Archives de catégorie : Bon coup

Rendez-vous dans ma vie digitale

Être connectée ou ne pas l’être, je ne me pose pas la question. Avoir une vie digitale se transformant souvent en rencontres réelles, mon choix est vite fait, ma vie sociale n’en est que plus dense, finalement et contrairement à ce que certains peuvent penser.

Donc, depuis que j’ai deux vies, je rencontre deux fois plus de gens, et ça, c’est chouette. Sauf que souvent, il faut bien avouer que je rencontre ces gens à Paris… Pas que je n’aime pas la capitale qui m’offre ma petite bouffée de liberté quand je m’y rends, mais ça fait loin, pour boire un verre improvisé!

Mais cette année, le vent a tourné, et Lyon se réveille, ce qui me vaut d’avoir cumulé trois sorties en peu de temps.

D’abord, une rencontre de blogueuses autour d’un brunch dans le resto de Sophie: le Côte Rôtie à la Croix Rousse, Lyon 4. J’y retrouve  Chrys, LeoetLisa,  Bergie, Chocoladdict, Sophie Sinon rien, Lucky Sophie, Ginie, Adeline, Maria, Electroménagère, maman Lulu et les Les ptits asterisques.
J’y ai emmené Tony aussi, pour une fois, et ce n’était pas le seul homme à table. ceci dit, il a taillé une bavette avec Electro pendant tout le repas, donc il s’en serait bien sorti quand même, au final! Une bien belle après midi dans la joie et la bonne humeur, on a ri, on a beaucoup parlé, on a fait des photos
Le brunch était sucré et/ou salé, j’ai vu passé des oeufs, des croissants, des gratons, de l’andouillette, du saumon, des chocopops, du jambon cru et quelques corbeilles à pain dans un joyeux brouhaha… les blogueuses ces éternelles pipelettes!


©Cylia

Ensuite, à peine quelques jours plus tard, j’ai été conviée chez Guillemette. Je me retrouve tout à coup au milieu de plein de blogueuses que je n’ai jamais vu de ma vie, et pour cause, la majorité d’entre elles  sont des blogueuses cuisine! J’ai l’air sympa comme ça, mais je suis un poil farouche, en vrai, du coup, je reste muette quelques temps histoire de bien montrer que je voudrais me fondre dans les murs. Heureusement, les filles sont sympas, et je me détends un peu. Tout ce qu’on mange a été confectionné grâce aux Gourmandises de Camille par les mains magiques de toutes ces jeunes filles. Perso, je me suis contentée de ramener une bouteille, histoire de ne pas me faire d’ennemies dès le premier rencard! Ambiance très conviviale dans ce petit restaurant salon de thé où on peut aussi bruncher d’ailleurs et niveau goût, rien à dire, c’était parfait, je me suis régalée.
Étaient présentes, si vous ne les connaissez pas encore: Camille qui a tout organisé (encore une fois) (mais je pense qu’elle a des clones sinon c’est pas possible)Marjorie de Faim de Lyon  , Stéphanie de Stephatable ,Virginie « Argone », Virginie; Aude, Amandine; Delphine; Marie de Haut les Mains Peau de Lapin; Chocoladdict;  Mélisande , Marion, Estelle G et Estelle S de Qui l’Eut Cuit, Marie (que j’ai beaucoup embêtée sur son jeune âge, jalouse que je suis)  et Fanny de l’Epicerie Fruit !


Plus de photos ici

Pour finir, une soirée non pas de blogueuses mais de gens connectés: une soirée Yelp. Yelp, c’est l’espace communautaire où partager nos avis en se faisant des amis et à Lyon, on a notre propre Yelp. La community manager étant Camille, toutes les soirées sont censées être un succès et celle-ci n’a pas dérogé à la règle. Pourtant, on partait mal avec le thème Quenelle-Soupe: so glamour. Évidemment, si je rajoute que c’était aux Halles Paul Bocuse, chez Giraudet, avec des bulles et des chocolats et macarons Pelen, le tout sur fond musical mixé par Mademoiselle A… Ouais, c’est ça, c’était canon. Si vous connaissez Yelp et qu’ils organisent des soirées dans votre ville, foncez… bon, ça sera jamais aussi bien qu’ici, mais sait-on jamais!
Un album photo ici: Page Yelp Lyon

Pfiou, avec tout ça, je suis fatiguée moi, je suis plus toute jeune faut dire (et j’ai pris 20Kg)!

Aller, zou, je vous donne les adresses:

Le Côte Rôtie, 4 Bis rue de Belfort, 69004 LYON, 04 78 30 10 20 de 10h à 16h le samedi et dimanche pour le brunch lyonnais

Chez Guillemette: 11 rue Francois Dauphin, 69002 Lyon. 04.78.37.06.41. Facebook: http://www.facebook.com/chezguillemette  du lun. au samedi 10h-19h

Gourmandises de Camille, Site: http://www.gourmandisesdecamille.com/, Facebook: http://www.facebook.com/gourmandisesdecamille

Halles Paul Bocuse: http://halledelyon.free.fr/

Pelen: 74 avenue de Saxe – 69003 Lyon Tél : 04.78.62.65.54 Site: http://www.pelen.fr/

Giraudet: aux Halles de Lyon, entrée rue de Bonnel, Lyon 3eme. 9h30-19h sauf mercredi et dimanche 9h30-13h-(14h le mercredi).

 

J’ai fait TopChef. Ou presque.

Vendredi dernier, je suis partie comme une grande pour une journée de blogueuse à Lyon.

J’avais rendez-vous à 12h45 puis un peu plus tard dans la journée. Deux rendez-vous complètement différents mais qui me faisaient bien plaisir l’un comme l’autre. Je reviendrai sur le deuxième plus en détail très très vite.

