Archives de catégorie : Maman a presque des copines

Le plus beau souvenir… (une séance photo pro de vos enfants à gagner)

Mon plus beau souvenir d’enfance doit certainement se trouver pendant mes longues vacances que je passais dans le Sud, dans la maison de ma Grand-mère. Là bas, chaque année, je retrouvaisles mêmes copines. Trois copines qui font toujours parties de ma vie aujourd’hui.

Tout ce temps à conserver cette amitié, je crois quand même que ça veut dire quelque chose, non?

De ces trois copines, la plus « vieille » (en terme d’amitié, évidemment.. quoi qu’on a bien 15 jours d’écart) c’est Virginie. Et si je vous dis son vrai prénom aujourd’hui, c’est parce que ma copine d’enfance s’est fait un nom depuis qu’on courrait comme des tarées en voyant le marchand de glaces.

Virginie est devenue photographe. . De nulle part elle a sorti son talent comme un magicien fait apparaitre un lapin de son chapeau. Un véritable don, un œil, un talent… et cette touche personnelle qui rend ses photos si poétiques (ou pouët hic).

Elle a commencé à faire des photos de mode adulte et déjà je trouvais qu’elle me donnais envie de me remettre aux magazines féminins…

Vous allez me dire que je ne suis pas objective, et c’est sûrement vrai, mais toujours est-il que je suis fan d’elle, encore plus que quand je rêvais qu’elle me prête sa peluche Schtroumpf.

Attendez je vous montre:

 

Aujourd’hui, elle me fait l’honneur de vouloir apparaitre sur mon blog, et je ne vous dis pas comme ça me met la pression, parce qu’aujourd’hui, Virginie a enfin compris que ce qui était vraiment bien dans ses photos, c’était sa folie de femme-enfant, qui se révélerait encore mieux en shootant… des enfants. Ouais, logique. Je sais. Mais j’ai pas dit qu’elle était rapide hein! (rhoooo)

Donc, aujourd’hui, déjà, je vous annonce une mauvaise nouvelle, Virginie est devenue « Photographe pour bébés, enfants et femmes enceintes » est devenu son métier. C’est comme ça, c’est une éternelle parisienne, je crois qu’elle a même failli défaillir quand elle était venue me voir en Essonne (rhooo bis).

C’est pas grave, j’ai bientôt un truc pour mes amis lyonnais de toute façon.

Oui, parce qu’aujourd’hui, vous pouvez gagner un shooting photo de vos enfants par Virginie, et ça c’est pas rien. Le gagnant fixera avec elle un jour pour se rendre à son studio parisien où vous comprendrez ce qui fait de ses photos des clichés uniques et originaux. Le jeu, le rire et l’amusement seront au rendez vous pour que vos enfants, sous votre surveillance (c’est pas parce qu’elle est sympa qu’il faut lui laisser hein!) passent un merveilleux moments et que vous repartiez avec 20 photos.

Une occasion à ne pas rater pour tous les parents de Paris et Ile de France (où même ceux qui peuvent s’y rendre facilement), j’en suis verte de jalousie.

Évidemment, la contre-partie sera assez exceptionnelle, d’une part parce que c’est mon amie mais surtout parce que ce cadeau est simplement magique (et que je suis jalouse… j’ai déjà dit?)

Donc, pour tenter votre chance et gagner une sénce photo pour vo(s)tre enfant (entre 12 mois et 12 ans),

1/ devenez fan de sa page Facebook       (et de la mienne? c’est pas obligé pour moi, mais bon…)
2/ likez cette photo concours sur la page fan de Virginie Photographer For Kids:

EDIT: la gagnante de la seance photo a été annoncé sur la page FB de Virginie! Bravo à elle et merci à tous d’avoir aimé et partagé le travail de ma copine :D

3/ partagez le concours sur votre mur Facebook
4/ non obligatoire, mais bon, vous pouvez toujours dire un mot en commentaire de cet article, ca me fera plaisir hein!

Alors, oui, je sais, il faut avoir Facebook, tout ça, mais exceptionnellement et parce qu’elle mérite qu’on parle d’elle, les règles sont établies ainsi.

Pour découvrir ses photos, en savoir plus que mes anecdotes pourries ou savoir comment la contacter, rendez vous vite sur son site

Le gagnant sera tiré au sort lundi 17 septembre (le jeu s’arrête lundi 17 à midi) ! Bonne chance à tous

La grande aventure….

Pas de grande tirade aujourd’hui, pas vraiment d’anecdote croustillante sur cette Clapiotte qui boycotte mon blog à force de bien se comporter à l’école et de ne même pas faire pipi sur un petit camarade.

Ah, si, remarquez, je peux noter que la maitresse m’a interpellé car quand elle a demandé aux enfant de chanter une chanson qu’ils connaissaient, la mienne a entonné…. La Cane de Jeanne de Brassens. Normal quoi. Et aussi, ça fait 4 jours que j’appelle l’Atsem Mireille alors qu’elle s’appelle Micheline, et elle qui me sourit gentiment… moi qui espérais me la mettre dans la poche rapport à mes doutes sur les capacités de rétention d’urine de Clapiotte, je pense que c’est foutu.

Enfin, bref, cette rentrée est d’un calme mortuaire…. Sauf pour moi, finalement, qui me noit peut être dans un verre d’eau.. quoi que…

Saviez vous (attention, auto-promo) que j’ai écrit un article hautement sérieux sur le blog de Veronique Delachaux?

