Archives de catégorie : Bon plan

Le jour où j’avais tout misé sur le portage

S’il y a un truc que j’attendais impatiemment depuis l’arrivée de JackJack, c’était de pouvoir le porter.

J’ai découvert ça avec Clapiotte, il y a 10 ans, et j’ai trouvé ça tellement chouette que j’ai regretté ne pas avoir connu le concept pour N°1. Je l’ai portée jusqu’à deux ans et quelque à l’époque.
Le premier truc que j’ai acheté pour JackJack, d’ailleurs, c’était la même écharpe que j’avais pour Clapiotte. J’en gardais des super souvenirs de praticité ultime, je VOULAIS revivre la même chose.
Je marche vraiment pas mal, j’évite de prendre la voiture et si je peux éviter les transports en commun, je fonce…  Donc forcément, le portage, c’est cool dans ces cas là, surtout dans une ville comme ici où tout ou presque se fait à pied.

Pas de bol, JackJack a jamais trop kiffé l’écharpe. Faut dire que les noeuds, c’est pas vraiment mon truc (huuhuhu)
Si je faisais des enfants faciles à vivre ça se saurait depuis longtemps en même temps, j’aurais dû me douter.
Je me suis pas laissée abattre, j’en ai acheté une autre. Même effet. (mon banquier me stalke depuis, pour intervenir selon mes recherches Google et me taper dessus)
J’étais pas à l’aise non plus d’ailleurs alors qu’avec Clapiotte je pouvais rester des heures avec elle en mode kangourou.

Bref, du coup, j’avais hâte de tester le fameux Boba X trouvé chez Les Petits Baroudeurs : à défaut d’écharpe, je misais tout sur le préformé.

Seulement, voilà, mon petit JackJack était bien petit au début (il est quand même né 1mois plus tôt) et j’ai vraiment été à l’aise à partir de ses 5kg environ (aujourd’hui il en fait 7,5 et il se tient droit, c’est encore plus facile)
Bref, le jour béni est arrivé. Click, clack, Jackjack s’est retrouvé installé et là… bonheur. D’une, il a rien dit, ce qui était pas gagné vu qu’il avait l’air d’aimer le portage en écharpe au moins autant que de se rouler dans des orties (nu). Et de deux, j’avais oublié à quel point les préformés permettent de porter longtemps sans se bousiller le dos.

Heureusement, j’ai envie de dire, parce que non seulement je trouve ça autrement plus pratique qu’une poussette pour faire certains trajets, mais en plus, comme on m’a collé l’option « reflux » dans le balluchon de JackJack, donc autant te dire que je le porte BEAUCOUP (j’ai d’ailleurs commencé à optimiser le concept en faisant des sumo-squats jackjack-lestés)


Ça c’est quand il pète un câble et que je n’ai que cette solution pour, au choix,
manger, faire un truc (oui, même aller aux toilettes) ou juste me poser 5minutes…

Pour Clapiotte, j’avais cherché un porte-bébé adapté à la marche à l’époque et déjà, j’avais pris un Boba (deux, en vrai, mais chut, mon banquier me lit je te dis).

Ce modèle-ci permet de porter dès la naissance (3,5kg) (mais du coup on aura attendu 1 mois et demi ici) sans insert, jusqu’à 20kg, grâce à des réglages spécifiques qui sont, finalement, après un petit moment de panique du genre « j’vais rien comprendre, j’vais jamais y arriver », assez simples à mettre en place (oui, donc, même pour une buse comme moi).
On avait hésité avec le Neo de Neobulle qui a peu ou proue les mêmes avantages.

Depuis, donc, je peux enfin re-marcher des kilomètres sans souci, mais je peux aussi laver les biberons en me faisant vomir entre les seins et rien que pour ça, de toute façon, ça faut le coup !

Bonus track : c’est facile à mettre et le papa est plus que ravi de partager ce genre de moment avec JackJack, notamment pendant nos vacances à la campagne où la poussette était proscrite.

Par contre, petit message personnel à mon pharmacien (et à la vieille du 2ème): ce n’est pas parce que la tête de JackJack dépasse QUE TU AS LE DROIT DE LUI TOUCHER NANMÉHO ! (moi par contre le peux lui crougner les petits cheveux de la nuque dès que j’en ai envie, jsuis sa mère, je fais ce que je veux)

 

 

 

 

 

 

 

J’ai eu un Chef à Domicile (hé OUAIS)

On a pu voir récemment que j’étais déjà au top de l’influence au niveau de la mode ou de la beauté.
Aujourd’hui, il est donc temps que tu comprennes que je suis également hautement influente dans le monde de la gastronomie.
C’est un peu inné, chez moi, la gastronomie, rapport que je suis lyonnaise, et ici, on est un peu tous les enfants spirituels de Monsieur Paul.
Personnellement, je pratique mon art entre mon congélateur et mon micro onde et j’ai été élue très récemment meilleure brûleuse de quiche au niveau régionale.
Une des plus hautes distinctions dans le monde du « fooding ».

Du coup, pour ne pas me faire trop d’ombre, je ne parle que très rarement de nourriture ici, ce ne serait pas fairplay de ma part de donner mon avis alors que je suis clairement hors compétition.

