Archives de catégorie : Sponso et kdo

Quand je t’offre du vin pour la Fête des pères avec Pinot Bleu (Concours)

Viens pas me jeter des pierres, je devais écrire cet article pour la fête des mères et au final, hum… j’ai pris mon temps, du coup, voilà, maintenant, c’est pour la fête des pères, et de toute façon, on s’en fiche, on va parler vin, ET C’EST CA QUI EST IMPORTANT DANS LA VIE AUJOURD’HUI.

Parfois, donc, ma vie est cool, et je reçois du vin à tester. Je suis TOUJOURS d’accord pour tester du vin, sache-le.

Récemment, donc (pile poil pour la fête des mères pour tout te dire), j’ai testé le concept de la box PinotBleu.

Chez PinotBleu, t’as le choix : soit tu t’abonnes sous forme de box (parce que t’as pas envie de choisir et que tu aimes bien recevoir du vin comme un cadeau tous les mois) avec deux vins bio sélectionnés pour toi et ton palais (22€/mois sans engagement), soit tu te fais ton propre petit coffret de 6 vins (toujours Bio, c’est le concept de la Maison, tu auras compris) que tu choisis selon tes goûts et ton porte monnaie.
Le truc super cool, c’est aussi que ça arrive en 24h chez toi…
J’en connais quelques uns qui seront bien tentés parce qu’ils sont TOUJOURS à la bourre sur les cadeau (quoi ? Qui me parle ? Qui êtes vous ?)

Au final j’ai goûté quoi, moi ?

Bah moi.. je vais te dire… Pas grand chose…. Rapport que j’avais emmené les bouteilles « genre » je m’y connais trop bien en vin ce week end là (« oui, oui, c’est moi qui les ai choisis, et j’ai pris du bio, faut être responsable parfois« . Cranemou GROSSE MENTEUSE), et que j’ai à peine eu le temps d’y goûter y’en avait déjà plus. Moralité : c’est bioN, à priori, tu peux y aller.

 

Pour la première bonne nouvelle, sache que jusqu’à la fête des pères (ce dimanche 17 juin donc), tu as -10% sur les abonnements box avec le code CRANEMOU (je sponsorise ton foie, bisous)

Pour la seconde bonne nouvelle, j’ai une box à te faire gagner, et je sais que tu résisteras pas, ON PARLE DE BON VIN JE TE DIS !

Pour tenter ta chance, tu me laisses un commentaire ci-dessous (avec un mail valide que je puisse te contacter si tu es l’heureux élu) en me donnant la bouteille de la sélection PinotBleu qui te ferait le plus plaisir. Le concours a lieu en parallèle sur l’Instagram de Cranemou (je parle de moi à la 3ème personne SI je veux) et tu peux participer aux deux (du coup, tu auras deux chances de gagner, oui, c’est ça, tu sais toujours compter, ce blog conserve ton cerveau).
Je tirerai au sort le gagnant lundi 18 juin dans la journée (ne me presse pas, je te jure que je le ferai, sois patient ce jour-là )

Call me Papa (Noël) (Meilleure vanne de la semaine)(pardon l’humour)…
Bonne chance et à la tienne !

 

Quand Yabon t’aide à fignoler tes desserts maison… (concours)

Il y a peu je te parlais du retour en force des gâteaux de riz et de semoule Yabon et leur petit goût de mon enfance…
Et bien voilà qu’ils viennent de m’envoyer leurs nouvelles crèmes dessert.

On ne parle plus ici des « fameux » gâteaux de riz bien connus, mais de desserts lactés.
En tout, j’ai reçu 4 crèmes au format souple : vanille, chocolat, praliné et caramel.

Première réaction : WHAAAAAT ?

Oui, tu sais, je ne suis pas au fait de tout ce qu’il se fait dans les rayons « épicerie sucrée » des supermarchés, et pour moi, Yabon, c’était les gâteaux de riz, pas autre chose.
Stupéfaction, donc, de voir ces emballages souples.

Les enfants ont cru directement que c’était des gourdes de compote géantes, j’ai dû les arrêter net, rapport que bon, on parle de « gourdes » contenant quand même 2-3 parts de crème dessert, hein !

Alors, je vais pas passer par quatre chemins et faire genre je suis une blogueuse culinaire, tu me connais assez bien pour savoir que c’est loin (genre à gauche de Hawaï) d’être le cas. MAIS, j’ai quand même mon avis à donner sur ces crèmes dessert.

Ce qu’on a aimé (oui, parce que forcément, tu vois, moi, je sculpte mon bikini body, donc on parle surtout des greffons (nan je blague pour le bikini body hein)) :

-Le format pratique pour doser (rapport qu’on est facilement capable de se servir de sacrés doses dans cette famille)
– Les ingrédients naturels
– Le goût (parce qu’on va pas se mentir, c’est quand même le plus important)

Ce qu’on a moins aimé :

– Celui au caramel. Bon, je leur en veux pas, j’ai encore jamais mangé une crème dessert au caramel que j’aimais… Du coup, je pense qu’il faut que je me fasse à l’idée, je pense que je n’aime simplement pas la crème caramel tout court de façon générale.