Et saviez vous (attention, auto-promo bis repetita) que j’avais ouvert un second blog spécialement pour les parents Lyonnais, qu’ils soient natif ou d’adoption? Une idée qui me trottait depuis tellement longtemps dans la tête, une envie de m’occuper un peu aussi de ma propre ville et de fédérer les familles lyonnaise autour d’événements et de bons plans et pour partager nos avis sur les lieux adaptés (ou non) aux enfant sur Lyon et alentours.
J’en ai parlé autour de moi, j’ai voulu y aller, j’ai douté, et puis finalement, hein, on n’est jamais si bien servi que par soi-même (quoi que si tu veux relooker le site, toi, web-designer, je suis d’accord)
Je suis donc heureuse de vous présenter mon « bébé »:

Avec la Page Facebook qui va avec, évidemment, et que vous pouvez liker, par simple soutien, par exemple, huhuhu….

Voilà, je suis convaincue que c’est une bonne idée et j’attends avec impatience que la sauce prenne et que les contributeurs deviennent de véritables ambassadeurs, mais vu le nombre de visite dans cette première semaine, j’ai bon espoir!

Donc voilà, une rentrée qui démarre aussi pour moi sur les startings blocks, en espérant trouver le temps de tout faire, surtout, mais avec un peu d’organisation…. mouhahahaha!

Évidemment, vos avis sont les bienvenus sur tout ça! (ou des encouragements… oui je réclame… et alors???)

La chaussure qui te rend classe? J’ai testé, je te dis et t’as le droit de rire.

Est ce que les magazines féminins vantent déjà les futurs régimes de l’été à 300 Kcal/ jour et les cuisses fine comme du papier à cigarette? Celles la mêmes que nous n’auront jamais, mis à part une poignée de filles décharnées? Je n’en sais,rien, ne plus aller au bureau de tabac, ça implique un sacré paquet d’économies et de complexes, en fait, c’est super bénéfique cette histoire!

Enfin, fin des complexes, pas sûre. Clapiotte se fait grande et je n’ai toujours pas perdu les souvenirs qu’elle m’a gentiment laissé au niveau de… on peut dire partout à ce stade la!

La découverte du Cheesecake et mon addiction pour la tartiflette y sont aussi sûrement pour quelque chose, certes.

Mais c’est bon, la perspective de ne toujours pas enfiler ma culotte de maillot me motive un peu plus cette année et surtout, j’aimerai me refaire une santé physiquement. Je traine la,patte parce que 5Kg de plus, ça empêche quand même d’être aussi active et réactive. La flemme aussi, effectivement, alors les deux ensemble, je ne vous raconte pas l’angoisse.

  C’est sur cette note optimiste que Camille est intervenue:  » ça te dit d’essayer des chaussures qui font faire du sport? »

Je connaissais le concept, mais l’idée d’essayer ces chaussures avec des copines directement dans le magasin, c’était tentant.

 

Avant de me rendre au rendez-vous,ne regarde un peu de quoi il s’agit sur le site de la marque MBT qui nous invite pour l’occasion.

Ils proposent des baskets, des chaussures de ville, homme ou femme… je suis compliquée en chaussures, va falloir que je mette de l’eau dans mon vin, me dis-je… Je comprends le concept et je tombe sur une série d’exercices expliqués en détail.

Je sais.

Je sais à ce moment la que c’était un piège: je suis certaine de ne pas échapper à la série d’exercices qui vont confirmer que je ne tiens plus la route.

 Je n’ai jamais eu autant raison.

 Arrivée au magasin rue du plat (ironique, n’est ce pas?), dans le 2ème arrondissement de Lyon, je reconnais quelques visages familiers, je fais mine d’être aussi rassurée qu’elles, mais je sens qu’on joue toute la comédie.

Je teste plusieurs paires de chaussures avant de ma décider. Je suis compliquée en chaussures j’ai déjà dit?

Je pensais que j’allais trouve ça moche, pour tout dire, et je ne vais pas dire que j’ai tout aimé, mais à ma grande surprise, il y en a vraiment pour tous les goûts.

Perso, j’ai opté pour une paire de baskets, des vraies de vraies qui font genre je suis une sportive. Pour commencer le sport, je me dis qu’avoir déjà les chaussures qui font envie est un atout non négligeable.

 

Le confort est là, l’impression de marcher sur des œufs aussi, tout comme cette envie irrépressible de me basculer d’avant en arrière comme une gosse qui aurait fait une bêtise.

 Ces chaussures ne font pas maigrir. Que ce soit clair tout de suite, m’informe le monsieur fort passionné. C’est bête, mais au fond de moi, j’espérais secrètement que rien que de les mettre au pieds allait suffire. Raté.

Non, ces chaussures nous obligent à reprendre une posture correcte, et effectivement, dans le cadre d’une activité sportive associée à une alimentation équilibrée, ça aide.

Ça me fait penser aux gens qui croient qu’en avalant des pilules ventre plat ils auront des abdos même en se faisant des bières-fish&chips tous les deux jours. Genre moi.

Une fois que toutes les cendrillons présentes ont trouve chaussures MBT à leur pieds, je constate un mouvement de foule vers l’extérieur. Je n’ai pas compris de quoi il s’agissait, j’écoutais pas, je faisais de la balançoire sur les chaussures, et puis il fallait que je change de taille aussi.