Maiiiiiis…. Voilà, j’ai quand même été tentée d’accepter une proposition de test : recevoir un chef à domicile, histoire d’avoir la critique facile. Je devais avoir envie d’exposer mon savoir et d’user de méchanceté gratuite, je ne sais pas…

Le site La Belle Assiette propose une multitudes de chefs (des VRAIS chefs, donc) qui viennent à ton domicile et te préparent ton petit repas pour deux ou plus dans ta propre cuisine.

Le concept était tentant, tu avoueras,  le rendez-vous fût donc pris avec Kevin Bense, qui, en plus de venir se faire juger par mes papilles intransigeantes, passait son baptême du feu de « validation » par le jury.

Le jury, c’était 5 potes et moi-même, le soir de la Saint Valentin.
6 joyeux lurons qui voulaient fêter une contre-fête des amoureux en la transformant en fête de la bonne cuisine, et pour le coup, l’idée d’avoir un chef à domicile sur Lyon ce soir là était une riche idée.
On était au taquet, entourés de 5 enfants en bas âges histoire de mettre le chef en situation réelle d’un vrai dîner convivial (et bruyant).

Le chef est arrivé avec ses ingrédients, après s’être assuré au préalable que j’avais tout ce qu’il fallait sur place (un four, des plaques, en gros).
Bon, en vrai, c’était pas chez moi, mais chez un des invités, devenu hôte, si tu comprends rien, fais comme si c’était la maison du bonheur, on habite tous un peu là-bas de toute façon.

Kevin a été confronté, donc, au bruit de 5 enfants ne sachant que courir ET au bruit de 6 adultes de fort bonne humeur.
Mais il ne s’est pas laissé démonter, loin de là.
II a géré comme un chef (haha, je suis si drôle), nous proposant ses plats d’une finesse et d’un goût dingue.
Ici, pas de truc revisité croquant-craquant à la Top Chef où tu comprends rien à ce que ta fourchette contient. Des ingrédients frais (Kevin travaille aux Halles de Lyon, à la Maison Malatre, donc niveau bons produits, il partait déjà avec un bon point, travaillés ce qu’il faut pour les mettre en valeur.)
En plus de ses délicieux plats et de la présentation digne de grands restaurant, il a su garder sa patience et sa bonne humeur et surtout, répondre à toutes nos questions, et ce, avec passion, en tout cas quand il s’agissait de son travail (oui, parce qu’il est possible que la soirée avançant, nous ayant été quelque peu intrusifs sur sa vie privée aussi).

Le dessert étant constitué uniquement de fruits rouges et ayant une aversion pour ces derniers, il m’avait préparé un sublime dessert aux chocolats, que je n’ai bien entendu partagé avec personne, à ce stade là de gourmandise, c’est chacun pour soi.

A la fin de la prestation, le chef nettoie la cuisine (qui était bien plus nickelle après son passage qu’à son arrivée) et s’en va.

Alors, bon, oui, je ne suis certainement pas une experte en grands plats  et je sais depuis peu de temps ce qu’est une courge butternut, mais j’ai passé un excellent moment, du début à la fin, avec un chef qui a su rester discret quand il le fallait et qui est tellement passionné par son métier que j’ai (presque) décidé de faire un effort au niveau de mes quiches ratées. C’est dire si j’ai apprécié !

Pour info, les menus proposés vont de 35 à une centaine d’euros par personne selon la formule choisie.
L’idée ET l’expérience sont carrément validées par mes amis et moi-même, c’était top (chef)(Cranemou, humoriste redondante) et j’espère bien trouver une autre occasion pour remettre ça un de ces jours. En attendant, on passe parfois faire coucou à Kevin aux Halles, du coup, pour lui rappeler qu’on lui a chanté une belle chanson en fin de repas et qu’on n’est pas du tout une bande de relous, mais non, on est juste…festifs.

Plus d’infos ICI pour trouver un chef à domicile près de chez vous

Crédits photos La Belle Assiette (je vais retrouver le nom du photographe promis, je l’ai mangé avec le reste :/ )

J’ai testé le spectacle de Disney sur glace (mais pas avec mes enfants)

Tu apprendras que depuis quelques temps, je perds pas mal de points de durée de vie à cause d’expériences un peu extrêmes.
Genre « faire des activités avec des jumeaux de 5 ans qui ne sont pas à moi » (promis, si j’ai des jumeaux de 5 ans un jour, tu en seras le 1er informé)
Je te raconterai dans le tout prochain article comment j’ai survécu (plus ou moins bien) à un week end au ski avec ces mêmes jumeaux, mais avant, laisse moi te conter en guise d’apéro ce joli petit après-midi de samedi.

Par un malheureux hasard, je devais emmener Clapiotte voir le spectacle de Disney sur glace la semaine dernière et finalement les dates qu’on me proposait n’allait pas, ou plus, et bref, du coup, j’ai eu des places pour samedi. Sauf que samedi, je n’avais pas Clapiotte.
J’aurais pu m’arrêter là, mais je suis joueuse, j’ai donc proposé d’emmener les jumeaux de copains avec moi.
Ouais.
Laisse tomber j’suis trop cool comme pote.

Je te mets en situation :
Des.
Jumeaux.
De.
5 ans.
Montés sur piles.
Mais genre piles éternelles tu vois ?
Voilà.

