Archives de catégorie : Sales gosses !

Cauchemar en culotte

Définitivement, ce blog a une tendance à parler pipi-caca quasiment pathologique.

Il faut bien dire que mes enfants y mettent du leur aussi. Surtout Clapiotte d’ailleurs, mais N°1 au même âge était assez gratiné dans le genre.

Donc, mettons nous en situation.

Ce week end, j’ai eu l’immense honneur, joie, fierté (rayer la mention inutile) d’être conviée au lancement de la saison de Noël à Disneyland Paris.

J’ai sauté au plafond et fait quatre danses de la joie à cloche pied en découvrant mon invitation, je dois bien l’avouer. D’autant que nous avions renoncé à y aller pour l’anniversaire de Clapiotte pour des raisons budgétaires (bonjour, je cherche du travail… quelqu’un?), c’était trop beau.

Bref, nous voilà en route pour le pays magique de la musique planquée dans les arbustes et des humains aux oreilles de Mickey.

Je vous ferai un débrief plus tard de tout ça, mais tout d’abord, laissez moi vous dire que je m’auto-décerne la médaille de la bravoure.

Arrivés sur place, la surprise à son comble, nous nous dirigeons vers l’attraction fétiche de N°1 (et du monde entier il faut croire): Peter Pan. On a des Fast Pass, ces petites cartes qui nous permettent de couper les files d’attente. N°1 ne se sent plus d’être VIP et Clapiotte a encore du mal à comprendre où on est.

5 minutes plus tard, nous sommes devant le portillon pour faire notre première attraction du séjour donc.

Il fait environ 8°c, tout gris, mais les sourires béats de tous ces enfants illuminent les humeurs (je suis poète. Poët).

« Veux faire pipi Maman »

WHAT?

Clapiotte a un don pour faire ce genre de truc (N°1 nous a fait exactement la même 4 ans plus tôt, mais on avait fait la queue en plus).

« Ok, tu penses que tu peux te retenir? On fait le manège et on y va d’accord? »

« D’accord »

Nan mais faut pas non plus déconner quoi.

Tourne tourne petit bateau au dessus de Londres, les pirates, la fée Clochette, hop, hop, trois petits tours et puis s’en vont.

Voilà, c’est fini. « Ça va Clapiotte? c’est bon? »

« Oui, oui »

On sort et on se rue vers les toilettes.

Je déshabille vite fait Clapiotte et la pose sur les WC (recouvert du film protecteur là, vous voyez?).

Sauf que.

Sauf que quand tu fais vite, tu fais mal. Et que quand ton enfant a envie de pisser depuis 15minutes, autant te dire que ca sort comme un geyser.

Je me rends bien compte que tout ne part pas là où ça devrait mais les périnées des autres ne se contrôlent pas à distance le temps de rectifier le tir.

Trop tard, me voilà avec une Clapiotte le pantalon trempé, la culotte avec et moi me demandant où est la corde la plus proche.

J’ai donc passé les 25 minutes suivantes à sécher un jeans taille 4 ans au sèche main Dyson, ma Clapiotte cul nul dans les WC de Pinocchio. Classe.

Clapiotte sait vendre du rêve et de la magie dès le début du séjour.

Mais croyez moi, elle sait aussi conclure les séjour en finesse.

Après un ultime tour de train Casey Jr., Clapiotte se tortille.

« Veux une couche pour faire caca maman » (oui, elle a toujours ce rapport étrange avec l’étron et la couche)

Je maitrise savamment la pose de couche en milieu hostile, et hop, j’annonce: « voilà, tu peux faire caca » (Classe, bis)

Tout à coup, elle se fige, entre un buisson et la queue pour rencontrer une Princesse. Elle devient rouge et pousse un cri d’outre tombe. Elle pleure un peu aussi. Et me demande un calin? Re-Crie. Re-rouge.(oui, quand on se soulage 2 fois par semaine, en général, c’est assez douloureux)

Même pas en rêve je regarde les gens passer à côté de moi. no hablo el frances, entchuldigung.