Je finis par rejoindre les petites camarades.

Je les retrouve Place Bellecour. Le spectacle est édifiant, une dizaines de blogueuses lyonnaises se font une petite impro marche Massai sur LA place de Lyon!

Je ne me moque pas longtemps, je suis cordialement invitée à arrête de rire et à rattraper mon retard, quelques curieux nous regardent le sourire aux lèvres, on nous prend pour des participantes à un BootCamp « déplace toi comme sur des talons mais avec des baskets et réapprends la signification de la classe internationale »

C’était drôle.

Je suis repartie de la le sourire aux lèvres et ma nouvelles paire de baskets aux pieds. Autant mettre à profit cette nouveauté immédiatement.

Je peux vous dire deux choses, je suis rentrée en 5 minutes de moins que d’habitude, ma foulée en entraînant une autre grâce à la semelle incurvée, et j’ai eu les mollets qui ont chauffé.

Depuis, des que je dois marcher longtemps, je les chausse, et aussi pour les exercices que je fais à la maison, elles me donnent l’impression d’être sportive, c’est motivant.

Vous connaissiez ce genre de chaussures? Vous en pensez quoi?

Merci à l’équipe MBT et à Camille pour l’invitation!

Rendez-vous dans ma vie digitale

Être connectée ou ne pas l’être, je ne me pose pas la question. Avoir une vie digitale se transformant souvent en rencontres réelles, mon choix est vite fait, ma vie sociale n’en est que plus dense, finalement et contrairement à ce que certains peuvent penser.

Donc, depuis que j’ai deux vies, je rencontre deux fois plus de gens, et ça, c’est chouette. Sauf que souvent, il faut bien avouer que je rencontre ces gens à Paris… Pas que je n’aime pas la capitale qui m’offre ma petite bouffée de liberté quand je m’y rends, mais ça fait loin, pour boire un verre improvisé!

Mais cette année, le vent a tourné, et Lyon se réveille, ce qui me vaut d’avoir cumulé trois sorties en peu de temps.

D’abord, une rencontre de blogueuses autour d’un brunch dans le resto de Sophie: le Côte Rôtie à la Croix Rousse, Lyon 4. J’y retrouve  Chrys, LeoetLisa,  Bergie, Chocoladdict, Sophie Sinon rien, Lucky Sophie, Ginie, Adeline, Maria, Electroménagère, maman Lulu et les Les ptits asterisques.
J’y ai emmené Tony aussi, pour une fois, et ce n’était pas le seul homme à table. ceci dit, il a taillé une bavette avec Electro pendant tout le repas, donc il s’en serait bien sorti quand même, au final! Une bien belle après midi dans la joie et la bonne humeur, on a ri, on a beaucoup parlé, on a fait des photos
Le brunch était sucré et/ou salé, j’ai vu passé des oeufs, des croissants, des gratons, de l’andouillette, du saumon, des chocopops, du jambon cru et quelques corbeilles à pain dans un joyeux brouhaha… les blogueuses ces éternelles pipelettes!


©Cylia

Ensuite, à peine quelques jours plus tard, j’ai été conviée chez Guillemette. Je me retrouve tout à coup au milieu de plein de blogueuses que je n’ai jamais vu de ma vie, et pour cause, la majorité d’entre elles  sont des blogueuses cuisine! J’ai l’air sympa comme ça, mais je suis un poil farouche, en vrai, du coup, je reste muette quelques temps histoire de bien montrer que je voudrais me fondre dans les murs. Heureusement, les filles sont sympas, et je me détends un peu. Tout ce qu’on mange a été confectionné grâce aux Gourmandises de Camille par les mains magiques de toutes ces jeunes filles. Perso, je me suis contentée de ramener une bouteille, histoire de ne pas me faire d’ennemies dès le premier rencard! Ambiance très conviviale dans ce petit restaurant salon de thé où on peut aussi bruncher d’ailleurs et niveau goût, rien à dire, c’était parfait, je me suis régalée.
Étaient présentes, si vous ne les connaissez pas encore: Camille qui a tout organisé (encore une fois) (mais je pense qu’elle a des clones sinon c’est pas possible)Marjorie de Faim de Lyon  , Stéphanie de Stephatable ,Virginie « Argone », Virginie; Aude, Amandine; Delphine; Marie de Haut les Mains Peau de Lapin; Chocoladdict;  Mélisande , Marion, Estelle G et Estelle S de Qui l’Eut Cuit, Marie (que j’ai beaucoup embêtée sur son jeune âge, jalouse que je suis)  et Fanny de l’Epicerie Fruit !


Plus de photos ici

Pour finir, une soirée non pas de blogueuses mais de gens connectés: une soirée Yelp. Yelp, c’est l’espace communautaire où partager nos avis en se faisant des amis et à Lyon, on a notre propre Yelp. La community manager étant Camille, toutes les soirées sont censées être un succès et celle-ci n’a pas dérogé à la règle. Pourtant, on partait mal avec le thème Quenelle-Soupe: so glamour. Évidemment, si je rajoute que c’était aux Halles Paul Bocuse, chez Giraudet, avec des bulles et des chocolats et macarons Pelen, le tout sur fond musical mixé par Mademoiselle A… Ouais, c’est ça, c’était canon. Si vous connaissez Yelp et qu’ils organisent des soirées dans votre ville, foncez… bon, ça sera jamais aussi bien qu’ici, mais sait-on jamais!
Un album photo ici: Page Yelp Lyon

Pfiou, avec tout ça, je suis fatiguée moi, je suis plus toute jeune faut dire (et j’ai pris 20Kg)!