 

Au final, on a largement préféré celui au chocolat et celui à la vanille (la simplicité de nos goûts, note bien).

Perso, j’ai d’abord goûté ça comme des crèmes dessert basiques à manger à la petite cuillère mais il y avait des recettes dans le colis, du coup, ça m’a donné une idée pour le goûter du dimanche aprèm (tu sais, celui qui doit être bien régressif pour compenser la fin de week end) : « les enfants, on fait madeleine-crème chocolat du coup ! »

Bon, toi, au fond, je te vois rire, parce que déjà que je suis pas la reine de la blanquette, autant te dire que j’avais jamais tenté les madeleines.
Évidemment, j’ai raté les madeleines (c’est tout de la faute de mon four d’abord), du coup je suis allée en acheter l’air de rien.


(oui j’ai envie de rire de ce #IseeFace (oui je veux rester polie)(ça vaaaaaaa, on a tous vu pareil non ?))

On a trempé ça dans les crèmes et c’était pas mal du tout… Enfin… les enfants ont bien aimé, moi, je mélange jamais les trucs, du coup j’ai mangé les trucs les uns après les autres et pas ensemble.
Il y avait à la base une recette de milkshake où on remplace la glace par la crème à la vanille qui me tentait grave, mais vois-tu… je n’ai PAS de blender ! Et… bon… Le milkshake sans blender, ça fait pas la petite mousse jolie et appétissante dessus, du coup, j’ai renoncé (et faut que j’investisse un jour, ne serait-ce que pour faire des soupes)(oui, je blague encore, tu me connais bien maintenant)

Voilà, je vais de ce pas me décerner une petite médaille de la foodista la plus médiocre de l’univers, et je vais me remettre une couche de crème chocolat pour terminer ma journée, tiens !

Et PAF, tu peux aussi gagner tes dessert Yabon toi aussi !
Du 11 juin 12h au 19juin 12h, retrouve la photo Yabon dans mon flux Instagram @Cranemou, commente et taggue une personne de ton choix. Je tirerai au sort le(s) gagnant(s) apres le 19.
Bonne chance !

Des madeleines de Proust en dessert avec Yabon.

Je crois qu’on peut dire que j’ai grandi, parce qu’avant, je ne me nourrissais presque exclusivement de sucre (du sucre en bonbons, du sucre en gâteaux, du sucre en chocolat, et même du sucre en sucre) et qu’aujourd’hui, même si je ne crache pas sur une tablette de chocolat (je vais pas faire genre je m’arrête à un carreau, on en est plus à faire semblant entre nous), je suis plutôt du clan saucisson-frometon.

Il n’empêche que de temps en temps, j’aime bien finir sur un dessert (sucré)(oui je précise parce que mes proches te confirmeront que je peux me faire un dessert saint Marcellin-comté très naturellement) Très personnellement, si c’est sucré, j’aime plutôt finir sur du chocolat, quitte à choisir. Mais « à la maison », ça dépend. (ça dépasse) (j’étais obligée)(pardon), selon les personnes.

J’ai récemment redécouvert les desserts Yabon , dont j’ai reçu un stock conséquent, parce qu’ils reviennent en rayon. Mais siiii ! Avec de nouvelles recettes et surtout (surtout, parce qu’on va pas se mentir, en ce moment, on fait TOUS gaffe à ça, avec des ingrédients d’origine naturelle, pas d’arôme artificiel, pas de colorant ni conservateur… Ouais !)

Vous savez, les gâteaux de riz ou de semoule au caramel (ou au chocolaaaaat) ? Oui, ceux-là mêmes qui, en une bouchée, te rappellent des fins de repas des dimanches soirs de ton enfance et enrayaient d’une seule cuillerée ton petit blues de fin de semaine. Ces énormes gâteaux « à partager » dont tu ne voulais pas tellement laisser de part à ton frère, parce que le goût de reviens-y était bien plus fort que ta générosité fraternelle (hahahah c’te blague).

À dire vrai, jusqu’à ce que je reçoive ce colis, j’avais un peu oublié l’existence des desserts Yabon.

 

Maintenant que j’en ai tout un stock à la maison, je comprends surtout pourquoi il y en avait chez nous. Sans parler du fait que ce soit bon (et sucré)(et réconfortant), c’est ultra pratique d’avoir ce genre de choses à disposition à la maison. Ça se conserve longtemps, tu en sors quand tu n’as pas le temps ou quand tu as besoin d’un petit plaisir proustien ou pour faire plaisir à tes greffons, genre le dimanche soir après la soupe alphabet dans le bouillon… Le repas régressif parfait !
(dis-moi que je ne suis pas la seule à faire des repas du dimanche soir qui ressemblent à des repas d’enfant de 4 ans…)…

Et chez toi, on fait quoi niveau sécurité internet à la maison ?


