Un mode de garde parmi tant d’autres: la crèche collective

Concrètement, je pourrai garder Clapiotte tous les jours de la semaine à la maison.
Ça, c’est dans le cas où je serai suicidaire.

Et je ne le suis pas.

Donc, Clapiotte, depuis ses 9 mois, va à la crèche deux fois par semaine. l’an dernier, elle y allait deux après midi par semaine et cette année, deux vraies journées entières.
Je ne vous dis pas comme j’ai dansé la samba quand on m’a dit que les deux jours complets étaient possibles.

Ne croyez pas que je fais ça pour me débarrasser d’elle, hein. Un peu, quand même. C’est surtout que je ne sais PAS comment les mamans qui gardent les enfants TOUT le temps gèrent leur temps en fait. Je ne peux pas, moi. Je fais des tas de trucs avec ma fille (qui s’octroie rarement plus de 10 minutes pour jouer SEULE), et le seul moment de répit que j’ai, ce sont les 2 heures de sieste. Ça fait pas lourd dans une journée pour faire tout ce qu’on a à faire.
Donc Clapiotte va à la crèche.

Mais pas QUE pour mon plaisir de solitude et de liberté. Aussi parce que je juge ce type de mode de garde parfait pour mes enfants.
Comme je suis un peu « ours », les randonnées au parc pour que mes enfants mangent les mêmes graviers que les enfants du quartier, j’y arrive pas. Pas à cause des graviers, ni des enfants des autres (on pourra reparler des enfants des autres? Ça me parait un vaste sujet ça aussi), mais à cause du parc dans son ensemble: bruyant, agaçant, meilleur moyen pour faire des bouffées d’angoisse parce que TOUS les enfants ont le même TShirt (pourtant orange fluo, le pire, c’est qu’on y avait réfléchi) et qu’on ne retrouve plus les nôtres… Bref, pour faire court, le parc, c’est la plaie et l’ennui intersidéral, du coup, je distille les sorties là-bas et dans une logique imparable, ce n’est donc pas à cet endroit précis que mes enfants pourront apprendre la vie en communauté.

C’est là que la crèche intervient.

Ce n’est pas partout qu’on peut se vanter de faire garder la prunelle de ses yeux dans un parc à miasmes digne d’une jungle.

Là, je sais que Clapiotte (et N°1 à l’époque) apprend la vie, dans toute sa générosité et sa réalité.

Clapiotte, elle aimait pas bien la crèche. Faut dire qu’une princesse, ça ne se roule que rarement dans la morve de la plèbe.
Je l’y ai obligé, mère sadique que je suis.

C’est vrai que c’est crevant pour le enfants, et Clapiotte, comme N°1 ont eu la chance de ne pas y passer des semaines entières de 7h30 à 18h30.

Du bruit, du monde et surtout (SURTOUT) l’appréhension de cet autre qui ne nous veut pas forcément que du bien.

L’an dernier, Clapiotte est revenue une quinzaine de fois avec la marque du dentier de jean-Mini-Much tatouée sur, au choix, l’avant bras, la joue et même une fois, le front. Les enfants ne manquent jamais d’originalité.

La semaine dernière, Clapiotte est revenue avec une marque sur le bras. Sa première cette année. Il y a de l’évolution.

Oui, parce que vous voyez, chez moi, mes enfants sont hyper cadrés, protégés. Vu qu’en plus, N°1 et Clapiotte s’adorent, on n’a pas encore eu la joie de goûter aux bagarres entre eux. Dire qu’ils vivent sur le nuage du Bisounours bleu ne serait pas loin de la vérité.
En les envoyant au Goulag deux petites journées par semaine, ils ont appris, petit à petit à défendre leurs intérêts (et ne pas chopper la rage me parait un intérêt digne d’être défendu) ET à partager et vivre en communauté, chose qu’ils ne risquaient pas d’intégrer à la maison, croyez moi.
Tony a parfois du mal avec cette formule: trop de maladies qui trainent, de nez morveux qui s’essuient sur les robes de Clapiotte, trop de dangers potentiels… trop… d’enfants, en fait!