Aller, zou, je vous donne les adresses:

Le Côte Rôtie, 4 Bis rue de Belfort, 69004 LYON, 04 78 30 10 20 de 10h à 16h le samedi et dimanche pour le brunch lyonnais

Chez Guillemette: 11 rue Francois Dauphin, 69002 Lyon. 04.78.37.06.41. Facebook: http://www.facebook.com/chezguillemette  du lun. au samedi 10h-19h

Gourmandises de Camille, Site: http://www.gourmandisesdecamille.com/, Facebook: http://www.facebook.com/gourmandisesdecamille

Halles Paul Bocuse: http://halledelyon.free.fr/

Pelen: 74 avenue de Saxe – 69003 Lyon Tél : 04.78.62.65.54 Site: http://www.pelen.fr/

Giraudet: aux Halles de Lyon, entrée rue de Bonnel, Lyon 3eme. 9h30-19h sauf mercredi et dimanche 9h30-13h-(14h le mercredi).

 

J’ai fait TopChef. Ou presque.

Vendredi dernier, je suis partie comme une grande pour une journée de blogueuse à Lyon.

J’avais rendez-vous à 12h45 puis un peu plus tard dans la journée. Deux rendez-vous complètement différents mais qui me faisaient bien plaisir l’un comme l’autre. Je reviendrai sur le deuxième plus en détail très très vite.

Mon premier rendez-vous, c’était une mission qui m’avait été confiée suite à un appel sur Facebook. On avait une invitation pour aller tester un atelier cuisine à l’Atelier des Chefs de Lyon 2ème (rue St Nizier), et comme de par hasard, j’ai levé le doigt.

Ca peut paraitre d’ailleurs complètement absurde de vouloir tenter ce genre d’expérience (un cours de cuisine, mais qu’est ce qu’il m’arrive?) quand on en rame pas une en cuisine et qu’on ne fait pas la différence entre un chinois et une passoire, mais, j’ai l’amour du risque (ne me remerciez pas pour le petit générique qui va trotter dans votre tête tout le weekend).

Me voilà donc ultra en avance devant l’Atelier. Je fais nettement moins la maligne quand il faut entrer alors que je me voyait déjà courir en cuisine et émerveiller tout le monde. Dans mes rêves, je devenais instinctivement ultra douée, on me décorait d’une étoile et j’avais open bar chez Bocuse à vie.

En vrai, j’ai fait la nana timide qui tente de se fondre dans le fauteuil en feuilletant les futurs programmes que propose l’atelier au mois de Mars.
En les lisant, je me jure d’emmener N°1, lui, au moins, je sais qu’il appréciera à sa juste valeur ce genre d’activité. Pas que je n’apprécie pas, mais je suis une éternelle blasée de la cuisine, et accessoirement, quand je ne connais personne, je me sens pas super à l’aise pour faire « genre » je le suis (à l’aise)(tu suis?).

Petit à petit, des gens-qui ont l’air normaux- rentrent aussi et on leur demande également de patienter.
Je scrute les accessoires de cuisines en vente dans la boutique accolée aux cuisines et découvre que je suis bien mal équipée, tout de même, en constatant tout ce qui peut exister…

C’est à nous.

Le Chef nous accueille avec humour et décontraction. Je me sens nettement mieux. Je vais au moins pouvoir rire en me ridiculisant, c’est une bonne chose pour me détendre un peu le genou.
On se place à 4 par plan de travail.
Je me retrouve avec 3 charmantes personnes dont un jeune homme qui, visiblement, est bien plus à l’aise en cuisine que moi.
Je prends le parti d’éplucher les patates. Ça, je gère. Les couper en petits cubes? pas de soucis. Bon, faut les faire de la même taille que ceux coupés par ma nouvelle copine qui a sensiblement la même passion pour l’art de la sculpture sur pomme de terre que moi. Mais nous nous en sortons très bien. c’est pas ce que dit le Chef, lui, il se marre, mais je n’ai pas mis de doigt dans la casserole à ce moment précis, je me sens assez fière de moi.
Mon coéquipier tranche des échalotes si finement que je me fais le pari dans ma tête qu’il va y laisser un ongle. Pari perdu, évidemment, tout le monde n’a pas les gènes de Pierre Richard.

Le menu (oui, je ne vous présente pas l’aventure dans l’ordre, mais j’étais un peu déboussolée, je vous le rappelle, j’étais dans UNE CUISINE!): Onglet à l’échalote et pomme de terre rissolée en persillade.
Je t’entends rire, toi, au fond, mais moi, perso, mes patates sautées, systématiquement, c’est de la charpie, alors je mets tous les espoirs dans ce cours de cuisine!

