Archives de catégorie : Vide-poches

[Cam’Test] : présentations et portage en écharpe.

Une nouvelle rubrique s’installe sur ce blog à compter d’aujourd’hui : Le Cam’test (bon, ok, on va réfléchir au nom si vous n’aimez pas).
Camille, c’est ma copine. Elle est fraichement maman, et elle a besoin d’en parler. Accessoirement, elle adore les trucs de bébés (hahaha, elle en reviendra) et évidemment, elle me fait rire.
Camille n’a pas forcément le temps de tenir son propre blog, et comme je n’ai pas forcément le temps de venir poster ici comme avant (je vous rappelle que j’écrivais TOUS LES JOURS avant… hum), je lui offre ce modeste espace où elle fera comme chez elle, crier, rire, parler d’elle, pleurer, tester, râler. Une fois de temps en temps, vous la retrouverez donc ici même et je l’espere, avec autant de plaisir que j’ai à la lire.

Camille, mes lecteurs, mes lecteurs (chéris d’amour), Camille.
Je vous laisse, je prépare le café.

 

Si toi aussi tu es une maman en apprentissage et que tu paniques à l’idée d’imaginer devoir tenir ton bébé d’une main, ton portable avec les dents et d’ouvrir ta poussette de l’autre main (avec un bout de pied et un morceau de coude)… J’ai ta solution!

 

Avant d’accoucher, j’ai eu une formidable amie qui m’a donné une écharpe de portage déjà nouée, en me disant simplement “Tu verras c’est génial, quand ton enfant hurle ça le calme”. Elle m’avait fait la démo rapide avec une poupée sur la façon d’enfiler cette écharpe partiellement nouée. Sans porter trop d’intérêt au matos, j’ai plongé cet accessoire de puériculture dans le sac, en me disant « on verra plus tard ».

 

Les écharpes de portage classique, j’en avais entendu parler, je pensais que c’était surtout un truc de maman bio mangeuse de graines (j’en suis pourtant une et j’assume !) et j’avoue que je flippais un peu à l’idée de devoir nouer mon écharpe traditionnelle toute seule. Me retrouver avec un long bout de tissu de 5 m et faire les noeuds sans trop savoir si ça allait tenir le coup.. j’étais un peu inquiète.
Les nombreux tutos que j’ai vu sur Youtube ne m’ont pas forcément rassurée (mes neurones étant trop peu nombreux lorsque j’étais enceinte).

 

Bref, si tu es comme moi et que tu n’as pas envie de te prendre la tête sur le pliage ou l’origami à base de tissus tissé ou jersey, l’écharpe Close de Caboo est faite pour toi.

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(Non, ce n’est pas Camille, désolée)

Ca s’enfile comme un tshirt, c’est légèrement extensible pour glisser ton asticot sans le faire tomber ni le compresser comme une sardine dans sa boite. On est en confiance parce que les nœuds sont presque déjà fait, il ne reste qu’à serrer les pans gauche et droite autour de votre petit trésor hurleur.

 

Voici toutes les raisons pour lesquelles j’ai adoré cette écharpe (hormis le fait qu’elle soit facile à mettre, même sans un bac +12):

 

  • on a les mains libres (pour se faire les ongles et rester digne même quand on dort plus et qu’il ne fait pas (encore) ses nuits)(ou pour appeler belle maman parce qu’on arrive illico pour le déposer chez elle parce qu’on n’en peut plus làààààà),
  • on peut prendre les transports en communs sans avoir l’impression de conduire un semi-remorque (aka ma poussette)
  • on a un accès illimité pour faire des bisous (Grand kiff ),
  • Ça tient les mémés des transports en commun ou à la caisse de la pharmacie à l’écart de ton asticot (la mémé : “Comme il est mignon le bébé, je peux lui faire des poutous?” moi:“Non, dégage mémé inconnue, touche pas mon bébé avec tes mains sales”)
  • Les microbes sont bien moins présent dans ton cou contre toi que dans la poussette ouverte à tout vent
  • Tu peux boire l’apéro pendant que ton bébé dors contre toi
  • Tu peux même te taper une sieste dans la chaise longue entre deux tétés
  • Tu peux aussi aller aux toilettes  (et c’est pas du luxe quand tu seras en ville toute seule)

 

Ce que tu ne feras pas avec ton écharpe de portage trop géniale:

  • nager un 100 mètres (c’est pas un scaphandre)
  • fumer des clopes (pas bon pour ses petits poumons)
  • Essayer tout Zara (parce que tu le poses où hein ton bébé ? hein ? hein ?)
  • boire des trucs chauds (si tu es maladroit je te laisse imaginer le truc)
  • aller en boite de nuit (en même temps… bon…)

 

A part ça, je dirais que tu peux tout faire avec ton bébé en écharpe. Il pèse 7,5 kg aujourd’hui et je le porte encore en écharpe tous les jours et ce depuis 6 mois (je l’ai porté dès le 3e jour à la maternité).