Le spectacle avait lieu à la Halle Tony Garnier à Lyon (mais ils sont en tournée si tu veux, les dates sont ICI).
Je n’aime pas particulièrement cette salle quand il s’agit de concerts, mais quand il s’agit de ce genre de spectacles, on ne peut pas nier que c’est pas mal fichu pour les greffons quand même.

En arrivant près de la Halle, on a un peu halluciné sur le monde qui faisait la queue pour rentrer, je ne sais pas si c’est pareil dans toutes les salles, mais je t’avoue que pour un spectacle familial où plus de la moitié des spectateurs a moins de 12 ans, c’est hyper moyen de poireauter 45 minutes sous 2°c parce qu’on rentre au compte goutte (je comprends le compte goutte, mais bon, un chouille plus d’agent de sécurité aurait bien aidé à drainer le flux plus rapidement).
Résultat : des enfants qui râlent, moi qui râle, des crêpes achetées une plèvre au marchand ambulant qui a tout compris au commerce de rue. Ça donnait déjà envie.

Une fois à l’intérieur, il a aussi et surtout fallu lutter pour ne pas se délester de beaucoup trop d’euros parce que, bien évidemment, les produits dérivés foisonnent, à grand renfort de trucs-lumineux-qui-tournent et qui hypnotiseraient le plus réticent des borgnes.

OUF, nous voilà assis.

Je t’ai dit que les deux Scotchs dont j’étais flanquée ce jour-là étaient des piles en temps normal (je ne rigole pas hein, c’est VRAIMENT des oufs)
Et bien tu apprendras qu’ils n’ont pas bronché de TOUT le spectacle.
Spectacle de 2h, entracte inclus donc.
GROSSE, grosse performance.

Il faut dire que c’est Disney, ça rigole pas au niveau des tableaux qui envoient du lourd et des déguisements de dingos. C’est joli, c’est féérique, ça danse, ça saute, ça chante,y’en a pour tout le monde.
A partir du moment où Disney et ses chansons entêtante ne te font pas sombrer dans une profonde dépression, alors ça peut devenir magique.
Perso, je suis du genre à connaitre toutes les chansons par cœur (d’ailleurs, hein, un scotch m’a bien fait comprendre de la fermer en hurlant un « mais arrêêêêête de chanterrrrrr »(alors que je MIMAIS, en plus !)) alors ça allait (même si 2h, ça reste quand même un peu long).

Bref, on a vu Mickey et ses copains, la Petite Sirène, le Roi Lion, La Reine des Neiges, Peter Pan…. et loin d’être cheap, les tableaux présentés sont représentés avec des patineurs plutôt doués et des décors bien cool à la manière de Disney.

Bon… Le retour fût en revanche nettement moins calme, parce que les petits Chachoux, autant te dire qu’après 2h à se passionner pour Simba et Wendy, ils avaient besoin de se défouler (gros big up à tous les parents de jumeaux, perso, j’aurais voulu dormir 1000 ans après cette épreuve).

Allez, demain, je te raconte les Chachoux à la neige ou comment j’ai pensé me défenestrer en pleine Chatreuse.

 

Et elles inventèrent le #CoworkBeach

« Ouaaaaah, t’as trop de chance d’être freelance, c’est super, tu fais ce que tu veux, c’est génial ! »

Qu’est-ce que j’aime faire rêver les gens, si tu savais…
Parce qu’on va pas se mentir, être indépendante, c’est surtout pas mal la merde en vrai.

Par exemple, moi, en juillet et en aout, je bosse moyen moins, parce que mes clients sont en vacances. Du coup, en septembre, je commence le mois avec zéro, c’est génial et pile dans le timing pour pouvoir payer ma taxe d’habitation et ma taxe foncière, j’aime beaucoup.

Et puis il y a les fois où tu es malade et où vraiment tu peux pas bosser, mais comme t’es freelance et pas salarié, y’a personne qui t’envoie quand même un minimum pour vivoter.

Et ces fois où tu te retrouves à accepter bien trop de taf et à bosser comme un husky parce que « on sait jamais »…

Et puis freelance, c’est aussi le synonyme de solitude, un peu. Parfois, j’en viens à parler  à ma cafetière, c’est dire si je pète les plombs…
Du coup, depuis quelques mois (ou années, je ne sais même plus); on essaye de se retrouver une fois par semaine avec ma désormais coéquipière Séverine, rédactrice web également, histoire de se soutenir et d’éviter de parler à du sopalin.
Et un jour, au détour d’un 43ème café, elle me dit « et si on partait 3 jours quelques part, n’importe où, au moins cher ? »

Après, tout, c’est ça aussi, le freelance. Pouvoir gérer son emploi du temps comme on veut, et travailler d’où on veut si besoin.

On a dégainé le site Kayak et sa fonction « explore » et on a cliqué sur le billet le moins cher aux dates qu’on avait choisies.
Ca aurait pu être Dunkerque.
On s’est retrouvé avec deux billets allers-retours à Palma de Majorque pour 40€ chacune aller-retour.

Comme on éructait notre excitation et notre joie d’avoir de si bonnes idées et autant de chance, on s’est lancé un défi : 3 jours, 2 nuits, 150€. TOUT compris.

