Une question de lait…

Parmi les grands soucis du parent, l’alimentation de l’enfant se place plutôt en bonne position. Surtout quand il est tout petit, avouons le, parce que bon, on jongle un peu entre les tétées et les biberons, on ne sait pas trop s’il a mangé assez ou trop, pourquoi il rote, pourquoi il rote pas, pourquoi il pleure et pourquoi il a un pet coincé.
Du coup, on note frénétiquement CHAQUE repas sur un petit carnet dédié. Ça ne répond pas à nos questions, mais au moins, on a l’impression de faire quelque chose.

Ce souci là s’associe à tous les coups avec le souci de la justification de son choix d’allaitement.
Mais je ne vais pas parler de ça aujourd’hui. On SAIT que le meilleur moyen de nourrir son petit moineau, c’est de lui donner le sein. Très bien.
On sait. Merci.

Mais quand on ne peut pas ou quand, comme moi, on ne le sent pas, le biberon est une solution de repli tout de même bien confortable.

Pour tout vous dire, je suis quand même vachement contente d’être sortie de cette période.
Aujourd’hui, on en est à compter le nombre de petits pois que Clapiotte a décidé d’avaler en un repas. C’est tout aussi barbant mais au moins, on peut varier avec des bouts de carottes ou des frites (je vous le donne en mille, les frites gagnent. Clapiotte est loin d’être une enfant originale en terme de choix gustatifs).
Dans mon groupe d’amis, je suis la première à avoir eu des enfants. Du coup, ils pensent que je suis un peu la référence en matière d’à peu près tout quand ils se trouvent embêtés avec des questions concernant leur greffon tout neuf.
Je n’ai pas la science infuse en matière d’enfant, mais j’ai l’expérience (un peu, pour preuve, mes enfants, jusque là, vont bien) et surtout, je suis la reine de l’anti culpabilité.

Et quand une copine m’appelle en pleur parce qu’elle n’en peut plus, qu’elle a tout essayé niveau allaitement maternel mais que ses seins sont en sang, qu’elle pleure à chaque tétée et qu’elle a fini par donné des biberons mais pleure encore plus d’avoir ‘rater’ ça… Bah je me transforme direct en grand câlin (je regarde trop la Reine des Neiges, je me prends pour Olaf) :

‘Alors, déjà, hein, tu n’as rien raté, tu as essayé, c’était pas ton truc, point. On a la chance d’avoir le choix, on a la chance d’accéder aujourd’hui à des produits de qualité en terme de laits infantiles, on a la chance de pouvoir s’adapter… Ca VA aller, hein.’
Mon discours est absolument rodé. Je rajoute qu’il y a AUSSI des avantages à donner le biberon (genre, le papa se lèvera la nuit, tu peux le laisser à ta mère pendant 2 jours, ton mec peut te toucher les seins sans recevoir une giclée dans les narines tout ça…).

Je le sais tout ça, parce que j’ai connu la galère. Pas de seins trop douloureux, mais de cet allaitement au biberon. Parce qu’il y a 10 ans, j’avais le choix entre 10 laits qui, globalement, étaient tous les mêmes. Si je voulais un lait plus épais, il ne m’en restait que deux dont un (celui qui passait le mieux pour N°1) que je devais commander en pharmacie uniquement (et qui coutait un bras et demi). J’ai du agrandir les trous des tétines de bib parce que ça ne passait pas aussi. J’ai galéré, oui.

biberon

Mais aujourd’hui, punaise, quand je vois les possibilités données (oui, parce que quand tu es blogueuse maman – famille, tu reçois dans ta boite mail TOUT ce qui existe pour les minots d’aujourd’hui, du coup, tu es au courant de tout, façon encyclopédie de puericulture), je me dis que 1/ les nouveaux parents ont bien de la chance, 2/ mes copines en pleine crise de culpabilité devraient pouvoir commencer à se relaxer un peu.

Dans le lot de toutes les possibilités s’offrant aux parents ayant choisi le biberon, Danone et sa gamme Aptamil de laits standards se pose là en terme de choix et de qualité. Fort de 30 ans de recherche sur les formules de ses laits maternisés, et s’engage à respecter les standards de qualité les plus stricts, sans aucun compromis.
Sa gamme de laits maternisés passe des standards aux plus évolués (anti-reflux, digestion, allergie etc…), de quoi s’adapter parfaitement à notre petit greffon tout neuf et peut être enfin le soulager au niveau de l’estomac (tu sais de quoi je parle quand tu as connu les reflux)

Aptamil crée aujourd’hui Aptaclub, une plateforme en ligne où s’informer sur l’alimentation ou la grossesse grâce à la mise en relation avec des conseillères qui répondront gratuitement et personnellement à toutes vos questions grossesse/alimentation qui n’auront pas trouvées de réponses sur le site.

aptaclub

Moi qui me plaignais à l’époque de ne pas trouver assez de conseil, je tiens à vous dire, les copines, que CA VA HEIN, vous êtes vernies !

Mais bon, je serai toujours là pour les gros câlins. Promis.

Olaf_from_Disney's_Frozen

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

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