Archives mensuelles : février 2011

Aparté culinaire

Je n’ai jamais menti à ce propos, d’ailleurs, j’en parle peu, puisque je voudrai quand même ne pas passer pour une quiche, masi c’est un fait avéré.

Je suis nulle en cuisine.

Autant ma mère arrive a te concocter un lapin à la moutarde avec un poulet et de la mayo, autant moi, en suivant la recette, je rate mon truc une fois sur deux. C’est comme ça, le gène de la cuisine doit être un gène récessif voire, chez moi, un gène qui a lâchement muté mais en pire, je ne vois pas d’autre explication!

C’est comme ça qu’hier, en voulant occuper les enfants, je me suis lancer dans la confection de pâte de speculos et de pâte à tartiner maison. Rien que d’y pense, j’avais la bave qui gouttait sur le parquet.

« Recette ultra simple, rapide, inratable », voilà ce que j’avais lu. Alors soit, simplement, c’est pas bon, soit je suis encore pire que ce que je pensais, mais j’ai tout jeté! Rha toutes ces tablettes de chocolatgâchées!!!

Je vais continuer à acheter mes pâtes à tartiner dans le commerce moi, même si on ne sait pas bien ce qu’il y a dedans, c’est quand même bien meilleur… sauf si vous me donner THE recette et que vous signez sous serment que je en serai pas déçue (et que même moi, je vais y arriver).


Tu vois, Choco, je tente des trucs pour ton weekly Chocolate, mais bon…ça ne valait même pas une photo!

De quoi tenir au moins tout ce dimanche pluvieux!

Pensez encore qu’il y a un Boba en jeu jusqu’à minuit ce soir c’est LA.

Si jamais vous ne saviez pas quoi faire et même si ça ne sert plus à grand chose, les votes pour Natacha et Clapiotte (photo N°8) ça se passe ici et c’est tous les jours.

Rendez vous demain pour les résultats du Boba et un nouveau Give away pour la dégaine de mini-nous!

Bon dimanche!

I wanna be a part of it

Aujourd’hui, c’est nostalgie.Rien à voir avec la choucroute de d’habitude, mais c’est comme ça.

Nostalgie de ma jeunesse passée, où rien ne semblait pouvoir perturber ma petite vie tranquille. Aucune angoisse ne m’habitait encore, je n’avais à penser qu’à moi, et c’était bien facile comme ça.

Lorsque j’avais 15 ans, nous avons collecté avec des amis suffisamment de fonds pour partir à New York. Ça nous a pris du temps: ventes de gâteaux pendant les récrés, soirée payante, aide en caisse du supermarché du coin. Bref, juste avant Pâques, la collecte était décrétée suffisante pour qu’on puisse tous partir. Le CPE avait organisé ça super bien, nous avions un étage dans un hôtel, et il avait prévu toutes les sorties. Nous sommes allés voir Grease à Broadway, mangés au Mc Do de Wall Street, celui avec le piano à queue. Nous avons arpenté la 5ème Avenue, fait du shopping dans les Malls, nous sommes retournés voir un spectacle de danse dont je ne me rappelle plus le nom parce que je m’étais endormie.

Oui, parce qu’il faut dire qu’on ne dormait pas beaucoup. Pendant une semaine, avec les copains, nous avions décidé de ne pas prendre le décalage horaire.

Nous partions de bon matin pour les escapades New-Yorkaises, on sortait le soir et en rentrant à l’hôtel, une deuxième journée commençait. Autant avouer tout de suite que si un  jour j’apprends que mes enfants font le quart des mes bêtises de l’époque, je les désherite!

Donc, le soir, on s’échangeait les chambres, on buvait les petites fioles qu’on avait volé dans l’avion, on faisait des rencontres d’américains en périple scolaire dans la grosse Pomme eux aussi. Je crois même être sur une vidéo d’un mec de l’Alabama en train de faire des saltos dans le couloirs de l’hôtel. N’importe quoi.

Et puis un soir, alors que nous avions invité dans notre chambre un groupe d’ado de Toulouse, un coup de fil dans la chambre.

Un vieil accent américain me parlait, je comprenais pas grand chose à part que c’était le réceptionniste. Forte de mon manque de sommeil évident, je lui réponds que je descends le voir parce que j’aurai moins de mal à comprendre de visu.

Arrivée à la réception (il était 2heure du matin), le réceptionniste me regarde éberlué, genre « mais qu’est ce qu’elle veut cette gamine à cette heure là ». Visiblement, il n’avait jamais appelé ma chambre.

Je décide de remonter quand tout à coup, la porte du Motel explose dans de grands cris. Je reste figée. Un gars de l’hôtel qui a dû plus dormir ces derniers jours et qui est donc un chouille plus réactif me protège en me cachant derrière une banquette. Ça hurle, ça se bastonne. Et moi, je suis là, à 15 ans, planquée derrière un canapé en skaï du hall d’un hôtel à New York, me demandant qui a bien pu me faire cette belle blague du réceptionniste pas content. La Police débarque, on menotte un type louche ensanglanté et on me demande de remonter dans ma chambre.