Voilà le résultat (pour UNE personne, hein, faut pas déconner)

– Billets d’avion A/R Lyon-Palma : 40€ (EasyJet)
– Trajet Lyon-Aéroport (aller) : 4€  (BlablaCar)
– 2 nuits en auberge de jeunesse (Hostel Fleming) : 55€
– Taxe de séjour : 1€
– Navette aéroport Palma A/R : 10€
– location de vélo : 9€ (Palma Lock and Go, Plaça d’Espanya)
– Visite Église : 5€
– Pause déj pizza/2 boissons : 6€
– Apéro : 2,50€
– Bar à tapas (tapas (plein) + 1 verre de vin + eau) : 15€
– Petit déj (Café + spécialité patissière bien grasse « ensaimada ») 2,5€
– Supermarché pré sortie vélo (eau/collations) : 2,50€
– Coca de survie pendant sortie vélo : 1,5€
– Pause déj : 1 plat + boisson : 7€
– Apéro : 5,50 €
– Collation du soir (histoire de) : 5€ (mais en vrai on se souvient pas très bien, on pense moins, mais on va mettre large)
– Trajet Aéroport-Lyon : 6€ (BlablaCar)

 

Et au total du coup ?

Et bah 177,50€, porte à porte depuis Lyon pour 3 jours et 2 nuits à Palma de Mallorca.
On a « un peu » dépassé le budget, mais je pense qu’on aurait pu économiser sur les nuits… sauf qu’on n’était pas encore tout à faire prête pour le couchsurfing, ni pour les chambres communes de l’auberge de jeunesse.
Bref…

On va être obligé de refaire pour rentrer dans le budget. TROP dommage !

Sans avoir eu l’impression de nous priver, on a vraiment rentabilisé notre excursion. On s’est aussi perdu, parce que c’est quand même la base, on a vu de choses magnifiques et d’autres moins cool mais on a beaucoup dit « Hannnn c’est trop beauuuuu », c’est que ça nous a plu.
Et donc, OUI, j’ai aussi travaillé un peu, dans l’avion et dans la chambre, donc TOUT est possible, en fait.

Le freelance c’est trop cool ?

Ouais. GRAVE ! (mais pas tous les jours, comme le reste quoi)
Mais surtout, on vient de nous prouver à nous-mêmes qu’on pouvait visiter des pays sans non plus se ruiner, et sans pour autant, non plus, faire les pouilleuses (parce que ouais, on n’a plus trop l’âge d’avoir le courage d’assumer ce qu’on assumait quand on avait 20 ans, en vrai…)

Et je te débriefe le voyage en question très rapidement, promis, tu vas rigoler !

 

 

Hop hop hop les fournitures scolaires, c’est mon affaire !

Avant de reprendre sérieusement les articles où je vais te raconter ma vie en long, en large et en travers, j’ai encore un petit cadeau pour toi en ces derniers jours de vacances (scolaires, tout du moins).

 

La dernière fois, je t’ai laissé en parlant de cartable, bon, , il est clairement temps de le remplir non ?

Comme chaque année, maintenant, il est grand temps que je te fasse gagner ton petit kit de fournitures scolaires pour alléger ton budget de rentrée (ou celui de l’année, vu le nombre de tubes de colles que les greffons arrivent à avaler en moins de deux mois, ça te servira toujours)

Top Office m’a envoyé un petit colis et tu peux en recevoir un toi aussi, ça te dit ?

Pour cela, tu as jusqu’au 27 aout 18h pour me laisser un (gentil)(ou drole) commentaire ci dessous, avec une bonne adresse mail (parce que je contacterai le gagnant par ce biais).
Le colis sera envoyé en France métropolitaine seulement.

Je commence le tri de mes photos pour te faire baver et je reviens avec des anecdotes du Cap d’Agde que même dans tes rêves les plus fous tu ne pouvais imaginer ça !

Bon courage à ceux qui, comme moi, sont revenus, et pour les autres, bah… profitez-en bien !

 

 

T’as préparé leur rentrée ?

Nan mais LA BLAGUE.
15 jours que les greffons sont en vacances, on a fait les foufous et on est partir DIRECT et vacances histoire de couper avec une année un peu fatigante et en rentrant, que vois-je ? Je DÉCOUVRE la liste de fournitures pour la rentrée.
Nan mais je ne m’y attendais pas. Tellement pas. Je vivais dans le déni depuis 2 semaines et j’ai même pas eu le temps de vider ma valise que me voilà avec cette corvée supplémentaire.
Bon.

Ça veut dire quand même que j’ai biiiiien profité des vacances, on va dire, tellement j’avais zappé la vraie vie.

Gros avantage quand même de la blogueuse que je suis, c’est que j’ai pu déjà pallier à une grosse envie de Clapiotte pour sa rentrée : un nouveau cartable. Un truc qui fasse moins « bébé » (Clapiotte cette ado de 7 ans et demi).
Chez Auchan, ils ont sorti 3 nouvelles collections de cartables et sacs à dos et Clapiotte a pu choisir.

Je te laisse deviner ce qu’elle a pris ? Mais si t’es vraiment curieux, tu peux aller voir sur Instagram la photo, on te fait gagner la même chose qu’elle (parce que Clapiotte est trop une influenceuse tu vois) pour la rentrée !
Je te laisse le soin d’aller voir le post Instagram pour, donc, jouer et tenter de gagner le même cartable et la même trousse que mon Scotch. Tu as jusqu’au 30 juillet, allez, c’est les vacances je te laisse du temps.