©NadineDoerle

Un jour, un copain m’a dit que l’homme et sa sécurité devaient constituer la première préoccupation de toute aventure technologique. Tu dois le connaître, il s’appelait Albert, je l’aime bien, même s’il m’a valu un paquet de cartons en physique… Pis il a dit un tas de trucs pertinents surtout et accessoirement, c’est « peut-être » l’un des scientifiques les plus reconnus de l’Histoire. Bref, cette phrase, je me la répète souvent, parce que même si la technologie et moi, on est moyen pote (limite j’ai peur qu’un jour ma moitié soit dotée d’un pacemaker, déjà que j’arrête les montres…), je travaille en permanence sur ordi ou mobile et mes enfants sont de cette génération qui sait mieux utiliser les réseaux sociaux que moi (alors que c’est un peu mon taf, en vrai… mais ne leur dites rien).

N’empêche, je ne suis pas folle et surtout je suis dotée d’une incroyable capacité de trouillardise concernant le sujet.
Évidemment que j’ai peur que mes enfants se retrouvent face à un contenu inadapté.
Évidemment que j’ai aussi peur des réseaux sociaux. Mais je suis aussi fermement convaincue que ce n’est pas en les « fliquant » que je vais réussir à leur inculquer quoi que ce soit. J’ai pris, jusqu’ici, le parti de ne plus utiliser de contrôle parental d’aucune sorte. On parle beaucoup. J’explique. Je fixe des limites. J’ai aussi accès à leur matériel et ils savent que je peux stalker quand bon me chante.

Une sorte de confiance mutuelle s’est instaurée… Il n’empêche que N°1 grandit et que je ne vais pas (ne veux pas, d’ailleurs, surtout) devenir ce parent relou.
Sa liberté est toute aussi importante que sa sécurité et même si j’ai une grande confiance en lui, il y a deux-trois trucs qui vont m’agacer rapidement, comme ce petit détail de moins en moins arriver à « décrocher » de son téléphone, même quand ce n’est VRAIMENT pas l’heure.

HEUREUSEMENT, il existe des solutions. Des solutions moins intrusives que d’autres, déjà, et ÇA c’est important pour le respect de tous. Des solutions qui établissent un périmètre de sécurité sans qu’on ait l’impression que les libertés d’actions soient réduites complètement ou que l’intimité soit violée non plus. C’est ce que propose F-Secure TOTAL (protection internet et VPN). Ce logiciel s’installe déjà très facilement sur les appareils (qu’est-ce qu’un appareil ? Bonne question : Ordinateur, smartphone, tablettes, bref tout ce qui a besoin d’être antivirusé et surveillé) sous Windows, iOS ou Android (merci pour les gens pas doués).
Il permet, entre autre, de pouvoir ajouter un appareil, peu importe où il se trouve (merci pour les parents séparés) ou de déterminer des filtres en fonction des profils des enfants, selon leur âge (merci pour les familles).
On peut également s’en servir pour limiter le temps sur les réseaux sociaux (ce fléau)(dit-elle)(rhoo ça vaaa, j’ai le droit d’être de mauvaise foi, je suis l’ADULTE ICI !).

En fait, l’impression que m’a donné ce logiciel F_Secure, c’est de baliser le terrain tout en laissant la main à nos enfants. En gros, c’est ce que je faisais moi avant de connaître cette solution, mais avec la certitude qu’il n’y aura pas de débordement. Ça n’enlève en rien la confiance que j’ai mis à l’intérieur de mes enfants, Maurice, mais ça me donne une tranquillité d’esprit supplémentaire. (Une référence pour trentenaires plus que tassés se cache dans cette phrase)

Ce logiciel en question coûte 79,99€ l’année pour 3 appareils, et, évidemment, un test est possible gratuitement, sur une durée de 1 mois.
Dedans, il y a tout ce qu’il faut pour protéger ta famille (blocage de contenus inappropriés, timing de la durée de surf, protection réseau et antivirus, protection de la navigation, géolocalisation du téléphone etc… Quand je dis « complet », c’est complet donc !

Et puis, comme c’est Noël, et même si on a connu cadeau plus glamour, j’ai un abonnement d’un an à te faire gagner pour ta petite famille de Geek. Si ça t’intéresse, laisse moi simplement un commentaire, ce que tu veux et même pourquoi pas, raconte moi comment TOI, tu t’es retrouvé dans une situation un peu délicate à cause des internets (genre, le pop up classé XxX qui s’est ouvert en arrière plan et que tu découvres alors que t’allais montrer tes photos de vacances à ta mamie…)(coucou mamie !). Tirage au sort de mes blanches mains après le 23 décembre. Je contacterai le gagnant par mail dans la foulée et l’annoncerait en édit de cet article.

EDIT : Bravo Anne-Laure qui remporte une licence d’un an !
Merci à tous !

Et en attendant, continuons à être responsables, mais libres !

Bref, je fais toujours des travaux.

En vrai, je me demande si un jour on sort de la spirale infernale des travaux de rénovation.
Au tout départ, j’avais bien visualisé le potentiel de l’appartement et le gros des travaux, bien qu’il m’ait mis sur les rotules, a été accompli avec succès. Restaient quelques finitions, une dernière couche de peinture dans la chambre et la salle de bain et c’était officiellement terminé pour ce qui était du « principal ».