J’ai l’impression d’avoir assisté à un épisode d’une grosse production américaine avec sons et couleurs.. et même les odeurs, pour faire plus vrai.

Mes copains étaient plus que mitigés quant à ma version de mon escapade, mais ont dû se rendre à l’évidence quand il s ont constaté l’état de la porte d’entrée. Quant au petit blagueur qui avait appelé, il a dû me demander pardon environ 100 fois avant que j’accepte de le regarder sans avoir une envie de meurtre.

Le lendemain, nous sommes allés voir les Twin Tower et l’Empire State Building, et la ville ne me semblait pas tout à fait la même que la veille.


Voilà, c’était ma participation pour Chocoladdict qui nous demande un souvenir de groupe. Ce voyage et ces souvenirs pour me rappeler que tout peut arriver et de toujours garder un oeil sur mes marmots quand ils seront ados, parce que non, définitivement, ils ne se rendront pas compte!

Et vous? des souvenirs un peu spéciaux en groupe?

Et sinon, toujours tu peux voter car tu m’es solidaire, c’est ici et c’est la photo N°8 avec l’escarpin. Et jusqu’à dimanche,toujours le boba à gagner!


J’vais demander à Virginie B si ce fou furieux peut être mon homme sur mon blog de ce vendredi…je viens d’y penser (l’homme glauque du vendredi c’est bien non?

Astrologiquement vôtre

Petite, j’étais fan des Chevaliers du Zodiaque. C’est grâce à eux que j’ai connu les noms de tous les signes astrologiques et même reconnu certaines constellations dans les ciels étoilés d’été (pour dragué, c’était bien!). Comme quoi, les dessins animés peuvent être instructifs!



Après, pour ce qui est d’être à fond, je ne saurai pas trop quoi dire.

En tant qu’ado de base, je lisais mon horoscope avec mes copines en pouffant de rire lorsqu’on m’annonçait le Prince charmant. J’ai même poussé le vice pour connaître mon ascendant. Je suis Lion ascendant Scorpion. A ce que j’ai pu comprendre, mon cas est désespéré. Il faudrait que j’écrive un livre sur mes déviances astrologiques tellement mon cas devrait me plonger dans un désarroi total puisqu’à ce qu’on m’a dit, je devrais être invivable.

Je suis chiante, hein, je ne nie pas. Mais tout de même. Bon, on va dire que je fais des efforts pour que ma vie en société se passe le mieux que je peux. Et puis je dois bien me mettre au niveau du peuple, qui n’a pas la chance d’être aussi parfait que moi (c’est le lion ou le scorpion ça?).

Sans rire, je ne crois pas beaucoup à l’horoscope et l’astrologie, c’est trop abstrait et puis je trouve ça bizarre, ça voudrait dire que la nana qui est née en même temps que moi dans un rayon de 50km a sensiblement le même caractère. La pauvre!

Je n’y crois pas, mais ça ne m’empêche pas d’attiser ma curiosité. je sais donc que je suis lion ascendant scorpion et que mon signe chinois c’est le singe (fierté-agressivité et fourberie: chouettes comme qualités non?).

Quand il me prend à lire certains traits de caractère du « Lion », je m’y retrouve, mais en même temps, je n’ai jamais lu ceux du Capricorne et je pourrai m’y retrouver tout autant, non? Il y a juste une chose que je trouve dingue et que je me résouds pas à m’expliquer. Je m’entends plus que très bien avec des filles du même signe que moi. C’est assez incroyable.  Autant un mec lion j’ai des envies de meurtres, autant une fille c’est toujours un succès. Et pour dire, la moitié de mes amies sont lion. On ne pourra pas me faire croire que ce n’est qu’une coïncidence! Bref… excepté cette bizarrerie, c’est louche comme affaire tout de même.


Sinon, je sais aussi que Tony est sagittaire, N°1 cancer… et Clapiotte, je ne sais pas.

Clapiotte est née le 22 novembre 2009 à 17h et selon les calculs, on tombe soit sur sagittaire, soit sur scorpion. Clapiotte est astrologiquement schizophrène. Si jamais vous avez des renseignements quant à son vrai signe, je suis preneuse! (un jour, elle finira par me poser la question, et lui répondre qu’elle st schizophrène ascendant batard-du-signe, je suis pas sûre qu’elle le prennen bien.

Mais à part ça, tout va bien, aujourd’hui, on me prévoit encore une rencontre qui va changer ma vie. Je sens que je vais recevoir un mail de Joshua Jackson, je l’sens!

déjà, j'y comprends rien

Et vous, vous lisez votre horoscope? Vous y croyez ou vous êtes, comme moi, mitigés?

C’est bizarre, non, mon truc de copine?