Il ne manque plus qu’à trouver une nounou en qui j’aurai une totale confiance pour prendre le relai de temps en temps pour aussi leur apprendre à donner leur confiance à une personne extérieure à la famille et on serait pressenti pour le prix Nobel de l’éducation parfaite (d’après mes propres valeurs… je vais créer le Prix Nobel Cranemou tiens)

Je ne sais pas si il existe un mode de garde parfait. Le mix moi-crèche convient bien à notre mode de vie actuel, maintenant, n’ayant jamais testé la nounou, je ne sais pas trop. Le fait de donner toute ma confiance à quelqu’un, je ne suis pas sure de savoir faire (j’ai pas dû avoir beaucoup de nounous sympas dans mes vies antérieures).

Vous avez des préférences ou vous avez choisi votre mode de garde par « obligation » chez vous?
(sinon, je cherche une nounou pour les sorties de classe bientôt)




Nan mais c’est pas le paradis ca pour un gosse?
(si on exclu les terreurs-vampires et qu’on les met sous bulle)

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(Jusqu’au 15/04)
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32 réflexions sur « Un mode de garde parmi tant d’autres: la crèche collective »

  1. Ici, le mode de garde sera celui qu’on trouvera, celui qui voudra bien de nous dirai-je… C’est tellement difficile en région parisienne et en plus ça peu coûter un bras (et une jambe en plus…) C’est hyper stressant de ne pas savoir d’ailleurs…

  2. En théorie, je suis totalement pour la crèche. En théorie…
    En pratique, je suis une mère poule qui n’arriverait pas à lâcher son bébé dans la « fosse aux lions »! Trop de tout (de bruits, de microbes, d’enfants plus ou moins « sympathiques »…) j’aurais trop peur qu’il soit perdu au milieu de la masse.
    On a choisi le mode « nounou », plusieurs galères mais on reste sûrs de notre choix. On préfère trouver une personne de confiance et emmener notre bébé dans un lieu familial où il sera en contact avec quelques enfants (mais pas trop) juste ce qu’il faut pour se sentir bien, en sécurité mais quand même apprendre la vie à plusieurs.

  3. On avait demandé une place en crèche (qu’on n’a pas eue) et en parallèle on a cherché une assistante maternelle.
    On a trouvé une super ass mat’ que Mr Ouistiti adore (elle garde 3 à 4 enfants) et du coup, moi qui voulait redemander un ou deux jours en crèche pour l’année prochaine, j’ai renoncé. Il est très bien chez elle, est habitué à voir d’autres enfants, je ne vais pas perturber son rythme. Il va à la baby-gym chaque samedi, ça l’habitue à un groupe plus grand d’enfants.
    Certes, maintenant qu’il a 2 ans, au niveau des activités, c’est moins varié qu’en crèche, mais on essaira de lui faire découvrir pas mal de choses à la maison !

    1. Parfois, les nounous ont aussi acces aux creches familiales (ou je ne sais plus comment s’appellent ces creches) pour se retouver entre elles et faire découvrir « autre chose » aux enfnats. c’est chouette aussi!

  4. Mes deux garçons sont passés par la crèche (le petit y ait encore d’ailleurs). J’ai eu la chance d’avoir des places et donc nous avons pu choisir le mode de garde qui nous convenait le mieux (la crèche donc). Ils se sont fait beaucoup mordre (les référentes me disent qu’ils sont appétissants). La morsure qui m’a le plus sidérée c’était dans le dos. Je suis impressionnée par le front.
    Je ne changerai de mode de garde pour rien au monde : Ils sont effectivement dans un bouillon de culture de microbes mais tout le reste vaut bien les 250 visites au pédiatre qui en découlent.
    J’aime la crèche !

    1. je sais pas si ca les vaut, mais effectivement, c’est cool ce qu’ils y font (malgré les inconvénients, mais bon, on peut pas tout avoir!)

  5. On avait choisi la nounou, par commodité (elle était sur la route du boulot de mon chéri, alors que la crèche était dans l’autre sens) mais aussi pour éviter qu’il se retrouve trop tôt tout seul dans un coin (j’ai eu de mauvaises expériences de garderie).