Mon premier rendez-vous, c’était une mission qui m’avait été confiée suite à un appel sur Facebook. On avait une invitation pour aller tester un atelier cuisine à l’Atelier des Chefs de Lyon 2ème (rue St Nizier), et comme de par hasard, j’ai levé le doigt.

Ca peut paraitre d’ailleurs complètement absurde de vouloir tenter ce genre d’expérience (un cours de cuisine, mais qu’est ce qu’il m’arrive?) quand on en rame pas une en cuisine et qu’on ne fait pas la différence entre un chinois et une passoire, mais, j’ai l’amour du risque (ne me remerciez pas pour le petit générique qui va trotter dans votre tête tout le weekend).

Me voilà donc ultra en avance devant l’Atelier. Je fais nettement moins la maligne quand il faut entrer alors que je me voyait déjà courir en cuisine et émerveiller tout le monde. Dans mes rêves, je devenais instinctivement ultra douée, on me décorait d’une étoile et j’avais open bar chez Bocuse à vie.

En vrai, j’ai fait la nana timide qui tente de se fondre dans le fauteuil en feuilletant les futurs programmes que propose l’atelier au mois de Mars.
En les lisant, je me jure d’emmener N°1, lui, au moins, je sais qu’il appréciera à sa juste valeur ce genre d’activité. Pas que je n’apprécie pas, mais je suis une éternelle blasée de la cuisine, et accessoirement, quand je ne connais personne, je me sens pas super à l’aise pour faire « genre » je le suis (à l’aise)(tu suis?).

Petit à petit, des gens-qui ont l’air normaux- rentrent aussi et on leur demande également de patienter.
Je scrute les accessoires de cuisines en vente dans la boutique accolée aux cuisines et découvre que je suis bien mal équipée, tout de même, en constatant tout ce qui peut exister…

C’est à nous.

Le Chef nous accueille avec humour et décontraction. Je me sens nettement mieux. Je vais au moins pouvoir rire en me ridiculisant, c’est une bonne chose pour me détendre un peu le genou.
On se place à 4 par plan de travail.
Je me retrouve avec 3 charmantes personnes dont un jeune homme qui, visiblement, est bien plus à l’aise en cuisine que moi.
Je prends le parti d’éplucher les patates. Ça, je gère. Les couper en petits cubes? pas de soucis. Bon, faut les faire de la même taille que ceux coupés par ma nouvelle copine qui a sensiblement la même passion pour l’art de la sculpture sur pomme de terre que moi. Mais nous nous en sortons très bien. c’est pas ce que dit le Chef, lui, il se marre, mais je n’ai pas mis de doigt dans la casserole à ce moment précis, je me sens assez fière de moi.
Mon coéquipier tranche des échalotes si finement que je me fais le pari dans ma tête qu’il va y laisser un ongle. Pari perdu, évidemment, tout le monde n’a pas les gènes de Pierre Richard.

Le menu (oui, je ne vous présente pas l’aventure dans l’ordre, mais j’étais un peu déboussolée, je vous le rappelle, j’étais dans UNE CUISINE!): Onglet à l’échalote et pomme de terre rissolée en persillade.
Je t’entends rire, toi, au fond, mais moi, perso, mes patates sautées, systématiquement, c’est de la charpie, alors je mets tous les espoirs dans ce cours de cuisine!

ALORS. J’apprends qu’on met toutes les patates dans une sauteuse, qu’on couvre d’eau, on pose un couvercle et sur le feu une dizaine de minutes. PREMIÈRE nouvelle! Je me sens conne, mais je ne dis rien. Je savais pas. C’est tout. d’ailleurs, à partir de ce moment là, je laisse faire mon nouveau Dieu vivant (mon coéquipier) qui sent bien que si je me charge du truc, on va pas bouffer grand chose à midi, çà serait dommage.
Donc, pendant que les pommes de terre précuisent, on saisit les onglet. Poêle ultra chaude, filet d’huile d’olive « pchhhhhhhhh » quand on le pose dedans et… ON NE TOUCHE PAS, on ne remue pas. Punaise, j’ai l’impression que le Chef m’a espionné chez moi tellement il cite tout les trucs que je fais et qu’il ne faut pas faire.

1 minutes de chaque côté pour faire « la croute » (et on sale la viande de chaque côté AVANT de la cuire, merci)(faut vraiment que je chope les caméras planquées dans ma cuisine). Puis, au four (oui! dingue! j’ai l’impression qu’il existe un monde parallèle à ce moment précis) à 210.
Dans une autre poêle , on fait revenir les échalotes et on les couvre de vin rouge (plein, ouais, j’ai vu une dame grimacer à ce moment du cours, mais moi, même pas peur, je pourrai mettre ma vie entre les mains de ce Chef tellement j’ai appris de trucs qui peuvent paraitre idiots pour certains mais que je ne savais pas du tout.)
On sale, on poivre, on sort les onglets du four, on dresse l’assiette, on s’extasie et… à taaable.



(j’ai pas pu m’empêcher pour le dessin ridicule)

La préparation a été ultra rapide puisque concrètement, c’est un plat simple (pas pour tout le monde, je vous l’accorde).
On nous sert du bon vin, on mange, on discute, l’ambiance est super conviviale.
On nous propose un dessert concocté par le chef qui me fait l’effet d’un mini orgasme gustatif. j’aurai pu dire que c’etait moi qui l’avait préparé pour els photos, mais je sais que vous auriez trouvé ça louche, tout de même.

En bref, j’ai réellement aimé, même si j’avoue, je me suis laissée un peu porter, laissant les autres bosser pendant que je jouais à la blogueuse qui prenait des photos.
L’ambiance est top, le Chef aussi, le résultat était excellent.