ALORS. J’apprends qu’on met toutes les patates dans une sauteuse, qu’on couvre d’eau, on pose un couvercle et sur le feu une dizaine de minutes. PREMIÈRE nouvelle! Je me sens conne, mais je ne dis rien. Je savais pas. C’est tout. d’ailleurs, à partir de ce moment là, je laisse faire mon nouveau Dieu vivant (mon coéquipier) qui sent bien que si je me charge du truc, on va pas bouffer grand chose à midi, çà serait dommage.
Donc, pendant que les pommes de terre précuisent, on saisit les onglet. Poêle ultra chaude, filet d’huile d’olive « pchhhhhhhhh » quand on le pose dedans et… ON NE TOUCHE PAS, on ne remue pas. Punaise, j’ai l’impression que le Chef m’a espionné chez moi tellement il cite tout les trucs que je fais et qu’il ne faut pas faire.

1 minutes de chaque côté pour faire « la croute » (et on sale la viande de chaque côté AVANT de la cuire, merci)(faut vraiment que je chope les caméras planquées dans ma cuisine). Puis, au four (oui! dingue! j’ai l’impression qu’il existe un monde parallèle à ce moment précis) à 210.
Dans une autre poêle , on fait revenir les échalotes et on les couvre de vin rouge (plein, ouais, j’ai vu une dame grimacer à ce moment du cours, mais moi, même pas peur, je pourrai mettre ma vie entre les mains de ce Chef tellement j’ai appris de trucs qui peuvent paraitre idiots pour certains mais que je ne savais pas du tout.)
On sale, on poivre, on sort les onglets du four, on dresse l’assiette, on s’extasie et… à taaable.



(j’ai pas pu m’empêcher pour le dessin ridicule)

La préparation a été ultra rapide puisque concrètement, c’est un plat simple (pas pour tout le monde, je vous l’accorde).
On nous sert du bon vin, on mange, on discute, l’ambiance est super conviviale.
On nous propose un dessert concocté par le chef qui me fait l’effet d’un mini orgasme gustatif. j’aurai pu dire que c’etait moi qui l’avait préparé pour els photos, mais je sais que vous auriez trouvé ça louche, tout de même.

En bref, j’ai réellement aimé, même si j’avoue, je me suis laissée un peu porter, laissant les autres bosser pendant que je jouais à la blogueuse qui prenait des photos.
L’ambiance est top, le Chef aussi, le résultat était excellent.

C’est décidé, j’irai y refaire un tour un de ces quatre et j’y emmènerai N°1 avec plaisir aussi.

Pour plus d’info sur ce que propose l’Atelier des chefs et les programmes, c’est ici: atelier des chefs

Encore merci à Nadine P. pour ce chouette moment!
Et merci à mes coéquipiers et au Chef  qui ont grave assuré.. contrairement à certains… hum…

Oh Paris, si tu savais…..

… Tout le mal, que tu m’as fait….

Ouais, bon, j’exagère, c’est simplement que je suis rentrée hier soir et que mes pieds ne me remercient pas.

Parce que Paris, sinon, c’était bien, c’était chouette (oui, je suis dans ma période chanson française).

Tout commence par une invitation.. qui tombe le lendemain des « fameux » GBA (Golden Blog Award.. le César du blog? je ne sais pas, mais une cérémonie de remises des prix par catégories, en tout cas).

Temps d’hésitation: 2secondes 12.

J’irai donc la veille du rendez-vous, parce que pour cette soirée, je sais qu’une grande partie de blogueurs que j’adule seront là, et je VEUX les voir! Il suffit d’être frustrée systématiquement avec mon badge qui dit « I’m Lyonnaise, Je rate everything ». Après une organisation de ministre du côté de l’intendance de la maisonnée et léchage de bottes en règle de la directrice de la crèche, j’ai casé mon petit monde, je peux partir sereine. (ceci est une fiction, je ne pars JAMAIS sereine, ça fait parti du package quand t’accouches!).

Le train, j’adore ça. Sauf quand je tombe dans un carré. Bon, là, ça pouvait encore aller, j’étais entourée de 3 mecs en costard-cravate. C’est toujours mieux qu’avec une maman et ses deux enfants excités d’aller dans le pays de MickeyLand! (Je n’ai rien contre les enfants, j’en ai. D’ailleurs, je reste toujours souriante. MAIS, avouez que c’est tout de même la loose de lâcher ses propres gniards 2 jours pour se coltiner ceux des autres dans une espace réduit!). L’échec, c’est surtout que j’étais contre la fenêtre, que le type d’à côté avait sorti tout son matos de Geek et son magazine de Tuning et que mon envie pipi, je pouvais me la carrer où je pense (oui, je suis super sympa, je ne dérange JAMAIS mes voisins). Ca aurait pu être pire, d’habitude, je tombe systématiquement sur le vieux qui se mange un casse-croûte pâté de campagne maison-œufs durs avec l’Opinel qui va bien et la baguette entière.

Quand le mec de Tuning-mag s’est mis à s’endormir sur mon épaule, je me suis quand même demandée si j’avais bien fait de partir à Paris. et pour la première fois, je trouvais ça chouette que le contrôleur arrive en beuglant (pour réveiller tout le monde-et surtout Tuning-man) « Vérification des titres de transport Messieurs Dames!

Ensuite, je me suis dépêchée de retrouver les copines, ah non, pardon, il y avait aussi UN homme dans un café près d’Hôtel de Ville où se déroulaient la soirée des GBA.

Ca me fera toujours un drôle d’effet de rencontrer « en vrai » des gens que j’apprécie virtuellement. Tellement bizarre que j’ai eu l’impression d’être atteinte de mutisme tant les voir là était fou.