    On en a vu une bonne quinzaine avant de se décider, des qui auraient pu faire l’affaire, d’autres qui nous ont fait peur, d’autres encore où on est repartis en rigolant parce que c’était forcément une bone blague, ces dames-là n’avaient jamais vu d’enfants de leur vie.

    On s’est décidé tout de suite, on a flashé comme on dit, elle avait une maison très propre, plein de jouets, de l’équipement adapté (pas la poussette datant de 1983), 3 autres enfants à s’occuper et ma foi, ça nous a paru encore le mieux pour lui : une « nanny » pour les calins et 3 filles pour les baffes et les cris.

    Après, le mode de garde idéal (un peu comme si on pouvait vraiment avoir le choix), je pense que ça dépend surtout du caractère de l’enfant (et des expériences des parents), des horaires de travail, de ce qu’il y a à disposition aussi (en rase campagne, va trouver une crèche…) bref c’est sans doute pas le même pour tout le monde !

    1. c’est même certain, je n’imagine rien d’autre que la creche, par rapport à mon mode de vie et nos préférences, mais dans un autre contexte, la nounou, la garde à la maison… j’aurai peut etre aimé aussi!

  6. Ahhh si seuleument on pouvait choisir… !! Nous on habite en très proche banlieue parisienne, où les crèches sont une denrée rare, très rare comparé à Paris même !
    Donc, bien sûr j’ai essayé, pas de place…
    J’ai du reprendre le boulot en juin quand ma puce avait 9 mois… Impossible d’avoir une assistante maternelle non plus à cette période, elles sont toute bookées de septembre à septembre…
    Donc j’ai pris une nounou à domicile pendant 3mois, puis la petite est allée chez une assmat…
    Finalement ce mode de garde est plutôt bien, elle est avec 2 autres enfants, ils vont au RAM une fois par semaine, et surtout la nounou sort au moins 2h par jour au parc, ou elle retrouve d’autres assmat et donc finalement ma fille se retrouve avec plein d’enfants… Et l’avantage sur la crèche est une souplesse des horaires le soir…
    Donc: je ne vais même pas retenter la crèche cette année, car elle l’aime sa nounou ! :)

  7. J’ai fait garder mes enfants en nourrice.
    C’était un choix, d’abord parce que les crèches conchient les parents aux horaires décalés, qui plus est ayant des repos en semaine (le summum du rédhibitoire) et parce qu’il faut quasiment y inscrire son enfant avant même d’avoir commencé à envisager de le concevoir.
    J’ai la chance d’avoir un quartier bien pourvu en assistante maternelle, ça aide….

  8. Chez nous, c’est nounou. Et comme elle n’a que lui, il vit sa vie de petit prince, est chouchouté comme un roi, et va à la rencontre des autres au parc et au RAM (et échappe donc aux microbes des autres). C’est le top ! Et la nounou est top aussi (surtout quand elle le garde de temps en temps à partir de 21h (parce qu’on est des parents indignes qui continuent leurs sorties en amoureux) et qu’elle ajoute « ça me fait trop plaisir, vous ne compterez pas les heures hein ! » (mais on les compte quand même)).

    A la base on avait choisi la crèche… Mais à 1300€ mensuel faut vraiment prendre les parents qui bossent pour des gros c**!§/* . Avec Super-Nounou, 700€, ça passe (limite sans aide de la CAF,, mais ça passe quand même).

    Donc en fait on n’a pas forcément choisi, c’est notre budget qui l’a fait pour nous…

    Et notre budget nous conseillerai aussi d’arrêter de bosser et de toucher des aides de la CAF du coup, mais rester non stop avec Super-Zouzou, j’en serai mentalement incapable…

  9. Ici c’est la crèche familiale.

    En gros un ensemble d’assistante maternelle géré par la ville. Ils vont deux à trois demi journées par semaine à la halte garderie ou en activité (halte garderie quand l’âge n’est pas approprié à l’activité, vu que la nounou a des enfants de 3 ans à 13 mois).