C’est décidé, j’irai y refaire un tour un de ces quatre et j’y emmènerai N°1 avec plaisir aussi.

Pour plus d’info sur ce que propose l’Atelier des chefs et les programmes, c’est ici: atelier des chefs

Encore merci à Nadine P. pour ce chouette moment!
Et merci à mes coéquipiers et au Chef  qui ont grave assuré.. contrairement à certains… hum…

Où poser le fessier de son altesse royale de moins d’un mètre? (déco)

Je vous avait fait un petit débrief déco sur les coins lecture pour enfants, mais ce qu’il faut surtout, finalement, pour que ce coin lecture ou détente soit bien confortable, c’est tout de même un bon siège où coller le derrière princier… J’ai trouvé mes préférés:

 

Chez Les p’tits Chouchous  (meilleur prix), Bébé Gavroche  et Allo Bébé
(Marque Babysun)


Mini canapé convertible chez Oxybul

Pouf Kids Lab

Fauteuil/pouf convertible chez Oxybul

Fauteuil Ikea


Pouf Fly

Pouf Donut Incidence
(Parfait aussi post accouchement…. si vous voyez de quoi je parle)


Pouf donut (encore) chez Oxybul

Et je n’ai pas pu résister à vous montrer cette petite merveille (un peu chère la merveille,, mais bon…)


Le tabouret de Geek.

Globalement, ca reste assez cher si on exclu les poufs. J’ai volontairement exclu les fauteuils club en mousse qui s’avachissent en 5 jours et qui deviennent vite moches, finalement, malgré leur prix attractif. Par rapport aux prix, je garde à l’esprit que les fauteuils club ou mini canapé serviront bien longtemps, de 12 mois (voire moins) jusqu’à 8-10 ans selon le gabarit… donc ca sera largement amorti!

Et si vous vous sentez l’âme d’une maroufleuse, essayez donc de faire vous même le fauteuils en carton… il y a des tutos plein Google. Enceinte de N°1; j’avais fait ce modèle, décoré avec des vieilles BD Shtroumpfs dégottées pour rien du tout dans une brocante


(entre temps, un rongeurs nommé Clapiotte à arraché l’accoudoir)

Alors? On les pose où ces fesses?

Un bébé à la carte s’il vous plait, avec une paille.

Je ne suis pas quelqu’un qui peut se vanter d’être à fond dans le bio et le naturel, que ce soit en rapport avec ma nourriture, ma façon de consommer ou l’éducation de mes enfants, je prends ce qu’il m’arrange de prendre, laissant de côté les choses que je trouve trop contraignantes, trop bobo, trop engagée, trop chères (aussi, avouons le), trop « trop ».

Je suis donc souvent la dernière à m’indigner devant un progrès concernant nos greffons.

Que cette révolution soit intéressante pour moi ou que je la trouve absurde, peu importe, je me dis qu’elle sera certainement intéressante pour une autre. Par exemple, dans mon cas, j’aimerai que la science me confectionne un nouvel utérus qui ne se déchire pas comme du papier crépon quand on y fait grandir un gosse à l’intérieur. Pour une autre, j’imagine qu’elle aimerait que la science fasse en sorte que tomber enceinte ne soit pas l’affaire d’une dizaine d’années mais de quelques mois.

Je ne suis personne pour dire où devrait s’arrêter cette science. Au fond de moi, je suis même admirative de voir à quel point le progrès permet de belles choses.

Mais il y a toujours cette voix qui me tapote l’épaule, me susurrant ces mots doux: « Si la nature a fait en sorte que ton utérus te lâche, il y a peut être une raison ».

Trancher entre une pseudo-croyance mystique du destin ou une envie folle de profiter des progrès de notre époque, comment trouver le juste milieu?

Du coup, je ne suis que questionnement quand on vient me dire qu’il est possible de choisir le sexe d’un enfant, que l’utérus artificiel existera certainement bientôt, que peut être, un jour, on me proposera même la couleur de ses yeux, à cet enfant.

Il y a des progrès dont l’intérêt me saute aux yeux.  Je vois l’intérêt de trouver les solutions nécessaires à la survie de grands-prématurés, au bien-être de la mère, je vois l’intérêt d’offrir aux couples ayant des soucis de fertilité une chance de fonder une famille. Je vois l’intérêt de toutes ces machines qui ont permis à mes deux enfants et à moi-même de nous en sortir sans soucis majeur. De l’intérêt dans le bien être, dans la survie, dans l’éviction des drames familiaux, oui, je le vois.

En revanche, l’interêt de réussir l’exploit de féconder une femme de 66 ans et de la voir accoucher de jumeaux quelques mois plus tard, non, je ne le vois pas. je suis bien heureuse que tout ce petit monde aille bien et en aucun cas je ne doute de l’amour qu’auront ces deux enfants.

Simplement, depuis une heure que j’ai lu cette news, je n’arrive pas à saisir. Ni ce qui est passé par la tête de cette femme au moment X où elle a pris cette décision égoïste, ni dans la tête du médecin qui l’a aidé.
Biensûr, je connais ce sentiment de vouloir un bébé, de donner la vie, de ressentir toutes ces émotions. Biensûr, je peux comprendre que le monsieur en blouse blanche ne voit pas plus loin que son porte-billets en plaqué-or.
Mais non. Je ne pourrai jamais me résoudre à ce genre de comportement irresponsable parce que malgré tout le bien que je pense de la science et de ses avancées formidables, je ne peux pas admettre que l’Homme se prenne pour un Dieu par simple besoin de flatter son égo et de prouver sa supériorité, en en profitant pour trouver un nouveau moyen de se remplir les poches grâce à de riches fous désespérés.