 

Dernière chose, avec les écharpes on respecte la position en foetus qui est rassurante pour nous comme pour eux …

 

 

 

 

 

Les mains invisibles

Lundi, j’avais les pieds dans le béton.

Et depuis lundi, des tas de mains invisibles sont venues se poser sur mes épaules pour me tirer de nouveau vers le haut.

Je suis incroyablement touchée par tous ces messages que j’ai pu recevoir, par vos commentaires, vos petites blagues, vos calins virtuels.

Pour quelqu’un comme moi qui n’adore pas franchement les effusions émotionnelles, autant vous dire que vous m’avez bien fait pleurer. Pas de tristesse. De voir que même sans se connaitre, pour beaucoup, les gens peuvent faire beaucoup rien qu’avec leurs mots, leurs présence, mêmede loin.

Je voulais vous dire à quel point ça compte pour moi.

J’adore écrire ici, et constater que je vous amuse est ma plus grande fierté.

Mais voir que le jour où je trébuche, vous êtes autant à me relever, c’est un autre sentiment. C’est très étrange. C’est bien plus que du virtuel tout ça.

Je vous remercie. Pour tout. Et tous.

 

Le moral va mieux. le béton s’est fissuré parce que j’ai déjà de nouveau le besoin d’avancer et que vous devez avoir de sacrés bons outils pour commencer le travail.

Je vais avancer parce que je ne me laisserai pas faire.

Et parce que si je veux aussi soutenir mon grand frere, il faut bien que je défonce ce bloc de béton jusqu’au bout.

 

Je vais déjà un peu mieux.

Et c’est beaucoup grâce à vous.

Merci.

Sincèrement.

Vous êtes bons les copains !

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Les pieds dans le béton

Je voulais écrire quelque chose d’ultra léger, pour aujourd’hui.

Le lundi, on a souvent besoin de rire, et vous avez dû le comprendre, rire, c’est un peu mon truc.

Seulement voilà. Parfois, l’humeur n’y est pas. Parfois, l’idée même de rire de la vie ne fonctionne pas. Tu rates tes blagues en les forçant à la barre à mine, tu n’es plus drôle, tu boudes presque, tu oscilles entre la dépression et les larmes muettes.

Aujourd’hui, un peu comme hier, je suis envahie de cette humeur là.

Parce qu’on peut embellir la vie en tentant de faire sourire les autres, parfois, rien n’est suffisamment efficace pour te faire sourire toi.

J’ai besoin de ça pour avancer. Alors je n’avance plus. J’ai les pieds bétonnés. On dirait que j’attends juste qu’on me pousse dans le fleuve.

Mes dépressions, elles viennent comme elles repartent, sans prévenir, mais fugaces. Parce que je trouve la vie trop jolie pour la ternir, et que le gris, aussi à la mode qu’il soit, ne me va ni au teint, ni à l’humeur.

Je m’agace de tout, je ne supporte rien, ni personne. J’envoie bouler le monde en pensant qu’il est contre moi.

Je trouve que c’est dur, parce que c’est pas tous les jours facile, je trouve que ce n’est pas juste, parce que je ne suis pas d’accord. Je trouve que je suis mauvaise en tout, que je n’y arrive pas plus que je n’y arriverai. Tenir, garder la tête bien haute même si je ne suis pas grande, dire que ça va en cachant les larmes qui coulent en dedans. Tant que tout a ce petit goût salé ces derniers temps.

C’est pas facile facile de vous dire ça, mais en regardant bien, je ne le dis à personne, alors autant le dire à tout le monde.

Ici, on rigole, on pousse des coups de gueule, parfois on se souvient avec nostalgie et la larme à l’œil mais rarement on se laisse aller à étaler ses états d’âmes. Mais il faut un peu que je vous montre ce qu’il y a derrière la vitrine pour que vous compreniez que je ne suis pas que de pierres et de rigolade.

Récemment, on m’a rempli de plein de doutes, de trouilles et de rancœur.

Et ce matin, cette pute de roulette russe est tombée sur un des êtres qui m’est le plus cher.

Alors je reste encore un peu les pieds dans le béton. Que personne ne me pousse, je vais arriver à sortir de là quitte à abandonner mes baskets.

Juste le temps de cracher tout ce que je pense du destin quand il n’est pas joli.

 

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Ca n’a rien à voir, mais fallait que j’illustre avec moins plombant quand même.

Bons plans : Le Mois Anniversaire [sponso]

Depuis que je vis seule, les économies sont mes amies.
Bon, déjà, il faut savoir que je ne fais les courses QUE quand les enfants déboulent. le reste du temps, je me débrouille et mon frigo ressemble au Sahara mais en plus frais.
Mais quand bien même, rien qu’en fonctionnant comme cela, j’économise pas mal, je dois quand même faire attention à mon budget courses quand je fais le plein pour les enfants.