    L’avantage ? Je dirais les avantages : halte garderie ou activité : pleins de gamins donc ça aide Tipou a vivre un peu en communauté (bien que…) – Nounou prends les enfants même s’ils sont malades (même en cas de maladie contagieuse, donc on est pas obligé de prendre des journées à chaque fois qu’il dépasse le 39°), horaire assez flexible (genre quand j’étais pas au chomdu on lui déposait à 6h45 pour aller le chercher à 17h30. Si nounou est malade en arrêt en formation ou tout autre raison qui fait qu’elle ne peut pas garder les lardons : la ville dispatche les enfants chez les autres ass’ mat du réseau de la crèche familiale (je crois me souvenir qu’elles sont 25 ass mat)

    Bref, quand deuxième il y aura (mais c’est pas pour tout de suite rêve pas !!) on demandera surement le même mode de garde. Et si on est toujours ici la même ass mat.

  10. Pour ma part je n’ai pas d’enfant mais j’ai été la nounou de .

    Les parents travaillaient tous les deux trois enfant 6 ans 3 ans et demi et le petit dernier 10 mois.

    J’étais leur nounou 5/7 j au début beaucoup d’appréhension, le petit à rechercher à la crèche, les enfants à l’école, pour eux une nouvelles personne à dompter ( faut pas croire tous des monstres ces étranges créatures ;) )
    pour moi des responsabilités étrangères 1 an après, c’est avec beaucoup de larmes que nous nous sommes dit aurevoir.
    En 1 an :

    Des journées 15 -20h30 tous les jours
    15 repas à préparer par semaine
    15 collation à donner par semaine également
    un milliard de non à dire
    Des caresses
    des bisous
    des calins
    des fous rires
    des semaines de vacances à passer avec eux.
    l’apprentissage de la nourriture ,
    voir le petit dernier dire ses premiers mots, ses premiers pas …

    Une année qui m’a fait grandir et voir le rôle de mère différement…

  11. Crèche pour la grande. Et ça nous a tellement plu (et à elle aussi, hein!) qu’on y a également inscrite la petite.
    D’ailleurs je trouve que c’est plutôt calme à la crèche, alors que j’imaginais le truc hyper bruyant.

  12. Quand je suis à la maison, même avec 40 de fièvre, même enceinte jusqu’aux yeux, même fraîchement accouchée, même débordée, il m’est impossible moralement de mettre les enfants chez la nounou (j’assume, hein) (rançon du temps plein par ailleurs). Mais j’ai l’immense avantage d’habiter une grande maison à la campagne avecun immense jardin. Forcément, ça aide.

  13. Alors moi, je n’ai ni morale ni sens du sacrifice : surtout malade,surtout enceinte,surtout juste accouchée, surtout débordée… j’ai mis mes enfants à la crèche et ils y ont été super heureux.

  14. L’aînée a passé 3 années à temps plein à la crèche collective à côté de chez nous. J’ai eu l’impression que c’était le paradis pour elle, malgré le manque de personnel permanent, les microbes (mais la mienne n’attrapait jamais rien :)), la collectivité imposée et les grosses journées.
    C’est donc avec les grosses glandes :) que j’ai du trouver une nounou pour le petit frère. D’ailleurs là j’en change pour septembre parce qu’il dépérit là-bas. Je n’ai sans doute pas trouvé la perle rare mais vraiment pour moi c’est sans aucune comparaison avec la vie en crèche collective, snif!

  15. Enceinte, je ne jurais que par la crèche. Et puis, j’ai reçu la lettre m’indiquant qu’il n’y avait pas de place… J’ai donc cherché une nounou. J’en ai appelé une quarantaine, j’en ai retenue deux et lors des entretiens, on a eu un vraie coup de cœur ! C’était celle qui nous fallait, qui nous correspondait. Elle est très douce et je lui ai fait confiance dès la première matinée alors que je pensais ça impossible. Quelque mois plus tard, j’ai eu un appel de la crèche : il y avait une place, que j’ai refusée ! Je ne regrette absolument pas. Pour le côté manque de socialisation qui me faisait peur, la nounou fait des activités au RAM, va à la bibliothèque, organise des choses avec d’autres nounous… Ma fille voit plein d’enfants et prépare même un spectacle !

