remplir au mieux.
Les enfants partageaient une grande chambre, j’en avais une toute petite.
Je leur ai fait chacun un coin sympa et je n’ai pas pu résister à investir dans un grand canapé d’angle convertible, histoire de prévoir des soirées cocooning avec eux, entassés sous un plaid.

Et puis, j’ai re-déménagé récemment. Il y a 8 mois en fait. Et j’ai dû bouger mon gros canapé avec.
J’ai eu un gros tas de travaux à effectuer dans l’appart, qui était plus ou moins resté dans son vieux jus des années 80, avec des petites pièces fermées un peu partout, des tapisseries d’un goût douteux qui se décollaient, des mosaïques de salle de bain digne d’un caléidoscope et une crédence de cuisine couleur vomi sec.

J’ai tout cassé, tout enlevé, tout repeint. Avec la classe et l’élégance qui me caractérise tant, n’en doutez pas…

Et je me suis retrouvée avec mes anciens meubles qui allaient bien dans mon ancien grand salon mais VACHEMENT moins dans ce nouveau salon tout en longueur. Autant vous dire que mon mammouth de canapé associé à mon fauteuil jaune moutarde et ma jolie table design prennent… bah toute la place.

C’est pas moche hein… Juste, c’est… peu pratique. Et visuellement un peu étouffant. Surtout quand on l’utilise rapport que pour la photo, ÉVIDEMMENT, j’ai rangé ET y’a pas 43 enfants dessus.

Du coup, travaux finis (ou presque, mais je vais avoir l’occasion d’en reparlé bientôt), j’ai entrepris de relooker mon salon.
Revendre mes meubles et en racheter de plus adaptés.
J’y ai passé DES HEURES à scroller des dizaines de sites internet de meubles et de déco pour trouver l’inspiration et pile ce que je cherchais.
Trop long. Beaucoup trop long. Je n’ai pas la patience. Du coup, j’arrêtais. Pour mieux recommencer quelques jours plus tard. J’ai perdu un nombre d’heures de dingo à ouvrir 450 onglets, faire ramer mon ordinateur et le fermer parce que j’en avais marre.

Et puis j’ai testé le site livingo.fr et tout à coup, j’ai découvert qu’il était possible d’avoir un choix de DINGUE sur un seul et même site. En une demi heure, j’ai trouvé mon futur canapé et un nouveau fauteuil pour aller avec, en filtrant par prix, couleurs etc…

Maintenant, SI JAMAIS l’un d’entre vous est décorateur d’intérieur, je veux quand même bien savoir si je me plante ou pas pour le choix de l’aménagement et des couleurs de mon coin salon, parce que là, TOUT A COUP, je doute encore un peu avant de cliquer sur « acheter », ça me fait un peu le même effet que quand je redécouvre que la mode existe et que j’ai zappé les 10 dernières années niveau « style ».

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Les enfants parfaits

Tu sais, ce blog ne tourne que (ou presque) quand mes greffons se sentent d’humeur taquine.
Je compte donc principalement sur eux pour m’inspirer, grâce à leurs punchline bien senties (ou moins bien senties) et à leurs frasques qui me rendent soit dingue, soit mielleuse, au choix, selon leur humeur.

Et bien figure toi que depuis la rentrée, mes scotchs ne sont que la réincarnation de petits anges calmes et obéissants.

LIMITE ils me font quand même souvent flipper tellement j’ai pas grand chose à leur dire.

Par exemple, suite à la rentrée de N°1 au collège, je pensais que les emmerdes allaient (enfin) commencer.
Pas que je me languissais de la crise d’adolescence, hein, ne va surtout pas croire ça, mais bon, j’étais mentalement prête à affronter un presque ado.

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Bon. Grosse déception. A part deux ou trois tentative de se la raconter un peu à la maison, finalement, cet enfant est irréprochable.
PIRE, il n’a jamais été aussi serviable à la maison. S’il n’avait pas 11 ans, je le soupçonnerais même d’avoir fait une GROSSE connerie qui pourrait potentiellement me rendre grand-mère.
Mais il a 11 ans.
Et comme depuis septembre je n’ai eu vent d’aucune salle de cours brulée par ses soins, je pense qu’en fait, il est juste gentil.