N’oubliez pas de m’aider (et n’oubliez pas que je suis un peu scorpion et donc trèèèès trèèèès méchante si je veux) pour la photo de La Halle (Photo N°8 Natacha et Clapiotte)

tu peux même m'aider en proposant à tes amis de faire de même :D

Et toujours jusqu’au 27/02, un Boba en jeu:

La bourde du mercredi

Dans la famille de Pierre Richard, je sais que j’ai déjà des copines. Genre Lucky Sophie ou Maman Bobo. Je pense très sincèrement que Pierre est est oncle ou en tout cas un parent proche.

Je vous dis ça parce qu’encore une fois, la bourde à frapper. Mais pas sur moi. Sur Tony.

Tony, ce garçon propre sur lui que tout le monde trouve tellement parfait parce qu’il fait bien plus que m’aider avec la maison et les enfants. Mais Tony, parfois, son cerveau bug. Comme s’il y avait une résistance qui avait grillée. Du coup, on ne sait pas trop comment les informations arrivent, on ne peut que constater les conséquences.

Lundi soir, un couple d’amis est venu manger à la maison. Deux jeunes mariés trop mignons que j’adore dont nous avons pu particper au mariage cet été. Faut dire que lui, je le connais depuis avant ma première cuite! Tony le connait bien aussi, du coup.

Conversation anodine entre elle et Tony:

« Hé! Marie, je te ressers? »

« Euh… »

« Tu préfères de l’eau peut être? »

« Bah en fait, je préfère que tu m’appelles par mon prénom »

Tony ne se démonte pas, il pense sûrement à une blague.

Mon ami intervient: « Tony, « Marie », c’est mon ex »« .

Ca met toujours à l’aise ça, hein?

Le pire? C’est que ce n’est pas la première fois et on ne sait pas pourquoi, mais c’est toujours avec ce pote là que Tony fait des bourdasse énorme. Une fois, justement avec la « Marie », il lui avait demandé si ses études en médecine se passaient bien. Celle qui faisait médecine, c’etait encore une autre…

Vous croyez qu’il lui en veut à mon pote?

Bon, cette nuit, j’ai eu l’idée de vous raconter ça parce que des bourdes, chez nous, c’est assez récurrent, et je suis sûre que chez vous aussi, mais si: les votres, celles des enfants, des parents etc…

Et comme j’aime bien rire, bah j’aimerai bien faire une petite section « les bourdes du mercredi » où vous pourriez raconter ici ou sur vos blogs une bonne vieille bourde. Vous me prévenez ou vous m’envoyer votre bourde par le biais du « contact » en maintenance) par mail: natachart@hotmail.fr et je les mets ci-dessous ou en lien. Vous pensez que ca serait marrant? (j’espere que l’idée n’est pas prise, hum…).

Bon, pour le premier jour, on va dire qu’on fait ça ici, et si l’idée vous plait, bah on se donne rendez-vous tous les mercredis. j’aimerai bien!

Et sinon, vous pouvez toujours m’aider à rattraper mon gros retard au concours de photo ICI, il faut bien cliquer sur la 8eme photo (Natacha) avec Clapiotte et la chaussure. Merci d’avacnce de votre soutien!

Et toujours le Boba en jeu:

Kate Moss sort de nos corps!

Nous avons frôlé les tabloïds, manqué de fouler le Red Carpet et nous aurions pu finir en prenant des bains de Champagne à L.A. Oui, nous aurions dû faire tout ça avec Clapiotte, mais y’avait Judo pour N°1. Et on sait comme je suis dévouée, comme mère!

On aurait dû avoir de la corne au bout des doigts à force de signer des autographes, et nos rétines devraient saigner à cause des flashs des paparazzis qui sont censés camper devant notre porte.

Mais nous sommes des femmes simples. Nous voulons rester accessibles.

Là, vous devez vous demander si je n’ai pas avalé les petits granulés roses et bleus de Mamy. Non, non, j’aime juste dire n’importe quoi.

Plus sérieusement (si j’y arrive), aujourd’hui, c’est révélation: Et pourquoi donc elles devraient se la péter les deux là?

Parce qu’en début du mois, nous sommes allées à Paris, et non, ce n’était pas juste pour snifer de l’air de la capitale. C’était aussi, pour passer une journée hors norme.

Nous étions invitées à un shooting photo pour La Halle. Au départ, j’avoue que j’ai un peu hésiter. Les photos, en générale, c’est moi qui les prends, et quand je suis dessus, je ne peux m’empêcher de faire une belle grimace. J’ai 8 ans. En vrai, j’ai beaucoup de mal avec mon image (Oh, la fille qui s’assume pas) et je préfère donc ne pas gâcher de la pellicule avec ma tête. Mais l’expérience allait être assez sympa, à ce que je pouvais en lire. Alors j’i dit oui. Et puis au pire, je pourrais me cacher derrière Clapiotte.