20 minutes scotchée comme ça au milieu du chemin, à deux pas de « Small World », certainement, l’une des attractions qui draine le plus de monde dans le parc…

Le rêve. toujours le rêve. Sans Clapiotte, nous aurions pu avoir la grosse tête avec nos pass V.I.P et notre traitement de faveur.

Mais étrangement, on a préféré la jouer profil bas.

Sinon, en rentrant à la maison hier soir, elle a conclue les 3 jours de rêve par une course vers son pot, et un ratage en regle juste avant la ligne d’arrivée.

Les arrivées et les départs, faut croire que c’est pas son truc.

Mais tant qu’il lui reste la classe….

 

C’est trop mamifique Maman!!

Mon fils, file aux oeufs

Y’a des jours où dans ta vie de parents, tu te crois plus malin que tout le monde.

Ainsi, au détour d’une conversation tournant autour d’un vague projet de construction Légo, entre les pâtes et le fromage, quelques copeaux de parmesans à la commissure des lèvres, il te prend l’idée saugrenue de vouloir scotcher ton enfant histoire qu’il arrête deux minutes de la ramener avec ses envies d’architecte de briques à picots.

« Dis donc N°1, tu voudrais pas de poser des questions un peu plus sérieuses parfois? »

« Gné? »

« Par exemple, des questions qui font réfléchir… »

« Bof… c’est quoi? »

« Bah si je te demande qui de la poule ou de l’œuf est arrivé en premier, par exemple, t’en penses quoi? »

« C’est une vraie question? »

« Oui. Tu saurais me donner une réponse? T’en penses quoi? »

« Bah… enfin maman…. La poule, elle a pondu son œuf en courant, et comme l’œuf roule plus vite que la poule ne court, il a passé la ligne d’arrivée en premier. C’est l’œuf qui est arrivé en premier donc »

Il m’a regardé avec cet air de me prendre pour une demeurée profondément atteinte.

Vivement les cours de philo qu’on rigole un peu.

« L’œuf roulant plus vite, il est arrivé avant la poule »

N°1, File aux oeufs du XXIème siècle.

It’s not personal, Sonny. It’s strictly business.

Le temps passe et je dois aujourd’hui vous proposer une théorie à propos des enfants.

Quand un enfant nait, je pense que les quelques heures qu’il met à sortir de sa grotte, il les passe à peaufiner son contrat avant de le signer. Un contrat avec un tas de paragraphes, d’alinéas et de sous chapitres.

Un contrat qui détaille avec soin en quoi il sera un bon enfant.

C’est pour cela qu’un enfant est toujours bon. Parce qu’il a étudié son contrat à fond avant de sortir. Il sait ce qu’il doit faire. Il sait où il va et il connait parfaitement en quoi nous, ses propres parents, sommes incultes.

Parce qu’en grandissant, le contrat devient caduque et s’oublie aussi rapidement que les poils pubiens nous recouvrent l’entre jambe.

C’est ainsi qu’il nous laisse nous adapter à lui les 3-4 premiers mois. Il dort, il mange, il pleure et il se fait dessus. On range vite fait et on tente une douche, on le nourrit, on le berce et on le change. Easy.

Et puis une fois qu’on est bien rodé, évidemment, il varie les plaisirs. Globalement, il fait toujours un peu la même chose, mais pas forcément dans le même ordre et il a à sa disposition un tas d’options afin de nous mettre au défi et nous sortir de notre train-train quotidien. Il le sait: la routine, c’est la Mal.

Venons en à mon cas personnel, puisque c’est bien le seul que je connaisse de manière certaine.

A la base, je pense que nous avons, dans notre famille (et là, je parle de MON côté, car il me semble que de ce côté, chez les Tony, ils vont plutôt bien, ou tout du moins « normalement ») un soucis avec le caca.
Les sphincters mal agencés, un ancêtre scatophile, ou un réel problème freudien à ce propos, je préfère ne pas savoir, mais le constat reste le même: la selle, chez nous, c’est un peu notre dada.

Y’a qu’à voir, la plupart d’entre vous, lecteurs, pensent à moi en jetant leur rouleau de papier toilette. Et ce blog s’appelait presque CacaBoudin à ses débuts. Si un psy se penchait là dessus, j’en aurais pour 10 longues années d’analyses à faire des boudins en pâte à modeler.