 

Maintenant… Plus qu’à remplir ce sac donc… Arf… A moi les courses  ! (kill me)

Coucou, tu veux connaitre mes bons plans du moment ? (Cadeau inside)

Bonjour bonjour, C’est Cranemou les bons tuyaux !

Tu sais, régulièrement et certainement parce que mon adresse mail est un chouille trop visible sur ce blog, je reçois des mails m’annonçant des nouvelles plus formidables les unes que les autres (ou moins)(souvent moins, il faut bien l’avouer).
Tout ne changera pas nos vies, du coup, la plupart du temps, je mets dans la corbeille laisse mourir le temps de recevoir d’autres mails tout aussi intéressants pour faire descendre les précédents dans les tréfonds de ma boite mail.
Mais parfois, je me dis que ça peut vous être quand même utile, alors voilà quelques « bons plans » retenus pour vous.

  • CHEZ KING JOUET
    Jusqu’au 24 avril les magasins King Jouet proposent 20% de réduction sur une grande sélection Disney, du coup, on est allé voir ce que ça pouvait donner et on est reparti avec des petits cadeaux pour pas trop cher pour les greffons (et pour les anniversaires des copains à venir aussi, tant qu’à faire) : Du Marvel, Star Wars, Cars, Vaiana et Reine des Neiges etc… autant vous dire que ça vaut le coup.
    Et si vous avez l’occasion d’aller en magasin, c’est assez sympa en ce moment car ils proposent des animations, dont des tests de certains jeux en rayon, et ça, moi, j’aime bien tester pour me faire une idée avant d’acheter des trucs.
    Du coup, donc, j’ai une carte cadeaux de 25€ à vous faire gagner (et tu vois, par exemple, pour 25€ grâce au 20%, tu peux avoir Vaiana, Captain America ET le jeu de pousse-briques ci dessous. OUAIS !).
    Pour tenter votre chance, laissez moi un commentaire en me disant quel produit de la sélection Disney ferait plaisir à ton greffon personnel.
    Vous avez jusqu’au 17/04/2017 17h. Je tirerai au sort le gagnant et le contacterai par mail.

  • A VOT’ BON COEUR
    La Course Des Héros aura lieu le 18 juin au Parc de Gerland.
    A l’occasion de ce défi caritatif, je soutiens l’association « Horizon Parrainage » pour leur permettre de financer leurs actions auprès des 110 enfants parrainés et des 50 demandes de parrainage en attente.
    Le parrainage de proximité permet à chaque enfant de découvrir d’autres horizons en vivant des expériences nouvelles, qu’elles soient culturelles, sportives, ou simplement humaines. Il apporte ainsi des ressources et un soutien complémentaires qui peuvent conduire l’enfant à mieux envisager sa vie d’adulte.
    L’association est toujours à la recherche de bénévoles (plus d’infos ICI).
    Elle participe à la course des héros et a du coup besoin de tout le soutien possible afin de collecter un maximum de don et pouvoir bénéficier de l’aide dont ils ont besoin.
    Si vous souhaitez participer à cette collecte c’est ICI QUE CA SE PASSE (merci d’avance  pour eux)(vous avez qu’à faire comme si c’était pour dire merci pour le concours précédent ;) )
  • A LYON :
    En terme de bons plans, j’ai aussi, du coup, recensé plein de chasses aux œufs qui auront lieu ce week end à Lyon sur un billet chez Lyon Family Crunch (et y’en a un paquet).
    A propos de Lyon Family Crunch, nous cherchons en permanence des rédacteurs  ou des idées. Donc si vous avez testé des trucs cool en famille, que ce soit le dernier film, une ballade, un resto (à Lyon ou dans la région même), si vous avez des choses à dire, n’hésitez pas à vous manifester. Soit pour écrire votre propre chronique, soit pour me raconter un peu et je l’écrirai moi-même –>natachart @ hotmail.fr

 

  • EN LIGNE :
    Contre toute attente, il m’est arrivé trois trucs improbables depuis dernier billet qui vous a tant fait marrer à propos de mon « morning routine« .
    D’abord, je me suis dit que juste prendre un peu soin de moi ça serait pas mal, genre, VRAIMENT me démaquiller le soir, m’hydrater correctement et pourquoi pas tenter de faire que mes cheveux ne soient plus un tas de nœuds. Rien de fou-fou, mais un minimum syndical.
    Mais du coup, je ne savais pas trop par où commencer, parce que je suis du genre à prendre la 1ere crème venue au supermarché sans trop réfléchir. Ma copine blogueuse maman Marie (oui, celle des Mamanstestent) m’avait fait tester un déo plutôt chouette la dernière fois que je suis allée la voir. (Ouais, avec Marie, on en est à se faire tester nos déo, c’est beau l’amitié hein ?).
    Je me suis rappelée qu’elle l’avait pris chez Birchbox, et m’avait dit que du bien de leur box, d’autant que ça permettait d’avoir des produits plutôt « bio » à tester. Le bio, bizarrement, je n’y avais jamais trop penser, mais en fait, en y réfléchissant 3 secondes, je me suis quand même rendue à l’évidence : à 25 ans 36 ans, consommer un chouille plus responsable pour moi ou pour la planète, ça serait pas mal.
    Ne panique pas, je trouve toujours que la viande c’est trop bon et que les graines, vachement moins.
    Donc je récapitule : 1/ je prends soin de moi 2/ Je me suis abonnée à une box alors que je détestais le principe à la base et 3/ je vire au bio cosmétiques responsables.
    La vieillesse sûrement.
    En tout cas, je ne peux que vous dire que Marie avait raison. je suis ravie des découvertes chez Birchbox. J’en ai profité pour acheter 2-3 produits pour moi sur leur site aussi et c’est plutôt très cool de s’étaler un truc sur la tronche en sachant qu’il ne contient pas de mercure au pétrole dedans et qu’il n’a pas non plus été testé sur des chatons mignons avant moi.
    Je vous recommande donc ce site, et si jamais un abonnement box vous faisait envie, vous pouvez cliquer SUR CE LIEN qui vous fera bénéficier de 10€ sur le shop (la box est à 13€/mois résiliable à tout moment) et moi aussi du coup (je crois).