Pour faire court, l’Hôtel de Ville c’est la classe (je comprends le prix du café parisien), les blogueurs sont fous, les blogueuses mode sont… étonnantes et les blogueuses mamans.. nous quoi, ont dignement (ou pas) représenté leur catégorie avec, en tête de liste, Marie et Mère Bordel. Nous avons applaudi sagement Marie quand elle a reçu son prix… Nan, je déconne, on a hurlé comme des gosses en hyperglycémie. les mauvaises langues diront que les « mamans blogueuses » ont pété un câble, rapport qu’elles ne sortent pas souvent, scotchées qu’elles sont à leurs nains. Moi, je dirai qu’on a justement fêté une belle personne qui méritait son prix, et que malgré la pollution que l’on retrouve par ci par là remplie de rancœur, de jalousie et d’affaire de cours d’école, il y a aussi un gros noyau rempli de femmes qui se respectent et qui se soutiennent.

Frustration, j’ai dû partir assez rapidement pour rejoindre mon hôte avec qui j’ai passé la fin de soirée. J’étais claquée. Et je n’avais pas mangé depuis le petit matin… Par contre, bizarrement, ça ne m’a pas coupé la soif… hum…

Merci les copains!

Le lendemain, à mon rendez-vous (vous saurez tout très vite, j’ai encore ramené un cadeau, je suis trop bonne), de nouveaux des rencontres, encore une fois, vraiment chouettes.

Et puis à 15heure, j’ai fait la touriste pour rejoindre Boulevard Haussmann et voir « enfin » ce qu’étaient les Galeries Lafayette de Paris. N’est pas touriste qui veut. Moi, j’ai fait la touriste de base qui n’a toujours pas compris que Paris, c’est grand, que Paris, avec le baise-en-ville qui pesait une demi tonne, on se démet une épaule, que Paris avec 8cm de talons…… on meurt.

J’ai rampé jusqu’à la gare. je pense même que je me suis trainée jusqu’à mon siège. Lessivée.

J’ai manqué de dégommer la vieille à côté qui lisait ce que j’écrivais (c’est à dire, pas grand chose vu mon état) par dessus mon épaule.

Et puis, j’avais plus de batterie aussi… alors je me suis incrustée en Première pour recharger un peu avant mon arrivée, et j’ai failli rater ma gare parce que… je ne retrouvais plus mon wagon. J’ai fait rire tout le monde (franchement, les gens ont un humour douteux).

Si tu as pris le TGV n°6615 en provenance de Paris et que tu as vu une fille perdue, avec un chargeur autour du cou et une démarche d’unijambiste.. c’était moi.

Mais sinon, Paris, je reviens quand?

Ah oui, aussi, j’ai été sélectionnée par ELLE (ouiiii, le magaziiiiine) pour le Grand Prix des Blogueuses, si jamais vous souhaitez me soutenir, c’est là:

MERCI :D

le choix du « nous »

Il y a des choix que je récuse, parfois même violemment car ils sont pour moi inacceptables. Il y a des choix que j’abhorre tant ils violent la dignité humaine. Il y a des choix que je ne comprends pas et qui me laissent septiques. Et puis il y a des choix que j’admets, que j’admire aussi, parfois, des choix de vie que je n’ai pas fait en prenant le choix d’une autre option, qui me convenait à moi et à ma vie.

Mises à part quelques exceptions qui me rendent malades et sur lesquels je ne transigerais pas, je tente, autant que mon côté humain me le permet, d’accepter le choix des autres, même s’il diffère du mien, et je lutte aussi pour tenter de ne jamais juger, parce que rester à l’écoute de l’autre m’a toujours paru une solution bien plus pacifique et constructrice que l’inverse.

Lundi soir, pendant une soirée à laquelle j’étais invitée, j’ai fait la connaissance d’un couple.

Ils étaient mignons, tous les deux. Et sympas, gentils comme tout. La quarantaine et toujours amoureux comme au début d’une relation, comme des ados, un peu.

Au fil de la conversation, ils apprennent que j’ai laissé mes enfants à Tony et sont supers contents de voir que certains arrivent à se faire plaisir en organisant des sorties « l’un sans l’autre », histoire de souffler un peu. Eux? non, eux, ils n’ont jamais besoin de souffler, l’un sans l’autre, ça n’existe pas, mais ils me comprennent, c’est agréable. Eux, jamais séparés, ça voulait aussi dire qu’un enfant ne pouvait venir perturber leur petit équilibre.

Ils encaissent des remarques chaque jour à propos de leur choix, ils savent à quel point, si l’un venait à disparaître prématurément, ce serait difficile de ne pas avoir un petit bout de l’autre, ancré dans un enfant. Mais c’est leur choix, le choix qu’ils ont fait pour eux, un choix qu’ils assument complètement, avec les risques qu’il comporte mais aussi avec toute la liberté qu’ils s’octroient en le faisant.

Le choix de faire un enfant parait tellement évident quand on est une femme qu’on oublie que certaines ne pensent pas du tout comme cela.

J’ai vu ce couple tellement uni, tellement heureux que je me dis que quelque part ils ont fait leur bon choix, parce que faire un enfant fait valser le couple originel dans tous les sens et qu’il est parfois bien difficile de le maintenir, le contenir et l’empêcher de s’effriter.