Bref, revenons en à ma théorie du contrat et arrêtons au § 14, alinéa 3:
« De ton besoin de déféquer tu feras une véritable œuvre d’art »

Évidemment, écrit comme ça, les gosses l’interprètent comme ils veulent et font donc tout et n’importe quoi en la matière.

Donc, chez moi, les enfants font ça de manière douloureuse deux fois par semaine, n’en déplaise à ma mère tres inquiète, elle aussi, du transit de ses petits enfants. Une fois que tout le monde s’est bien habitué au rythme, en règle général, c’est là où ils décident de se faire une petite gastro.

A la suite de ça, on est rôdé pour les siècles des siècles, Amen.

MAIS, mes enfants n’ont pas fait l’impasse sur l’alinéa 4: La propreté tu intégreras quand bon te sembleras.
Ainsi, Clapiotte a attendu la veille de la rentrée pour nous montrer qu’elle était, en vrai, capable de se retenir.
Mais les 2, je dis bien les 2 enfants ont décidé, une fois « propres » qu’il était toujours bon de se mouler un bon étron au fond de la couche.

A croire qu’avoir la fesse fraiche, ça les chatouille. Ils préfèrent la douce chaleur d’une misérable crotte sur leurs fessiers plutôt que de faire offrande aux toilettes, comme tout enfant propre qui se respecte. J’ai donc mis 6 mois de plus pour faire céder N°1, et évidemment, Clapiotte est en plein dedans. C’est le cas de le dire.

Au fond, je me dis que c’est son problème, mais je dois bien me rendre à l’évidence que c’est le mien aussi, puisque la couche, c’est à moi de la gérer après qu’elle ait fait sa petite affaire en regardant Tchoupi.

Déjà, elle commence par me dire qu’elle n’a pas fini. Même si la totalité de l’appartement est mis sous scellés et qu’une équipe de décontamination frappe frénétiquement à ma porte, elle niera en bloc qu’elle a terminé.


« Ca y est? » dis-je en manquant la suffocation
« Encore une petite minute, ai pas fini »

En plus d’un soucis de fèces, elle est mytho.

Ensuite, comme elle a oublié d’être catatonique (attention à bien orthographier ce mot), j’ai dû prendre des cours avec Teddy Riner pour la maitrise du Ipon en milieu hostile. Même avec la diversion à renfort de jouets insolites ou même de prêt d’Iphone, ça ne marche plus. Elle croit que je vais faire tellement vite qu’aussitôt allongée, elle est déjà debout. J’en fous de partout. Plus elle grandit, plus je me dégueulasse. Et je ne rentre pas dans les détails de l’étron d’un presque trois ans, hein.

DONC, je pense, enfin non, je suis intimement convaincue que les enfants touchent des primes quand ils suivent à la lettre leur contrat.

C’est pas contre nous. C’est pour le business.

Je ne vois pas d’autre explication.

Appelez moi Freud. Immédiatement.

Donc, ca, c’est le livre préféré de Clapiotte (qui doute encore de nos choix littéraire?)
CE livre, elle l’emmène tous les jours à l’école dans l’espoir que la maitresse le lise à la classe.
Je déconseille la maitresse de le faire.
vraiment.
A moins d’avoir beaucoup, beaucoup de recul….
Mais tout le monde ne peut avoir l’humour de Clapiotte….

(Extrait: « Il vivait un enfer et il avait beau faire:

Des pompes abdominales, c’était abominable,

Car il puait encore plus fort après l’effort! »)

L’enfant cet être mysterieux: le mystère de la chambre vide

Approchons nous un peu plus près du sujet. L’enfant.
L’enfant, cet être à la fois mignon et dégoutant, attachant et irritant, doux et sauvage.

Du jour où nous sommes dotés d’un enfant, la vie change (pertinent cette remarque).Je ne parle pas que de la qualité de notre sommeil, de nos soirées ou même de notre sexualité débridée revue au rabais. Je suis bien plus terre à terre que ca: je parle de notre capacité à analyser une situation.