  16. Il faudrait que je me renseigne pour mettre ma fille, 16 mois, en preschool (avant maternelle quoi). Ce st des petites écoles pour les petits, juste le matin.
    Je crois que ce serait pas mal pour elle, mais j’ai encore du mal à la lacher ds le milieu indien.
    Elle y sera sans doute mieux.
    J’ai une maid à la maison qui la garde régulièrement, me permettant de faire des activités : Rester en tête à tete toute la journée avec elle, c’est tout simplement : impossible !!!
    Et même avec ce rythme-là, parfois j’en ai marre ;)

  17. Ici, ça a été nounou. La première, parce qu’il n’y avait pas d’autre choix dans le patelin (212 habitants) où j’habitais (une perle, 10 ans de bons et loyaux services) ; la deuxième parce que c’est une amie qui est trop top avec les gamins, P’tit Mec N°4 ne veut jamais rentrer le soir !!

  18. Pour moi aussi, impossible de m’imaginer « mère à temps plein ».
    La mienne refuse également de jour toute seule et, même si son papa fait quelques efforts pour jouer avec elle, c’est souvent sur mes genoux qu’elle échoue avec ses jouets.
    Quand je travaillais, j’étais intérimaire dans une usine qui travaillait 365 jours par an, c’est à dire qu’on travaillait le week-end, les jours fériés, de nuit, d’après-midi, du matin. Mon mari, lui travaille souvent 12 heures d’affilée, le week end et une foi ou deux 12 heures par semaine. Autant dire que les structures « classiques », on a vite laissé tomber. On se voyait pas aller chercher la petite à minuit chez une nounou à moins de payer plein pot.
    Heureusement, il y a ma très gentille belle-maman qui a bien voulu nous la garder. Avec elle, pas de problèmes pour débouler à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, mais il fallait supporter ses réflexions du genre : « tiens, elle n’a pas de bonnet, son père a oublié de lui en mettre un », en plein mois de juin, ça laisse perplexe. Elle s’est aussi permise de la coller sur le pot pendant des heures, ce que j’ai toujours refuser. Bref, quand c’est quelqu’un de la famille qui garde les petits, il vaut mieux que le contrat soit clair et avec quelqu’un comme belle-maman, c’était pas évident. J’ai aussi eu recours à la marraine de ma fille pour la garder certains après-midis, je trouve ça bien qu’elle puisse établir un lien loin de moi, même toute petite. C’est d’ailleurs avec elle qu’elle a fait ses premiers pas…
    Quand elle a eu deux ans, on s’est dit que c’était bien de la garder avec nous l maximum du temps, mais que lui apprendre un peu la collectivité, ça serait bien avant son entrée en maternelle. Donc, depuis septembre, elle passe deux matinées par semaine selon nos horaires à nous. Elle adore y aller ! Dès qu’elle voit l garderie, même de loin, elle réclame les « bébés » ! Comme elle est très timides et qu’elle a un vocabulaire très pauvre, on espérait que ça lui permette e se dégourdir. Pour l’instant, pas de résultats… Sans doute que l’école va bien l’aider pour ça à la rentrée. Par contre, elle s’amuse tellement à la crèche, c’est incroyable ! La dernière fois, elle a fait l’étoile de mer quand elle nous a vus pour ne pas rentrer à la maison, elles s’y sont mises à deux pour nous la ramener.
    En attendant, ce mode de garde, un peu à la débrouille ne nous a jamais mis en défaut, au pire, il y a toujours mes parents, mais comme ils sont malades, ‘est un peu la dernière corde de mon arc Elle est toujours très timide vis-à-vis des gens qu’elle ne connaît pas, mais part facilement avec les gens à qui on la laisse, même si elle les connaît peu.