A défaut de devoir le reprendre sur son comportement, je suis derrière lui pour les leçons.
Surtout parce qu’avec le nombre d’heures qu’il passe à faire du foot, je me préparais à ce qu’il soit très très fatigué tout le temps et/ou qu’il ait une grosse baisse de motivation pour les devoirs et leçons.
Alors, certes, il fait parti de ces classes qui n’ont plus de notes, donc je ne peux pas vraiment faire de moyenne générale, mais d’après les diagrammes à notre disposition à propos de la réussite par « items », il a acquis 97% de ce qui lui était demandé  (oui, ils réussissent par « items » maintenant et pas par matière. Par exemple, moi, à l’item « participe passé », j’aurais deux points rouges tu vois, alors que j’aurais 2 points verts à l’item « mauvaise foi en toute circonstance »).

97% !

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Sachant qu’il s’est principalement planté sur « maitriser sa respiration » en natation (fils de sa mère », « maitrise du chant » (fils de sa mère) et « oubli de matériel en art plastique » (fils de sa mère). Autant dire que je ne peux pas lui en vouloir pour ça.

Voilà. J’ai rien à dire donc. Du coup, hier soir, je lui ai mis le nez dans sa cuillère de compote « juste » pour rigoler et éventuellement l’énerver.
Ca l’a fait rire aussi.

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Enfant parfait : check.

On pourrait penser que quand le premier enfant est aussi sympathique, on le paye pour le 2ème, et j’avoue que j’ai cru à ça longtemps vu le nombre de trucs à me rendre dingue qu’a pu faire Clapiotte avant ses 3 ans.

« Clapiotte est une excellente élève qui a d’excellents résultats »

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QU’EST CE QUE VOUS VOULEZ QUE JE LEUR DISE A CES MÔMES ?
Comment je fais, moi, pour leur râler dessus ?
Qu’en est-il du traditionnel chantage de Noël dans ma maison ?

Et surtout, qu’est-ce que je vous raconte sur ce blog s’ils ne mettent pas un peu du leur pour me fournir du contenu ?

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Je pense sérieusement à fermer boutique moi…

Avoir des enfants parfaits, c’est tout pourri en fait, non ?

 

La déclaration della Pasta

Tu sais, lecteur, j’ai une addiction.

En fait, j’en ai plein, mais celle-ci remonte à ma plus tendre enfance. C’est ma grand-mère qui m’a obligée à m’y mettre. C’est elle qui m’a appris à le faire correctement, qui m’a appris à aimer ça et c’est elle qui m’a répété sans cesse: “Ma fille, c’est dans ton sang tout ça, il faut que tu saches.”

Elle a pas raté son coup, je peux te le certifier car j’ai, depuis, un besoin VITAL de manger des pâtes quasiment tous les jours. Je dis « quasiment tous les jours » parce que socialement, manger des pâtes tous les jours, je crois que c’est pas super (rapport aux fruits et légumes qui attendent leur tour, aussi).

Bref. La passion-pâtes, du coup, tu l’as compris, c’est une tradition familiale. Des restes de gènes siciliens, à n’en point douter.

Mes enfants ne dérogent pas à la règle, ils adorent ça. Avec la sauce maison, le parmesan et plein d’ail et de basilic, et le plus souvent possible, surtout.!

Parallèlement, et je ne sais pas si ça a un rapport avec ça, mais j’appelle souvent les greffons avec des surnoms, notamment des surnoms… de pâtes. Genre « coquillette » ou « gnocchi ». (ne me jugez pas).
Mais ne me demande pas pourquoi car ça me vient assez naturellement, surtout quand on parle de nourriture en fait.

Du coup, quand Panzani a lancé son générateur de petits mots « Dites le avec Panzani », ça m’a bien fait rigoler, je suis allée en faire un pour mon chéri, parce qu’il n’y a pas de raison qu’il échappe à mes surnoms choupis-débiles.

Une fois générée avec votre photo, vous pouvez la partager via les réseaux sociaux ou mail et même la faire envoyer par voie postale.

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Ouais, nan mais pour de vrai ça me fait carrément marrer cet humour en fait…

C’est rien, mais c’est marrant (et puis QUI reçoit encore des cartes postales ? Nan parce que perso ma boite aux lettres ne sait même pas à quoi ça peut ressembler)(si vous avez pitié de moi, merci de m’envoyer vos cartes lors de vos prochaines vacances).