Nous avons été accueillies bien chaleureusement. A mon grand regret, je n’ai pas pu profiter du buffet de fou et de la petite séance de massage. Non, Clapiotte avait la dalle en arrivant, puis, elle a été scotchée devant le fils de La Toupie et juste après ça, il fallait y aller.

En tant que Kate Moss mère et fille, vous pensez bien qu’on n’a pas eu besoin de beaucoup de maquillage…hum… donc après bien 30 minutes de camouflage, on me propose de choisir des vêtements pour Clapiotte, puis, pour moi. Un triple portant rempli. Sans parler des chaussures de princesses rangées en rang d’ognion dessous: vision orgasmique: 30 ou 40 paires qui ne criaient que « porte moi! porte moi! ».

J’ai choisi un jeans et une tunique blanche (faudrait voir à pas trop être originale, me dis-je) et pour Clapiotte, une petite robe d’été en liberty, miches à l’air, et une petite paire de Uggs roses, pour le petit côté « Je connais la mode à Beverly Hills ».

Nous sommes prêtes, et nous rencontrons Jacques Mateos, celui qui est censé faire de nous des Bombas sur papier glacé. Une patience folle.

De son côté, Clapiotte mirait mes talons de 12 depuis un moment. Tout à coup, elle a bazardé ses Uggs et s’est littéralement jeté sur mes pompes de Barbie. Pour ne plus jamais les lâcher. Moi qui crânait d’atteindre le presque mètre soixante-dix… bah j’ai fait toute la séance pieds nus.

La séance a duré…. duré… il faut avouer que la coopération de la diva de moins d’un mètre nous exaspérait. Impossible de lui faire faire quoi que ce soit.

« Viens me voir » et elle partait aussi tôt à l’autre bout du studio. Fatigante.

Mais grâce au talent de Jacques et à notre patience hors du commun (surtout la sienne, moi, j’ai failli abandonner plusieurs fois), nous avons pu voir que le résultat était vraiment pas mal.. Mais je vous laisse apprécier:

Si un jour vous me voyez en vrai, ne soyez pas trop déçus, parce que vous n’allez pas me reconnaitre si on se base sur ces photos!!!

On m’a demandé de choisir. pas simple. Toutes expriment quelque chose de particulier. J’aime particulièrement la première, mais j’adore assi la seconde et la troisième. Quant à la quatrième, c’est celle que je trouve la plus drôle et qui reflète complètement ma journée avec Clapiotte, une petite initiation au métier de fille, moi qui n’en suis pas vraiment une et Clapiotte qui en prend le chemin (le boulevard même).

J’ai donc choisi la dernière, en souvenir de cet amour fou pour cette chaussure.

Une belle journée, riche en souvenirs et en beaux moments, même si j’ai bien regretté de ne pas pouvoir rester plus longtemps sur place. Et je conseille vivement à tout le monde, s’ils en ont la possibilité, de s’offrir une séance avec un photographe, les photos n’ont rien à voir et vraiment, un beau souvenir pour plus tard!

Et maintenant, c’est à vous de m’aider. Grâce à vos votes, je pourrai repartir avec 1an de fringues La Halle, et je vous avoue que par les temps qui courent, ça nous arrangerait beaucoup, là! Cerise on the cake, en m’aidant, vous pouvez vous aussi, gagner une année de fringues (ou des bons d’achat): Le mieux, c’est que je vous laisse aller voir de vous mêmes sur la page facebook dédiée. Vous cherchez la photo avec la chaussure parmi les 10 proposées (attention: ce n’est pas forcément la photo qui va s’afficher en premier) et quand vous la trouver (« Natacha et Clapiotte »), vous votez. Tous les jours, oui, je sais, je suis sympa, vous allez pouvoir nos admirer pendant 3 semaines, chaque jour! mais c’est pour la bonne cause!

je vous remercie d’avance de votre gentillesse!

Et n’oubliez pas, Toujours un Boba (porte bébé ergonomique) à gagner:(on a qu’à dire que vous votez pour me remercier ;D comment ça ça marche pas comme ça?? :D)

Le come back du portage avec Boba…(Cadeau de compèt inside)

Il y a un mois, je vous racontais mon abandon du portage à cause d’une Clapiotte un peu trop lourde pour mon écharpe, un mal de dos assez présent et ma trouille de bazardé ma Clapiotte derrière mon épaule pour tenter de la porter sur le dos.

C’est suite à ce billet qu’on m’a contacté. Moi qui hurlait que plus jamais je ne porterai ma fille et que la vieille poussette canne rouillée de N°1 allait reprendre du service, on m’annonce que je vais changer d’avis sur le portage.

Ahaha! Le challenge! Me convaincre à nouveau qu’il est toujours possible de porter près de 9,5kg de Clapiotte ET pouvoir la porter sur le dos sans craindre de la faire tomber.

Voilà qui est risqué pour Mme Boba, mais je suis trop curieuse pour dire non, et j’avoue que la perspective de pouvoir reporter ma boulette pour faire mes allers-retour maison école sans le bordel que provoque la sortie de poussette rangée dans le coffre de la voiture (qui n’est pas forcément garée à côté), je suis plus que tentée par l’expérience.