TOUT est bon à prendre. Et en ce moment, c’est Carrefour qui régale puisqu’on tombe pile dans son mois Anniversaire, à savoir, sur 4 semaines, chaque lundi, un catalogue de promos et bons plans, jusqu’au 21 octobre.

Et évidemment, ce mois Anniversaire est ponctué d’événements festifs et de concours sympathiques.

Pour commencer, retrouvez Cartman (notre Sébastien Patoche), le désormais célèbre animateur radio se prépare en vidéo pour débarquer chaque matin avec un Carrefour Deals. Il se chargera de réveiller les français, en chanson, avec pour thématique la promotion du jour !

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Différentes animations sont également organisées, comme par exemple le concours Facebook de vidéo piano : Jouez le morceau de votre choix, filmez-vous, publiez votre vidéo en public sur votre mur Facebook à l’aide du hashtag #PIANOCRF. Partagez votre talent et tentez de gagner 5 000 euros de cartes cadeaux ! C’est pas rien ! Bon, je sais pas si je tente la lettre à Elise du coup… (Et ne dites pas que vous n’avez pas de piano, hein, on trouve ça sur n’importe quel smartphone ou tablette maintenant… et des vrais pianos sont à disposition dans de nombreuses gares de France aussi, si jamais) (et c’est vraiment cool d’ailleurs).
Carrefour propose aussi de découvrir le fonctionnement d’une imprimante 3D sur son 3D Tour… Pour les petits curieux, ça peut être marrant, mais c’est seulement sur certains magasins (voir la liste ci dessous*).

 

Bref, voilà, il y a des bons plans à ne pas rater, des économies à faire, fallait bien en parler non ?

Je vous souhaite un bon shopping (je récupère les enfants dans deux jours, je vous laisse faut que je remplisse le placard à gâteaux)

 

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*(La ville du Bois : les 03 & 04 Octobre 2014, Brice la Forêt : les 03 & 04 Octobre 2014, Villiers en Bière : les 07 & 08 Octobre 2014, Villeneuve la Garenne : les 07 & 08 Octobre 2014, Chartres : les 10 & 11 Octobre 2014, Chambourcy : les 10 & 11 Octobre 2014, Créteil : les 14 & 15 Octobre 2014, Drancy : les 14 & 15 Octobre 2014, Athis Mons : les 17 & 18 Octobre 2014, Ivry : les 17 & 18 Octobre 2014, Flins : les 21 & 22 Octobre 2014, St Quentin en Yvelines : les 21 & 22 Octobre 2014, Ormesson : les 24 & 25 Octobre 2014, Collegien : les 24 & 25 Octobre 2014, Villabé : les 28 & 29 Octobre 2014, Carré Sénart : les 28 & 29 Octobre 2014)

 

 

 

 

Cranemou découvre la Haute Marne : le voyage de tous les dangers.

Chaque jour, dans ma boite mail, je dois trier quantité de messages dont certains contenant de merveilleuses pépites qui mériteraient presque d’être éditées en recueil des mauvaises façons d’aborder un blogueur. Mais je n’ai pas le temps.
Et puis il y a des mail avec de jolies surprises ou des propositions fort sympathiques voire un peu décalées.

Récemment, donc, on m’a proposé de passer 3 jours en Haute Marne, du côté de Langres.

J’ai ri.

Et puis je suis allée voir sur Google où se situait la Haute Marne, rapport que j’étais vraiment pas une flèche en géographie et qu’en Éducation Civique je faisais des avions en papier au lieu d’apprendre mes départements.
Je savais que Google existerait, sinon, évidemment, j’aurai été une élève modèle, vous pensez bien.

Donc, Langres, pour info, c’est à environ 45Km de Dijon, au dessus de la Bourgogne donc, en Champagne-Ardenne (si jamais tu connais mieux tes régions que tes départements)

Voilà, ça, c’était la minute géographie.

Sinon, j’ai dit oui.

Je suis une VRAIE aventurière, je n’ai peur de rien, même si, là, comme ça, de moi-même, ce n’est pas franchement la destination que j’aurai choisi pour passer un week end.
Mais voilà, j’aime voyager un peu partout mais par dessus tout, je voudrais vraiment avoir visité la France avant de mourir, parce qu’on est bien mignon de vouloir toujours partir dans des lieux exotiques, mais en habitant dans un si joli pays, c’est un peu con de passer à côté de paysages et de cultures différentes à quelques heures de chez nous sans avoir à apprendre à dire bonjour en 152 langues différentes (quoi que).

Voilà, ça, c’était la minute du patriote-chauvin.

Sur la carte, ça me paraissait être le bout du monde.
Sur Mappy, c’était à 2h30 de Lyon en voiture.

Après un rapide coup d’œil sur le site de l’office du tourisme, je me rends compte que malgré le côté « bout du monde » et « bleds paumés » que laisse entendre le nom « Haute Marne », en vrai, il y a plein de choses à faire.