Non.

Je ne comprends pas.
Et je suis bien triste et honteuse de nous voir encore une fois défier et piétiner cette nature qui ne ne voulait que du bien.

 

le blog mode de Clapiotte

Il y a des choses qui sont innées.

On aurait pu croire, à sa naissance, que Clapiotte ne serait pas prédestinée à la photo, vu la tronche qu’elle a dû se coltiner pendant ses premiers jours de vie (la preuve avec mes photos à la maternité que j’ai toutes passées en noir et blanc pour limiter les dégâts).

Et puis finalement, elle est plutôt mignonne; cette petite. (Je ne dis pas « splendide » pour pas vous complexer).

Du coup, comme elle n’est pas moche et que j’avais des supers fringues à vous présenter, je me suis dit que Clapiotte méritait son encart « blog mode enfant » aujourd’hui.

On m’a présenté la marque Boden. Une marque jusque là inconnue au bataillon, et pour cause, elle vient tout juste de débarquer en France depuis le mois d’août. Dès qu’on associe les mots « enfants », « fringues », « originalité » et « couleur » dans la même phrase, je suis particulièrement ouverte à la découverte. Et je n’ai pas été déçue: Boden, c’est une marque anglaise qui propose des lignes de vêtements pour femmes, hommes, enfants et même bébés.

Mon seul problème a été de faire le choix parmi tant de pièces plus originales et magnifiques les unes que les autres. Je me suis finalement lâchée chez la petite fille, N°1 ayant des goût très arrêtés niveau couleur en ce moment et moi… euh… bah je suis pas encore prête à jouer les blogueuse mode! Si ça avait été le cas, j’aurai choisi ce genre de choses:


(Oui, parce qu’en plus d’être modeuse, je serai aussi enceinte)

Mais voilà, Clapiotte a d’abord fait le cobaye pour moi… un bien joli cobaye dans de bien jolis vêtements, Clapiotte a été d’une coopération incroyable, malgré les changements de tenues, le débardeur d’été trop petit (bah oui, j’ai pas encore investi dans les basiques d’été avec ce temps), elle a su prendre la pose sans soucis… c’en était presque flippant tant ça l’a amusée et tant… elle se la racontait à prendre des poses de starlettes… sans parler des lunettes de soleil qui lui paraissaient indispensables à ce moment là visiblement! Il ne manque plus qu’à ce que je sache faire de très belle photo et voilà!

tunique Boden


Jupe culotte Boden


Short étoiles Boden


Robe fourreau Boden

De la couleur, des imprimés vintage, des coupes confortables et réglables, des tissus tout doux… Je suis sous le charme… Je ne vous raconte même pas comme on va crâner pendant les vacances de Pâques que nous allons passer sous les cocotiers, Clapiotte va pouvoir se dandiner bien à l’aise dans ses tongs avec ses nouveaux habits… surtout que j’ai plutôt l’habitude de choisir des choses très basiques en temps normal, mais là, c’était trop tentant toutes ces couleurs, et encore, heureusement que je me suis arrêtée!
En ce moment, sur le site Boden, vous avez une réduction de 15% et les frais de port gratuits… de quoi se faire un petit plaisir pour découvrir la marque.

Cet été chez vous ça sera plutôt couleur et imprimés ou basique passe-partout?

(Vêtements offerts par la marque)

 

 

Découvertes décos et enfants

Il y a presque un mois de ça, je me suis rendue au salon Playtime, où sont présents beaucoup (mais alors beaucoup) de marques de puériculture, que ce soit dans la déco, la fringue ou la matériel, voilà un univers dans lequel je me sens bien.

Je dois avouer que j’ai un peu zappé le vêtements qui sont la plus grande partie du salon. Les vêtements, j’adore ça, et j’en ai trouvé certains vraiment très beaux, mais voilà, le pantalon qu’on trouve à 40 euros dans les boutiques, pour un môme de 6 mois, ça a tendance à me défriser un peu, car je suis bien d’accord que donner un look à son gosse, c’est marrant et tout mignon, mais il n’empêche qu’il ne faut pas NON PLUS être idiot au point de lui créer une garde robe plus chère que celle de Paris Hilton mais en encore plus éphémère vu le changement de taille d’un mois sur l’autre.

So vintage: Dis Une Couleur

Et puis, pour tout vous, dire, j’ai trouvé que beaucoup de choses se ressemblaient. Seule une marque m’a fait de l’œil côté fringues, c’est « Dis une couleur » qui revisite les fringues des années 70-80 et les réactualise. j’ai adoré, les couleurs, les matières, les motifs, les coupes… bref, j’en voulais. Mais toujours cette histoire de prix… Bon, pour une exception, on va dire que je pourrai faire un craquage.

Sinon, j’ai eu quelques coups de coeur, évidemment. Je vous parle aujourd’hui du côté « déco » et « chambre », mais je reviendrai très vite faire un point sur la puericulture.

DEUZ ou les tapis de jeux en coton et les serviettes XXL super pratiques

 


De beaux doudous originaux et tout doux chez NotSoBig, un concept store à la hauteur de mes espérances et tout à fait dans mes goûts si jamais vous vous demandez quoi offrir à mes enfants et des couleurs pétillantes chez Papili

 

 

Les désormais célèbres « poupées » My Name Is Simone

Juste un Hiiiiiiii chez Bakker Made With Love que j’adule

Des poulettes et des idées sympas chez Dessine Moi une Maison (DMUM)


Découverte de Marine Peyre qui proposait du mobilier GE-NIAL comme le Boa-Boa ici pour les enfants (et les grands enfants, genre moi) et sa participation au projet « Duda« : elle redonne vie aux Bonecas Dos Sonhos, poupées traditionnelles brésilienne porteuses de rêve, un projet social développé dans un village de pêcheur situé au Nord-Est du Brésil. je vous invite tous à rejoindre leur page FB pour suivre l’aventure de ces Bonecas et de cette grande Duda qui voyage un peu partout

Du nouveau mobilier plein de peps comme on aime retrouver chez Lilikim
(un grand merci à eux pour leur accueil et leur humour)

 

GROS coup de cœur chez Jack n’a qu’un oeil pour le linge de lit, les turbulettes, les bavoirs… non seulement pour la douceur qu’ils dégagent à l’oeil mais pour ce sentiment d’apaisement au toucher. Kiffe total. J’en veux.