Ni une ni deux, je reçois mon Boba dans sa belle boite, so classe. En le sortant, je vois toutes ces lanières, et là, je me dis « arf, ça va être compliqué ce truc ».

En fait, non, pas du tout. Le Boba, c’est comme un sac à dos dans lequel tu mettrais ton nain transportable!

Comme mon intelligence n’a d’égal que euh… je ne sais pas, je suis vraiment intelligente en fait, je clipse la ceinture au niveau de ma taille, je chope la Clapiotte qui passait par là, je mets les bretelles sur les épaules et j’attache la deuxième sangle au niveau de mes omoplates. Deux trois ajustements de longueurs… Et nous voilà prêtes. Dingue, ça m’a pris moins de 45 secondes en sachant que maintenant que je l’ai calibré à mon gabarit, bah ce n’est plus à faire.

Petit tour en appartement, trottinements, petits sauts histoire de voir si ça lâche pas (ça lâche pas, je confirme) jusqu’ici tout va bien.

« Et maintenant, on va se tenter le dos ma p’tite louloute », j’annonce, au cas où elle n’ai toujours pas compris que quand je teste un truc, je vais jusqu’au bout. J’ai dû avoir une overdose de Téléshopping, peut être. Toujours est-il que je croise tout de même les doigts à ce moment là pour ne pas avoir la poisse de Patrice Carmouze.

Tout de même, je matte deux-trois fois (oui, bon ok, peut être 5) la vidéo d’installation, et j’avoue que je me mets près du lit au cas où il y ait un lâcher de Clapiotte. Un petit coup de main est à prendre, autant pour moi que pour la Boulette qui n’a pas trop l’habitude de se genre d’acrobatie (qui a dit que je surprotégeais mes enfants?), mais on y arrive, sans trop de mal et sans accident à déplorer.

La grosse poilade!



Vient ensuite le test dans la vraie vie.

Pas grand chose à redire mis à part que le portage sur le dos est moins pratique avec le gros manteau d’hiver. Du coup, j’ai surtout porter sur le ventre pour le moment. certes, les distances étaient courtes, et je ne m’imagine pas la porter comme ça pendant une heure, mais les 4 fois 30 minutes dans la journée sont largement suppportables. J’attends les beaux jours pour parcourir la terre avec une Clapiotte en guise de sac à dos!

Pour l’anecdote, il y a des travaux devant l’école si bien qu’y laisser sa poussette n’est pas forcément évidement en ce moment. Du coup, toutes les nounous se retrouvent avec els petits dans les bras, et beaucoup utilisent des portes-bébé classiques. Deux sont déjà venues me demander quelle était la marque du mien tellement j’avais l’air d’avoir moins mal au dos qu’elle alors que Clapiotte fait certainement le double de leur petits! Gnark gnark gnark, j’aime quand on me supplie et qu’on m’adule!

Si je devais résumer:

Les plus: super simple et rapide d’utilisation, léger, ergonomique et confortable au niveau des épaules et du bassin. Clapiotte adhère à fond alors qu’elle avait tendance à se débattre un peu dans l’écharpe ou le sling. La capuche roulée est super pratique en cas de vent, surtout quand j’ai passé 20 minutes à tenter de coiffer ma chevelue et que la bise me fout son brushing en l’air en trois secondes! Pratique aussi lorsqu’une fois, ayant un peu raté l’heure de la sieste (j’avais rencontré une charette) elle commençais à s’assoupir, ça m’a permis de la caler le temps du retour sans que la tête dodeline dans tous les sens (non, je n’ai pas le pas léger).


Oui, j'aurai dû faire un avec-sans capuche pour Clapiotte, mais le brush après coup de vent, j'ai préféré m'abstenir!

Les moins: J’aurai adoré une poche intégrée pour y mettre les clés ou le porte monnaie le temps des  trajets vers l’école. Le portage sur le dos , pas simple à installer seule vu l’épaisseur de mon manteau (je sais, on n’est pas toutes obligées de se déplacer avec un manteau énorme l’hiver).


Et maintenant, vous vous dites: « oui, et donc? ».

Bah j’ai tellement été convaincue de mon Boba que j’ai demandé si par le plus grands des hasards je pourrai en faire profiter une lectrice (ou un lecteur), et là, normalement, vous me faites une Ola général avec cotillons et serpentins puisque OUI, non, vous ne rêvez pas, mais vous pouvez gagner le Boba Earth (chocolat) sur ce blog!

Celui-ci, donc, livré sans bébé.

J’avais bien dit qu’il y allait avoir du cadeau de compèt, hein!