VOILA. Je crois que j’ai fait le tour.
J’ai quelques produits bio/sain/écolo en cours de test en ce moment, j’attends de me faire une vraie idée avant de revenir vous en parler.
Je vous laisse participer au jeu concours si vous le souhaitez en vous souhaitant bonne chance et je remercie tout ceux qui soutiendrons l’association Horizon Parrainage et qui nous aiderons chez Lyon Family Crunch aussi !

Comment sécuriser la navigation Internet des enfants grâce à la journée mondiale de l’internet plus sûr.

Parfois, je me dis que quand même, nos parents étaient bien tranquillou quand il s’agissait de notre éducation et notre sécurité.

En 1987, j’avais 7 ans et j’allais à l’école seule avec mon cartable. En CE1. Je rentrais seule. J’allais acheter mes pochettes de Panini seule, tout comme les bonbons à la boulangerie.

Il n’y avait pas de moyen pour ma mère de savoir si j’étais bien rentrée ou non à 16h30. Elle ne pouvait que le constater à son retour à 18h et quelques.

Je ne dis pas qu’elle respirait la sérénité, mais bon, à part « ce » doute de savoir si j’étais de retour ou non chaque jour, je ne suis pas certaine qu’il y ait beaucoup de choses qui la turlupinaient à mon propos.

Aujourd’hui,c’est à mon tour d’être maman et de vouloir ce qu’il y a de mieux pour protéger mes enfants.

Du coup, ils n’ont pas le droit d’aller seuls à l’école avant leurs 10 ans (et encore, au début, je suis 8 mètres derrière). Ils n’auront pas le droit, par ailleurs, de sortir le soir avant l’âge de 28 ans.

A peu près.

En revanche, et ça, ma mère a eu le bonheur de ne pas connaître, il y a toutes les questions à propos de leur sécurité face à internet.

Pour le moment, je ne rencontre pas de souci particulier avec Clapiotte qui ne se connecte jamais.

Pour N°1, l’histoire est bien évidemment différente.

Au collège, ils ont accès à internet au CDI, certains copains utilisent Snapchat comme les sms et il est de toute façon difficile de lui interdire toute connexion à la maison sachant qu’internet fait non seulement partie de mon environnement professionnel et personnel, mais que c’est une source de renseignements inépuisables devenue quasi indispensable au quotidien.

Je pars du principe que rien ne vaut l’éducation pour que les enfants comprennent les dangers qu’ils peuvent rencontrer avec internet. Harcèlement, images choquantes, désinformation… Je ne vous fais pas de dessin, on connait tous.

On en parle souvent, à la maison, mais ce midi j’ai voulu lui poser la question ouvertement, alors qu’il déjeunait avec un copain.

« Vous êtes déjà tombés sur des choses que vous ne vouliez pas voir sur internet, vous ? »

Son copain m’a dit ne pas avoir le droit d’utiliser internet sans ses parents pour le moment, même s’ils commençaient à en discuter.

N°1, lui, m’a avoué que parfois, quand il tapait une recherche dans la barre Youtube (il cherche des vidéos de Juninho et de coups francs, à 99,99%), on lui proposait des « trucs bizarres » mais qu’il ne cliquait pas. Brave petit.

J’avoue que ça m’a un peu choqué sur le coup.

Je suis à fond dans la prévention et il SAIT qu’il ne doit pas cliquer de vidéo en vidéo, par exemple, au risque de se retrouver rapidement face à des choses inadaptées. Mais si la barre de recherche s’y met….

Finalement, je me dis que ma seule éducation couplée à la confiance que j’ai en lui ne suffit pas, et que la mise en place de certains outils tels un contrôle parental, un anti-virus et tout autre solution serait les bienvenus, même si j’aurais bien évidemment préféré en rester là, visiblement, ça ne suffit pas. Internet va toujours plus vite, et très sincèrement, je préfère qu’il apprenne la signification de certains mots tendancieux dans la cour de l’école plutôt que prononcés de la bouche de Tabbatha et Rocco. Je suis Old School, comme mère (notez que mes références aussi, par ailleurs).

Si je parle de ce sujet, c’est parce qu’il nous touche tous, à priori et que le 7 février dernier, c’était la journée mondiale de la sécurité internet : le « Safer Internet Day 2017 ».

Une journée dédiée à la prévention des risques liés à internet et à l’initiation des bonnes pratiques de ce dernier.