Bon. Comment dire (à part que j’ai piqué les photos sur leur page Facebook, que vous pouvez aimer rien que pour liker les photos qui vous mettrons la joie dans votre TimeLine). Easy Peasy, ce sont des chaussons, des petits sacs, des gens trop sympas, un concept éco-responsable, un design à pleurer. Easy Peasy, je t’aime, j’ai juste un soucis au niveau du choix pour Clapiotte et merci pour l’accueil aussi tiens :)


Et je finis avec le seul stand « maternité » sur lequel je me suis arrêtée. Il faut dire que la jeune fille qui m’a accosté, Marre, était fort sympathique et que je n’ai pu me sentir à l’aise… J’ai donc découvert cette marque, Akua-Ba, inspirée d’une vieille légende (Akua) africaine à base de statues de fertilités, de gri-gri et de secret de sorciers.
Des vêtements 100% coton organique, fabriqués dans une usine Tanzanienne réputée pour ses bonnes pratiques.
Chaque vêtement est accompagné d’une miniature de la statuette Akua.
Des vêtements confortables, tout en simplicité et praticité, le basic de la femme enceinte. J’aime. (oui, aussi)
Thanks Marre pour la découverte!(did you find the same Iphone cover finally?)

 

Il y en avait des tas d’autres, mais le temps m’a manqué…. j’y reviendrai la prochaine fois, mais

ceux là m’ont vraiment tapé dans l’oeil… Vous aussi?

 

 

 

 

 

Tu seras une femme, ma fille. Mais dans 15 ans. Aujourd’hui, t’as dînette.

C’est très confortable d’avoir un garçon. Enfin, pas très, mais plus confortable en tout cas que d’avoir une fille.

C’est vrai, un garçon, ça ne risque pas de nous ramener des mecs tout bizarres à la maison, ça a moins de chance de mettre des mini-jupes ou de se maquiller à la truelle dans le bus du collège. Normalement, ça devrait aussi moins avoir tendance au rire de hyène ou à lancer un cri hystérique à la vue d’un jeune capillairement attractif avec une voix de pré-pubaire.

Pas de règles, pas de soutifs, pas de grossesse non désirée à 14 ans et demi… C’est idiot sûrement de penser à ça. Mais maintenant que j’ai une fille, je me rends compte que ce n’est pas « maintenant » qui me fait peur mais bel et bien l’adolescence. Non, parce que pour l’instant, ma fille est une petite fille. Un bébé, même.
Elle a de grosses joues, un ventre tendu, elle aime les couettes, les barrettes, les bracelets en plastiques qui brillent et elle croit qu’une « Mincesse » c’est une robe. Je peux lui mettre une robe de Laura Ingalls qu’elle sera la plus ravie, parce que c’est très « Mincesse » Laura Ingalls. Surtout si y’a une doublure, là, c’est carrément l’extase de la « Mincesse »

Clapiotte a deux ans. Et en aucun cas elle n’a plus. J’ai toujours considéré mes enfants comme des enfants de leur âge (même si, évidemment, je trouve qu’ils sont supérieurement intelligents).

C’est un choix de les considérés comme tels.
C’est effectivement mon choix et j’ai beau essayer de me draper dans un voile de compréhension, certaines chose m’échappent concernant « les autres ».

Il y a de ça quelques semaines, j’ai assisté à un énorme débat sur la page facebook du BabyBlog que tout le monde devrait connaitre d’ailleurs. Un débat à base de maillots de bain, de pervers sexuels et de petites filles qui se prennent pour des ados.
J’ai lu avec attention les arguments plus ou moins censés de chacun. Et je ne peux pas m’empêcher de dire que mettre une culotte de maillot de bain à une petite fille qui n’a pas de sein, c’est la normalité. A la toute limite, si vraiment on veut cacher les micro-têtons de nos filles, on a l’option maillot une pièce.
Mais le soutif en taille 18 mois? On est bien sérieux? Vous les avez vu sur la plage les mini-miss qui se baladent avec ce genre de truc? Sans dire que c’est ridicule, après tout, je ne dois pas avoir la science infuse en matière de mode enfantine, mais ça les gêne!
Sans arrêt en train de remettre les bretelles ou de redescendre le bout de lycra en bonne place puisque évidemment, un soutien-gorge, à la base, ça a une fonctionnalité bien précise qui n’est pas de cacher mais de soutenir. Hors, là, ça soutient surtout un comportement que je trouve étrange.

Et qu’on ne me dise pas que c’est la p’tite qui demande, hein, parce que jusqu’à preuve du contraire, les enfants ne devraient avoir un choix que très limité en matière d’habillement, n’en déplaise à ceux qui ont craqué sur les T-Shirt de Super-Héros ou les baskets de Barbie (je lutte chaque jour, si vous saviez)

Bon, ok, j’ai dû me faire trois milliards d’ennemis en deux secondes (oui, j’ai beaucoup de visites). Pardon. c’est pas mes oignons après tout. Nan, mais en fait, je voulais en venir à ces fringues qu’on trouve maintenant pour les filles. Les BEBES filles (si tant est que je considérerai un jour ma fille comme autre chose qu’un bébé ).