Prenons un enfant lambda, vivant dans une famille dite « normale » et dans un environnement social dit « normal » lui aussi. Cet enfant à une chambre, peut être la partage-t-il avec un frere ou une sœur. Dans cette chambre se trouvent tout un tas de jouets, allant du jeu de société à la merdouille trouver au fond d’un Happy Meal, en passant par des jouets dits « à la mode », des membres de figurines démantelées et des pièces de puzzle en vrac.

Ces objets sont rangés plus ou moins correctement dans des boites, des caisses, des tiroirs, des trousses, des sacs (dis, Chéri? Faudrait pas qu’on aille chez Ikea nous d’ailleurs?).

En bons parents, nous avons même créé un espace de jeu au sol pour que l’enfant puisse s’épanouir comme on nous a dit de le faire (en plus de l’arroser 2 fois par jour).

Vous avez fait votre possible, je le sais. On en est tous là.

Et pourtant.

Et pourtant, la chambre de l’enfant est désespérément vide.

D’abord, parce que l’enfant ne manque pas de vous dire qu’il s’ennuie. Même avec un rayon de Toy’r Us dans sa chambre. C’est simple, il ne sait pas quoi faire, il n’a pas d’idée et SURTOUT, il voudrait bien que ce soit vous qui construisiez le château des pirates, lui, ça risquerait de lui froisser un muscle, vous comprenez.

Mais surtout, parce que la quasi totalité de la chambre se retrouve systématiquement au milieu du salon.

Votre salon ne ressemble plus du tout à cette page de catalogue que vous aviez tenté, avec plus ou moins de succès, de reproduire.

Aujourd’hui, comme hier, et certainement comme demain, le salon est jonché de briques de Légo podo-suicidaires, d’habits de poupées en vrac tel un lendemain d’orgie chez Barbie et Ken, de pions de jeu de l’oie savamment arrangés sur des dominos et de petits tipis en Mikado, couvert par des cartes « grand-mères » du jeu de 7 familles.

Depuis que l’enfant est arrivé dans le foyer, c’est simple, vous n’êtes plus chez vous. Mais chez LUI.

Que ce soit bien clair pour tout le monde.

Et non, je n’ai aucune explication à ce comportement invasif… à part peut être que l’enfant veut nous rendre chèvre. Ceci dit, il parait que els animaux sont excellents pour le développement d’un greffon…

Welcome To Reality

 

La Wish List de Clapiotte

L’anniversaire de Clapiotte approche.

Bientôt, elle aura 3 ans, encore un peu plus d’un mois. 3 ans. Ca doit jacter à l’école autour des pots de Play Doh, parce que depuis une semaine, TOUS les matins sans exception, Clapiotte nous parle de son anniversaire.

-Et nannivesaire dé Cale-piotte bientot. Etttt oui. Et moi veux plein plein dé cadeaux.

-Ah oui? Et tu aimerais quoi comme cadeau? Tu as une idée?

-Et bientot nannivesaire dé maman? (oui, bah non, elle répond pas aux questions)

-Non, mon anniversaire, c’est dans longtemps.

-Et veut des cadeaux maman pour ton nannivesaire? (oui, bah non, elle s’en fout de la date de mon anniversaire, elle veut juste que ca soit comme elle, bientot)

-Bah oui, aux anniversaires on a un cadeau, on verra

-Et moi, et moi vais avoir tous les cadeaux. Et maman aussi.

-Ah oui? et tu voudrais quoi comme cadeau? (j’insiste, sur un malentendu, ca peut marcherà

-Toi a les cadeaux chaunes. (raté, donc)

-Oui mais et toi? (je suis têtue)

-Et moi? Bah moi ai les cadeaux ROSES!!!

Bah oui, suis-je bête.

Vous savez quoi lui offrir maintenant, je vous envoie son adresse.

Breaking News:
*Tiens, Marie, un cadeau rose pour ton anniversaire aujourd’hui!
*Isa vous fait gagner une storio 2, pas mal comme cadeau aussi?
*Sabine vous fait gagner des places de ciné, l’anniversaire au calme dans une salle obscure reste une bonne solution!


Voilà, c’est fini….