On avait quand même branché le GPS parce que bon, à la campagne, vous comprenez, y’a peut être pas de panneaux de signalisation.

Oui bah je suis une fille de la ville moi, quand je vois un papillon, je fais 15 photos sur Instagram, donc faut pas trop en vouloir à mon ignorance et mes préjugés.

Après 2h30 de route pile poil (on notera le bon point important de BASE : même un week end de départ en vacances, sur la route, on n’est pas nombreux à aller dans ce sens, et ça donne un petit côté « gagnants du Loto » sur l’autoroute), nous sommes allés déposer nos valises dans notre chalet, au bord du lac de la Vingeanne, on a pris un café en se disant qu’on était bien, là et nous avons repris la route assez vite, rapport que nous avions croisé ça :

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C’était parti pour Cohons, un petit village à deux pas de Langres. Un championnat du monde de course d’escargots, on ne fait ça qu’une fois dans sa vie, et dans une ambiance très second degré, j’avoue, on a bien rigolé.

On a ensuite vadrouiller un peu dans les rues de Langres pour voir, en faisant un crochet par l’office du tourisme pour se charger en prospectus de tout ce que nous allions pouvoir faire.

Sur place et en famille, des tas d’activités sont proposées, une mini randonnée à la source de la Marne, plusieurs parcours d’accrobranches, des balades autour des différents lacs avec ce qu’il faut pour occuper tout le monde sur l’eau ou à côté…

Sauf que nous n’avons pas pu en profiter, parce qu’il a plu. Beaucoup. Pas tout le temps, mais suffisamment pour nous empêcher de faire des activités en extérieures.
On est la petite fille de Pierre Richard ou on ne l’est pas, je l’assume complètement.

Et puis de toute façon, mon séjour, il était vachement sympa quand même, même sous la pluie.
En voilà en aperçu juste ci dessous.
Et je vous fais un résumé dans la semaine avec de belles photos et tout ce qu’on a pu faire « en vrai », malgré le temps tout pourri.

Salut Maitresse !

A 11h30 tout à l’heure, les enfants ont dit au revoir à leurs maitresses respectives.

J’aime pas les fins d’années à cause de ce moment, parce que je ne sais jamais trop comment je vais le gérer, ni comment mes enfants vont le gérer d’ailleurs.
N°1, lui, était juste affreusement dégoûté parce qu’il y avait tournoi de foot et qu’il ratait donc l’occasion de taper dans un ballon (pour la 1842ème fois de l’année) avec ses copains.
Clapiotte a dit au revoir avec son sourire mi-timide mi-fière, rapport que cet au revoir là l’amenait directement à son prochain Graal : la GRANDE section.

Et moi…. J’ai remercié la maitresse de N°1 qui a été une bonne enseignante comme une bonne vigie du comportement de mon fils suite aux aléas que nous avons pu rencontrer pendant l’année.

La maitresse de Clapiotte, c’est une autre histoire.

Il est des professeurs qui nous touchent plus que d’autres (ça sera la phrase ambigüe du billet).

Mon prof de CE1 et de CM2 (oui, le même) a marqué ma scolarité et ma vie d’une manière incroyable par son investissement et sa gentillesse.

La maitresse de Clapiotte est de ceux là également.

Je suis bien la première à postillonner sur les instits et leurs 15 jours de vacances toutes les 5 semaines (par pure jalousie), je suis la première à râler des grèves parce que bon « oh, hé ça va bien hein », je suis la première, aussi, à reconnaitre que sans eux, ce serait bien galère (j’ai à peu près la patience d’un enfant de 2 ans, je vous laisse imaginer quand je dois aider à faire un puzzle).

Et quand tout à coup un de mes enfants croise la route d’un professeur qui enseigne avec passion, je finis l’année avec les yeux brouillés et en bredouillant  un au revoir tremblotant que j’aurai voulu plus chaleureux.

Un au revoir qui aurait voulu dire merci d’avoir été souriante, d’avoir eu de l’humour, d’avoir été bienveillante, d’avoir soulevé le très bon comme le plus mauvais, d’avoir aidé ma fille à grandir et s’épanouir, encore un peu plus, même si je souhaite à intervalles régulier qu’elle arrête de m’échapper à ce point avec le temps.
Un au revoir avec des bras comme un câlin pour signifier cette reconnaissance qu’on devrait avoir envers ces êtres remplis d’abnégation, bien plus que nous, parents, qui pourtant avons appris ce mot en même temps que la découverte du mot périnée.

Alors voilà, j’ai versé ma larmichette parce que la moyenne section vient de tirer sa révérence et avec elle une bien belle rencontre que je recroiserai parfois dans un couloir aux portes-manteaux trop bas.

Encore une année.

Et ce sera terminé.

Bonnes vacances aux professeurs en tout genre (gnagnagna) et merci. Surtout.