C’est quoi ces strings en taille 6 ans? Les soutien-gorge ampliforme en 8 ans, on en parle? Et les mini tops trop courts? les pantalons taille-basse? Les bas-nylon? Et que vois-je? Des TALONS? Nan parce qu’il existe aussi des perruques pour bébés, au cas où on trouvait que les têtes chauves de nourrissons c’était so 2011.


Le confort, y’a que ça de vrai.


C’est vrai que c’est tout de même du meilleur goût.

Quand j’y pense et puisqu’on leur fait connaitre nos inventions de tortures pour adultes comme le strings ou les talons hauts, je vais peut être lancer des serviettes hygiéniques et des tampons en taille 7 ans aussi. C’est pour l’entrainement. Vous voyez le ridicule du concept ou pas?
WTF???

Arf, on se moque beaucoup de ces américains complètement bizarroïdes qui griment leurs fillettes en poupées gonflables. Mais punaise, j’ai vraiment la trouille que ça finisse par arriver ici…
Ah… on me dit que c’est trop tard. Je pense m’exiler dans un village Mormon.

Classe ET distinguée ma fille.
Je suis tellement fièèèère

Je vais vous dire le fond de ma pensée par rapport à tout ça. je trouve ça écœurant. Et hypocrite.

On planque nos enfants de peur qu’ils soient mater par le pervers du coin mais on nourrit les tendances pédophiles avec une hypersexualisation de la fillette. Et qu’on ne vienne pas me dire que c’est la faute des marques. Évidemment, elles profitent de cette tendance dégueulasse mais si cela continue, c’est bien qu’il y a une clientèle. Et je ne pense pas qu’une petite fille de 7 ans ait l’idée seule d’aller se faire souffrir avec un fil qui lui rentre dans la raie des fesses.
J’ai réellement peur de cette banalisation de la sexualisation des enfants.

Ce sont des ENFANTS. Pas des poupées. Pas NOS poupées.

Chère Clapiotte,

Même si depuis peu on m’oblige à cocher la case « Madame » pour te désigner, tu restes ma petite fille. Tu deviendras une demaoiselle quand il sera temps et une dame en temps voulu.
Je te promets de te donner une éducation la plus saine qu’il soit afin de te protéger des dérives malsaines de la société actuelle. Je ne pourrai pas t’en préserver complètement, mais je ferai tout mon possible pour que tu saisisses les enjeux de tels comportements afin que tu puisses te construire en tant que femme lorsqu’il sera l’heure.
Je te souhaite de beaux souvenirs d’enfance, sans bretelle à remettre, sans soucis de dos, sans hémorroïde précoce et sans mascara waterproof.

Ta maman.

PS: et c’est toujours « non » pour la robe Barbie.

 

Je vous invite à lire l’article d’Electromenagere qui aborde, autour d’un café, le même sujet chez elle, et avec talent.

 

 

Si ca bugue chez toi aussi tape dans tes mains (clap, clap)

Hier, j’étais super énervée.

Mon robot multifonction m’a lâché. Genre vraiment, comme ça, sans prévenir. Je me lançais avec N°1 dans la confection d’un magnifique Cheesecake pour la première fois de ma vie, j’ai mis tous les biscuits dedans pour les mettre en miettes et là: drame: rien n’a marché. J’ai enclenché, ré-enclenché, j’ai tenté avec d’autres accesoires, j’ai sué, j’ai même hurlé sur la machine.
300grammes de biscuits à piler moi-même, autant vous dire que j’en ai eu des crampes au poignée et que le cheesecake avait une drôle d’allure après plus d’une heure de préparation.

Donc, voilà. C’est ainsi. Mon robot s’est envolé dans le paradis des robots multi-tâches, après un AVC éléctroménager.
Evidemment, il n’etait plus sous garantie, sinon, ça aurait été trop facile. Non, depuis 6 mois, il ne l’etait plus. J’ai presque souri et puis je me suis dit que non, en fait, cette fois ci je ne pouvais plus rire de tout. Non, parce que ce robot, je l’avais acheté avec mes petits sous économisés pendant plusieurs mois. Il m’a coûté un bras. j’ai voulu le même que ma mère, rapport que je voudrais être au moins aussi bonne cuisinière. Ma mère, elle ne jure que par Kenwood, donc, j’y suis allée les yeux fermés. Et bah que dalle, il m’a lâché, me coûtant ainsi environ 150euros par an vu le temps qu’il a été en ma possession et encore, je fais pas le calcul au nombre réel de fois où il a servi sinon, je pleurerai (et Tony divorcerait).

En soi, on peut dire qu’il n’y a pas mort d’homme et seulement révérence de robot, mais je ne m’arrête pas là. Oh que non.

L’aspirateur, pareil, deux ans et demi de marche pour finir en lambeaux, avec un tuyau qui partait complétement en sucette et un moteur qui tentait d’imiter l’hélico de Drucker un soir d’été. Il chauffait tellement quand on le branchait que j’ai fini par le bazardé aussi. Bon, on est bien d’accord que l’utilisation de l’aspirateur chez moi est un peu hors norme (rha,,, mais arrêtez de penser à des trucs dégueulasses). Tony s’en sert AU MOINS une fois par jour. Mais en même temps, c’et pas comme si j’abattais un mur tous les jours et qu’il aspirait du plâtre avec, non, Tony, il aspire les 3 miettes sous la table et la poussière invisible de l’appartement (ceux qui sont déjà venus chez moi pourront témoigner).
Et c’était aussi une marque. Tout comme son prédécesseur.