« Mais c’est débile de faire ça »

Voilà ce que m’a dit N°1 lors d’une des plus grande discussion (juste avant « comment on fait les bébé » et « je voudrais pas qu’elle tombe enceinte »): l’existence du Père Noël.

J’adore cette histoire de Père Noël, de ses lutins, de ces cadeaux qui apparaissent par magie sous le sapin. J’aime l’ambiance, l’excitation, l’oxyboldine d’après repas.

C’est un tout. Et cette histoire de vieux bonhomme rouge et barbu qui ramène les cadeaux aux enfants, ça faisait naturellement parti du package. J’ai moi-même adoré y croire, j’ai été fière de savoir la vérité aussi et de rentrer dans le clan de « ceux qui savaient ». C’est donc sans me poser de question que mes enfants ont cru tout de suite au Père Noël grâce à nos planques secrètes et nos plans géniaux pour faire apparaitre les cadeaux en toute discrétion….

Mais voilà, sans le voir venir (enfin, un peu quand même), mon fils a grandit… et mûri.

L’an dernier, quelques questions apparaissaient à l’approche des fêtes, mais rien de très concret. j’y répondais en le faisant réfléchir: « et toi, qu’en penses tu? » était la parade parfaite pour lui faire comprendre que quand on veut y croire, on le peut.

Il y a quelques jours, il s’est figé devant moi: « je sais que le Père Noël n’existe pas ».

Sur sa mine, un air de me défier mêlé à de la fierté de savoir… et au fond, tout au fond, cette petite amertume.

Il m’a dit qu’il le savait parce que tout ça, c’était pas bien possible, livrer toute la Terre la même nuit, ça lui semble beaucoup moins crédible aujourd’hui (alors que les rennes qui volent, ça, ça n’a pas l’air de l’avoir dérangé). L’école, la rentrée au CE1 a bien dû aider pour le conforter dans sa découverte.

Mais ce qui m’a fait de la peine (environ deux secondes et demi), c’est lorsqu’il m’a dit:

« Alors vous mentez depuis le début? Mais à quoi ça sert de faire ça? C’est complètement débile! »

Après tout, j’ai eu ce que je méritais. Bon, deux secondes après, il me disait aussi qu’il était trop content parce que maintenant, il allait pouvoir nous aider à faire croire à Clapiotte…. Donc, soit il aime pas sa sœur pour lui faire croire des trucs pareils, soit, il n’est pas vraiment traumatisé par la nouvelle non plus. Je penche pour la seconde proposition.

Mais une chose restait encore à élucider pour lui: « Maman, la vidéo du père noël que je recevais chaque année, alors… c’est qui? »

Parce que chaque année depuis la découverte de ce site, je fais la petite vidéo du Père Noël personnalisée à N°1. A tous les coups, ça le bluffe, c’est très bien fait et quand on ne demande qu’à y croire, la magie opère sans soucis.

Quand je lui ai répondu de me dire ce qu’il en pensait, il m’a dit « peut être que celui là, c’est le vrai, mais qu’il a le temps de faire que des vidéos »…

Il y a des jours où j’aimerai tellement encore avoir 7 ans….

Lien sponsorisé et hautement conseillé

NOTE: si vous venez pour me dire que faire croire au Père Noël c’est le mal (le mensonge, l’infamie, toussa), je préfère vous prévenir que même pas en rêve je rentre dans ce genre de polémique. Surtout pour ça.

L’enfant cet être mysterieux: le mystère de la grasse matinée (en semaine)

Aujourd’hui, une nouvelle journée pour résoudre un nouveau mystère dans le monde de l’enfance, et comme le week end approche, oui, malgré le manque évident de sommeil qui prend racine à la lisière de votre paupière inférieure, c’est le moment ou jamais d’en parler.

POURQUOI l’enfant a-t-il du mal à se lever les jours d’écoles mais se prend pour une poule dès le samedi matin 6h?

POURQUOIIIIII? Mais pourquoi donc bon sang?

J’aurai tendance à dire que nos enfants nous détestent, mais il parait que si petits c’est pas possible, quasi inconcevable. Mouais. N’empêche que ça doit leur plaire, le smocky eye à l’envers, même sur le papa, c’est certainement pour nous habituer au come back de la mode Kiss

Il me FAUT les épaulettes rondelles!