Évidemment, pour rien au monde je n’aurai pu choisir de vivre cette vie là, j’ai toujours voulu des enfants et malgré tout ce que je peux dire, ils me le rendent bien. Mais jamais je ne pourrai me permettre de juger ce choix là. Jamais.

Que l’on fasse l’un ou l’autre de ces choix, le couple assumera un tas de responsabilités et traversera ses crises. Il encaissera les remarques de « ceux qui savent mieux », l’un se battra pour continuer à exister , l’autre se battra pour faire accepter son choix.

Ce soir, là, sans jugement, entre personnes dont les choix étaient diamétralement opposés, c’était bien.

Tchi Tchaaaaa

Depuis la naissance de N°1, que dis-je, depuis même ma grossesse de N°1, le cinéma et nous sommes un peu fâchés.
Pendant la grossesse, c’était surtout une question de confort. Devoir rester assise 2 heures sur un siège relativement inconfortable, sans vraiment pouvoir y changer de position ni me lever pour courir faire pipi… mouais, bof, j’ai vite renoncé.

C’est dommage, parce qu’après ça, une fois le bébé arrivé, on a vite réalisé qu’on aurait dû en profiter AVANT.

La sortie ciné + baby-sitter, c’est no way niveau budget. D’autant que quitte à sortir, on en aurait profité pour se faire un petit casse-dalle avant ou après… On peut compter 20 (ciné)+20 (casse-dalle) +35 (Baby-Sitter): 75euros la sortie, nan, merci, ça va aller, je vais plutôt regarder Les Gendarmes à St Tropez ce soir!

Évidemment, l’arrivée de Clapiotte n’a rien arrangé, fallait un peu s’en douter.

Mais…mais! Comme je ne suis qu’une vraie gamine, j’ai décrété qu’il y avait certains films qu’il fallait que je vois impérativement au cinéma. Oh, non, pas des films d’auteurs. Nan, quand je raque, c’est pour voir du bon cinoche made in USA avec plein d’explosions qui te bourdonnent encore dans l’oreille deux heures après!

Dernier en date: Harry Potter.

Je suis tombée dans les livres d’Harry Potter à la fac. Je trouvais ça vachement plus fun que la biochimie. Comme j’avais envie de faire un peu ma crâneuse, je les ai lus en anglais. Et j’ai vraiment accroché. Du coup, quand les films ont commencé à sortir, j’y suis allée à chaque fois. Et cela a une nouvelle fois été le cas cette année. Je suis sûre que Tony adoooore se taper cette histoire de sorcier prépubaire (enfin, plus maintenant, Harry a du poil, Harry devient un homme, même si Harry ne joue toujours pas super bien la comédie..hum!) à chaque fois. Tant pis, c’est un peu mon film.

Enfin, quand je dis « mon », on se comprend. La salle était archi bondée. On a tout de même trouvé une bonne place. Ça faisait longtemps qu’on n’était pas allé au ciné (dernier film en date: Avatar…)

Ouf, les gens nous entourant sont des gens bien élevés qui ne s’empiffrent pas de pop-corn où tout autre friandise bruyante et odorante! Le film va commencé.

En soi, j’aime bien les Harry Potter parce que… euh… ça me fait un peu rêver, aller, j’avoue. Et puis je trouve que l’histoire est complètement dingue et le livre avait beaucoup fait travailler mon imaginaire.

arry

T’as changé Harry, tu sais ça?

Certes, ce ne sont pas les plus grands films sur la toile, mais c’est comme ça, j’aime bien., ça me détend, j’ai aps trop besoin de mon cerveau que je mets ainsi en jachère. Pour vous rassurez tout de même sur ma santé mentale, je n’ai pas encore acheté les poupées à l’effigie des héros, ni décoré la chambre des couleurs de Hogwarts.

Mais la fille assise à mes côtés, sûrement.

Une dingue. Dangereuse psychopathe.

Les films de Potter sont sombres et nous font sursauter. C’est toujours comme ça. C’est pas comme si c’était une surprise.

Comme je suis à fond dans l’histoire, je sursaute en même temps que tout le monde. Jusque là, rien d’anormal.

Sauf qu’en fait je re-sursaute par dessus tellement l’hystérique me servant de voisine hurle de peur.

Je disais que j’étais à fond? Elle, je crois qu’elle voyait le film en 3D avec le goût et les odeurs en plus!.

Elle a failli me scalper le bras à un moment.

Et puis, elle m’a pris mes mouchoirs quand elle s’est mise à pleurer pour je ne sais quelle raison sentimentale (Harry avait dû casser ses lunettes). Une fontaine. Je crois qu’elle ne s’est pas arrêter. Sauf pour hurler d’effroi et bondir de son siège à plusieurs reprises. Du coup, moi aussi.

Je suis sortie de là épuisée. Réellement lessivée. J’ai vécu le film deux fois. Et après plus de 2 heures 30 aux côtés de cette folledingue, je peux maintenant certifié que je ne suis ni cardiaque, ni chiante, parce que je l’aurai bien empalé à certains moments!

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Et vous? Vous avez déjà eu des expériences un pu hors normes dans une salle obscure? (en relisant cette phrase, je me dis qu’éventuellement, va y avoir de l’histoire croustillante!)