  19. Pour notre Loulou, pas le choix, la ville de Paris nous a envoyé balader parce que je travaillais et qu’on gagnait trop bien nos vies alors on peut payer une nounou… Du coup, après avoir appelé 60 ass’mat dont des cas pathologiques à mon avis, trois sont sorties du lot. Une gardait officieusement 7 gamins, une autre pas le mercredi et nous sommes tombés sous le charme de la dernière. Loulou aime tellement sa Tatie que je ne me vois pas le changer de structure. Elle est très dynamique, leur organise pleins d’activités, très maternante, leur fait de bons petits plats maison, les emmène au RAM, à la bibliothèque, à la piscine, au parc, etc… Et ne compte pas les heures qui sont parfois à rallonges car nos vies professionnelles sont très intenses et le temps de transport en commun n’arrange rien… Bref, on doit déménager de quartier et je serais bien embétée pour trouver une perle comme ça pour le deuxième… A voir mais franchement, il y a un réel problème en France en termes de structure d’accueil de l’enfant alors qu’on a le taux de natalité le plus élevé et un taux d’emploi des femmes qui n’

  20. J’ai voté !
    Et sinon, chez nous, dans notre bonne vieille province, bah la meilleure solution reste la nounou. La crèche, halte-garderie à vrai dire, je n’y ai jamais pensé. Ou tout du moins, je n’ai jamais dépassé le stade de « Ah, et c’est quoi les horaires ? Et c’est quoi les tarifs ? Et il faut soudoyer qui pour avoir une place ? »
    Donc nounou. Le souci, c’est quand on est muté ou qu’on déménage. Ou les 2. Bref, on perd la super nounou qu’on a galéré à trouver, et on en cherche une autre … Mininous 1er a eu le droit à 3 nounous en 3 ans. Mininous 2 a l’extrême chance d’être pour la 2ème année chez la même nounou, THE nounou. J’ai tellement confiance en elle que je lui laisserais mon gosse les yeux fermés … Ah bah, c’est ce que je fais en fait ! lol Et j’ai la chance de ne travailler que quelques jours par semaine, et donc de profiter de mes loulous 4 jours sur 7.

  21. J’avais opté pour la crèche familiale (familiale pas parentale), dans les 2 communes où j’ai habité :
    * les nounous sont employées par la mairie (donc ça m’évitait de passer des entretiens et de gérer les contrats), elles sont contrôlées régulièrement et selon les communes, le matériel peut être fourni
    * on n’est pas obligés de prendre les mêmes vacances qu’elles (parce qu’avec un bébé petit, je continuais à partir hors vacances scolaires), elles sont remplacées par une nounou que l’enfant connait car elles font des sorties (parc, bibliothèque) en groupe de 3 ou 4 nounous.
    * l’adaptation en collectivité est progressive (selon l’âge de l’enfant) il reste soit juste chez la nounou s’il est nourrisson, soit il va jouer dans l’espace de la crèche collective s’il est un peu plus grand (ouvert plusieurs fois dans la semaine) et à partir de 18 mois il y a jardin d’enfant 1 matinée par semaine avec des activités, des jeux. Il y a aussi plein de sorties organisées.

    Une copine, auxiliaire de puériculture, me l’avait conseillé car progressif et bien encadré (super rassurant pour les paretns) et effectivement j’ai toujours été ravie. Jamais de recadrage à faire sur l’utilisation de la télé, la nourriture était toujours faite maison avec des produits du marché, sorties tous les jours sauf si pluie ou grand froid

    Mes 2 enfants, pourtant très différents, ont adoré et à refaire je le referai.

  22. Nous on voulait la crèche… parce que juste en bas de la maison, neuve, sécurisée, trop bien, trop belle…. et la crèche nous a pas voulu !
    Alors on a pris la nounou….
    Là, on cherche une autre solution (gagner au loto et arrêter de bosser jusqu’à ce que la crèche finisse par nous accepter au 385è dossier de Loulou, soit vers ses 18 ans ?!!) parce que la nounou, ça peut être l’horreur…
    Désolée, ça, ça doit pas t’aider

  23. Bonjour
    En ce qui me concerne je viens d’apprendre que j’ai moi aussi deux jours dispos en crèche mais voila mon dilemme : j’ai le choix entre mardi et jeudi ou bien mercredi et jeudi.

    Ma petite a 11 mois et n’a jamais été en collectivité, c’est moi (et son papa quand il ne travaille pas) qui m’en occupe tout le temps et comme Cranemou je suis ravie de pouvoir me libérer deux jours, je pense aussi que ça la fera évoluer et découvrir « la vraie vie »…

    J’hésite : vaut-il mieux deux jours de suite ou bien alterner un jour maman/un jour crèche ?

    Merci d’avance pour vos avis !

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