Hier, contre toute attente, j’ai appelé mon cousin, ressorti les pots de peintures et le scotch de masquage et en une matinée, on a ENFIN rendu les murs de ma chambre blancs, tout comme la salle de bain (qui gardait des vestiges de peintures vert-chewing-gum à te faire le teint de Shrek depuis presque un an.).
Ça m’a rappelé à quel point les travaux ne me manquaient pas, mais aujourd’hui je peux le dire : encore quelques joints, un escalier à peindre et deux-trois barres de seuil à fixer et on en aura FINI officiellement !
Bon, y’a aussi la porte d’entrée à raboter un de ces quatre (si jamais tu as un rabot, à Lyon, je te serais hyper reconnaissante pour un prêt de quelques jours…)(je dis quelques jours parce que je sais bien que je vais pas le faire le jour même, ne rêve pas, j’ai la motivation d’un lamantin en ce qui concerne cette fichue porte).

BREF, c’est là que commencent les trucs plus sympas (j’ai déjà dit que c’était jamais fini ou pas ?) : Les salles de bain et la cuisine. Je veux qu’un jour cet appart puisse me ressembler complètement oui… PARCE QUE C’EST NOTRE PROJEEEEEET (pardon)(y’a certains trucs que je vis pas très bien ces derniers jours) !

Parce que LA, comme ce n’est pas moi qui vais le faire, c’est déjà vachement plus drôle.

 

Moi, je vais enfin être la diva qui dit ce qu’elle veut, ce qu’elle veut pas, ce qui serait bien. Je vais avoir 680 onglets ouverts sur mon ordi qui rame pour bien être sûre de mes choix.
Par exemple, dans ma salle de bain actuelle (je ne parle même pas de l’autre, où il serait nécessaire de casser, bruler le tout au napalm et revoir le principe même de la pièce), il y a un meuble avec une vasque des années 80 même pas adapté en dimension, une cabine de douche avec une marche (UNE MARCHE !) dont les carreaux intérieurs sont décorés avec des petits ET des gros poissons exotiques bleus et jaunes, un sol en carrelage façon damier blanc et bleu lasuré du plus vieil effet kitsch et un espace perdu en prime. B.O.N.H.E.U.R.


C’est de toute beautayyyy hein ?

En attendant de pouvoir m’y mettre sérieusement, je mets en favori les sites qui m’inspirent le plus, notamment celui de Lapeyre , et ses rubriques inspirantes sur leur « mag » et je viens de rajouter leur nouveau catalogue à mes livres de chevet. A la base, je dois avouer que je croyais qu’il ne faisaient que dans la menuiserie de fenêtre (je suis vieille et j’avais ce souvenir là de quand j’étais petite, à cause de mon pépé menuisier), mais à force de surfer de site en site, ils revenaient sans arrêt et faut avouer qu’ils ont plutôt bien évolué pour s’occuper de nos maisons en entier (tout en produisant la majeure partie de leurs produits en France)(je précise parce que je commence à avoir un regain de volonté de consommation responsable et que c’est pas rien du coup)

Du coup je les aime d’amour tout en les détestant un peu à cause leurs dossiers « inspiration et tendance » qui m’inspirent un peu trop. Je suis plus à un paradoxe près dans ma vie de toute façon. D’ailleurs, en discutant avec une amie qui a eu à écrire pas mal de dossier du type « où acheter sa cuisine ? » ou « 15 astuces pour sa salle de bain » pour un magazine que je tairai, elle m’a certifié qu’elle les citait tout le temps car ils revenaient sans cesse quand elle avait besoin de témoignages. En même temps, Lapeyre (y’en a pas deux)(fallait que ça sorte) étant le précurseur de la cuisine modulaire, ça ne m’étonne pas trop.

Me reste à prendre RDV pour commencer à mettre en forme mes désirs et la réalité et me préparer peut-être bientôt à vivre dans THE appart, celui que j’avais imaginé la première fois que je l’ai visité.

En attendant, juste, si quelqu’un pouvait prendre en charge mon acolyte ça m’arrangerait, rapport que même si il a son avis à donner, il a passé 1h20 hier soir pour trouver une vis et une cheville adaptées à notre mur et au tableau à accrocher et VRAIMENT, j’ai plus la patience de lui faire des tutos personnalisés.
Il perd un peu ses poils, mais il peut t’expliquer la politique comme personne (sans te juger)(ça peut être utile en ce moment), il fait des blagues (pas toujours drôles en soi, mais tu peux te moquer de lui il est pas susceptible) et si tu lui donnes un ballon, il peut jouer pendant 3h sans se plaindre. Par contre, il analyse les films que tu regardes avec lui à voix haute, donc faut trouver une autre occupation si tu supportes pas ça.
Je fais un Doodle et vous vous le dispatchez ? ? On fait comme ça ?

Comment sécuriser la navigation Internet des enfants grâce à la journée mondiale de l’internet plus sûr.