Des actions ont été menées partout en France par des institutions, des écoles, des industriels, des associations, des médias en cette journée ainsi que durant tout le mois de février.

Pour les 7-12 ans, des ateliers de sensibilisation ont été mis en place autour de nouveaux outils numériques. On a pu également leur montrer les épisodes de Vinz et Lou  abordant des thèmes tels que les données personnelles ou le cyberharcèlement.

Pour les 12 à 17 ans, une nouvelle version de l’appli DataDecode est sortie et a été utilisée par des médiateurs éducatifs lors d’ateliers créatifs. L’objectif était de faire passer les ados de consommateurs à créateurs de leur vie numérique.

Et pour les parents, il s’agissait de prendre conscience de la façon dont sont utilisées nos données et de revoir éventuellement nos pratiques numériques du quotidien pour tendre à une utilisation plus raisonnée et raisonnable.

J’espère entendre parler de ces démarches rapidement, notamment dans le collège de mon grand, parce que visiblement, même au CDI, certains élèves se permettent de regarder des vidéos légèrement inadaptées… donc bon….

En attendant d’en rediscuter à la maison, je vais tenter de ré adapter mon discours et de voir à mettre en place un système de sécurité, tel que peut le proposer ESET, leader dans le domaine des logiciels de sécurité numérique.

ESET s’investit dans cette journée, notamment avec des solutions comme EMDS (ESET Multi-Device Security), qui propose une protection complète pour tous les appareils connectés (mobile, tablette…) et inclut le contrôle parental.

Si vous le souhaitez, en suivant ce lien, vous pouvez également, dans le cadre de cette campagne de prévention, bénéficier de 2 mois gratuit pour tester leur logiciel.

Ça vaut le coup de tenter et de voir où on « pêche » quant à la sécurité de nos greffons.

N’hésitez pas à aller voir la vidéo de présentation pour plus d’informations :

Un rêve de « Brick addict » : le concours LEGO Friends qui déchire tout !

Article sponsorisé

A part si tu habites une autre planète (ou que tu ne connais pas mon facebook ou mon Instagram), tu as certainement compris depuis longtemps qu’à la maison, on est très LEGO.

Trop serait même le mot, parfois, quand tu vois à quoi ressemblent mes étagères, ma commode, les chambres des enfants ET le dessous de mon canapé.
On voue un culte sans fin aux LEGO.
C’est comme ça.
N°1 construit une ville petit à petit, au fil des anniversaires et des Noëls, Clapiotte, elle, se projette dans l’univers des LEGO® Friends en créant ses histoires dans une ville de briques roses et mauves.
On en a absolument partout. Et je ne m’en plains pas.
LEGO reste pour moi LA valeur sûre pour s’occuper intelligemment, développer sa créativité et son imaginaire, sans compter qu’on ne peut nier l’humour et les (bonnes) références de la marque.


(En attendant les créations de Clapiotte, j’ai caché mes Batman dans sa villa)

« Une histoire d’amour qui fait mal aux pieds » résume assez bien cette affaire familiale.

Quand je vois les greffons inventer leurs histoires, transformer le ranch en hôpital et faire intervenir Batman et Robin pour sauver Stéphanie d’une morsure de l’homme requin, je me dis que mes enfants vont bien. Je trouve ça rassurant des les voir inventer des choses improbables en oubliant que la tablette est déchargée.

Hier, j’ai annoncé à Clapiotte que LEGO® Friends organisait un concours.
Je suis blogueuse depuis trop longtemps. Mes enfants connaissent déjà bien comment fonctionnent les concours et en général, il faut que la carotte soit vraiment attrayante (de leur point de vue) pour qu’ils souhaitent y participer.
La réflexion de Clapiotte a donc pris environ 3 secondes, suivie de petits cris hystériques et de milliards de propositions qui fusaient dans tous les sens.
Pourquoi tant d’entrain ? Te demandes-tu.

Parce que LEGO® Friends propose d’inventer une nouvelle création sortie tout droit de l’imaginaire de l’enfant, qui serait vraiment « super géniale » pour compléter la collection LEGO® Friends actuelle.
A partir des petites briques à notre disposition à la maison, il s’agit donc de laisser l’enfant s’exprimer à sa guise, de prendre des photos de la création et de les télécharger (4 en tout) sur la plateforme du concours  et de rêver que cette mirifique construction gagne.
Parce que le grand gagnant sera convié au Danemark pour rencontrer les créateurs LEGO (les vrais maîtres constructeurs, rendez-vous compte !) et créer sa propre boîte LEGO® Friends avec une mini poupée qui lui ressemble.

JE VEUX un Lego Clapiotte !

Bon, ceci dit, elle est partie en délire sur la construction d’un… parking routier… Mais je peux toujours rêver, on sait jamais, après tout, c’est Clapiotte, elle va bien réussir à m’y rajouter un karaoké déguisé et des licornes, on sait pas !

 

Le grand gagnant (même si ce n’est pas Clapiotte) verra sa boîte en vente dans tous les Toys’r us du monde, et franchement, c’est quand même grave la classe de se dire que notre greffon fait partie de la grande aventure LEGO EN VRAI !