Peut-être qu’ils n’aiment pas l’école/la crèche/la nounou. Faut dire qu’on est tous au moins une fois tombé sur un reportage où la baby sitter se tapait tout le Blédichef en faisant mine de ne pas voir l’Enfant ouvrir la bouche en espérant récupérer au moins un peu de purée avant de se voir collé au lit pour les 6 prochaines heures? Je comprends qu’ils soient dans le stress, mais quand même, ne leur parle-t-on pas de l’école comme d’un univers enchanté où les licornes sont à disposition pour jouer à cache cache sur des toboggans infinis? Comment ça ils ne sont pas dupes?

Une autre option serait de dire que nos enfants ne sont rien que de petits pervers. Si on rajoute ce comportement au positionnement minutieusement étudié des plus petites pièces de Légo et des polly pocket dans les diverses pièces de l’appartement, cette supposition est tout à fait recevable. Surtout quand ils viennent nous dire, une fois que la tête de Polly est bien enfoncée sous notre voute plantaire « Faut pas dire des gros mots, Maman, c’est pas bien« …. Sale petit…. grrrr.

Peut-être qu’en fait, ce comportement relève simplement du fait qu’ils nous aiment TELLEMENT que devoir se préparer le matin pour nous quitter est un calvaire mais qu’ils veulent profiter de la moindre minute de notre présence pendant le week end… aussi….

Ou sinon, ils veulent juste nous emmerder.

Nous ne voyons pas d’autre explication

Papa Cube non plus d’ailleurs…..

Dodo, disparu depuis la fin du XVIIème siècle.
Des études génétiques sont en cours pour faier renaitre son cousin: le siestus rallongitus.

Avoir une fille qui aime les jouets de filles (concours Polly Pocket)

J’ai toujours été un peu garçon manqué quand j’étais petite. Tellement qu’un jour, alors que ma mère me ramenait fièrement un jogging Le Coq Sportif ROSE, j’ai vomi dessus. Direct.

Maintenant, j’ai un peu changé, j’aime bien le rose, finalement, les sacs à main, les talons hauts et même que parfois, je ne rate pas mon trait d’eye liner (les soirs de pleine lune). Tout vient à point…

Mais bon, du coup, les trucs de princesse, les machins à paillettes ou encore les jouets ciblés fillasse, ça ne m’a jamais tellement branché. J’étais trop rebelle pour assumer, même si quand les Polly Pocket sont arrivées dans ma campagne, j’avais quand même un peu les boules d’être juste un chouille trop vieille pour en demander à Noël.

Bref, tout ça pour dire que le comportement face aux jouets, ça ne doit pas être inscrit au plus profond de nos gènes, parce que Clapiotte, si je l’avais laissé faire, elle m’aurait éventré dès la naissance avec les escarpins de Cendrillon.

Depuis toute petite, elle voue un culte au rose, au brillant, aux poupées, aux princesses et à tout, absolument TOUT ce qui s’en rapproche de près ou de loin.

Jusque là, elle a surtout eu de la récup de la chambre de son frere, donc, globalement, des duplos et des puzzles. Mais bon, elle grandit et quand je la vois frétiller comme une crevette devant un jouet de « fille », je dois me rendre à l’évidence: elle aime ça.

Comme je suis assez mauvaise perdante, j’ai commencé doucement à faire les brocantes pour lui trouver deux trois Polly Pocket de MON époque. Pas de raison que je ne connaisse pas la joie de jouer moi aussi à ces mondes miniatures au moins une fois. On passera aux nouveaux modèles pour son anniversaire, en attendant, ça la rend plus dégourdie de jouer avec des poupées microscopiques. Oui, parce que Polly et ses amies ont bien grandi, et même si elles sont encore petites pour des poupées, elles font quand même plus de 1,5cm comme en 88.

 

Aujourd’hui, Polly et les Polly pocket font partis de ces jouets incontournables, pratique, pas trop cher, peu encombrant, pour els anniversaires, pour une petite occasion c’est parfait, et comme tout jeu d’imagination, ils laissent place à des heures de jeu. Clapiotte est déjà addict et je rigole bien des histoires qu’elle invente avec ces petits personnages.