N’oubliez pas le cadeau Lilikim à gagner ici jusqu’à vendredi et n’oubliez pas non pus de cliquer pour le Cranemouthon sur la bannière ci-dessous puis sur « j’aime ». Si c’est déjà fait, vous pouvez faire passer le messages à tous vos potes facebook, mince, je suis le seul blog de maman qui ne fait ni tricot ni scrap, alors aidez moi s’il vous plait, que j’arrive dans les 3 premières ne serait-ce que pour l’honneur!!!(et j’y suis pas du tout!)

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chanc

Zizi-Coincoin l’eau moi j’aime pas ça…

Ce week-end, j’avais rendez-vous.

Le jour était stabilloté de rose depuis plus de 6 mois déjà, les billets de train précieusement conservés.

Une fois de plus, je montais à la capitale. Mais cette fois, pour y rencontrer la réalité.

J’ai enfin pu entendre leurs voix, voir leurs sourires, discuter sans reprendre notre souffle, écouter en buvant leurs paroles, essayer de ne pas en perdre une miette.

Trinquer.

J’ai trouvé ça simple, juste et naturel (et trop rapide).

J’étais hors du temps, dans une bulle virtuelle dont les limites s’estompaient doucement pour y découvrir leurs réalités.

J’ai rencontré des amies.

Sans m’en rendre compte, nos échanges dans « nos » espaces virtuels ou par messages nous avaient rapprochées, au point qu’une amitié renforcée de confiance et de respect s’était dessinée.

La réalité n’a rien gâché, juste renforcé mon sentiment.

Et me voilà de retour.

Et je me rappelle (enfin) que la démarche d’un blog est avant tout celle-ci: échanger. Ca m’a fait du bien de m’en souvenir, surtout en ce moment.

Le petit cadeau bonus étant de trouver de nouvelles affinités et de les entretenir au point de les rendre réelles.


A vous, alors, je vous dis MERCI… pour tout ça.

Et aux autres, je vous dis « à bientôt, en vrai, j’espère.

Un week-end comme celui là se devait d’être fêté dignement

HIPS



Pour les « non blogueuses » qui viennent me rendre visite, il y avait aussi des lectrices parmi nous, car les échanges se créent AUSSI dans les commentaires que vous laissez sur les blogs de chacune!

C’était un peu personnel, comme  message, mais j’avais envi d’écrire « à chaud ».

Merci encore à notre hôte de la journée, celle de la nuit, la cuisiniere qui nous fout des complexes, les buveuses de Mojitos, celle qui aurait voulu boire des mojitos, celles de Zizi Coincoin, la plus belle, l’interpréte, la dingue, la plus rose, celle qui devrait se bouger pour se faire éditer, la maicresse, la trop jeune qui fout les boules, l’amie et la blonde

Et une grosse pensée pour les absentes aussi qui nous ont manqué, vraiment, trop loin, trop de travail ou trop enceinte… on compte sur vous la prochaine fois!

qui l’eût cru?

Vendredi soir, nous avons fêter l’anniversaire de N°1 chez mes parents. Nous sommes rentrés vers 21h30, les bras chargés de cadeaux, parce que pauvre enfant, il n’en avait eu seulement que 198!
En passant dans la cours intérieur, nous nous sommes rappelés que la fête des voisins, c’était ce soir là. Bon, donc, bh, on pose tout notre matos de Noël et on redescend avec une bouteille, il est bien temps de rencontrer nos amis de pallier!

Tony ayant largement fêté les 5 ans de N°1 à coup de champagne la veille au soir et pendant le repas également, il nous a quitté avec les nains (YES) au bout de 15minutes.
Me voilà donc seule avec un tas de gens que je n’ai jamais vu. Courage et rosé aidant, je m’incruste dans les conversations.
Ces gens sont très sympathiques…on se croirait dans un épisode de Friends, sauf que les poubelles nous entourent.

J’ai ri comme une baleine parce que Julio du 1er parle très fort et dit beaucoup de conneries, j’ai été agréablement surprise de voir qu’on avait les mêmes ambitions professionnelles avec Joséphine du 4ème, j’ai récupéré deux poupées que j’ai dû garder très précieusement pour deux petites filles tellement mignonnes, j’ai goûté à un alcool préparé par un roi pour le mariage de Céline et Paulo, j’ai tapé du pied quand ils ont déballés l’acordéon, la clarinette, le djumbé et la guitare, j’ai été émerveillé par l’incroyable ambiance au moment de la musique de « Chat Noir, Chat Blanc », j’ai ri, encore, je ne voulais pas rentrer. Toutes les personnes présentes étaient parfaites, j’aurai envie de les voir tous les jours parce que je n’ai pas pu parler avec tous. Nous sommes dans un immeuble où les gens nous ressemblent, et je trouve ça presque merveilleux.

Bon, certes, les voisins qui crachent dans les escaliers ou qui laissent leur tapis devant ma porte sur la rampe n’étaient aps là, mais j’espère que cette soirée n’est que la premiere d’une longue liste, et que petit à petit, l’immeuble sera de plus en plus convivial (au mielieu de tags NTM et des boîtes aux lettres cramées).

Je suis comme une dingue, ça doit pas être tous les jours qu’une fête se fait dans une telle ambiance alors que personne ne se connaissait au départ (c’était la grande première). Vivement les suivantes!!!!

Et vous? vous êtes amoureux de vos voisins ou pas?