Un jour, les robots me faisaient rêver.

Tout comme mes deux machines à laver précédentes aussi.

Donc, voyez vous, j’ai 31 ans et j’habite seule depuis 12 ans.

En 12 ans, j’ai eu 3 machines à laver, 4 aspirateurs, 2 robots (oui, je vais en racheter un, parce que je ne suis qu’une couillonne), 4 ou 5 téléphones fixe, 5 sèche cheveux, 3 télés, 2 lecteurs DVD, 3 grilles-pain, 2 cafetières, 3 fours micro-onde, 4 réveils matin (ceux qui font radio)…. Et encore, je ne repasse pas.

Je ne vais pas m’attarder sur le gaspillage de matières premières de tout ce fatras et je ne vais pas non plus tenter de calculer ce que ça m’a coûté au risque de devoir me pendre avec un câble électrique.


Bienvenue chez nous

Tous ces appareils (peut être pas les téléphone quand j’y pense) étaient des marques soit disant « reconnues ». Après avoir passé mes été d’étudiante à m’occuper du Service Après Vente d’une enseigne multimarques, j’ai appris comment ça fonctionnait et donc, j’ai toujours misé sur les marques. Doucement, je me rends compte que marque ou non, je dois avoir la poisse de l’appareil. Ou alors ce sont les marques qui se moquent de moi. Noooon? pas possible? Ils en voudraient à l’argent que je peine à économiser « au cas où autre chose tombe en panne »?

J’aurai peut être dû regarder des tests électroménager avant vous me direz, c’est pas faux.

Quand je vois le fameux robot de ma mère qui a 15 ans et son sèche linge qui en a 30, j’avoue que je ne comprends pas bien ce qu’il s’est passé. Ah, si, je comprends, un peu, hein, je en suis pas stupide, mais quand même, passer de 15 ans de durée de vie à 2,3 ou 4, ça fait vraiment une grosse différence, non?

J’ai le Murphy de la garantie.
La poisse quoi.

Bon, donc, concrètement, comment je fais pour m’insurger à part cet article qui ressemblera plus à un coup d’épée dans l’eau? (ouais, désolée, mais ça m’a fait du bien de le dire)

Et QUI pour m’offrir un CheeseCake pas raté?


R.I.P

le It-Choupi-jouet du moment: des Sonny Angels à gagner

Je suis pas cucul. Nan. vraiment, je m’insurge même contre l’idée d’être une personne qui pète des paillettes. Mais… comment dire… j’ai un passé de fille quand même.

Un passé où je collectionnais des tas de trucs trop mignons. Plus c’était petit, plus j’en fourrais dans des boites secrètes. Et je crois que c’est resté. Je craque souvent quand je vois des petites choses mignonnettes qui me rappelle mon enfance. Et c’est rare que je ne les achète pas d’ailleurs.

Aujourd’hui, je vois bien que N°1 a le même soucis que moi et qu’il cumule une multitude de choupi-truc qui ne servent à rien d’autre qu’à encombrer. Et Clapiotte avec son addiction à « KitKit » (comprenez Hello Kitty) ne sera certainement pas en reste.

Mais bon, on s’en fiche, parce que finalement, je vais plutôt parler de moi. 31 ans. Et toujours pas sevrée avec mon problème.

Normalement, je suis plutôt friandes de Art Toyz ou de figurines de lapins crétins, rapport qu’au fond de moi, je me dis que le côté décalé compense mon besoin de collectionner des figurines à mon âge.

Mais récemment, je suis allée chez une copine qui avait de nouvelles figurines chez elle. Des trucs trop mignons qui m’ont ramené 20 ans en arrière.

FLASH BACK

 

Vous vous souvenez? oui? Si non, pas grave, parce que je vais vous présenter ce qui m’a fait penser à toi.
Des petits anges à la figure kawaï et affublés de chapeau selon la famille à laquelle ils appartiennent.
Les Sonny Angels, ils s’appellent. Je pense que ce sont des garçons vu la taille de leur appendice génital. Mais qui sait…
Quand je les ai reçu, j’ai eu de nouveau 10 ans. Sauf que maintenant, je suis blogueuse, alors j’ai pris plein de photos.

C’est pas troooop joli? Bon, oui, je sais. Ca l’est. Et savoir que l’un d’entre vous va pouvoir en gagner une collection de 12, j’avoue l’avoir un peu mauvaise. Oui, j’ai bien dit 12!

Pour tenter votre chance, voilà ce que je vous propose:

Vous me mettez en commentaire lequel est votre préféré parmi tous ceux existants (moi, j’adore la tête de radis).
Vous pouvez likez la page fan de Sonny Angels France
Vous pouvez aussi liker ma propre page, ça mange pas de pain, tant qu’on y est héhé.
Vous pouvez relayer aussi, parce qu’on aime le partage ici, on est comme ça, on donne, on donne, on regarde pas.
Et puis si jamais vous trainez encore sur FB, je vous invite aussi à voter pour Cyl qui a gagné ici même le jeu Bugaboo et qui se retrouve finaliste pour la poussette Bugaboo. Je sais que vous auriez apprécié qu’on fasse pareil pour vous, donc voilà… C’est par ici.

Bon, seul le premier point est obligatoire, mais on sait pas, peut etre que je vous aimerai encore plus si vous faites le reste aussi hahaha! Je ne suis rien qu’une vilaine qui fait du chantage affectif. On dirait Clapiotte, je me fais peur!
Vous avez jusqu’au 27/02 15heures pour tenter votre chance.