Pour cela, on va faire simple. Je vous laisse jusqu’au dimanche 27 février minuit pour participer. En commentaire ou sur votre blog (dans ce cas, revenez me prevenir ici), vous me faites une petite acrostiche avec les lettres BOBA, par exemple:

Bonne chance à tous

On va croiser les doigts

Bon courage à vous

A une tres prochaine fois

(On n’a jamais dit que j’étais la fille spirituelle de Corneille)

Et comme le nouveau blog n’est pas encore remis de son déménagement, un petit relai serait fort apprécié pour l’aider à reprendre du poil de la bête!

Surtout, remplissez correctement l’adresse mail puisque sans ça, impossible de prévenir le gagnant! Le tirage au sort aura lieu dans la semaine du 28 février, le gagnant sera prévenu par mail et le résultat sera annoncé dans ce billet en edit, dans la partie « News » en haut à droite et sur facebook.

Un petit effort sur acrostiche serait très sympa étant donné la valeur du cadeau, mais si vraiment vraiment vous êtes nul en rime…je ferai un effort pour vous pardonner!

Sachez tout de même que le Boba est un porte-bébé ergonomique conçu pour les enfants de 7Kg à 20 Kg. Et si jamais vous ne pouvez pas attendre les résultats, voici la liste des revendeurs (click-click). Il y a même une page facebook du Boba!

Bonne chance à tous!

EDIT: c’est Blandinou qui gagne le Bobab avec le N°107;

Félicitations et merci à vous tous pour ces 122 participations,

j’ai souvent ri et certaines étaient vraiment bien résussies!!!

Bientot, un autre Boba chez une copine, je vous informerai dès que j’ai la date!

Bon dimanche, sous vos applaudissements

Oui, je sais, j’ai été TRES marquée par Jacques Martin pendant mon enfance.

Mais ce n’est pas pour parler de mon rêve de passer à l’école des fans que j’écris aujourd’hui. Non, c’est juste comme ça!

En fait, d’abord, depuis le billet du train, j’ai très envie de vous dire pourquoi j’étais à Paris en début de mois et pourquoi, surtout, pourquoi j’ai osé faire l’aller-retour avec Clapiotte.

C’était une expérience, une expérience qui allait à l’encontre de ce que je suis capable de faire en temps normal, mais que j’ai beaucoup apprécié pour ne pas dire aimé. je ne ferai pas ça tous les jours, mais j’en garderai d’excellents souvenirs.

Mais c’est demain que je vous dirai tout, et c’est demain que j’aurai besoin de vous (et tous les jours qui suivront aussi).

Pour aujourd’hui, je vous laisse juste mariner avec ça:



ET AUSSI:

demain, lundi, un giveaway ENORMOUS à ne pas rater.

Et jusqu’à ce soir, vous pouvez toujours me dessiner une expression et la poster chez vous ou me l’envoyer par mail et repartir avec un Pictionary, tout est expliqué ou ICI.

Bon dimanche…

sous vos applaudissements

(comment ça je radote?)

T’as pas l’droit j’t’ai dit!

Allo?

Ouais, c'est moi

Ca va?

Ouais, ouais, ca va.

Et alors? t'en est où de ton projet?

Des "mes" projets, tu veux dire! Bah en fait, Jules se demande des trucs à propos des charges de copro, pis y'a le coiffeur qui vient de mettre une enseigne qui clignote, je te raconte pas le mal de crâne la nuit!

Mais il avait le droit de faire ça?

J'en sais rien, mais tu sais, j't'ai pas dit, rien à voir, mais tu te rappelle, Julien? Le frère de Jules? Bah il divorce! Il part avec le coiffeur, elle veut tout lui prendre pour le faire payer, garde exclusive du raton laveur et tout!!

Bah…euh…

Nan mais attends, le pire c'est que lui, ils ont découvert son histoire avec le coiffeur à son boulot, il a un rendez-vous lundi, je crois qu'il va se faire licencier

Mais, quand même, le pauvre, z'ont pas le droit de faire ça..

Tu crois?

Bah voui, je crois. 

A ce moment précis, plusieurs choix s'offrent à moi. Soit j'étale mes pseudos-connaissances à Julie, Jules et Julien en leur donnant des conseils bidons parce qu'en vrai, je suppute des vérités dont je ne suis très sûre, soit je leur dis tout simplement qu'ils devraient se renseigner.

Et, pour commencer, ils peuvent débuter leur recherches sur le portail Droitissimo où ils trouveront une mine d'informations juridiques gratuites.

 

Plus facile, plus accessible, plus clair, plus ludique même, le site Droitissimo permet d'avoir une réponse pour les petits litiges ou questionnement du quotidien de façon fiable.

On y trouvera: des témoignages, une plateforme d'intermédiation (mise en relation internaure-pro du droit) et questions-réponses ainsi que des interviews de professionnels juridiques et comptables.

De quoi arrêter de baratiner nos amis avec nos soi-disant connaissances en la matière, chaque cas peut être particulier et donc, il vaut toujours mieux se référer aux pros qu'à la voisine de la Mère Michèle! Les professionnels intervenants sont avocats, notaires, comptables et leur CV respectif est visible sur le site Droitissimo.com

 


En écrivant ce billet, j'ai parlé à Tony de ce site. Il m'a dit l'avoir pas mal consulté pour avoir certaines réponses lors de l'achat de notre appartement, c'est bizarre qu'il ne m'ai pas demandé des conseils à moi comme Julie non?