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(bon, elle était physiquement plus intelligente hein !)

La dédicace ou comment devenir anthropologue

Il y a quelques semaines, nous étions conviés, le Docteur Alain Benoit et moi-même, à venir dédicacer notre livre Le Dico Des Parents (éditions Kero) dans la librairie Decitre à Ecully (banlieue lyonnaise). La date était fixée un samedi après midi, la veille de la fête des mères.

Ce jour là, outre le plaisir de se retrouver Alain et moi et celui de rencontrer quelques lecteurs, nous avons vécu, deux heures durant, à un balai tout à fait amusant. Le grand bal des gens.

Parce que quand on dit qu’on va faire une dédicace, ça laisse souvent rêveur, sachez qu’on est bien loin des flonflons et des paillettes et que si je m’étais retrouvée seule cet après midi là, je pense sincèrement qu’on m’aurait trouvée pendue cachée derrière une pile de Musso.

Pendant ces deux heures, donc, nous avons pu croiser nombre de gens. Voici une petite compilation des meilleurs comportement à l’égard d’auteurs inconnus plantés au milieu d’une librairie, face à la porte d’entrée.

1. Le monsieur qui s’ennuyait.

Monsieur a 73 ans, sa femme est présentement en week end à la Baule et du coup, mort d’ennui devant Motus, il a décidé de partir profiter de la climatisation dans ce centre commercial. Sur son chemin, Decitre. Une occasion pour lui de s’acheter un bon gros polar et d’enfin ne plus entendre la voix de Thierry Beccaro par souci d’occupation. Et là, il nous voit. On lui sourit (parce qu’avec Alain, on est hyper proche de notre public vous voyez on a su rester des gens simples). Du coup, curieux, il s’approche de nous. « Oh ? Vous êtes quoi vous ? » Bon, j’ai la vanne facile quand on me pose ce genre de question, mais comme Alain est nettement plus diplomate (et rapide) que moi, il dégaine direct le livre, me coupant net dans ma réponse sarcastique. Ils commencent tous les deux à tailler une bavette. En 10 minutes je sais où est sa femme, combien il a d’enfants mais pas encore de petits enfants, qu’il a pas fait la guerre « mais quand même », qu’il a habité à Paris, enfin, en banlieue, parce que moi, Paris… Mais que Lyon c’est pas mal non plus et puis on se rapproche des enfants. Ma femme est à la Baule. Ah ? Je vous l’ai déjà dit ? Ah; Et vous êtes quoi déjà ? Ha. Vous connaissez Pancol ? C’est bien hein Pancol. Je vais le prendre je pense. Ou cet auteur là, vous savez, l’Américain. Dites moi comment il s’appelle déjà ? C’est un homme, il est connu. Parce que vous faite quoi vous ici ? Ha. Mais ça ne m’intéresse pas moi je n’ai pas de bébé et de toute façon je n’achète rien sans en parler à ma femme vous pensez bien.
L’écoute de cette conversation m’ayant quelque peu endormie, je comprends au dernier moment que le monsieur nous quitte parce qu’il doit aller acheter une multi prise. Il est revenu 30 minutes plus tard pour nous refaire la même.
Et puis Pancol, c’est bien Pancol.
Sans multiprise.

2. L’ado pré-pubère (avec sa mère).

Fête des mères oblige, une tripotée de jeunes pubères se donnaient rendez-vous là pour choisir un livre. L’achat facile par excellence pour une fête du genre. « Jamais sans ma fille » étant certainement le bouquin le plus vendu à cette période à des moins de 15 ans (parce qu’ils ne l’ont pas lu, de toute évidence). Mais quand il s’agit d’acheter un cadeau à sa mère EN PRESENCE de sa mère, le challenge est de taille.
Discrètement, l’ado envoie sa mère chercher un résumé de la pléiade au rayon streetart pour brouiller les pistes. Puis, il jette des coups d’œil épileptiques dans tous les sens pour trouver « un truc ».
N’importe quoi.
Tant que ça rentre dans le budget.
Et, alors qu’il n’a rien trouvé (rupture chez Pocket faut croire), la mère revient, les mains vides, bien désolée y’avait du Banksy, mais Du Bellay point du tout.

Zut, trop tôt, cette mère est finalement plus rapide que l’ado ne le pensait, et pour cacher son désarroi, s’empare d’un de nos livres et se met à le feuilleter frénétiquement en prenant un air faussement intéressé (on espère secrètement qu’il tombe sur « kamasutra »… ou « sucer », qu’on rigole). La mère s’approchant, curieuse de voir cette enfant au cheveux gras être intéressé par quelque chose d’autre que son smartphone, s’empare d’un autre livre.
« Le Dico des Parents, tout savoir sur le bébé de 0 à 3 ans », lit-elle à haute voix.
Silence de mort.
Regard vitreux de l’ado, qui ouvre grand son bec, laisse tomber sa proie, voyant mille conseils avec travaux pratiques inclus sur la contraception l’attendant au diner, ça lui apprendra à se munir de n’importe quoi.