Bonne chance à tous et merci à Sonny Angels pour mes figurines (on est d’accord pour la tête de radis)

Et oui, petit mot de la fin. Au cas où ils aiment manger tout ce qu’ils trouvent, pas avant 3 ans, parce que voilà la principale activité de Clapiotte quand elle les a à portée de main (pendant que N°1, lui est mort de rire à cause du micro-pénis)(les enfants, c’est pas facile, vraiment):


(Mon coup de coeur du lundi pour Zaza)

EDIT: on me signale en commentaire que j’ai une basse culture du Sonny Angels. j’abdique. Et je vous fais donc partager ce que je viens d’apprendre:  « les mignons Sonny Angels sont inspirés des Kwepies (diminutif de Cupidon en anglais, ce qui explique leur zizi de garçon et leurs petites ailes), personnages qui ont été créés … en 1909! Voilà qui nous ramène bien plus loin en arrière que les Babies… »
Merci à toi « Si Tu Veux »

Edit: tirage au sort effctué et c’est le N°47 Zaza qui gagne le lot de Sonny Angels.
Bravo!!!
Et merci à tous pour toutes ces participations!

Quand les blogueuses deviennent auteurs. Ou l’inverse. (Giveaway)

Quand j’ai débarqué sur le blog, je ne connaissais même pas l’univers dans lequel je rentrais. La « Blogo ». Je voulais continuer à écrire, et je trouvais l’option « blog » plus interactive que mon calepin, qui ne faisait rien d’autre que de rester désespérément muet.
Au fil du temps, j’ai écrit, certes, mais deux choses ce sont passées, deux choses inattendues: j’ai été lue et j’ai lu. J’ai lu des blogs remplis de talents, des blogs humains, des blogs drôles, des blogs qui m’ont nourri, aussi. Je sautais de blogs en blogs comme insatiable et j’ai découvert des perles. J’ai eu mes favoris, j’ai été peiné de voir certains se refermer sans un mot.
En quelques mois, j’étais accro.
En quelques mois, je me suis rendue compte que j’avais besoin de ma dose. Moi aussi.

Parmi mes favoris rencontrés à force de rebondir de liens en liens, j’avais pu découvrir la tendresse de Marjoliemaman, le talent de Frederique, l’humour de Mere Bordel et les bons plans malheureusement parisiens de Stéphanie.
J’ai eu la chance de rencontrer trois de ces quatre personnes et je n’ai pas été déçue du voyage. Et j’ai une grande confiance en elle, que ce soit en leur amitié qu’en leur talent.
Et puis, un jour, comme leur rêve, elles ont été éditées.

Frédérique (auteur du cahier Jeune Maman et Paresseuse) n’en est pas à son premier coup, d’ailleurs, mais celui-ci, elle le signe en tant que traductrice, en gardant l’humour de l’auteur. Il s’agit du Guide Pratique de la Maman qui Assure de Kaz Cooke, aux Editions Leduc. Un livre rempli de conseils mais en prenant la distance nécessaire aussi pour ne pas trop assommer la lectrice. Résultat, c’est fluide, ça se lit vite et c’est anti-culpabilité. J’ai beaucoup aimé.. et regretté aussi de n’avoir aps ce genre de livre pour l’arrivée de N°1!

Stéphanie, elle avait déjà trouvé le filon. Sans le savoir, son blog même était créé pour être édité: un véritable guide de Paris où elle recense tous les endroits à visiter  avec son enfant. Et pour Stéphanie, avoir une poussette est loin d’être un frein à ses découvertes! C’est ainsi qu’est né « Ma Poussette à Paris » (mais en livre) chez Jacob-Duvernet.

Marjo (ouais, je l’appelle Marjo, c’est pour me la raconter), elle nous propose un livre plein de bon sens, un dico pour les parents un peu stressés, un peu débordés par les événements. Un petit livre à glisser dans les mains de toute primipare pour la rassurer sur les petits bobos de son nouveau greffon: « Le Dico des Petits et Gros Bobos« , chez First. Une mine de conseils et d’attitudes à adopter pour les divers maux courants de nos enfants… Un bouquin comme ça, ça m’aurait sûrement enlevé un peu de pression à mes début dans la vie de mère!

Et toute dernière arrivée dans la poignée d’élues: Mère Bordel, qui nous fait un beau coming out en même temps qu’elle accouche d’un bébé de papier: « Le Journal de moi…Enceinte ». Un journal, un guide? Les deux? Muriel nous fait avancer pas à pas dans sa grossesse avec humour et légèreté, sans oublié de distiller de petits conseils bien placés. On n’est loin du trash de son blog, ici, Muriel est plus posée que chez Mère Bordel, mais son écriture est fluide et sa plume glisse aussi bien comme cela aussi. Et un gros coup de coeur pour les illustrations qui font de ce livre un must have pour la femme enceinte!
Et vous savez quoi? Je vous en offre un. Ouais!
Alors, pour vous faire une idée par vous même sur le livre de Muriel, c’est très facile, vous me laissez un commentaire avec les mots « Muriel, Bordel, Menstruel, rondelle et sexuel. »
Vous avez jusqu’au 19/02 inclus. Je tirerai au sort l’heureuse (oui, je pense que ça sera une fille, mais je peux me tromper) gagnante.

Bonne chance et encore merci à ces quatre talentueuses personnes et à leur maisons d’éditions pour les découvertes en avant-premiere (oui, bon, maintenant, ils sont tous sortis, mais j’ai jamais dit que j’étais une flèche!)

EDIT du 22/02: la gagnante du livre est « La maman du p’tit Poulet ». tirée (au sort) par Tony himself.
je vous remercie tous pour vos participations tres… poetiques. Et un gros coup de coeur pour Seb158 qui m’a vraiment fait mourir de rire avec son insurrection!
Merci à tous et à tres vite pour un nouveau jeu