Et vous? Vous consultez des professionnels ou vous prenez des conseils à droite à gauche?

Article sponsorisé

Dis moi comment tu travailles, je te dirai…

…qui tu es?

…ce que tu vas devenir?

… si tu as des capacités intellectuelles hors normes?

Avant les vacances de Noël, j’ai eu un rendez-vous avec la maîtresse de N°1. Non, non je n’étais pas convoquée parce qu’il avait tenté d’étrangler un petit camarade avec une chaîne de bracelets formes confectionnée sous le bureau. Tous les parents se sont vus invités à venir discutailler de sa propre marmaille autour d’une tasse de thé dans son bureau.

J’ai eu du mal à vous le raconter, parce que je n’arrivais pas à trouver de quoi en rire. je ne sais même pas si je vais avoir de quoi faire aujourd’hui.

L’entretien consistait à faire le point avec les parents sur notre enfant, en grande section de maternelle, connaitre ses points forts, ses faiblesses etc…

Mon fils, c’est le plus beau, le plus intelligent, le plus drôle, je pense même que c’est un génie. Aucun défaut à son actif, c’est en plus un sportif hors pair qui a une vocation sociale très précoce.

C’est un peu comme ma mère ou mon frère. J’ai le droit de critiquer, mais si quelqu’un d’autre le fait ouvertement devant moi, ou même approuve ce que je dit, ça me rend complètement dingue!

J’ai le doit de dire ce que je veux, mais toi, tu touches pas, tu dis rien, voire même, tu devrais défendre la personne concernée tellement c’est quelqu’un de merveilleux!

En soi, j’ai trouvé cette conversation très interessante. J’ai appris que N°1 était un enfant très sage, très scolaire et qui n’avait pas de retard, voire même une bonne logique de calcul pour son âge (un génie, j’vous dis!).

J’ai aussi appris que N°1 avait un comportement tout à fait particulier. C’est un enfant qui est assez réservé et surtout, qui a très peur de décevoir.

Rien de neuf. je le savais. N°1 a toujours pris beaucoup de précaution pour tout et surtout a en horreur de se faire enguirlander. Il est constamment sur la réserve. Même lorsqu’il veut nous faire une blague, sa bouche se tord genre « aïe, est-ce que je ne vais pas trop loin là?« . C’est bizarre, mais on s’y fait. Et c’est vrai que je ne peux pas me vanter d’avoir un petit garçon de 5ans et demi si sage s’il n’avait pas ce petit « soucis » de manque de confiance en lui.

MAIS, sortant de la bouche de la maîtresse, cette particularité avait une toute autre saveur. Encore plus lorsqu’elle a rajouté: « Il préfère se mettre en échec plutôt que de tenter une réponse dont il n’est pas sûr ». Pour faire simple, si N°1 n’est pas sûr de sa réponse ou n’a pas compris l’énoncé, il ne demande pas de répéter, ni une explication, non, tout simplement, il ne fait pas. Parfois, pour se rassurer alors qu’il a commencé son devoir, il louche même un peu chez le voisin pour voir si ce qu’il fait est juste.

N°1, c'est celui qui louche sur la feuille de l'étourdi, là!

Le mot « échec » résonne encore dans ma tête. Oh, oui, je sais, je sais, il est loin d’être en échec scolaire. Mais le CP, la grande école, la disposition des classes, les temps de jeux réduits, les nouveaux élèves… je ne suis pas si certaine que mon petit génie trouve facile de s’intégrer dans ce nouvel environnement. Et j’ai beau trouver les mots, redonner confiance à un enfant qui a toujours douté, c’est pas évident.

D’autant que l’an prochain, N°1 risque de changer d’école à cause du découpage scolaire. Damned! Comme si ça ne suffisait pas!

Donc, si jamais vous avez une solution pour aider, je suis preneuse, et si jamais vous avez un moyen de me pistonner pour qu’il puisse rester dans cette école, je prends aussi!!!

Mais au final… De nous deux… je crois savoir qui est le plus angoissé!

Le bain, l’ennui, et moi

S’il y a une chose que je n’aime pas avec les enfants (si on exclu le parc, les jouets sonores et les repas-guerre civile), c’est bien le bain.

Déjà à la maternité, quand on t’autorise à baigner ta chose rose et fripée, c’est tout un programme d’horreur. D’abord, on lui nettoie les yeux (et on sait à quel point j’ai un soucis avec les yeux), un bout de coton pour chaque, après on fait des mèches pour nettoyer le nez, ensuite on savonne notre bébé en dehors de l’eau.