Si vous avez une petite fille qui aime bien cet univers aussi, sachez qu’il y a en ce moment un super concours sur le site de Polly pocket avec pour la grande gagnante, une journée de rêve type journée avec les dauphin, journée dans les arbres ou même un gouter d’anniversaire avec 10 copines, tout compris… rendez vous cite sur le site: http://www.jeupollypocket.fr/ et plein de petits cadeaux Polly aussi… Ça vaut le coup de tenter sa chance (Noel, vous vous rappelez? voilà…).

Vous avez jusqu’au 23 octobre, profitez en (et puis ca va, c’est pas trop dur, suffit de s’inscrire au tirage au sort), et pour des bons de réductions, il suffit de répondre aux questions qui correspondent à quelques videos sur la chaine Polly Pocket… Saviez vous que Polly mangeait 9 Goulash à l’ail dans une journée??? J’dis ça j’dis rien…

Liens sponsorisés

 


 

Tu pues le chat? bah je sais pas (cadeau)

J’ai un soucis d’odorat.

En soi, on s’habitue très bien à ne rien sentir puis, tout à coup, à être ultra sensible aux odeurs. Il y a seulement une chose que je regrette, par dessus tout, et ce n’est pas les odeurs de relan de lait, ni des couches au contenu atomique. Je n’ai pas de souvenir olfactif de mes enfants. Pas assez pour enfouir mon nez dans leurs cous et me souvenir de leurs petits poings fermés, leurs gencives édentées ou leurs cheveux si fins…

Pour ruser (parce que je suis trop maligne parfois), j’utilisais souvent des petits parfums spéciaux pour bébé, parce que ces odeurs là, je pourrai les retrouver, si un jour mon odorat se mettait à fonctionner correctement, ou quand il se met à re-fonctionner pour une raison inconnue pendant quelques heures…

Quand on a ce genre de soucis, ça nous dérange vraiment de re-sentir certaines odeurs. La moindre odeur de transpiration ou de mauvaise haleine nous donne la nausée, une poubelle qui traine a être ramassée dans la rue et pof, on ne supporte même pas d’ouvrir la fenêtre.

Mais les bonnes odeurs, on s’en shooterait, parce que ce sont celles-ci qui nous manquent. Les bonnes odeurs de cuisine, le parfum de maman… et le cou des enfants.

C’est avec un peu de cette addiction artificielle que j’ai accepté de recevoir le nouveau coffret Bébisol, et je suis ravie que mes enfants me rappelle chaque matin de leur en pschitter un coup dans les cheveux, le cou ou le T-Shirt (j’ai des enfants un peu bizarres), même s’ils sont un peu grand, j’ai le droit: j’ai du retard dans le snif de cou de greffon à rattraper!

Pour la peine, vous pouvez vous aussi essayer ce coffret composé d’un flacon de l’eau de toilette Arthur et Lola et de la peluche associée, avec en cadeau bonus une peluche géante Arthur et Lola (dimensions : 70x40x32 cm)

Pour cela, je vous laisse me dire en commentaire que vous participez.

Le gagnant sera tiré au sort. Vous avez jusqu’au 2 octobre pour jouer.

A votre bon cœur, vous pouvez partager ce petit concours autour de vous, vous pouvez toujours aimez la page facebook de Cranemou si ce n’est pas encore fait, vous pouvez dire à vos amis Lyonnais de venir découvrir Onlygones et aimer la page Facebook associée au passage (enfin, bref, me soutenir à bout de bras quoi ;) ).

Mais évidemment, je sais que vous n’oublierez pas de voter de toute façon… hein? (mais si, j’explique ici pourquoi faut voter… ou pas, pour ce blog tellement fantastique…huhuhu)

 

EDIT du 7/10/12 (pardon, je suis en retard):
La gagnante est Touwity
Bravo et merci à tous.
TRès vite un nouveau cadeau spécial Noël et un autre spécial femme (parce que zut à la fin, les mioches ca va hein!)