Parfois, je me dis que quand même, nos parents étaient bien tranquillou quand il s’agissait de notre éducation et notre sécurité.

En 1987, j’avais 7 ans et j’allais à l’école seule avec mon cartable. En CE1. Je rentrais seule. J’allais acheter mes pochettes de Panini seule, tout comme les bonbons à la boulangerie.

Il n’y avait pas de moyen pour ma mère de savoir si j’étais bien rentrée ou non à 16h30. Elle ne pouvait que le constater à son retour à 18h et quelques.

Je ne dis pas qu’elle respirait la sérénité, mais bon, à part « ce » doute de savoir si j’étais de retour ou non chaque jour, je ne suis pas certaine qu’il y ait beaucoup de choses qui la turlupinaient à mon propos.

Aujourd’hui,c’est à mon tour d’être maman et de vouloir ce qu’il y a de mieux pour protéger mes enfants.

Du coup, ils n’ont pas le droit d’aller seuls à l’école avant leurs 10 ans (et encore, au début, je suis 8 mètres derrière). Ils n’auront pas le droit, par ailleurs, de sortir le soir avant l’âge de 28 ans.

A peu près.

En revanche, et ça, ma mère a eu le bonheur de ne pas connaître, il y a toutes les questions à propos de leur sécurité face à internet.

Pour le moment, je ne rencontre pas de souci particulier avec Clapiotte qui ne se connecte jamais.

Pour N°1, l’histoire est bien évidemment différente.

Au collège, ils ont accès à internet au CDI, certains copains utilisent Snapchat comme les sms et il est de toute façon difficile de lui interdire toute connexion à la maison sachant qu’internet fait non seulement partie de mon environnement professionnel et personnel, mais que c’est une source de renseignements inépuisables devenue quasi indispensable au quotidien.

Je pars du principe que rien ne vaut l’éducation pour que les enfants comprennent les dangers qu’ils peuvent rencontrer avec internet. Harcèlement, images choquantes, désinformation… Je ne vous fais pas de dessin, on connait tous.

On en parle souvent, à la maison, mais ce midi j’ai voulu lui poser la question ouvertement, alors qu’il déjeunait avec un copain.

« Vous êtes déjà tombés sur des choses que vous ne vouliez pas voir sur internet, vous ? »

Son copain m’a dit ne pas avoir le droit d’utiliser internet sans ses parents pour le moment, même s’ils commençaient à en discuter.

N°1, lui, m’a avoué que parfois, quand il tapait une recherche dans la barre Youtube (il cherche des vidéos de Juninho et de coups francs, à 99,99%), on lui proposait des « trucs bizarres » mais qu’il ne cliquait pas. Brave petit.

J’avoue que ça m’a un peu choqué sur le coup.

Je suis à fond dans la prévention et il SAIT qu’il ne doit pas cliquer de vidéo en vidéo, par exemple, au risque de se retrouver rapidement face à des choses inadaptées. Mais si la barre de recherche s’y met….

Finalement, je me dis que ma seule éducation couplée à la confiance que j’ai en lui ne suffit pas, et que la mise en place de certains outils tels un contrôle parental, un anti-virus et tout autre solution serait les bienvenus, même si j’aurais bien évidemment préféré en rester là, visiblement, ça ne suffit pas. Internet va toujours plus vite, et très sincèrement, je préfère qu’il apprenne la signification de certains mots tendancieux dans la cour de l’école plutôt que prononcés de la bouche de Tabbatha et Rocco. Je suis Old School, comme mère (notez que mes références aussi, par ailleurs).

Si je parle de ce sujet, c’est parce qu’il nous touche tous, à priori et que le 7 février dernier, c’était la journée mondiale de la sécurité internet : le « Safer Internet Day 2017 ».

Une journée dédiée à la prévention des risques liés à internet et à l’initiation des bonnes pratiques de ce dernier.

Des actions ont été menées partout en France par des institutions, des écoles, des industriels, des associations, des médias en cette journée ainsi que durant tout le mois de février.

Pour les 7-12 ans, des ateliers de sensibilisation ont été mis en place autour de nouveaux outils numériques. On a pu également leur montrer les épisodes de Vinz et Lou  abordant des thèmes tels que les données personnelles ou le cyberharcèlement.

Pour les 12 à 17 ans, une nouvelle version de l’appli DataDecode est sortie et a été utilisée par des médiateurs éducatifs lors d’ateliers créatifs. L’objectif était de faire passer les ados de consommateurs à créateurs de leur vie numérique.

Et pour les parents, il s’agissait de prendre conscience de la façon dont sont utilisées nos données et de revoir éventuellement nos pratiques numériques du quotidien pour tendre à une utilisation plus raisonnée et raisonnable.

J’espère entendre parler de ces démarches rapidement, notamment dans le collège de mon grand, parce que visiblement, même au CDI, certains élèves se permettent de regarder des vidéos légèrement inadaptées… donc bon….

En attendant d’en rediscuter à la maison, je vais tenter de ré adapter mon discours et de voir à mettre en place un système de sécurité, tel que peut le proposer ESET, leader dans le domaine des logiciels de sécurité numérique.

