tirer sur la corde

J’ai cru que je m’étais sortie de la vilaine maladie qui m’avait ordonné la couche lundi déjà.
Je me suis shootée au point de ne plus savoir trop qui j’étais pour pouvoir aller à Paris pour des trucs trop chouette dont je vous parlerai quand l’autre moitié de mon cerveau sera revenu de ses vacances.

Aujourd’hui,, je paye cher.

Je suis au lit.

Et Clapiotte qui tousse comme une locomotive à court de charbon aussi. Enfin, non, elle, elle sait restée digne. Elle me sert des cafés imaginaires dans des tasses Barbapapa et on regarde Petit Ours Brun en boucle. J’ai même pas le courage de me battre pour regarder un truc bien.

Je lâche les rênes des blogs pour mieux revenir quand la brume se sera dissipée. J’ai trois milliards de choses à raconter mais je serai capable de tout mélanger.

Petit coucou quand même à deux filles que j’avais envie de rencontrer depuis vraiment longtemps, et maintenant, c’est fait: Astrid et EmmA. Rien que pour vous, me droguer valait le coup !

 

A plus tard Gérard.

a plus tard GerardA Plus Tard Gérard.
Un livre qui raconte que les feignasses et mauvais opportunistes finissent toujours par avoir un beau retour de bâton.

 

15 réflexions sur « tirer sur la corde »

  1. Faire la croute sur le canapé c’est encore ce qu’il y a de mieux dans ces cas là. Alors Bon Croutage Madame Cranemou !

  2. oh la pauvrette !! et si on faisait comme si je t’envoyais plein de grand air frais des montagnes, tu crois que ça aiderait ??!!
    bon rétablissement – et Tony, il fait quoi, là ? il te soigne, et te dorlote, au moins ?!

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