Il repartira finalement avec un Pancol. Que sa mère paiera. C’est l’attention qui compte.

3. L’ado pubère.

Celui qui rigole fort, qui fait des selfies en montrant la couverture de la biographie de Booba et qui passe devant nous en secouant ses mèches de cheveux (trop de cheveux, tous ces cheveux : POURQUOI ?) et en disant à son copain
« mouhahaha, TAVU viens on prend ça à ta Reum pour la faire flippé »
« Boloss , ça va être chaudard imagine elle clam’s . Le seum »

« MDR, j’avoue c’est pas faux ».
Et de repartir sans nous avoir calculé alors qu’on est déjà sur Wikipedia pour la traduction.

4. Celui qui croyait qu’on allait lui vendre une râpe multi-fonction.

Celui là, il a VU notre table de loin et visiblement il s’est tout de suite dit « ouh putain, encore des vendeurs à la criée ». Fort d’une expérience sur les marchés du Sud de la France en pleine saison, celui-ci nous esquive avec finesse, évitant à tout prix notre regard au cas où nous nous mettions à lui ordonner de lire à haute voix le chapitre sur le « caca ».
« Allez, allez, Monsieur, y’en aura pas pour tout l’monde et aujourd’hui c’est exce-ptio-nnel avec un livre acheté vous aurez le droit à la bise de CRANEMOU ! Oui, un livre une bise, c’est aujourd’hui et c’est une offre limitée ! »
Non.
Pas un regard, ou alors en coin, vite fait, pour voir si on avait pas tendu un piège, je sais pas.
Il était venu acheter du Pancol de toute façon, pas une essoreuse à salade magique.

5. Les couples.

Les couples, ÉVIDEMMENT, c’était notre cible. Les jeunes ou non, les qui allaient être parents, les qui avaient des poussettes et même les autres (« ça vous servira »). Mais les couples sont fourbes. Les mamans et futures mamans spécialement. Elles avaient le don de disparaitre de notre champs de vision en une seconde alors que le conjoint était toujours planté là et qu’on l’avait harponné avec notre lasso invisible (j’ai un joli sourire), et lorsqu’elle ne disparaissait pas, Alain les branchait sur les jolies rondeurs que leur offrait la grossesse alors c’est plutôt le conjoint qui la faisait disparaitre. Certains ont quand même céder à la curiosité (pis faut dire qu’on est vachement sympa). D’autres nous ont fait le coup du « on revient ». D’autres ont dû trouver une porte de derrière parce qu’ils avaient VRAIMENT disparu.

Mais on a bien ri.

Et ça, c’est bien le principal.

Sauf à ce moment gênant où Alain à demandé à une dame d’une cinquantaine d’année si elle avait des arrière petits-enfants. Non, en fait si, j’ai ri aussi.

Les dédicaces ça rime avec classe mais faut avoir une sacrée dose de patience quand même.

La prochaine fois pour s’occuper on lira Pancol.

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Regardez comme on était bien !

Tiens, voilà la vieille qui sort du grand bois.

Ah ! Quelle merveille,
La vieille, la vieille.
Ah ! Quelle merveille, cette vieille-là !

Cette vieille là, c’est moi. Parce que OUI, voilà, je suis vieille, et aujourd’hui, je participe à des événements qui me le rappellent comme une grande claque dans la tronche.

On est tous le vieux de quelqu’un, comme les cons, certes, et il y a encore un peu de marge pour ne plus avoir grand monde à traiter de vieux moi-même. N’empêche, ça fait doucement mal au fondement quand on se rend compte que c’est bien nous, là, le vieux qui râle parce que… pfiou, c’est plus d’son âge.

Et donc l’autre week end, c’était Les Nuits Sonores à Lyon.
Les Nuits sonores, ce festival électro qui rassemble les foules dans des lieux atypiques, un festival made in Lyon dont la ville est fort fière et à laquelle je n’avais pour ainsi dire jamais mis les pieds.
Je n’ai pas d’explication à ce pourquoi je n’avais participé à ça. Je dois être vieille depuis 13 ans déjà en fait.

Bref, il a fallu que je sois invitée par Philips pour me dire « allez, c’est l’occas’ « . HAHA, mais c’est ça, je suis blogueuse depuis toujours en fait, MOI ON M’INVITE MONSIEUR.

Mouais. Je sais pas.

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Oui, si, en fait, je sais.

Mais j’y suis allée. En journée, d’abord, pour constater que je n’étais pas SI vieille, même si dans le tramway j’ai dû fermer les yeux très fort pour faire comme si les ados n’essayaient pas de se bourrer la gueule à grand renfort de Rosé-Pamplemousse (seriously ?).
Et c’était donc plutot cool, ambiance famille avec des animations pour petits et grands, de la musique électro (c’est le principes) et même des rues complétement bloquées juste pour y faire la fête (voisins qui râlent inclus).