Après avoir généré nos messages d’amour avec des « cartes en pâtes »(Cranemou, reine de la galéjade), on peut participer au jeu concours pour tenter de voir notre message affiché sur un immeuble,un bus,une banderole d’avion etc.

Je vais donc en refaire une tout particulièrement pour une amie bien spéciale qui, accessoirement, déteste qu’on lui fasse ce genre de truc mais à un moment, c’est important de dire les choses en grand !

Et vous mes p’tites lasagnes bolo ? C’est quoi le genre de surnom que vous donnez à vos proches ?

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

« Je pourrais être ton bébé pour toujours maman ? »

« Je pourrais être ton bébé pour toujours maman , même en grandissant ? »

Oui. Toujours ma chérie. J’y compte bien.

Je ne te vois pas grandir tu sais, et pourtant, ce n’est pas faute de t’acheter des pantalons tous les mois parce qu’ils t’arrivent un peu trop vite au dessus de la cheville.

Tu grandis vite. Tu grandis d’autant plus vite que quand je regarde en arrière, j’ai pas mal oublié la petite fille que tu étais quand tu parlais Moldave ou quand tu enchainais les bêtises avec un regard qui en disait déjà long sur ta façon dont tu acceptais les remontrances.

Tu es toujours mon bébé. Peut-être que c’est comme ça quand on est maman. On oublie que nos enfants deviennent vraiment grands. Peut-être que c’est notre moyen à nous de toujours croire que vous dépendez de nous alors que non, clairement, tu te débrouilles seule depuis un moment.

Peut-être aussi que quelque part c’est le seul moyen que je trouve pour m’éviter de penser que je te laisse dans un monde un peu trop moche. Parce que franchement c’est pas joli-joli de te laisser grandir là dedans.

Tu vas grandir encore et trouver que c’est vraiment chiant de devoir  justifier qu’être une fille vaut autant qu’un garçon. Oui, bien plus chiant que de se laver les dents. Trois fois par jour. Parce que je sais que je n’arriverai pas à te rendre ça plus facile d’ici là. J’espère juste que ça le sera un peu plus.

Tu vas grandir encore et comprendre à quel point tout n’est pas juste. Oui, encore moins juste que quand tu dois partager tes bonbons avec ton frère alors que ce sont ceux que tu as eus à l’anniversaire de ta copine.

Tu vas grandir encore et devoir accepter que tout le monde n’applique ni ne respecte quelques principes élémentaires comme le respect, l’égalité, la loi et même l’amour. Oui, encore moins que moi quand je dis que manger du chocolat trop souvent ce n’est pas bien alors que j’en reprends justement un morceau.

Tu vas grandir encore et devoir apprendre à vivre en ayant toujours un peu peur. Oui, encore plus que quand tu es obligée de mettre  la tête sous l’eau à la piscine. Parce qu’on ne pourra jamais rien faire contre les fous et que ce monde que je te donne rend de plus en plus de gens de plus en plus fous.

Tu vas grandir encore et devoir faire avec un monde un peu trop sale. Oui, encore plus que tes mains quand tu touilles de la gadoue.

En soufflant tes 7 bougies, j’aurais dû penser à cet âge de raison qu’on fêtait fièrement à mon époque.
Mais j’ai pensé que pendant ces sept premières années, tu avais déjà dû expliquer que ce n’était pas parce que tu étais une fille que tu devais obligatoirement mettre une robe tous les jours et que tu pouvais courir plus vite que quelques garçons de ta classe aussi.
J’ai pensé que pendant ces sept ans tu avais déjà voulu plusieurs fois comprendre comment il était possible que ta petite camarade qui venait d’un autre pays ne puisse pas avoir de maison alors qu’il faisait quand même froid.
J’ai pensé que pendant ces sept ans j’avais dû t’expliquer plusieurs fois l’horreur que tu as ensuite dû mimer dans ta propre école, au cas où des fous décidaient que ça serait la tienne.
J’ai pensé que pendant sept ans, tu avais déjà trop dit que ça sentait mauvais, la rue, qu’elle était dégueu, la mer.