ESET s’investit dans cette journée, notamment avec des solutions comme EMDS (ESET Multi-Device Security), qui propose une protection complète pour tous les appareils connectés (mobile, tablette…) et inclut le contrôle parental.

Si vous le souhaitez, en suivant ce lien, vous pouvez également, dans le cadre de cette campagne de prévention, bénéficier de 2 mois gratuit pour tester leur logiciel.

Ça vaut le coup de tenter et de voir où on « pêche » quant à la sécurité de nos greffons.

N’hésitez pas à aller voir la vidéo de présentation pour plus d’informations :

Un sou est un sou (concours)

Ma grand-mère me disait ça parfois.
Je trouvais ça assez nul, rapport que oui, un sou est un sou autant que ceci n’est pas une pipe.
Elle voulait certainement juste m’expliquer que chaque centime compte, parce que perso, les pièces de 5 centimes (de franc), à l’époque, je crois bien en avoir jeter à la poubelle plutôt que de chercher un endroit où les mettre (oui, j’ai fait ça, j’avoue).

Elle était peut-être simplement radine, aussi, on sait pas, c’est pas le souvenir que j’en ai, surtout quand elle me re-servait pour la troisième fois de son gratin dauphinois alors que je savais qu’elle réservait le même sort à mon estomac avec sa tarte aux pommes.

Bref, j’étais trop petite pour saisir l’intérêt et le vrai sens de la phrase.

Aujourd’hui, j’ai un rapport à l’argent particulier.
Quand j’en ai c’est cool, quand j’en n’ai pas, je fais attention.
Globalement, je passe quand même plus de temps à faire attention, donc.

Je compare les prix, j’attends les promos et les soldes, j’achète d’occasion et je cours les vide-greniers et Emmaüs. Comme beaucoup, les fins de mois raclent le fond de porte monnaie.
Je ne me plains pas. J’ai ce qu’il faut, où il faut, mes enfants sont pourris-gâtés : ça va.

Mais je prends quand même les coups de mains-tendues que la vie peut offrir histoire que ce soit plus confortable.
A commencer par l’utilisation de tous les sites de comparatifs de prix.

Vous devez déjà connaître LesFurets.com qui est, à vrai dire, le seul comparateur d’assurances que je connaisse, pour ma part.
LesFurets.com permettent de comparer le triptyque prix/services/garanties et en moyenne, 92% des utilisateurs économisent grâce à eux. Une économie moyenne de 278€ annuelle pour les assurances auto.

Pas rien hein ? Bah oui : un sou est un sou.

Et puisqu’on est dans les chiffres, il y a 10 cartes cadeaux de 278 euros à gagner grâce à Hervé (oui, un des deux furets s’appelle Hervé) :

Via la page Facebook de Hervé et son compte Twitter .
Vous êtes invité à partager en vidéo ce que vous feriez avec les 278 € que vous pourriez économiser sur votre assurance auto avec LesFurets.com.
Dix vidéos seront récompensées par, chacune, un prix de 278 € en bons cadeaux, selon la sélection suivante :

* Les 3 vidéos avec le plus de « J’aime »

* Les 3 vidéos les plus originales (toi aussi prends toi pour David Lynch)

* Les 3 vidéos les plus drôles (toi aussi prends toi pour Dany Boon)

* La vidéo préférée du jury (toi aussi, prends toi pour Tonya Harding)(oui, si tu étais trop petit pour suivre les JO de 1994 tu ne comprendras pas cette référence, j’assume ma vieillesse)

L’opération a lieu jusqu’ au 13 février 2017.

Comme ce n’est pas qu’un concours de « j’aime » seulement, tout le monde peut donc avoir ses chances, alors si jamais ça vous dit de participer pour tenter votre chance, allez-y (de mon point de vue, y’a encore des trucs originaux et drôles qui peuvent être fait hein haha).
Moi, avec 278 euros, la raison voudrait que je paye la réparation de mon volet avec. Mais en vrai, je pense que j’achèterais le dernier Lego Creator de la PLace de l’assemblée pour finir la ville qu’on est en train de construire avec N°1. Après tout, on n’a pas dit qu’il fallait être raisonnable non ?

Et toi, t’en ferais quoi ?

 

 

 

Voyage, voyage…

Ouaiiiis je sais, tu as l’air dans la tête maintenant et tu m’en veux à mort MAIS sache que moi aussi du coup. L’arroseur arrosé tout ça tout ça, bien fait pour moi.

Je viens d’aller chercher les passeports à l’instant à la mairie suite au vol qu’on a subi juste avant les grandes vacances. (et après avoir fait 20 minutes de queue à la mairie, en en profitant du coup pour nous inscrire sur les listes électorales de notre nouveau chez nous, tant qu’à faire)(oui, je passe un message citoyen, il parait que je suis « blogueuse influente » alors j’en profite : VA VOTER, lecteur influençable nonmého !)