Nuits sonores 2014
Sucrière, Lyon.

 

J’ai fini l’après midi en visitant la « maison Hue » de Philips qui avait aménagé deux containers « comme à la maison », un salon et une chambre, éclairés entièrement avec les nouvelles lampes connectées Hue. Un truc de malade mental un peu. (je peux confirmer qu’une chambre avec des ambiances lumineuses peut être fort propice à la reproduction… ou au contraire à une baisse significative de la libido)

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En gros, de la magie. En vrai, des ampoules qui fonctionnent comme des ampoules normales mais qui, par le mystère du 21ème siècle, sont connectées à différentes appli de notre tablette ou smartphone. De là, on choisit l’ambiance de la pièce, soit avec des ambiances pré-programmées, soit comme on le souhaite, soit en rythme avec la musique, soit, MEME, si on a la télé Philips Ambilight, l’ambiance lumineuse se crée automatiquement selon le programme qu’on regarde. J’imagine bien le 8ème épisode de la saison 4 de Game of Thrones dans ces conditions moi…. Ca doit être génial.
Enfin non, je crois bien que je trouve Hue de Philips génial, ce n’est même pas une supposition.
D’autant que les ampoules étant des LED, la consommation est nettement réduite.

Et puis… En étant connectée jusqu’au bout de l’ampoule, je fais vachement moins vieille non ?

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La lumière connectée Philips avec option attrape-greffons inclue.

Bref, je vais pas tarder à m’installer ça à la maison et j’écouterai Queen en couleur dorénavant. Et comme chez Philips, ils sont ultra cool, j’ai un kit de départ à vous offrir, contenant 3 ampoules Hue et le pont qui permet de connecter tout ça en Wifi.
Pour tenter votre chance, dites moi en commentaire où vous allez installer vos ampoules si vous les gagnez.
Vous avez jusqu’au 26 juin inclus pour jouer.
Le kit de départ ne pourra être envoyé qu’en France métropolitaine.

Bonne chance à tous !

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EDIT:
Le grand gagnant qui va pouvoir revoir sa vie en couleur est…
Mioutwo !
Bravo et merci à vous tous ainsi qu’à Philips pour cette chouette invention (et découverte donc)
Pour ne pas vous laisser en plan, voici un code promo qui vous fera bénéficier de -20% de réduction sur toute la gamme Hue du shop Philips:
NSHUE20

Mes 5 bonnes raisons d’avoir un salon laissé en plan.

J’ai aménagé maintenant depuis 3 mois quasiment.

Et pourtant, il y a des jours où quand je regarde de plus près, on dirait que je viens d’avoir les clés de l’appartement et que j’ai jeté aléatoirement des choses dedans, croyant certainement que la déco et le rangement allaient se faire seuls.

 

Sachez que ce n’est pas le cas. D’ailleurs, chaque jour, mon salon me le rappelle vaillamment.

 

Mais j’ai de bonnes raisons.

 

1/ C’est la seule pièce (avec les toilettes, amis comme j’ai tapissé les toilettes de photos et de tableaux Veleda, ça compte pas) que je n’ai pas repeint. Parce que j’avais fini le pot de peinture. Et peut être aussi parce que j’avais la flemme. (j’ai dit PEUT ETRE)

 

2/ Parce qu’un coup il fait froid, un coup il fait chaud, du coup, il y a 5 plaids et quelques paires de chaussettes qui trainent sur le canapé histoire de pallier à l’éventualité d’une soudaine baisse des températures.

 

3/ Parce que c’est là qu’on vit. Et à quoi ça sert de ranger ce magazine vu que je vais le re-feuilleter demain ?

 

4/ Parce que c’est là qu’on mange. Et à quoi ça sert de passer l’aspirateur si c’est pour remettre des miettes au même endroit dans 5h ?

 

5/ Parce qu’il ressemble à un salon suédois qui s’appellerait Virdjnik et qui est exactement le même que celui de la page 28 du catalogue du même nom. Avec des murs moches couleur coquille d’œuf en prime. De quoi saupoudrer mon manque de motivation, de temps et de budget avec une banalité ordinaire et conformiste qui me désespère chaque jour un peu plus (mais peut être aussi parce que j’ai la flemme) (j’ai dit PEUT ETRE)

 

10362316_657280664325393_101331519_nLe rien à l’état pur

 

Et puis j’ai eu ce mail. Le genre de mail qui m’a relancé dans une dynamique de décoration intensive. Un mail me faisant découvrir le site made.com pour un partenariat, avec tout un tas de jolis meubles design et originaux tout à fait adaptés à ce que je souhaiterais faire de mon intérieur sans pour autant crever mon budget.