J’ai pensé que tu avais bien raison de me demander de continuer à t’appeler « mon bébé » parce que c’est la seule protection que je peux t’offrir aujourd’hui. Je ne pourrai pas faire beaucoup mieux.

J’ai pensé que te demander pardon c’était un peu facile.
Alors je vais t’aimer encore plus, t’accompagner encore plus et t’aider à grandir en te donnant la seule chose que je peux vraiment te léguer : voir la lueur du beau dans les grandes pièces noires.

Je sais que tu sauras la faire grandir pour rallumer le monde.

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On a testé : Walib-BOUH !

Si vous me suivez un peu ailleurs que sur le blog, notamment sur facebook ou instagram, il ne vous a surement pas échappé qu’on fréquentait régulièrement le Parc d’attraction Walibi (bien que je suis sympa de pas autant vous flooder que Toniolibero)

Bon, déjà, parce que Walibi, c’est à 45minutes de Lyon, donc c’est carrément gérable.
Mais aussi parce que c’est plutôt cool, et pas que pour les enfants.

Ce qui est marrant, c’est que j’ai toujours à l’esprit, quand je dis « Walibi », l’idée d’un parc un peu has been. J’habitais pas très loin quand j’étais petite et le parc était, à l’époque, plutôt vieillissant qu’autre chose.

Quand j’y suis retournée pour la première fois avec les enfants il y a de ça 4 ans, j’ai pris une bonne claque parce que très clairement, il y avait eu du changement.

A chaque nouvelle attraction qui ouvre, on a la chance de pouvoir nous y rendre, Et à tous les coups ça marche.
On y est récemment retourné pour Halloween, au tout début des vacances scolaires .
Le parc ouvre pour toutes les vacances de la Toussaint, et à ce moment là, chez Walibi, il y a des zombies et des clowns tueurs qui se baladent dans le parc. La déco est partout et des attractions spécifiques ouvrent pour l’occasion. Perso, cette année, je ne les ai pas faites, rapport que la dernière fois, j’ai cru que j’allais faire dans mon slip.

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Y’a bien mon chéri qui a eu les corones d’y aller et qui a trouvé ça cool.
Bon, après, hein, je vais pas NON PLUS lui lancer des fleurs, hein, parce que le mec, aussi poilu et viril soit-il (haha), il s’est dégonflé quand il s’est retrouvé devant le Timber. Même les mômes y sont allés (bon, ok, pas Clapiotte).
C’est devenu mon attraction préférée depuis son ouverture au printemps.
Une grande descente de dingue et aucune perte d’accélération jusqu’à la fin, ça décoiffe bien comme il faut mais ça reste moins violent que l’equWalizer (que je ne fais pas après manger. JAMAIS).

On s’est arrêté un moment pour manger et là, ça a été surement l’attraction qui nous a le plus fait rire : Des zombies s’amusaient à terroriser une jeune fille. La pauvre avait l’air de vraiment flipper, pendant que sa copine la filmait en gloussant. On a tellement ri de la voir en panique dès qu’un d’eux s’approchait à moins de 3mètres d’elle. Et eux qui, forcément, ont bien profité de la situation pour faire le show. Rien que pour ce genre de réaction c’est très drôle à cette période.
Bon, nous, on a des enfants warrior qui n’ont peur de rien apparemment, mais pour les plus flippettes (c’était le cas de Clapiotte au début d’ailleurs), il y a des badge « anti monstre » à fixer sur les vêtement pour ne pas que les méchants ne les terrorisent. C’est plutôt pas mal parce que sincèrement, leur maquillage est plutôt glauque à souhait, pour les âmes sensibles.

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Sinon, comme d’hab, on a fait environ 50 fois la « coccinelle » parce que « ça fait des chatouilles dans le ventre maman » mais quand même à la fin j’avais un peu la gerbe en vrai, à force, et même les petits cris hystériques de Clapiotte et ses poses devant le flash de la grande descente n’ont pas suffit à me le faire faire une 51ème fois.

Comme d’habitude, pas trop de monde et pas de trop longues queues (haha, bis), ce qui rend la journée plutôt cool parce qu’on peut vraiment faire toutes les attractions plusieurs fois sans problème.

Bref, on a (re)fait Walibi et c’était encore bien cool !

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