Ça m’a rappelé que cette année, je n’en ai pas vraiment eu besoin.
Pourtant, ce n’est pas faute d’aimer voyager. Ni d’être partie d’ailleurs, mais bon, moins loin que mon voyage en Nouvelle Zelande.
Ceci dit, le budget y était aussi pour beaucoup. Déjà, parce que la Nouvelle Zélande, ça te plombe pendant un moment, et aussi parce que je n’ai toujours pas gagné au Loto pour franchir d’autres frontières que celles qui touchent la France.

C’est déjà pas mal me diras-tu ET tu as bien raison. Mais comme depuis quelques mois me reprend l’envie de pousser un peu plus loin et d’aller à New York avec mon chéri (je ne suis qu’un  cliché ambulant), je me sens un peu frustrée.
Et pauvre. Aussi, certes.

taxi-cab-381233_960_720
©Unsplash

Pour compenser, j’achète des Lego avec N°1 (et des chaussures avec moi-même) et je joue à un tas de jeux concours pour espérer être tirée au sort pour partir gratos.

Bon. Je ne suis pas tirée au sort.
Mais je sais en revanche que souvent, la chance ne tombe pas très loin de moi. Non. Pas sur moi.
Moi, je suis la fille qui renonce à acheter un Banco avant de monter dans le train, préférant acheter des bonbecs pour le voyage, et qui voit de ses yeux sa copine gratter le banco en question et gagner 5000 balles.
La chance me poursuit comme mon ombre.
MON OMBRE, donc. Seulement.

Mais du coup, je me dis que si ce n’est pas moi et que ça doit tomber juste à côté, autant que ça ne tombe pas sur mes voisins désagréables, mais plutôt sur l’un d’entre vous.

ticket-1539705_960_720
©Jessica45

Donc, voilà, en ce moment il y a le comparateur de prix Bourse des Vols et Air Tahiti Nui qui organisent un concours  jusqu’au 11 décembre.
Il suffit de répondre à un questionnaire sur le cinéma (si tu trouves pas je t’aide, je crois que j’ai eu tout juste) et on peut gagner un voyage pour 2 personnes à Los Angeles.
Évidemment, si tu gagnes, tu peux me choisir en 2ème personne. De toute façon, j’ai dit que je l’emmènerai à New York avec moi, pas à Los Angeles….

route-66-1635594_960_720
©Falkenpost

Viens on part en….
VOYAGE VOYAAAAGE
PLUS LOIIIIN, QUE LA NUIT ET LE JOUUUUUR…..
(c’était au cas où elle était sortie de ta tête)(bisous)

 

image

Et puis un jour, on change.

Bon, je crois qu’il est temps de produire l’article révélation, de faire mon coming out. Aujourd’hui je vous livre mon nouveau mode de vie… BIO. Et mon petit secret qui va avec… Biocoop.

Il faut reconnaître que l’expression « y’a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » nous sauve pas mal la mise. Et si Biocoop ne semble n’avoir jamais changé son éthique ni ses valeurs, moi si.

Je m’explique.

Je n’ai JAMAIS (mais vraiment jamais) voulu faire comme les autres, dès qu’il y

avait un engouement massif pour quelque chose. Non, moi j’étais au-dessus de ça.

Pareil pour les films. Les gros succès du box office, je mets un point d’honneur à ne pas aller les voir (mais je les regarde un jour quand même, pour être sûre).

Bon, j’ai quand même acheté des chemises à carreaux récemment et même si je ne me laisse pas (encore) pousser la barbe, j’ai un petit côté Bobo-hipster ou Bobhista (j’aime bien Bobhista, ça sonne bien).

J’en suis pas à me nourrir de graines et à taguer les murs de mon quartier avec de la peinture au chanvre « Go Vegan », mais j’ai changé. Seulement pour la bonne cause ! Oui, j’ai changé. J’ai changé parce que j’en ai marre d’être une de ces hypocrites qui critique et rumine à propos des modes de consommation actuels mais qui ne fait rien, pour changer quoi que ce soit dans son propre mode de vie.

Et puis…

Et puis, mon chéri est rentré avec ses analyses de l’allergologue. Il était allergique à tout.

Au début j’ai bien ri, parce que j’ai beau être amoureuse, j’aime encore plus les pâtes, le pain et les fromages qui coulent.

Niveau solidarité, il faut pas trop compter sur moi quand il s’agit de M.A.N.G.E.R.

N’empêche qu’il fallait quand même qu’il mange, lui. Réduire le gluten, les protéines de lait de vache, manger plus sainement etc. etc.

Une prise de conscience née d’une petite obligation: je voudrais quand même que mon chéri vive plus longtemps qu’un yaourt.