Là, on en est déjà au drame: notre nouveau bébé est tout gluant et hurle tout ce qu’il peut, essayant de communiquer son mécontentement face à tant de haine à son égard:

« j’ai froid! t’es dingue ou quoi? mais pourquoi tu me fais ça??? j’étais bien dans ton ventre mais lààààà… c’est quoi ce bordel? »

Je vais t'en donner des raisons de pleurer moi!

Et c’est à ce moment de grand stress où on se demande bien pourquoi il fallait absolument laver ce petit qui, pourtant, ne venait pas de courir un marathon, ne transpirait pas comme un veau et ne sentait pas comme un métro à 18heure. Mais il le fallait. Et là, la puéricultrice qui ne t’as pas épargné ses commentaires de Madame je sais mieux que toi tout au long de cette épreuve te lance « bon, aller, dépêcher vous pour pas qu’il prenne froid, il faut le plonger dans l’eau ».

Là, le bébé se calme environ deux secondes douze, juste un peu, avant qu’on ne manque de lui exploser la tête contre la céramique du lavabo.

« vite, vite, vous le rincez, vous le sortez, vous l’essuyez bien, làààà, vous faites bien tous les plis (143 au total) enlevez cette serviette mouillée, remettez une autre serviette sèche, mettez lui son body »

On croit qu’on s’en est sortie. Tss tss…

« On va faire le soin du nombril avant de lui mettre sa couche »

Avant qu’on ai le temps de vomir, si on est dans un bon jour, notre petit chéri aura eu le temps de se pisser dessus pour qu’on reparte à zéro.

Soulever le nombril rance, passer le coton, argh, rien que d’y penser j’en ai encore des frissons de peur et de dégoût mêlés.

Habillage.

Fin.

A ce moment là, le troll était tellement épuisé d’avoir pesté tout ce qu’il avait dans le gosier qu’il se replonge dans son petit sommeil de bébé trop mignon, pendant que toi, tu dois te farcir les serviettes à étendre, la baignoire à rincer, le pipi à nettoyer, les cotons que t’as bazardé à tout va par manque de self-control, alors que là, tout de suite, tu ferai bien une sieste, aussi.

Donc, déjà, au commencement, le bain, c’est la grosse misère.

D’autant qu’après une semaine à la maternité où t’as finalement pris quelques marques, tu te retrouve dans ta salle de bain qui n’est absolument pas équipée de la même manière. Là, ça se corse. Si tu savonnes le nain sur la table à langer, tu dois traverser le couloir pour l’immerger. Si tu improvise un plan de change sur la machine à laver, tu flippes à mort que le cumulus qui est au dessus se décroche, après 20ans de bons et loyaux services. Bref, comme t’es une vraie rebelle de la life, tu décides de savonner ton bébé directement dans le bain, comme tu peux, et tu tâches d’oublier la moue désapprobatrice de tata Ghislaine, puéricultrice en chef de la maternité d’où tu viens.

Tu crois que quand ils grandissent, ça va être mieux, plus facile, plus sympa, un vrai moment de partage et de complicité.

tss tss (bis)

Une fois que ton petit trésor se décide à aimer ça, se tient assis etc… bah il joue. Au choix, il inonde les 4m2 de lino ET toi ou bien il joue tranquille avec la boule de lessive. Au début, tu joues avec lui, parce que tu trouves ça génial de partager ce moment privilégié. Et puis après, tu te rends compte que vider et remplir un gobelet pendant 12 minutes n’a jamais été ton activité favorite. Tu t’ennuies. Tu hésites à aller te chercher un magaszne dans les toilettes, mais bon, comme on t’as dit que ton bébé allait se noyer si tu t’absentais 5 secondes (quand bien même tu y aurais pensé avant, ton magazine à une durée de vie d’environ 2 minutes à côté de la baignoire), tu restes là, tu as l’impression de prendre racine, de dessécher. Tu es seule, et seule une boule de lessive remplie d’eau qui vient atterrir sur ton jeans te sors de cette constatation: tu te fais chier. Grave.

J’ai même essayé de twitter, une fois. Sans succès. Si je fais autre chose que m’ennuyer, mes enfants sont là pour me rappeler que me dévertir ne fait pas parti de ce moment!

J’aime pas le bain.

oh mais ça suffit oui!

Celui de mes enfants en tout cas.

Ce matin, N°1, pendant que je prenais ma douche, trouvais bon de me tenir compagnie:

« Pourquoi, toi, tu prends jamais de bain? »

« Bah… en fait, je n’ai pas vraiment le temps. »

« Bah, quand même, parfois, tu pourrais prendre un bain »

« Oui, c’est vrai… Mais vous seriez tous sans arrêt en train de me déranger, et si je prenais un bain, j’aimerai bien que ce soit un moment bien tranquille »

« Bah non, c’est surtout Clapiotte qui viendrait t’embêter… moi, je viendrai seulement te poser une ou deux questions… ou 10 petites… »

J’aime pas les bains. En général!

Dites moi que je ne suis pas seule à détester ça!