Vous pouvez jouer (enfin, votre enfant peut jouer) jusqu’au 28/02/17 : cliquez ICI.
De mon côté, Clapiotte a terminé sa propre création et clairement il va falloir  que vous compreniez que vous n’avez aucune chance contre elle (ou l’inverse, oui, mais c’est ma fille, je me dois de la soutenir).
Je vous laisse juger, voici la « Baybi Craiche » (hahaha) by Clapiotte :


Parce que « Stéphanie a besoin de faire garder son bébé pour aller faire du Jet Ski » donc.


Avec les petits lits pour les petits bébés.


Les puéricultrices au taquet.


L’espace de jeu extérieurs qui te font quand même noter que vivre à Heartlake City pour y faire garder tes mômes c’est pas tout à fait pareil que les crèches municipales de Lyon….

N’hésitez pas à me dire si vous participez, j’adorerais constater que vos enfants sont aussi dingos que les miens !

A vos briques !

 

 

 

 

L’histoire de la femme de ménage.

Je suis bordélique. C’est très naturel chez moi.
Ça ne veut pas dire que j’aime la crasse ou le bordel, mais concrètement, je n’arrive pas à m’imposer de ranger et de laisser ranger. J’essaye parce que j’aime bien quand c’est à peu près correct, mais je n’y arrive jamais.
Autant te dire que si tu veux passer à l’improviste à la maison, c’est mieux quand même d’appeler une demi heure avant pour pas que je sois complètement en panique parce qu’il y a plus de chance pour que tu retrouves une de mes chaussettes Pokemon sous la table.

En plus d’être bordélique, j’aime pas franchement faire le ménage. Ça me gonfle au plus haut point. Pas autant que de repasser (ça, pour le coup, comme c’est pas obligatoire, je le fais même pas du tout) certes. Mais ça doit être parce que je voudrais pas attraper des maladies surtout.

Comme j’ai trouvé un super chéri, il est bien évidemment exactement comme moi (au moins sur ce point. Sur les autres points, je suis bien plus géniale que lui)

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C’est à quel propos déjà ?

Je pense que tu avais compris qu’entre les travaux et les boulots, j’étais un peu débordée ces derniers mois. Du coup, un jour, j’ai un peu pété un câble en disant, globalement, que y’avait pas de raison, que quand même, on pouvait prendre une femme de ménage, au moins une fois, juste une fois, j’en peux plus, faut qu’on fasse le gros ménage post travaux et je veux paaaaas le faire.
Pendant que je chouinais à la maison en me demandant, en vrai, comment on trouvait une femme de ménage, j’ai reçu un mail.
LE KARMA je te dis.
« Bonjour, on est le service Helpling, on propose de mettre en relation les femmes de ménage avec les clients, ça vous dit de tester le service ? »

J’ai failli demander si c’était un coup de bol, le fait que je suis hyper prévisible ou s’il y avait des caméras planquées chez moi.

J’ai juste fait « gniiiii » parce que je me posais plus de question, tout à coup, de qui appeler, comment trouver, comment faire.

Je me suis créé un compte, j’ai dit que je voulais un créneau de 20h12h 4h tel jour et j’ai validé. A ce moment là, les femmes de ménage de ton quartier se proposent (ou non).
Ensuite, on a le choix, on prend celle qu’on veut, parce qu’elle a le même prénom que nous ou parce qu’elle a plein de super appréciations, ça, c’est à toi de voir.

Quelques jours avant le Jour J, on a un rappel avec ce qu’on doit avoir à la maison (bon, perso, le mail est tombé dans mes spams, du coup, j’avais pas du tout tout le matos, et j’étais un peu embêtée pour la dame, mais elle était cool donc ça a été).

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LOL

Jour J, j’étais un peu gênée, parce que bah… j’étais pas bien à l’aise parce que je ne sais vraiment PAS comment on fait avec une femme de ménage. J’avais lu dans les commentaires de celle que j’ai choisi qu’elle était hyper autonome, ça m’arrangeait bien. Elle a bien senti que j’étais paumée du coup, elle m’a guidé, m’a demandé les trucs, m’a dit comment elle fonctionnait, a voulu savoir si ça me convenait etc.

Et puis elle a tout nettoyé.

Pendant ce temps, je bossais tranquillou.

Quand elle a eu fini, c’était nickel, j’étais ravie et voilà, depuis, bah on s’est dit avec mon chéri qu’on allait sûrement recommencer de temps en temps, genre pour le gros du gros à faire et qu’on n’a pas du tout envie.

En passant par cet organisme, en gros, pour de l’occasionnel, ça revient à 24 euros de l’heure mais la moitié est déduite des impôts donc bon… Et c’est moins cher, évidemment, quand on prend des prestations récurrentes (une fois tous les 15j ou 1 fois par semaine par exemple).

Voilà, donc je kiffe les femmes de ménage et j’ai décidé que c’était pas du tout bourgeois de faire appel à une telle prestation. C’est juste parfois vital (et troooop cool aussi).

Si jamais ça vous tente, j’ai un code pour vous faire profiter d’une réduction  à valoir sur le site Helpling.fr :
Avec le code « cranemou », vous aurez 10 euros de réduction sur une presta régulière. C’est valable jusqu’au 31 janvier pour tous les nouveaux clients.

Et si vous avez des trucs et astuces pour déjà être plus organisé (ou alors moins bordélique, ça serait déjà un bon début), je prends (et non, le truc à la mode konbi truc c’est non, je n’y arriverai jamais laissez tomber)