 

Oui, du design sans devoir braquer une banque, tout à fait. Made.com l’explique en proposant du mobilier design sans avoir de stock, ni de boutique, ni aucun intermédiaire entre les designers, le fabricant et le client.
Ils passent ensuite les commandent de manière groupée afin de réduire le coût encore une fois. Et voilà comment les articles nous sont proposés à des prix franchement honnêtes.

J’ai fait un shopping raisonnable parce que j’avais VRAIMENT besoin de ces meubles là :

 

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Des chaises « Kitsh » à 59 euros la paire.

 

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Une table basse Henley (159€)

 

 

 

Mais j’aurai aussi bien pu m’emballer en choisissant de la déco originale pour faire de mon salon… MON salon (et celui des enfants en passant, puisqu’ils ont les mêmes gouts que moi (j’ai décidé que c’était le cas tout du moins):

 

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Des toiles imprimées « Kick Ass » (on se refait pas)

 

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des coussins déco de hipsters tellement chouettes que j’aurai pris les 4 modèles

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des lampes à poser au sol façon Broadway

 

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Ou même CE fauteuil club dont je rêve depuis une dizaine d’années
(à utiliser exclusivement avec un énorme plaid, un bon bouquin, un thé bouillant et des chaussettes en poils de Yack tressés)

 

Le site est tombé directement dans mon onglet « favoris déco », et jattends impatiemment qu’ils se décident à proposer du mobilier et de la déco pour les enfants pour baver encore un peu plus.

 

Plus d’infos ? C’est par ici :
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Mode enfant façon Dubaï Style avec Okaidi (cadeau)

Je ne sais pas juger si c’est vraiment carrément la classe ou si c’est mal habituer mes enfants que d’aller rendre visite à ma famille à Dubaï chaque année depuis maintenant 3 ans.

Un peu des deux certainement.

Pouvoir prendre du soleil, de la plage et du bon temps quelques mois avant les grandes vacances, alors que le temps depuis l’été précédent commence à paraitre bien long, c’est plutôt un concept interessant.
Le faire dans un pays où tout est plus grand, plus beau, plus brillant, plus chaud, plus TOUT, niveau principes et éducation, en revanche, c’est un peu plus compliqué à gérer.

HEUREUSEMENT, je fais un travail qui ne me permet que très rarement de couper les ponts avec la réalité. Et je me permets de rappeler à N°1 et Clapiotte régulièrement, sur place, que non, là, maman ne va pas à la piscine, rapport qu’elle a 197 mails à traiter (je mens, j’en ai 253, et je ne les ai pas encore tous traité).
Pour couronner le tout, je les fais bosser un peu aussi. Enfin… disons que je fais passer un shooting photo mode pour du boulot. En plein milieu des 58 allers-retours dans le grand toboggan-qu’est-trop-cool-maman-encore-encore-youhouhouuuu.

Cette année n’a pas failli à la coutume, et je suis partie la valise remplie de belles petites tenues d’été de chez Okaidi. Parce que Okaidi, c’est la vie (je pense qu’ils m’engageront pour leurs slogans après cette démonstration de mon talent)

Le jour de la séance photo a été compliqué à trouver rapport qu’il a fait tellement chaud (oh oui détestez moi) que faire enfiler autre chose qu’un maillot aux enfants était fort compliqué.

Mais on l’a fait.

Ça s’est passé au Habtoor Grand resort & Spa Hotel, pas bien loin de La Marina si jamais vous voulez situer la chose correctement.

Et on s’est bien marré (c’est d’ailleurs là aussi que la photo N°9 de mon challenge a été faite également)

robe okaidi

robe okaidi 1
sandale ete okaidi

bermuda okaidi 1
bermuda okaidi

ensemble corail okaidi
jans okaidi

ete garcon okaidi

ensemble ete fille okaidi

essais okaidi

 Alors déjà, un grand grand merci à la team Okaidi d’avoir une nouvelle fois voyagé avec nous, nos photos de vacances n’en sont que plus belles (quoi que, comme vous pouvez le constater, l’habit n’a aucun impact sur le retour en force des gènes cranemouesque, la preuve en est les 3 dernières photos ci dessus).

Et ensuite, je vous invite à gagner une de ces tenues. Et ouais. Ça se passe comme ça la rentrée chez nous.

Pour cela, laissez moi un commentaire ci dessous avec votre pièce préfée de l’été trouvée sur le site okaidi.fr.

Vous pouvez aussi, dans la foulée venir suivre Okaidi sur leur compte Facebook et Twitter ainsi que moi-même, parce qu’on se marre bien là bas aussi (les liens vers mes comptes sont là en haut à droite, dans la colonne, je suis partout TAVU ?) et évidemment, partager ce joli concours.

Vous avez jusqu’au 21 mai inclus pour tenter votre chance, le gagnant sera tiré au sort et contacté par mail directement.

Maintenant, je vais (enfin) finir mes lessives.

Adieu.

RESULTATS: Bravo à Sandrine qui gagne un ensemble ! Je t’envoie un mail immédiatement. Merci à tous !