De plus en plus régulièrement, je fréquente les rayons bio de Biocoop, pour faire le plein d’aliments spécifiques, sains et responsables. Qualité des ingrédients, refus des OGM, solidarité avec les producteurs, relations avec les fournisseurs, limiter les emballages sont autant d’éléments sérieusement importants pour nos progénitures et pour mon chéri. Oui, c’est important ! Et puis j’ai vécu longtemps en Allemagne et ne serait-ce que pour la partie emballage, déjà, je trouve agréable de retrouver un peu de sérieux concernant l’excès de packaging…

20161026_173257-1
Bon, ça, c’est vraiment trop domaaaage, mais le chéri il peut pas en manger. Rapport aux noisettes… ALORS BON… Je me dévoue hein. A chaque fois. Je suis un peu la Soeur Thérésa de l’abnégation de la pâte à tartiner en quelque sorte…

Mais aussi parce qu’il y a cette pâte à tartiner incroyable, chocolat au lait-noisette et que les enfants trouvent que c’est trop bien les compotes bio. Et surtout, il n’y a pas que les biscuits qui ne coûtent pas plus chers. Le pain, les pâtes, les fromages qui coulent et tout un tas d’autres produits non plus ne coûtent pas vraiment plus ! En prime, ils sont bons pour notre planète ! Tout à coup, je me sens vachement plus adulte et responsable.

spaghettis bio sans gluetn
Des pâtes au quinoa. Genre J’AIME le quinoa en fait. La révélation !

Au début, j’avais besoin d’aide et j’avais un peu peur que les vendeurs de Biocoop se moquent parce que j’y connaissais pas grand chose au mode de vie bio moi. Aujourd’hui, ils m’ont expliqués plein de choses si bien que je peux me débrouiller (presque) seule comme une grande. Le mode de gouvernance de Biocoop place ses salariés, magasins, producteurs et consommateurs au coeur de leur organisation… est-ce que c’est pour cela que j’y suis de plus en plus à l’aise ? Peut-être bien…

Quoi qu’il en soit, plus le temps passe, plus je me dis que c’est bien pour nous, pour eux, pour tout en fait. C’est d’ailleurs ainsi que la dernière campagne Biocoop résonne. Et il faut reconnaître qu’elle sonne vraie.

En fait, si j’avais un chat, et je serais définitivement une blogueuse lifestyle-bobhista.

Mais je suis allergique au chat… Faut que je demande au personnel de Biocoop s’ils
n’ont pas, un chat bio sans poil !

 

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

Look tendance malgré la croissance

C’est assez marrant que je parle look parce que depuis quelques temps, à part m’acheter des tshirts marrants quand je tombe dessus, je ne dépense pas grand chose. C’est un peu parce que les quelques kilos en trop m’empêchent d’investir dans quoi que ce soit, mais c’est surtout parce que niveau budget, j’ai presque tout qui part dans les habits des enfants.

Déjà, parce que j’aime bien les habiller, c’est un fait. Mais surtout parce que je ne sais pas ce qu’ils mangent en cachette sous leur couette la nuit, mais si on me disait que c’était de l’engrais, j’y croirais peut être.

Sans blague, Clapiotte a pris au moins 10cm de jambe pendant les vacances. Une plaie quand on sait que j’avais prévu de lui mettre les 2 jeans achetés en solde en juillet pour la rentrée et qu’aujourd’hui, on dirait juste qu’elle part à la pêche aux moules.

Pareil pour N°1 qui pousse, lui, au niveau… des pieds !

Perso, pas d’inquiétude, ça vient clairement pas de ce que je prépare à manger, je fais toujours moins d’un mètre soixante, donc ça vient pas de moi ni des gènes, ni de la soupe.

N’empêche, à la vitesse où ils poussent et parce qu’en plus ils font ça de façon sournoise, sans prévenir, d’un seul coup et pas qu’un peu, j’ai arrêté d’acheter des fringues trop chères, vous pensez bien.

Outre les soldes classiques, du coup, je pratique beaucoup les magasins du genre de Kiabi. Enfin… Quand je dis « pratiquer », c’est plutôt sur le net hein ! Kiabi, c’est pile mon bon plan quand je veux me faire des gros plaisirs pour les greffons sans y laisser un rein. Ils sont devenus très très bons depuis quelques années et je découvre toujours la nouvelle collection avec plaisir. Et cette année n’échappe pas à la règle avec un revival des 70’s qui n’est pas sans déplaire à mon buffet en formica…

Le look de ma mère au lycée pour Clapiotte pour 37 euros (et la fierté de mamie)

Bref, je kiffe, comme d’habitude.

Mais la surprise, c’est qu’on m’a fait découvrir que même pour les femmes, il y avait des trucs plutôt cool (oui, quitte à ne rien m’acheter depuis des mois, je ne m’étais pas dit une seconde qu’en fait, je pouvais quand même me faire quelques petits plaisirs pas chers)

Genre ça :

Pas mal non ? Je peux plus vous parler parce qu’en faisant les looks j’ai déjà mis environ 15 articles dans mon panier… Et rien pour moi. Il faut que ça change. C’est le moment je crois !

Quoi que… Ce genre ce look trouvé aussi chez Kiabi, façon Ashton Kutcher dans 70’s show, pour 37 euros tout compris, ça me va bien aussi pour N°1 !

Bon… Ok… Ça sera peut être encore une nouvelle fois pour les enfants mais je vais me faire soigner et je reviens !

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.